ALERTE CANCER, CHIMIOTHERAPIE ET RADIOTHERAPIE
INFORMEZ VOUS !
Il n’est pas raisonnable d’exposer» les personnes atteintes de sclérose en plaques, «
quelque soit la gravité de la maladie« , «
aux nombreux effets indésirables graves» du natalizumab (Tysabri) et de l’alemtuzumab (Lemtrada) pour des bénéfices très incertains, estime la revue Prescrire dans son numéro de décembre.
victimes du vaccin hépatite B :Interviews vidéo du Dr Berthoud, de Sylvie Simon, Michel Georget et Edith Gallay
certaines formes de fibromyalgie, fatigue chronique, syndrome des jambes sans repos, symptôme de parkinson, symptômes d’Alzheimer, Alzheimer, akathisie, tasikinésie, ostéoporose, cancer, sclérose en plaque, avc…
NEGATIONNISME MEDICAL (médecins et infirmières)
En 10 secondes, le professeur christian Perronne nous explique le négationnisme médical systématique concernant les effets secondaires des médicaments et vaccins de BIG PHARMA.
BIG PHARMA : Origine et histoire
Sauvegarde odysse de la vidéo meurtre par injection 1
Sauvegarde odysse de la vidéo meurtre par injection 2
Sauvegarde odysse de la vidéo meurtre par injection 3
Dès 1600 avant J.C., plus de 900 médicaments étaient déjà à la disposition des médecins y compris l’opium. Aujourd’hui, la médecine allopathique est devenue dominante. Elle cherche à discréditer, à déconsidérer, voire à annihiler sa concurrente, la médecine homéopathique à laquelle encore beaucoup de gens dont la reine Elizabeth II continuent à avoir recours. Pourtant, en 1847, aux Etats-Unis, le nombre des homéopathes représentait encore le double de celui des allopathes. Mais en 1892, John D. Rockefeller reçut de Frédérick T. Gates un plan lui permettant de se rendre maître de tout l’ensemble du système américain d’éducation médicale. Sous sa houlette, le nombre d’écoles de médecines passa de 650 à 50 et celui des diplômés fut ramené de 7500 à 2500. Rockefeller avait commencé en vendant des potions, à base de pétrole, censées soigner n’importe quoi mais, en réalité, plus nocives qu’efficaces. À la fin de la première guerre mondiale, les productions de produits chlorés à but militaire (ypérite) furent reconverties en insecticides et pesticides pour l’agriculture et en médicaments pour humains et animaux. Les multinationales de la chimie et de la pharmacie engrangent des profits phénoménaux avec des chiffres d’affaires de plusieurs milliards de dollars. Leurs médicaments sont malheureusement trop souvent surévalués, inefficaces et potentiellement dangereux. En septembre 1980, la FDA fit ainsi retirer du marché plus de 3000 médicaments à l’efficacité douteuse et à la dangerosité certaine. La liste de ces derniers est interminable, celle des scandales sanitaires aussi. (Thalidomide, Aspartame, etc.) Chaque année, 30 000 Américains meurent des effets indésirables des médicaments et des vaccins.
« Meurtre par injection » est un essai sur l’état de tout le système médical américain. Le titre est assez mal choisi. En effet, le problème des vaccins n’est abordé que dans un seul chapitre assez court d’ailleurs. L’auteur prend le problème dans son ensemble en commençant par la partie historique qui montre comment on en est arrivé là. Depuis la création de pseudos instances de contrôle et de régulation comme l’AMA (American Medical Association) dirigée jusqu’en 1949 par deux charlatans, Simmons et Fishbein, jusqu’à la main mise absolue du trio Rockefeller-Rothschild-Gates sur l’ensemble de la filière, OMS incluse. Une guerre sans merci fut livrée contre les médecines douces comme l’homéopathie, la phytothérapie, la chiropractie et autres qu’on accusa de tous les maux pour mieux promouvoir la filière chimique d’un rapport bien plus intéressant. Ainsi apprend-on que les huiles essentielles furent interdites, saisies et détruites comme « substances dangereuses » alors que personne n’était mort ou n’avait été malade suite à leur prise. Que l’on a expérimenté pendant des années des vaccins sur des prisonniers dans les pénitenciers américains sans leur consentement et avec les conséquences tragiques que l’on imagine. Que dans les années 60, Dulles commanda à la société Sandoz basée en Suisse rien moins que 10 kg de LSD soit cent millions de doses qui servirent aux expériences menées dans les universités de la côte ouest (Timothy Leary) sous la houlette de la CIA, laquelle reprit et mena à leur terme toutes sortes d’expérimentations de manipulations mentales et autres lavages de cerveau initiés par les médecins nazis (MK Ultra, MK Delta, etc.) Au total, un réquisitoire implacable et ahurissant qui fait froid dans le dos. À réserver aux courageux qui voudraient en savoir un peu plus sur le sujet.
Sécurité sociale : un outils du crime médical organisé
« système complexe de racket, de blanchiment et de recyclage de devises entre un producteur (le laboratoire pharmaceutique), un grossiste (le pharmacien), un dealer (le médecin) et un consommateur de drogues (l’assuré), sous la surveillance de deux organisations criminelles nationales (l’Etat et l’Industrie du médicament). » .
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Voici quelques extraits de l’excellent et audacieux article de la revue « Protégez-vous » du mois de mai 2010. Un dossier à lire et à conserver dans vos archives! Un dossier sur la collusion entre l’industrie pharmaceutique et le monde médical, sur les études bidons réalisées par des équipes de scientifiques financées par des compagnies privées, rédigées par des « écrivains fantômes » et cautionnées par des « éminents » scientifiques qui n’ont jamais participé aux études…
Journaliste responsable du dossier : Rémi Maillard pour l’édition de mai 2010. « Voire à l’apparition de nouvelles pathologies créées de toutes pièces et popularisées par des « campagnes d’information » souvent alarmistes à la télévision et dans les grands journaux. » « Une maladie pour chaque pilule ». « La timidité, par exemple, est devenue un « trouble d’anxiété sociale », la brûlure d’estomac a été rebaptisée « maladie du reflux gastro-oesophagien » et la tension prémenstruelle s’est métamorphosée en « trouble dysphorique prémenstruel ». Quant à l’impuissance, elle porte désormais le nom savant de « dysfonction érectile »… Le but ? Faire de chacun de nous un consommateur de pilules en puissance, si possible sur une longue durée, estime Dr. Marc Zafran. » « Cette stratégie fonctionne : les dépenses en médicaments des Canadiens ont été multipliées par quatre en 20 ans, pour atteindre 30 milliards de dollars en 2009. Dans le seul domaine de la psychiatrie, le nombre de maladies mentales officiellement reconnues aux États-Unis est passé de 26 à 395 depuis la Seconde Guerre mondiale, rapporte le journaliste scientifique allemand Jörg Blech, auteur d’un livre-enquête sur les dérives de l’industrie pharmaceutique. « Coïncidence troublante, 95 des 170 experts qui ont participé à l’édition la plus récente du DSM (manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux) de l’Association américaine de psychiatrie, la « bible » des psychiatres en Amérique du Nord et en Europe, entretenaient des liens financiers avec l’industrie. » « Il n’est donc pas étonnant, relève-t-il, que « certains nouveaux médicaments, notamment pour traiter l’hypertension et la schizophrénie, s’avèrent en fin de compte cliniquement moins efficaces que leurs prédécesseurs bien qu’ils soient vendus jusqu’à 10 fois plus cher. » « Au total, les pharmas investisssent plus de 60 000$ dans chacun des quelques 700 000 médecins étasuniens ; au pays, ce montant serait de l’ordre de 20 000$. » « Cela va du financement commercial des universités aux essais cliniques biaisés, des pseudo-publications scientifiques à l’abaissement régulier des seuils de facteurs de risque pour certaines maladies, de l’éducation continue des médecins aux visites incessantes des représentants pharmaceutiques, qui nous apportent des échantillons gratuits. Sans oublier le financement des congrès, les repas payés à l’hôpital ou au cabinet, les réunions commanditées et les soupers-conférences dans de grands restaurants. » « Même le médecin le plus compétent n’est plus en mesure d’obtenir des informations neutres et objectives lui permettant de prescrire les produits les plus efficaces pour ses patients. » – Marc-André Gagnon, Université McGill « Les laboratoires financent des essais cliniques dont ils analysent eux-mêmes les résultats. Ils font ensuite appel à des « ghoswriters », des « auteurs fantômes », pour écrire des articles qu’ils font souvent revoir et signer par des « leaders d’opinion », c’est-à-dire des chercheurs reconnus pour leur expertise. Puis ils s’arrangent pour les faire publier, si possible dans des revues prestigieuses. Finalement, ils obtiennent une masse critique de littérature scientifique qui détaille les bienfaits du médicament pour diverses utilisations, mais omet, ou mentionne à peine, ses effets secondaires. Ils envoient alors leurs représentants montrer cette documentation aux médecins afin de les convaincre que leur produit est le meilleur. » « À l’arrivée, on finit donc par se retrouver avec une littérature biaisée ». « Plusieurs études indiquent que les essais financés par l’industrie sont de trois à cinq fois plus susceptibles de fournir des résultats favorables que ceux qui sont réalisés avec des fonds indépendants. » « Les médecins ont beau protester qu’ils sont autonomes et insensibles aux pressions extérieures ou à la publicité, toutes les études montrent que ces visites modifient leurs habitudes de prescription. » « Des documents internes d’Eli Lilly, le fabricant du célèbre antidépresseur Prozac, montrent qu’au début des années 2000 ses représentants avaient pour mission d’inciter les médecins de première ligne à établir un diagnostic de « trouble bipolaire »… et à prescrire à leurs patients son antipsychotique Zyprexa. » « Les abus sont si fréquents que la plupart des grandes pharmas doivent régulièrement répondre d’accusations de pratiques commerciales frauduleuses. En 2004, par exemple, Pfizer a accepté de payer 450 millions de dollars pour mettre fin à des poursuites engagées à son encontre aux États-Unis. » « De 2004 à 2009, Pfizer, Eli Lilly, Bristol-Myers Squibb et quatre autres compagnies ont ainsi déboursé plus de sept milliards en amendes et pénalités de toutes sortes. » « Les pharmas débordent d’imagination. L’an dernier, à l’occasion d’un procès en Australie, on a découvert que pour faire mousser les ventes de son très controversé anti-inflammatoire Vioxx, Merck avait créé un faux journal médical, publié sous le label d’Elsevier, un éditeur scientifique réputé. » « Lorsque les facultés sont massivement financées par des sociétés privées, que celles-ci s’associent à tous les évènements organisés sur les campus, le risque est grand qu’elles finissent par faire partie de l’univers mental et culturel des étudiants. » « En 2008, un article du New England Journal of Medecine a passé en revue 74 essais cliniques d’antidépresseurs. Ses conclusions sont édifiantes : 37 études positives sur 38 avaient été publiées tandis que 33 des 36 études négatives ne l’avaient jamais été, ou seulement sous une forme mettant en évidence un résultat positif. » « Une fois sur cinq, d’importantes informations concernant l’innocuité d’un médicament n’apparaissent qu’après sa mise en marché, affirmait en 2006 le Dr. Robert Peterson, directeur général de la Direction des produits thérapeutiques à Santé Canada de 2000 à 2005. » « Mais quand vient le temps de vérifier qu’ils n’ont pas d’effets indésirables, il n’y a plus d’argent ». « liens d’intérêts : pas moins de 14 millions de liens ont été répertoriés en France depuis 2012, pour un montant total de plus de 3,5 milliards d’euros versés aux professionnels de santé. »
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extraits :
« on estime que d’ici 2020, aux USA, 50 % des cancers seront induits par les médicaments ou les radiations médicales, la médecine devenant ainsi, bientôt, la principale cause de cancer » docteur ben Johnson
« Ce n’est pas le cancer, qui fait vraiment mal aux gens, statistiquement ; 42 à 46 % des patients qui ont un cancer meurent de cachexie,…, ils perdent, essentiellement toute leur masse corporelle, le reste, entre 54 et 58 % meurent des traitements. En d’autres termes, personne ne meurt du cancer. » docteur rashid Buttar
« 97 % des personnes qui subissent une chimiothérapie sont mortes, dans les cinq ans, cela a été publié en 2004 dans le journal of oncologie…..C’est tout a fait vrai encore aujourd’hui, depuis, cela n’a pu qu’empirer »
uniquement en anglais, pour l’instant
L’espérance de vie est la même dans les pays riches, que dans les pays sans médicament
« Les gens nés après 1938 ont une espérance de vie moins grande qu’avant » ( à1 mn 30)
Non seulement nous ne vivons pas plus vieux qu’autrefois, mais nous sommes de plus en plus malades
Il est exact que la mortalité infantile, en bas âge et en couche, a fortement diminué grâce à l’hygiène
mensonges et vérités de Donna R Kirsch
extrait : « voila un exemple flagrant d’une manipulation des statistiques. La plupart des gens ne réalisent pas que l’augmentation de la durée moyenne de vie est surtout le résultat de la réduction du taux de mortalité infantile. Il y a cent ans, beaucoup d’enfants mouraient à la naissance et…Si cette réduction de taux en mortalité infantile est enlevée de l’équation, l’espérance de vie a seulement augmenté de 3,7 années depuis ces derniers 100 ans ! »
Vivons-nous vraiment plus longtemps? Non, mais on le croit.
Le 14 février 2004, le professeur Dominique Belpomme, cancérologue à l’hôpital Georges-Pompidou, a confirmé sur France Inter que l’allongement de la durée de vie au-delà de soixante ans était quasiment nul et que les chiffres optimistes viennent surtout de la réduction de la mortalité néonatale et infantile, grâce aux antibiotiques et, encore une fois, à l’hygiène de vie.
Chaque année, l’Inserm nous répète que, grâce à notre médecine — la meilleure et la plus enviée du monde — l’espérance de vie progresse, la France se situant en la matière au deuxième rang mondial pour les femmes et au quatrième pour les hommes, derrière le Japon, les Pays-Bas et la Suède. Ce résultat rassurant est le fruit de manipulations statistiques servant de justification à un accroissement régulier des prélèvements sociaux, ce qui vaudrait à tout industriel un redressement fiscal, une garde-à-vue et des poursuites judiciaires.
L’espérance de vie régresse dans toute l’Europe, comme aux USA (2018)
Les Caisses de retraite peuvent se réjouir. Avant que les populations comprennent, elles auront fait de confortables profits
Les mythes de la médecine moderne : l’auguementation de la longévité humaine
les produits médicaux contribuent peu a l’augmentation de la vie humaine
Les médecins d’aujourd’hui et les infirmières devraient porter un avertissement danger pour la santé estampillé sur leurs fronts Mais il ne fait aucun doute que le médecin induit la maladie est aujourd’hui l’un des (sinon la principale cause) de la maladie dans la plupart des soi-disant pays «développés»
pharmageddon (anglais) : l’histoire d’une tragédie par le prof david Healy
L’espérance de vie aux Etats-Unis, le pays qui consomme le plus de la dernière des médicaments vitaux est en baisse rapide par rapport au reste du monde. Pour les maladies comme la schizophrénie, nous faisons maintenant 10 fois pire en termes d’espérance de vie que nous l’étions il ya 100 ans.
Les Etats-Unis dévale la liste du patrimoine mondial pour l’espérance de vie
En dépit d’être l’un des pays les plus riches du monde, l’Amérique a chuté de 11 à la 42ème place en 20 ans, selon les chiffres officiels des États-Unis.
Le taux de mortalité infantile augmente avec les vaccinations
« les pays qui exignent le plus grand nombre de vaccins tendent à avoir les taux de mortalité infantiles les plus élevés. »
Iatrogénie
maladie et morts provoqués par les médecins
La croissance de la consommation de médicaments n’est nullement corrélée avec une quelconque augmentation de la longévité
Aucun pays n’est épargné par la gangrène qui vérole le secteur de la santé. Et cela, à des niveaux divers, selon le degré de contrôle des réseaux de soins, de distribution des produits pharmaceutiques ou d’assurances maladie, mais toujours au mépris des patients et des contribuables qui financent les services publics Download the report
l’amélioration de l’espérance de vie, ne reposent que sur des mensonges et la manipulation frauduleuse des chiffres. Si notre médecine chimique était tellement performante, il y aurait de moins en moins de malades alors qu’il y en a de plus en plus.
The MD Emperor Has No Clothes: Everybody Is Sick and I Know Why (tout le monde est malade, je sais pourquoi)
« Dr. Glidden est l’un des très peu à comprendre les vérités qui donne à réfléchir que MD réalisé que la médecine constamment ne parvient pas à guérir la maladie, et qu’il provoque des quantités massives de préjudice dans le processus. En outre, il comprend que les gens partout dans le monde ceux qui continuent à s’accrocher à leurs remèdes maison culturelles vivent plus longtemps et en meilleure santé que ceux qui achètent dans des méthodes médicales modernes ! En Amérique, hispaniques survivant blancs de 2,5 ans et noirs de 8 ans – et cela n’a rien à voir avec la génétique ! Quelques médecins comprennent comment et pourquoi cela se produit. Peu de médecins ont une expérience pratique offrant des traitements non médicamenteux qui réellement aident les gens à recouvrer leur santé. Dr. Glidden fait. »
En 2012, l’espérance de vie des Français baissait. Les « grands » médias ont préféré s’abstenir d’informer sur ce phénomène historique. Il ne fait pourtant que commencer et nous affectera, à des degrés divers. Les décisions prises aujourd’hui, loin de l’enrayer, vont aggraver sérieusement le recul de la longévité française.
Les médias martèlent que l’espérance de vie ne cesse de s’allonger. Et ce grâce aux progrès de la médecine. Or l’Etat français dépense actuellement près d’un milliard d’euros par jour pour assurer les soins de la population. Malgré l’énormité de cette somme, le nombre de malades augmente et la morbidité a plus que doublé depuis 1970
L’espérance de vie en France recule
En France, l’espérance de vie à la naissance a diminué en 2015, de 0,3 an pour les hommes et de 0,4 an pour les femmes, pour s’établir respectivement à 78,9 ans et 85 ans, révèle l’Inse
États-Unis: l’espérance de vie a reculé en 2015 Ce recul est attribué à une augmentation de la mortalité résultant de la maladie d’Alzheimer, la plus grosse augmentation et de loin (+15,7%), mais aussi de pathologies cardiovasculaires (+0,9%), de maladies respiratoires chroniques (+2,7%), rénales (+1,5%), d’accidents (+6,7%), d’attaques cérébrales (+3%), du diabète (+1,9%) et des suicides (+2,3%).
L’espérance de vie recule en France Une hausse de la mortalité chez les personnes âgées
L’espérance de vie aux USA continue à chuter L’espérance de vie aux USA continue à se réduire et en 2016 elle est passée de 78.7 ans à 78.6 (2015) et cela est en fort contraste par rapport à ce qu’on observe dans les autres pays industrialisés. La donnée a été délivré par le Centers for Disease Control and Prevention qui a enregistré que les hommes vivent en moyenne jusqu’à 75.3 ans (75.5 en 2015) tandis que les femmes jusqu’à 81.2 ans (81.3 en 2015).
Grâce aux dépenses de santé les plus élevées au monde :
« L’espérance de vie aux États-Unis chute pour la troisième année consécutive »
Baisse de l’espérance de vie au Royaume-Uni et aux Etats-unis 12 / 2019 Depuis deux ans l’espérance de vie diminue aux Etats-Unis et pour la première fois cette année également au Royaume-Un
Pharmageddon (anglais) : l’histoire d’une tragèdie par le prof david Healy
L’espérance de vie aux Etats-Unis, le pays qui consomme le plus de médicaments vitaux est en baisse rapide par rapport au reste du monde. Pour les maladies comme la schizophrénie, nous faisons maintenant 10 fois pire en termes d’espérance de vie que nous l’étions il ya 100 ans.
« Ce que fait l’industrie pharmaceutique dans les affaires, c’est : pathologies, entretien et gestion des symptômes ! Ils ne sont pas dans les affaires pour soigner le cancer, Alzheimer, les maladies du coeur. parceque s’ils le faisaient, ils se metteraient eux même en dehors des affaires !… L’industrie pharmaceutique ne veut pas guérir les gens. »
BIG PHARMA : origine et histoire
BIG PHARMA vidéo : « Ces criminels ne reculent devant rien, nos vies n’ont aucune valeur »
Vidéo : « Comparée à l’industrie pharmaceutique, la Mafia est un « club philanthropique » »
prof david Healy
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http://www.actes-sud.fr/extrait.php?gencod=9782742765522
VOTRE SANTÉ
Les gens les moins bien informés sont aussi ceux qui se soumettent le plus souvent à un traitement médical. Ce sont des médecins qui ont attiré mon attention sur ce phénomène, me révélant au cours d’entretiens, dans des lettres et des confidences, l’ampleur de cet acharnement thérapeutique. On importune systématiquement les gens avec des actes médicaux qui ne leur sont d’aucune utilité. Chacun d’entre vous a déjà fait ou fera un jour l’expérience de traitements superflus.
Que le présent ouvrage ne vous trompe pas : je suis parfaitement conscient des nombreux bienfaits de la médecine, dont je souhaite moi aussi profiter. Mais ignorer le mal que peut faire la médecine sous prétexte qu’elle fait aussi beaucoup de bien ne rendrait service à personne. La plupart du temps, d’ailleurs, les personnes à l’initiative des travaux et résultats que je présente dans ce livre sont des médecins. Je partage leur avis : la médecine ne peut s’améliorer que si elle surmonte ses erreurs. Porter un regard réaliste sur la médecine permet en outre de modérer des attentes démesurées. Dans de nombreux cas, l’individu peut plus pour sa santé que la médecine moderne.
Le vieillissement de la société nous obligera à bien gérer les ressources de la médecine. En Allemagne, par exemple, aucune tranche d’âge ne connaît une croissance aussi rapide que celle des centenaires. En 2050, les soixante ans et plus représenteront un tiers de la population. Cette évolution nous offre une chance extraordinaire : celle d’améliorer, pour chacun d’entre nous, la qualité des soins médicaux. Nous ne pourrons et ne voudrons plus nous permettre de recourir à des traitements superflus, absurdes ou faisant appel à une débauche de moyens. Il n’y a aucune raison de croire qu’on doive se battre un jour pour la répartition de médicaments ou de thérapies. C’est le message positif de ce livre : les gens les mieux informés sont aussi ceux qui se soumettent le plus rarement à un traitement médical.
Jörg Blech,
Hambourg, juillet 2005.
I
LE CÔTÉ OBSCUR DE LA MÉDECINE
L’INUTILITÉ TOTALE DE NOMBREUX TRAITEMENTS
Le médecin Dierk Maass tire avec un canon laser sur un cœur battant, le transperçant de vingt à trente trous. Des nuages de fumée blanche montent de la cage thoracique du patient. Pour refermer les plaies, le professeur n’a qu’à poser son doigt sur les points d’impact. Les trous pratiqués au laser sont censés faire apparaître de minuscules vaisseaux à l’intérieur du muscle cardiaque et approvisionner le cœur malade en oxygène tout frais.
Maass, chef du centre de cardiologie de Kreuzlingen, en Suisse, annonçait il y a dix ans que le succès de cette méthode était “évident”, ajoutant que 90 % des patients n’avaient “plus aucun symptôme” ou que leur état s’était du moins “nettement amélioré*1”. A l’époque, Maass s’était présenté comme le pionnier de cette spectaculaire opération. Le chirurgien cardiothoracique originaire de Hildesheim avait reçu une standing ovation lors d’un congrès se déroulant à Paris.
Des centaines de milliers de patients avaient repris espoir, la profession était électrisée. La revascularisation transmyocardique au laser (RTML), comme on l’appelle, a également eu tôt fait de conquérir le cœur des médecins allemands. A Marbourg, Lübeck, Hambourg, Völklingen, Berlin et Fribourg, on a acheté des machines à 600 000 euros l’unité. Les docteurs, mais aussi les professeurs, se sont empressés de trouer les cœurs malades. Seules les difficultés de livraison du fabricant pouvaient freiner, provisoirement, la diffusion de la RTML.
Un jour pourtant, la revue spécialisée anglaise The Lancet a consacré un article au laser fumant. Au cours d’une étude clinique, les Anglais avaient réparti en deux groupes 188 malades du cœur. Les médecins ont fait bénéficier le premier groupe de la RTML et d’un traitement médicamenteux classique, tandis que l’autre moitié recevait uniquement des médicaments. Voici comment se portaient les sujets douze mois plus tard : ni l’électrocardiogramme après effort ni le test d’endurance ne donnaient un avantage au canon laser. On constatait au contraire de graves effets secondaires : 5 % des patients étaient morts sous le feu du laser ou immédiatement après ; au total, seuls 89 % des patients soumis à ce traitement avaient survécu un an. La situation était meilleure pour les patients du groupe témoin : 96 % d’entre eux étaient encore en vie au bout d’un an. La conclusion de cette étude publiée en 1999 était claire : “L’utilisation du procédé de la RTML ne saurait être approuvée2.”
D’autant plus que l’examen du cœur de personnes traitées a montré que le feu du laser n’avait fait apparaître aucun nouveau vaisseau sanguin – les chirurgiens avaient pris leurs désirs pour des réalités. Les appareils de RTML posent un problème de déchets dangereux à de nombreux hôpitaux allemands, rapporte Axel Laczkovics, chef du service de chirurgie cardio-thoracique du centre hospitalier universitaire Bergmannsheil de Bochum : “Les coûteux appareils encombrent aujourd’hui les caves des hôpitaux, car on ne peut pas s’en débarrasser facilement. Cela fait bien longtemps qu’on ne les utilise plus.” Pourtant, dans certaines salles d’opération, on continue de pointer le laser sur des malades qui ne se doutent de rien. Le centre de cardiologie de Kreuzlingen, lui aussi, propose toujours la RTML. Le procédé y est vendu aux assurés des caisses privées comme un “nouvel espoir3”.
Ces traitements superflus constituent le côté obscur de la médecine. Les malades viennent se placer sous la protection de la médecine moderne. Ils voient des blouses à la blancheur éclatante, des cachets de toutes les couleurs, des instruments étincelants. Mais que reçoivent-ils en échange de leur confiance ? Le New England Journal of Medicine, référence mondiale dans ce domaine, nous dit que 20 à 40 % de tous les patients sont soumis à des traitements qui ne leur sont d’aucune utilité, ou d’une utilité minime4.
Il ne s’agit pas ici des pannes, d’une jambe amputée du mauvais côté ou d’une agrafe oubliée dans le ventre du patient. Il s’agit de thérapies dont on sait, avant même d’y recourir, qu’elles sont absurdes et nuisibles. Il s’agit des escroqueries au sein du système.
Ne ressentez-vous pas parfois, vous aussi, comme un pincement ou une douleur lancinante dans le genou ? L’arthrose du genou due à l’usure des articulations est un mal très répandu, des centaines de milliers de personnes sont opérées chaque année en Allemagne. On nettoie les articulations, on lisse le cartilage. “Je suis à la fois médecin et patient, déclare William Tipton, cadre de l’Association américaine des chirurgiens orthopédistes. J’ai un genou cabossé, mais je ne ferai pas d’arthroscopie : je sais que ça ne sert à rien5.”
La médecine nous offre beaucoup de bonnes choses, mais trop de thérapies sont de parfaites impostures. C’est cette histoire que nous allons raconter ici. L’histoire de ces diagnostics, de ces prescriptions et de ces opérations dépourvus de toute nécessité sur le plan médical. Ils s’expliquent par des erreurs, de fausses conclusions – ou des intérêts financiers.
Dans le cadre de la “commercialisation totale de notre système de santé”, nous prévenait la revue Deutsches Ärzteblatt il y a des années déjà, les médecins deviennent “des mécaniciens de la santé et/ou des entrepreneurs et des commerçants6”. La raison de leurs agissements : l’idée quasi pathologique selon laquelle on pourrait guérir des malades comme on répare des voitures cabossées. “Le système est fondé sur la technique et les machines, déclare Marcus Schiltenwolf, professeur d’orthopédie de l’université de Heidelberg. Or l’homme n’est ni un objet, ni une machine.”
De nombreuses actions entreprises dans le cadre de ce marché de la réparation, qui pèse des milliards, s’avèrent n’être que du bluff. Maintes études, dont celle menée par l’Agence américaine d’évaluation technique, l’ont montré : seuls quelque 20 % des médicaments courants ont un effet assuré7. “La médecine clinique, pouvait-on lire dans The Lancet, la plus grande revue spécialisée, semble englober les quelques choses que nous savons, les quelques autres que nous croyons savoir (mais que nous ne savons probablement pas), et toutes les choses dont nous n’avons aucune idée8.”
La plupart des thérapies ne sont mises en œuvre que parce que les médecins y croient.
La chirurgie attire depuis toujours les procédés absurdes. Selon des chirurgiens du CHU de Heidelberg, qui se sont exprimés dans le Deutsches Ärzteblatt, il est difficile de justifier d’un point de vue scientifique le fait de découper les chairs et scier les os : “On ne dispose aujourd’hui de données provenant d’études randomisées* et contrôlées que pour moins de 15 % de toutes les questions que soulève la chirurgie9.” En clair, cela signifie que pour six méthodes opératoires sur sept on n’a toujours pas la preuve qu’il ne serait pas mieux de ne pas intervenir du tout.
Le manque de preuves ne signifie bien évidemment pas que la totalité des nombreuses méthodes non vérifiées ne vaut rien et est donc superflue. Mais il nous aide à comprendre comment il est possible que tant de traitements inefficaces fassent partie du répertoire de la médecine.
Avez-vous déjà eu les oreilles qui sifflent ? On estime entre 17 000 et 250 000 le nombre de gens qui, chaque année en Allemagne, sont atteints d’une perte subite de l’audition. Des milliers d’entre eux se voient administrer des perfusions de dextran en solution aqueuse, de glucocorticoïde, de narcotiques, d’hydroxyéthylamidon, d’extraits de gingko, etc. Le patient reste perfusé plusieurs heures, et peut subir cette procédure jusqu’à une dizaine de fois. Pourtant, ce traitement apparemment si élaboré est une imposture sur le plan thérapeutique. Des études ont comparé ces substances avec d’autres thérapies et des placebos : l’efficacité de ces substances n’a jamais pu être prouvée, ni même considérée comme probable10.
Bien au contraire : Johannes Köbberling, spécialiste de médecine interne à Wuppertal, nous met en garde contre le danger de mort que peuvent constituer ces perfusions. Lorsque, par exemple, le tuyau de la perfusion contient des bactéries qui passent dans le corps et, cela est déjà arrivé, provoquent un empoisonnement du sang fatal au patient. Beaucoup de thérapies par perfusion se passent pourtant très bien, ce dont on peut se réjouir, mais il y a à cela une raison toute banale : dans 70 à 90 % des cas, les symptômes de la perte subite de l’audition disparaissent tout seuls. Il n’est donc pas étonnant que les médecins fassent volontiers passer diverses substances et produits chimiques dans le corps des gens, et qu’ils justifient cette activité par les “expériences traditionnellement bonnes” qu’ils ont pu faire. La Société allemande d’oto-rhino-laryngologie propose dans une directive le recours à cette lucrative thérapie, dont on estime qu’elle rapporte chaque année à ses membres et à d’autres médecins quelque 500 millions d’euros – ce qu’elle justifie en invoquant “l’intuition” et “l’expérience personnelle11”.
Dans les hôpitaux, il est tout à fait courant de soumettre les femmes atteintes d’un cancer du sein à une intervention chirurgicale afin de leur ôter les ganglions lymphatiques situés sous les aisselles. Cette opération, qui part d’une bonne intention, est censée endiguer la maladie. Or, des études l’ont montré, elle n’a aucun effet positif sur les chances de survie. Et elle inflige aux femmes des cicatrices, ainsi que des douleurs dont de nombreux chirurgiens n’ont pas conscience. Souvent, les patientes ne peuvent plus bouger les bras comme avant. Des médecins du centre hospitalier universitaire Großhadern de l’université de Munich affirment qu’au lieu de les aider cette opération entraîne une détérioration de leur qualité de vie. Par le passé, Jutta Engel opérait elle-même les ganglions lymphatiques de ses patientes ; aujourd’hui, elle se bat pour qu’on soumette ce traitement superflu à un examen critique12.
La médecine moderne connaît une évolution paradoxale. Malgré les énormes progrès qui ont été réalisés, les gens ne sont pas en meilleure santé. La médecine a-t-elle franchi le seuil au-delà duquel ses bienfaits se changent en nuisances ? Certains chercheurs répondent par l’affirmative et nous donnent des exemples concrets : si l’on fait une comparaison au niveau mondial, l’Allemagne est un des pays qui consacrent le plus d’argent au complexe médico-industriel, or, par rapport à ceux des autres pays industrialisés, ses habitants ne sont nullement en meilleure santé que la moyenne ; au contraire, ils se situent plutôt en queue de peloton. Les Etats-Unis sont les champions du monde des dépenses ; comparés à leurs voisins canadiens, les citoyens américains subissent sept fois plus de pontages et leurs dépenses de santé sont de 75 % plus élevées. L’espérance de vie des citoyens américains est plus basse que celle des Canadiens, et les médecins américains gagnent presque le double de leurs collègues canadiens13.
Il serait naïf de croire que les arguments qui décident du sort d’un patient sont d’ordre strictement médical. Le fait que quelqu’un soit opéré, ou non, dépend beaucoup de l’endroit où il habite. Par rapport au nombre d’habitants, il y a trois fois plus d’oto-rhino-laryngologistes en exercice à Bâle que dans le canton des Grisons. La conséquence : 40 % des adultes bâlois n’ont plus leurs amygdales, alors que, dans les Grisons, ce n’est le cas que de 25 % d’entre eux. Le pourcentage de femmes à qui on a enlevé l’utérus est deux fois plus élevé en Suisse qu’en France – on ne dispose d’aucun argument médical pouvant expliquer cette différence14. Les Allemands sont les champions de la cardiologie interventionnelle : par rapport au nombre d’habitants, l’examen avec cathéter n’est jamais pratiqué aussi souvent qu’en Allemagne.
Outre le lieu de résidence, ce sont aussi les préférences du médecin consulté qui nourrissent cette médecine arbitraire. Admettons qu’un seul et même patient, qui souffre d’un mal donné, consulte plusieurs spécialistes, ils lui découvriront les maladies les plus diverses et leurs prescriptions seront complètement différentes : c’est le principe du “dis-moi qui tu consultes, et je te dirai ce que tu as” (who you see is what you get).
L’équipe de Richard Deyo, de l’université de Washington à Seattle, a étudié ce phénomène en prenant l’exemple du mal de dos : les chercheurs ont présenté à des médecins des résultats clairs et standardisés, et leur ont demandé comment ils traiteraient ces cas. Les rhumatologues, deux fois plus souvent que les autres médecins, étaient d’avis qu’il fallait faire certaines analyses en laboratoire car ils pensaient à une maladie arthritique. Les neurochirurgiens, deux fois plus souvent que les autres, préconisaient une radio du dos : selon eux, des disques intervertébraux endommagés étaient la cause du mal. Quant aux neurologues, ils plaidaient, trois fois plus souvent que leurs confrères, pour que l’on procède à une électromyographie, afin de repérer, à l’aide d’électrodes aiguilles, les nerfs ou les muscles déficients. “Si les patients sont déconcertés, qu’ils sachent bien qu’ils ne sont pas les seuls”, déclare Deyo15.
Ce manque de clarté entraîne des thérapies inappropriées. C’est ce que nous montre le destin des personnes qui souffrent du syndrome du côlon irritable et vont chez le médecin parce qu’elles se plaignent de maux de ventre, d’intestins qui gargouillent et autres douleurs caractéristiques. Eh bien, on leur enlève gaiement des organes – et, curieusement, ce ne sont jamais les mêmes. Les patients qui souffrent du syndrome du côlon irritable se font enlever l’appendice et l’utérus deux fois plus souvent que le reste de la population, quant à la vésicule biliaire, elle leur est ôtée trois fois plus souvent. On s’attaque même à leurs disques intervertébraux ; ils sont 50 % de plus à subir une opération du dos. Cette manie de l’opération n’est nullement justifiée – les gens qui souffrent de ce mal n’ont en général rien à faire sur le billard16.
Selon les calculs de Nicholas Talley, médecin à la Mayo Clinic de Rochester (Etats-Unis), l’ablation de la vésicule biliaire, que l’on fait subir sans raison à ces patients, entraîne à elle seule d’importants préjudices. Les symptômes typiques du syndrome du côlon irritable : maux de ventre, diarrhée, constipation, concernent environ 29 millions de personnes aux Etats-Unis (soit 10 % de la population en 2003). Admettons que 30 % d’entre elles (9,6 millions de personnes) aillent consulter, 8 % se voient tôt ou tard enlever la vésicule biliaire ; le nombre des ablations inutiles s’élève à 768 000. En rapportant ce chiffre aux statistiques des risques que présente l’opération, on peut voir les conséquences fatales de cette pratique : 770 personnes meurent pendant ou juste après l’opération ; 38 000 autres sont blessées en raison d’erreurs thérapeutiques. Pour Talley, il est urgent de prendre des mesures contre cette chirurgie inutile, et ce “afin de protéger les gens17”.
Les patients souffrant du syndrome du côlon irritable ne sont pas les seuls à obtenir systématiquement des diagnostics erronés. L’équipe du médecin Kaveh Shojania, de l’université de Californie à San Francisco, a exploité des rapports d’autopsie établis sur quatre décennies (entre 1959 et 1999). Dans un quart des cas, l’autopsie a révélé un diagnostic erroné. Dans 9 % des cas, le mauvais diagnostic lui-même était la cause partielle, ou parfois même exclusive, du décès18.
Certains médecins qualifient cette errance des gens dans le monde médical de “syndrome d’Ulysse”. La plus grande menace, dans ce labyrinthe, c’est l’excès de médecine. Lucian Leape, chirurgien et chercheur spécialisé en santé publique à l’université Harvard de Boston, a été l’un des premiers à décrire toute l’ampleur de la chirurgie inutile. Les chiffres varient selon la nature de l’opération et la spécialité. Dans certains domaines, ce sont 8 % des interventions qui sont inutiles, dans d’autres, on ne trouve pas moins de 86 % d’opérations non justifiées d’un point de vue médical. Dans ce cas, les chirurgiens responsables ne peuvent que provoquer des lésions ou des décès19.
Quelques années ont passé depuis l’analyse de Leape mais, selon Christian Köch, titulaire de la chaire de politique et management en matière de santé publique à l’université de Witten/Herdecke, ce problème n’est nullement résolu. “Selon le domaine, entre 15 et 50 % de toutes les interventions sont inutiles.” Le fait qu’une grande partie de la population soit systématiquement importunée par des interventions et des traitements absurdes est mis en évidence dans le rapport rédigé en 2001 par le conseil d’experts chargé de l’évaluation des développements du système de santé allemand20. On peut y lire qu’une caractéristique essentielle de ce système est d’être marqué par la dominance d’une “surabondance structurelle de soins”. Concernant le très répandu mal de dos, les experts constatent “un recours démesuré à la radiographie diagnostique ainsi qu’à des procédés thérapeutiques invasifs”. En Allemagne, on recourrait également bien trop souvent au cathéter pour traiter les malades du cœur, à la radiographie, à l’ablation des seins et à des chimiothérapies à haute dose pour les patientes atteintes d’un cancer du sein.
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http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/le-ministre-tcheque-refuse-un-60399
http://nonauxbenzodiazepines.spaces.live.com/blog/cns!DD8C37CBC595412E!596.entry
La vérité sur les compagnies pharmaceutiques
Les grandes firmes pharmaceutiques affirment faire partie d’une industrie à haut risque, mais, année après année, leurs profits les placent de très loin au premier rang toutes industries confondues.
L’industrie pharmaceutique se présente comme très innovante, mais, depuis vingt ans, seulement un tout petit nombre de ses médicaments sont réellement nouveaux et ils ne concernent que des pathologies ponctuelles, tandis que les pipelines de nouvelles molécules sont à peu près à sec. A l’inverse, la plupart des produits qu’elle commercialise en cascade ne sont que de simples copies sans intérêt de ses vieilles molécules, habillées de brevets tout neufs et centrées sur les marchés qui l’intéressent.
Contrairement à ce qu’elles prétendent et à ce que croit la plupart des gens, les grandes firmes sont devenues de pures machines commerciales qui dépensent beaucoup moins pour la recherche véritable et le développement que le marketing.
les grandes firmes recherchent moins des molécules nouvelles pour traiter des maladies, qu’elles ne promeuvent des malades pour vendre leurs molécules. Des millions de personnes normales ont ainsi été amenées à croire qu’elles souffrent de pathologies inexistantes et exagérées, telles « la préhypertension », « le désordre d’anxiété généralisée », « le dysfonctionnement érectile », « le syndrome prémenstruel dysphorique » ou « le syndrome de reflux oesophagien ».
L’industrie exerce encore une formidable influence sur la formation, l’information et les prescriptions de médicaments des médecins, à travers des réunions, conférences, journaux et publicités qu’elle finance entièrement et à travers les discours mensongers incessants de ses visiteurs médicaux.
L’industrie exerce un contrôle presque total sur l’organisation, la gestion, l’analyse, la rédaction, la publication ou non des essais cliniques de ses molécules, de sorte que la plus grande part de la recherche clinique qu’elle parraine ne produit que des résultats biaisés, qui compromettent sérieusement l’exercice de la médecine et la sécurité des malades.
En épilogue, les récentes affaires du Vioxx et des autres Coxibs, avec leur grand nombre de morts, illustrent tous les aspects les plus désolants de ces dérives de l’industrie et de l’inefficacité d’un certaine agence de réglementation.
http://www.staffsante.fr/contenus/bibliotheque/395/la-verite-sur-les-compagnies-pharmaceutiques-comment-elles-nous-trompent-et-comment-les-contrecarrer.html
http://agirpoursasante.free.fr/pages/chroniques/medecine_meilleure.html
extraits :
Le Dr Benjamin Rush, médecin de George Washington et signataire de la Déclaration d’Indépendance des États-Unis en 1776, avait prévenu:
« À moins que nous n’incluions la liberté thérapeutique dans notre Constitution, la médecine installera un jour une dictature que nous sommes incapables de concevoir pour le moment. »
Il y a un autre aspect de la fraude à très large échelle au sein d’un paquet d’industries pharmaceutiques, corruptrices jusqu’à la moelle. Cette industrie ne se contente pas seulement de corrompre des ministres, ou des personnes des instances européenne du médicament, elle ne se contante pas seulement de soudoyer des présidents d’ordre de médecin, elle ne se contente pas de faire des tests sur des orphelins pour qu’aucuns parents ne crient au scandale. C’est tout au long de la chaîne que la moisirure morale, l’état mentale MAFIEUX qui fait de cette industrie une usine pire que les cheminées des camps de concentration, car cette industrie tue un gigantesque paquet de monde par toutes ses fraudes.. et la pile de cadavres est bien supérieur au camps de la mort, même si cela vous semble impossible.
Par exemple les essaies de médicaments biaisés, trafiqués, truqués sont légion, ceci semble pas du tout connu par l’ensemble de la population qui continue à faire des dons pour des tas de recherches médicales « dites » scientifiques pour les rassurer mais mieux les plumer; ce qui semble de plus en plus scientifique: c’est l’opérandi mafieux de cette l’industrie, et là il est tant de dire stop.
Par exemple les essais cliniques biaisés de médicaments pris en dernière phase d’admission sur le marché:
Le biaisage organisé des résultats commence au moment où on remarque que le médicament est considéré comme n’étant pas plus efficace qu’un placebo — Alors la société pharmaceutique (qui parraine) biaise volontairement alors les résultats. L’essaie est étudié rétrospectivement, on remonte en arrière pour trouver une date antérieure au moment où les cobayes humains peuvent être affichés comme étant mieux portant que les cobayes humain de l’expérience prenant une pilule en sucre (ou plus le médicament). L’essaie clinique est alors remis en page on lui refait la façade pour la publication comme s’il était un essaie plus court, un test pour commencer alors qu’il a été refondu et écourté. Et les preuves accablantes de l’inefficacité sont sabordées, mises au oubliette, pouff passé au trou noir.
… voir par ici…>
One of the key early studies done on Xanax, funded by the manufacturer, Upjohn, was led by James Ballenger and published in the Archives of General Psychiatry 45 (1988): 413-22.
Psychiatrist and author Peter Breggin checked out Upjohn ads which were stating that the effects of the drug had been tallied for eight weeks. But the small print indicated Xanax had only been evaluated for four weeks.
http://www.nomorefakenews.com/archives/archiveview.php?key=1392
01 Février 2008http://www.lepoint.fr/content/france/article.html?id=221769
La mise en examen de responsables des sociétés pharmaceutiques GlaxoSmithKline et Sanofi Pasteur MSD pour « tromperie aggravée » et celle de cette dernière pour « homicide involontaire » concerne potentiellement la majeure partie de la population du pays. De 1994 à 1998, 14 millions d’adultes et sept millions d’enfants de moins de 15 ans ont été vaccinés contre l’hépatite B.
USA: un laboratoire poursuivi pour vente d’antidépresseurs pour enfantsWASHINGTON – Le gouvernement américain a déposé plainte mercredi contre le laboratoire pharmaceutique Forest qui a selon lui mis en vente des anti-dépresseurs pour enfants, contre l’avis de l’autorité régulatrice, et a payé des pots-de-vins à des médecins pour les prescrire.
(©AFP / 25 février 2009 23h27)
http://www.romandie.com/infos/news2/090225222733.z51yaq6r.asp
![]() News Target a obtenu des |
NewsTarget.com a aussi appris qu’il a été prouvé que le vaccin contre le HPV n’avait aucune valeur pour enlever le virus HPV des femmes qui avaient déjà été exposées au HPV (et qui incluent la plupart des femmes sexuellement actives), remettant ainsi en question la justification scientifique de la politique de « vacciner obligatoirement tout le monde ».
Cette histoire révèle l’évidence: le vaccin GARDASIL (de Merck, la même firm produisant le mortel vioxx) couramment administré pour le HPV peut augmenter le risque de lésions cervicales précancéreuses à un taux ALARMANT de 44,6% chez certaines femmes. Il s’avère que le vaccin peut être de loin PLUS dangereux pour la santé des femmes que de ne rien faire. Cette information révèle des détails sur une énorme fraude à la santé publique qui est pérpétrée sur le peuple américain, incluant les responsables de la FDA, les promoteurs des industries pharmaceutiques et même les gouverneurs de certains états comme le Texas. http://www.naturalnews.com/Report_HPV_Vaccine_5.html Près de 200 écolières de l’État de Victoria ont été touchées et 10 jeunes filles ont été admises à l’hôpital après évanouissement ou effondrement suite à l’injection de Gardasil. Les experts chargés de conseiller les services de santé pour la mise sur le marché de tel ou tel médicament sont presque tous salariés des laboratoires fabriquant (pour le GARDASI® les deux experts John Bosnego et Alan Show étaient des biologistes employés par le laboratoire fabriquant le vaccin). |
France:Les laboratoires Eli Lilly ont mis en place une politique de remises tarifaires sur un médicament, le dobutrex, à la CONDITION que les établissements hospitaliers achètent en même temps de la vancomycine, un antibiotique de Eli Lilly. Les hôpitaux se plaignent de la hausse de prix du dobutrex. Ainsi est mise en évidence la stratégie commerciale des laboratoires Lilly. Cette société a jusqu’en 1988 le monopole de la vente de la vancomycine. Mais, à partir de 1988, d’autres laboratoires proposent aux hôpitaux un générique de vancomycine à un prix inférieur. Afin de maintenir sa part de marché sur la vancomycine, la société Eli Lilly décide donc d’utiliser un autre marché, celui du Dobutrex,qui est lui toujours en monopole. Lilly augmente le prix du dobutrex et propose parallèlement d’accorder des remises sur ce même produit, à condition que les hôpitaux achètent sa vancomycine. Les laboratoires Lilly sont donc en position dominante sur le marché du dobutrex et abusent de cette position dominante pour imposer des achats sur le marché de la vancomycine et évincer leurs concurrents.
Car le dobutrex est indispensable, du fait de ses indications thérapeutiques et de ses propriétés pharmacologiques.
Cliquer pour accéder à cerutti.pdf
Par Byron Richards le 25 janvier 2008:Le Wall Street Journal titre maintenant
L’une des plus grandes fraudes de l’histoire des médicaments.
Les compagnies pharmaceutiques Merck et Schering-Plough en cause; dans des mauvais résultats d’essaies de médicaments contre le cholestérol ont ramassées près de 10 milliards de dollars pour la vente d’huile de serpent. Le médicament en question, Vytorin, était censé prouver qu’il pouvait réduire le risque des maladies cardiaques en diminuant l’épaisseur de la carotide. Cette nouvelle est abscente des médias??
Effectivement une nouvelle étude montre que les statines détruisent les muscles, et le coeur est un muscle?
L’industrie de la STATINE (molécule) est une machine de propagande de 20 milliards de $ par an, produisant des revenus annuels pour cette seule classe de médicaments supérieur à tous les sports professionnels américains réunis!
http://www.wellnessresources.com/newsroom/index.php/content/articles/the_statin_scam_marches_on
Médicaments dangereux (voire mortels), résultats falsifiés, sang contaminé, pollutions diverses, mensonges sur le cancer, le sida, la grippe aviaire, les hormones, les vaccinations…Sylvie SIMON indique clairement à qui profite cette désinformation et donne la parole à des chercheurs, biologistes, médecins qui tirent la sonnette d’alarme:
Fraudes MEDICALES massives au grand jour: Une société pharmaceutique corrompt des médecins pour qu’ils prescrivent des médicaments et se lancent dans un simulacre d’essais cliniques!
Cet article doit être lu par tous ceux qui s’intéressent à la façon dont l’Industrie pharmaceutique opère réellement en coulisse. Il s’agit ici d’un cas agressif de marketing ayant mal tourné avec un mélange de physiciens corrompus et médecins qui se foutent royalement des patients sur lesquels ils se font du blé, c’est de leur part un quasi total dénigrement à l’égard de la santé du patient. Des médecins ripoux… en veut-tu en voilà …
Et aussitôt c’est du business comme à l’habitude dans le giron pharmaceutiques … de la grande industrie.
Des MEDECINS qui prescrivent des médicaments d’une entreprise pharmaceutique bien déterminée touchent du fric pour éviter la concurrence d’autres firmes pharmaceutiques sur le même créneau mais tout aussi mafieuses; ainsi ces médecins étaient PAYÉ sous le label « frais de consultation » pas moins de 10.000 $.
Et quel genre de consultation font ces Médecins?
Le genre de conseil qui requiert rien d’autres que de signer en blanc…
une feuille blanche et à encaisser le chèque, bien sûr.
vous allez dire ils sont une minorité de tricheurs et bien non: ils sont des milliers de médecins ayant participé à cette cabale criminelle.
Incommensurables sommes d’argents en échange de fourger la camelote en provenance de SCHERING PLOUGH
Il y a l’industrie pourrie mais aussi un paquet de MEDECINS ripoux de chez ripoux.
Et cela il était temps de le dire
…
http://www.newstarget.com/bribery.html
Médicaments dangereux: le patient à la merci des accidents !Pour maintenir un profit élevé alors que l’innovation ne suivait plus, certains laboratoires n’ont pas hésité à sacrifier leurs principes éthiques. Scandales, fraudes scientifiques, falsifications de données, études truquées ou biaisées, documents secrets, effets secondaires minimisés, mensonges et dissimulations. Autant de pratiques qui ont coûté la vie à de nombreux patients. La confiance du public est aujourd’hui au plus bas.
http://www.tsr.ch/tsr/index.html?siteSect=300003&sid=5492505
Un très important chercheur du nom de Pearson « Trey » Sunderland III à l’Institut National de santé Américain le fameux (NIH) a été inculpé lundi de violation de la loi sur le conflit d’intérêt criminelle en omettant de divulguer des liens financiers qu’il avait avec le géant de la pharmacie rien de moins que le groupe Pfizer, les procureurs ont dit. Il a été accusé d’un délit portant sur les 285000 $ qu’il a accepté sans divulguer ces honoraires de consultation en provenannce de Pfizer! Sunderland aurait convenu avoir accepter 25000 $ par année en frais de consultation, ainsi qu’une taxe de 2500 $ pour assister à une journée de réunions avec l’entreprise, qui ont été faites entre 1997 et 2004 et cela pendant que des études étaient en cours entre le NIH et Pfizer. Selon le document d’inculpation, Sunderland avait fait un arrangement similaire pour recevoir 25000 dollars de plus par an de Pfizer au cours d’une autre étude de deux «biomarqueurs» estimés pour identifier la maladie d’Alzheimer chez les patients.http://www.newstarget.com/z021255.html
2 Septembre 2006
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À l’étranger, un énorme scandale a dénoncé la corruption organisée par les laboratoires, prouvant ainsi qu’ils sont prêts à tout pour vendre leur marchandise. En effet, en 1991, Francesco de Lorenzo, ministre italien de la santé, a touché de nombreux pots-de-vin de plusieurs laboratoires, dont SmithKline Beecham . Le Président de cette firme, qui fabrique le vaccin anti-hépatite B, a avoué avoir donné au ministre 600 millions de lires quelques mois avant que ce dernier rende la vaccination obligatoire dans son pays. Francesco de Lorenzo a été inculpé et condamné à plusieurs années de prison ferme, ainsi que Paolo Cirino Pomicino, ancien ministre du Budget, et le Pr. Duilio Poggiolini, membre influent des instances européennes du Médicament, qui fut aussi à la tête de la Direction du médicament dans son pays et Président de l’Ordre des médecins. Plus d’une soixantaine d’autres membres tout puissants du ministère de la Santé ont également été condamnés pour diverses fautes graves que le Giornale per la protezione della salute (n° 6, mars 1998) qualifi ait de « pratiques mafi euses ». Ce qui n’a pas empêché certains d’entre eux de revenir plus tard dans les coulisses des ministères. Extrait de Sylvie Simon |
Enquête pour corruption en Italiehttp://www.actions-traitements.org/spip.php?breve450&debut_brevesmemerubrique=90
Une enquête policière se concentrant sur les communications entre 30 médecins et 40 VRP du géant pharmaceutique britannique GlaxoSmithKline entre janvier 2001 et décembre 2002, suggère après interception par la police, d’e-mails, documents et communications téléphoniques que plus de 3000 médecins professionnels pourraient être impliqués dans un vaste système d’ « avantages » servant à augmenter chaque année de 7 à 8% leurs prescriptions en médicaments de GSK! Les enquêteurs estiment que les quelques 100 millions d’euros déclarés par la firme en Juin 2001 au titre d’« investissements pour la promotion des produits pharmaceutiques », auraient été en fait dépensés en cadeaux gratuits, voyages luxueux y compris, à l’attention des médecins italiens et d’autres professionnels médicaux. La police judiciaire affirme détenir la preuve d’un système national de corruption, qui aurait amené les médecins à augmenter chaque année de 7 à 8% leurs prescriptions en médicaments GSK, en contrepartie de « petits extras » genre voyage aux Caraïbes, systèmes stéréos et autres bonnes bouteilles. Dans certains cas, les médecins recevaient des enveloppes de 300 à 1000 livres, a indiqué le procureur chargé de l’enquête!
GlaxoSmithKline et fabricant belge de médicaments UCB ont donné $500.000 à $999.999 sur l’année fiscal 2006 à la fondation national de l’epilepsy, selon son rapport annuel annuel. Abbott Laboratories et une unité de Johnson & Johnson ont chacun contribué $100.000 à $499.999. Les représentants de 4 compagnies de médicaments sont représenté au board de cette fondation, de même que le patron de PhRMA Billy Tauzin. La fondation sans but lucratif pousse pour passer des lois dans plusieurs Etats qui rendraient plus difficile le passage des patients aux médicaments génériques peu coûteux.extrait du Wall Street Journal du July 13, 2007, 6:53 am:
http://blogs.wsj.com/health/2007/07/13/big-pharma-states-its-case/?mod=yahoo_hs
arrestation 2005 éxecution 2007 | L’ancien directeur de l’Administration d’Etat de l’alimentation et des médicaments en Chine, Zheng Xiaoyu, qui avait rang de ministre, a été exécuté mardi pour corruption, a annoncé l’agence Chine Nouvelle. Zheng, 62 ans (Bien: 62 ans), condamné fin mai, a été exécuté après le rejet par la Cour suprême de son appel, a précisé l’agence. Il avait été reconnu coupable d’avoir touché 6,4 millions de yuans (620.000 euros) de pots-de-vin d’entreprises pharmaceutiques. Zheng Xiaoyu avait été limogé en juin 2005 après huit ans à la tête de l’Administration de l’alimentation et des médicaments (SFDA), où il avait mis en place un système d’autorisation des médicaments particulièrement controversé. Ministre exécuté mardi pour corruption par l’industrie Pharma en Chine |
Dans le Guardian britannique du 7 février 2002, la grande éditrice d’ouvrages de santé Sarah Bosely a écrit : « Des scientifiques acceptent d’importantes sommes d’argent des compagnies pharmaceutiques pour prêter leur nom à des articles qu’ils n’ont pas écrits, recommandant de nouveaux médicaments – pratique de plus en plus courante que certains redoutent de voir menacer l’intégrité scientifique « .
John Buse, de l’Université de Caroline du Nord – qui est en liste pour devenir le prochain président de l’American Diabetes Association a averti la FDA que l’Avandia pourraient augmenter le risque de crises cardiaques chez ses utilisateurs. Il a également publiquement critiqué l’entreprise « pour manipulation de données flagrantes et sélectives», at-il dit, ce qui aurait bien fonctionné pour faire apparaître ce médicament comme plus efficace et moins dangereux qu’il ne l’est. The New England Journal de Medecine a annoncé qu’il allait publier une étude reliant Avandia à l’augmentation des problèmes cardiovasculaires. L’étude, publiée le 14 juin, a constaté que ce médicament a conduit à 43 % en plus de risques de crise cardiaque et de 64 % plus de risques de mort cardiaque.
http://www.newstarget.com/z022290.html
Et oui les français avalent n’importe quelle pilule au sens propre et figuré, quand vont ils comprendre qu’on les manipule!Le fameux trou de la sécu de 11 milliards d’euros existe-t-il vraiment ?
Voici les chiffres sont issus du rapport des comptes de la Sécu pour 2003:
7,8 milliards non reversés à la sécu sur les taxes sur le tabac
3,5 milliards non reversés à la sécu sur les taxes de l’alcool
1,6 milliard non reversés à la sécu des assurances auto pour les accidentés de la route
1,2 milliard non reversé à la sécu de la taxe sur les industries polluantes
2 milliards de TVA non reversés à la sécu
2,1 milliards de retard de paiement à la sécu pour les contrats aidés
1,9 milliard de retard de paiement par les entreprises …
20,1 milliards d’euros!!!!!!!!!!!!
entre temps…
180 dirigeants français des caisses de protection sociale ont séjourné, AUX FRAIS DE LA PRINCESSE, dans les plus luxueux hôtels de Pékin. Motif : participer à l’assemblée générale de l’association internationale de sécurité sociale qui se tenait du 12 au 18 septembre 2004, dans cette fameuse patrie des droits de l’ homme. Un millier de délégués représentaient 130 pays dont 30 Allemands, 25 Américains.
Coût du séjour des fonctionnaires de la sécurité sociale française : 700.000 euros ! ! !
La Sécu fait la bombe à Pékin Le Canard Enchaîné 22/09/04
C’est une méga-arnaque, avec médecins ripoux, ordonnances volées, et au centre, un énorme trafic de médicaments, qui pourrait porter au total sur près de 20 millions d’euros. Jeudi, la Caisse nationale d’assurance maladie (Cnam) a annoncé que la Sécurité sociale avait ouvert une enquête sur une fraude aux médicaments, achetés et remboursés en France, avant d’être revendus en Asie du sud-est, en Afrique et en Europe de l’Est.http://www.liberation.fr/actualite/societe/208807.FR.php?mode=PRINTERFRIENDLY
Un nouveau rapport révèle que des données impliquants l’insécurité de certains vaccins ont été volontairement supprimé!A.. Les fonctionnaires suppriment délibérément des données sur la sécurité des vaccins
B.. Ils sous-évaluent délibérément les effets secondaires, qui vont bien au-delà de l’autisme
C.. Ils manipulent la prévalence et la gravité de certaines maladies afin d’effrayer les parents pour promouvoir la vaccination
D.. Ils savent que les nouveaux vaccins qu’ils introduisent maintenant au Royaume-Uni ont tué des enfants avant aux Etats-Unis – Ils se gardent bien d’en avertir les parents.
C’est un scandale que les responsables de la santé sont prêts à jouer avec la santé et le bien-être des autres, leurs enfants – juste pour maintenir à niveau le taux de vaccination.
http://educate-yourself.org/vcd/vaccinedamageinfosuppressed29apr06.shtml
Pfizer, par exemple, a payé $ 430 millions en 2004 pour régler à l’amiable et éviter un procès sur des allégations selon lesquelles il avait encouragé Neurontin, un médicament anti-épileptiques, pour la douleur et les troubles bipolaires.
http://www.ahrp.org/cms/content/view/299/29/
http://www.nytimes.com/pages/business/index.html
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Amende pour la publicité illégale de son antiépileptique Neurontin (gabapentine), incitant les médecins à le prescrire dans des indications non autorisées, ce qui a porté les chiffres de vente à plus de 3 milliards par an. Le New York Times du 8 octobre nous apprend qu’une cour fédérale des Etats-Unis est en charge d’un autre procès intenté par des usagers et des tierces parties. La cour vient de rendre publics les rapports de plusieurs experts sur les essais cliniques et la stratégie commerciale de Pfizer.
12 rapports d’experts sont accessibles sur Pharmalot.
Les vaccinations figurent parmi les armes de destruction massive les plus efficaces. Les victimes du vaccin hépatite B, progressivement, rassemblent leurs forces et se regroupent. De scandales en scandales, la santé publique s’est tellement sali les mains et a tellement méprisé le citoyen qu’à l’heure actuelle, les morts qu’elle peut afficher sur son tableau de chasse dépassent ceux qu’ont pu faire les maladies naturelles. Aujourd’hui, l’ennemi passe inaperçu, il est même séduisant, de belle allure : costume cravate, blouse blanche, camisole de laboratoire ou safari suit et tee shirt brodé ONG. Dans le discours, que des bonnes intentions. On massacre mieux quand on ne voit pas le sang couler et que la proie ne s’y attend pas. Il faut que les menteurs, les souteneurs, les aboyeurs, les fossoyeurs, les soldats du peloton d’exécution, tous, soient obligés de rendre compte de leurs actes. http://www.alis-france.com/edito_530.php
En procédant à des plans visant à diffuser la peur et une science pourrie dans le monde, l’OMS vient de mettre en ligne un nouveau jeu.L’homme peut jouer à ce jeu interactif, mais il est lui même la cible d’une race de personnes: les hommes politiques et les groupes de pression politique.
Ce jeu devrait s’appeler: Créez votre propre épidémie.
THE « CREATE YOUR OWN EPIDEMIC » GAME
2007 Jan 20
Abstract:
The US Center for Science in the Public Interest is calling on organisations and researchers to sign a letter asking the US National Institutes of Health (NIH) to reveal ties to industry among scientists on its advisory committees. The centre’s « integrity in science » project is starting by targeting speakers at a national conference next month on screening for neonatal herpes.http://healthyskepticism.org/library/ref.php?id=8193
12 October 2006
Selon un rapport d’enquête publié par le Ministère de la Santé israélien, des médecins ont menées des essais illégaux et contraires à l’éthique sur des milliers de patients âgés pendant des années.
D’après le quotidien israélien Haaretz, quatre hauts responsables israéliens médecins sont accusés de mener des expériences médicales illégales sans consentement éclairé sur des personnes âgées atteintes de démence, plusieurs-ont été arrêtés. Les détails du du rapport du Bureau d’État dans leurs conclusions critiquent sévèrement les Hôpitaux impliqués ceci étant divulgués au public par une série d’enquêtes Dans Haaretz, ainsi que d’une séried’investigation TV « Fact ».http://www.ahrp.org/cms/content/view/359/29
2001: Une entreprise de biotechnologie en Pennsylvanie a demandé à la FDA l’autorisation de mener des essais par placebo sur des nourrissons nés en Amérique latine et ayant une grave maladie pulmonaire alors que de tels essais sont illégaux aux États-Unis!http://www.ahrp.org/history/chronology.php
2001: Le 4 avril Elaine Holden-Able, une infirmière retraitée et en bonne santé, a consommé d’un verre de jus d’orange, qui avait été mélangée à un complément alimentaire pour le bien de la recherche médicale. Ce cas d’expérimentation sur l’Alzheimer par la Western Université et financé par l’industrie du tabac, a tué le cobaye humain dans ce qui fut appelé une tragique erreur humaine ». »l’Office fédéral de la Human Research Protections n’a pas interrogé le personnel des hôpitaux, et a accepté pour la plupart comptant le rapport interne de l’hôpital, n’a demandé aucune pénalités, et a classé l’affaire et n’a pas mentionné la mort dans sa lettre.http://ohrp.osophs.dhhs.gov/detrm_letrs/nov01f.pdf
1999: A 18 ans, Jesse Gelsinger meurt après avoir été injectés avec 37 milliards de particules d’adénovirus dans une expérience de thérapie génique à l’Université de Pennsylvanie.http://www.ahrp.org/history/chronology.php
1995: 34 enfants mineurs de New York en bonne santé, sans aucun passé agressif tous des garçons âgés de 6 à 11 ans, ont été exposés à de la fenfluramine dans une expérience non-therapeutic à la New York State Psychiatric Institute. Les enfants ont été exposés à ce médicament neurotoxique pour enregistrer leurs réponses neurochimiques dans le but de prouver une théorie spéculative qui ferai le lien entre agression et marqueur biologique.http://www.ahrp.org/history/chronology.php
http://daudon.free.fr/page183.htmlThe Observer en septembre 2000 dans le cadre de la campagne massive de vaccination en Grande-Bretagne :
4 médecins experts du Ministère de la santé déclaraient des liens d’intérêts avec le laboratoire qui gardait dans ses tiroirs plus de 16 000 effets secondaires du vaccin Méningitec (employé en janvier 2001 à Clermont-Ferrand).
Rita Levi Montalcini (prix Nobel de médecine) avouait dans Le Généraliste:
« La recherche est un milieu redoutable. »D’autant plus redoutable que les divergences entre la science et l’éthique s’amplifient à cause du profit et des besoins économiques.
source
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En 1988, Norman Swan a remporté le prix Gold Walkley, la plus haute distinction du journalisme australien pour avoir mis à jour une importante fraude médicale sur les ondes de l’émission The Health Report qu’il anime toujours à la radio d’État australienne ABC. Il a révélé des falsifications dans les travaux de recherche de William McBride. Gynécologue vénéré, le Dr McBride s’était fait connaître en 1961. Il avait montré que la thalidomide, un anti-nauséeux pour femmes enceintes, causait des malformations congénitales. Phil Vardy, son associé de recherche au cours des années 1980, a longtemps eu des doutes sur son honnêteté scientifique sans jamais pouvoir le démontrer. Également présent à la conférence, Vardy a raconté qu’un jour, la preuve écrite est arrivée. Le Dr McBride avait trafiqué les résultats de leur plus récente publication. Vardy le savait puisqu’il avait lui-même fait les expériences. Voyant que son patron niait tout malgré les preuves, Vardy a démissionné en emportant avec lui les données incriminantes. Ce n’est que quelques années plus tard que Norman Swan a été mis en contact avec Phil Vardy et que le scandale a explosé.
14 Février, 2007
Les firmes GlaxoSmithKline (GSK), AstraZeneca et Eli Lilly et les négociants internationaux en pétrole et les constructeurs de ponts du Royaume-Uni: Mabey et Johnson SONT SOUS LA COUPE D’UNE ENQUETE pour Pots-de-vin versés au régime de Saddam Hussein en Irak dans le cadre du programme pétrole contre nourriture…
http://www.ahrp.org/cms/content/view/502/29/
29 avril 2007 19H42On viendrai de découvrir que le diabète pouvait être un facteur de la dépression, or, que lis-je dans un article du New York Times d’aujourd’hui ? ( http://www.nytimes.com/2007/04/25/business/25zyprexa.html?_r=2 ) « U.S. Wonders if Drug Data Was Accurate »: le groupe pharmaceutique Eli Lilly aurait caché que son médicament vedette, l’antipyschotique Zyprexa, aurait des effets secondaires sérieux, comme le diabète et la prise de poids ! La FDA (Food and Drug Administration), agence du médicament US, est en train d’enquêter sur le fait qu’ Eli Lilly lui aurait fourni des informations inexactes sur les effets secondaires du Zyprexa, notamment la prise de poids et le diabète. Le Zyprexa rapporte à Eli Lilly 4 Millions de dollars annuels. Ce n’est pas la première fois qu’Eli Lilly truque ses études. La même chose s’est produite pour les effets secondaires du Prozac, accusé de déclencher des comportements violents et suicidaires. James B. Gottstein, un avocat qui représente des patients a même déclaré que nombre de ses patients ont été forcés de prendre le Zyprexa contre leur volonté. Bienfaits pour la santé ? Non, empoisonnement et escroquerie,tout simplement.
http://www.naturavox.fr/Industrie-du-Medicament-Petit-dictionnaire-des-idees-recues.htm
Une amende de 704 millions de $ pour le groupe pharmaceutique suisse Serono et ses filiales américaines, accusés de fraude pour augmenter les ventes de leur médicament antisida, la Serostim.
http://www.fsa.ulaval.ca/personnel/vernag/eh/F/noir/fraudes.htm
Capital, Octobre 1996 :[SmithKline Beecham et Mérieux] ont déployé pendant des mois des trésors de persuasion, financé des études, abreuvé les pouvoirs publics de statistisques dramatisantes, aidé financièrement l’OMS (qui a fini par appeler à la généralisation à terme de la vaccination), accompagné la création d’associations scientifiques de promotion. Quête classique, pour laquelle SmithKline possédait cependant un atout de plus que son concurrent : son directeur de l’époque, Bernard Mesuré, se trouvait aussi être le président du Syndicat National des Industries Pharmaceutiques (SNIP), autrement dit le patronat des labos.
Or, le gouvernement, qui bataillait alors pour mettre en place des guides de bonne pratique (références médicales opposables) dans le cadre de la maîtrise des dépenses, avait grandement besoin du soutin du SNIP. Pendant ce temps, le SNIP accordait un soutien actif à Simone Veil sur le dossier des références médicales. Quelqu’un en doutait-il ? » source
Je pense que la médecine moderne pourrait disparaître de la surface de la terre à plus de 90% -médecins, hôpitaux, médicaments et équipements- et qu’ainsi l’effet sur notre santé serait immédiat et bénéfique».
Lorsque les médecins se sont mis en grève à Bogota, en Colombie, dans le comté de Los Angeles en Californie et en Israël, le taux de mortalité dans ces trois différentes régions a chuté considérablement. Durant leur grève d’un mois de 1973, les médecins israéliens ont réduit leurs contacts quotidiens avec les malades de 65 000 à 7000. «Le Service funèbre de Jérusalem a rapporté que le taux de mortalité chez les Israéliens avait baissé de 50% durant ce mois, et qu’il n’y avait pas eu d’autre baisse de mortalité aussi considérable depuis la dernière grève des médecins il y a vingt-ans.» Le docteur Mendelsohn termine son livre avec la conclusion inéluctable que la médecine moderne est une industrie gigantesque et lucrative qui détruit la vie humaine en essayant de guérir la maladie. Elle nous nuit avec ses abus, ses surdoses de médicaments et tous ses gadgets: «À chaque minute de chaque jour la médecine moderne va trop loin car elle aime aller trop loin.» affirme ce vétéran de la médecine.Des études basées sur des diagnostics alarmants nous apprennent qu’environ la moitié des tests de laboratoire sont inexacts car ils passent souvent d’une main à l’autre, donnant ainsi des résultats différents. Dans l’une de ses études favorites, le docteur Mendelsohn dit: «Parmi 200 personnes, 197 ont été « guéries » de leurs anomalies en répétant tout simplement le test de laboratoire» L’utilisation abusive des rayons X est largement répandue. «Des scientifiques ont prouvé que les rayons X favorisent le développement du diabète, de maladies cardiovasculaires, d’attaques d’apoplexie, de haute tension et de la cataracte. D’autres études ont démontré le lien qui existe entre la radiation et le développement de maladies comme le cancer, les altérations du sang et les tumeurs dans le système nerveux central.» Les conflits d’intérêt entrent aussi dans ce diagnostic car les médecins ont souvent des intérêts financiers dans les laboratoires.
Chronique de livres :
http://www.cam.org/~rsilver/medecinerepu.htm
Big Pharma » nous surveille
Grippe aviaire : le Tamiflu un remède pour les pigeons, une mine d’or pour Rumsfeld et Roche
La fraude à la pandémie de grippe aviaire
Géants pharmaceutiques, la première cause du déficit de l’assurance-maladie
MEDECINS CONDAMNES, PATIENTS EN DANGER GRANDE FETE DE LA LIBERTE THERAPEUTIQUE
« Big Pharma », ou la corruption ordinaire
Pneumonie atypique l’intox du siècle
Scientific fraud and the power structure of science
Tired Of The Bird or Avian Flu Yet? Some Experts Claim It’s A Hoax For Profit
THE FINANCING SHOW ME THE MONEY: WHO FUNDS WHO
The bird flu hoax Conflict of Interest? Medical Journal Changes Policy of Finding Independent Doctors to Write
La mafia pharmaceutique
Empoisonné à l’AZT fraude=MORTS
USA: Hospital Deaths from Medical Errors at 195,000 per Year.
The rotavirus vaccine was approved—and then later withdrawn from the market because it was injuring and killing people
100 Years of Medical Robbery [June 11, 2004] (100 années médicales de plumage de piegons)
Licensed to kill – facts the drug firms conceal (les faits que l’industrie a MAQUILLIES: volontairement)
Le Pentagone ressuscite le virus de la grippe espagnole
GlaxoSmithKline tried HIV drug on orphans (des enfants comme cochons d’indes de la junk sciences du SIDA!)
23.000 enfants cobayes à New-York qui n’intéressent personne (la junk sciences du SIDA!)
L’Etat de New York porte plainte contre Pharmacia et GlaxoSmithKline
WHAT KILLS more AMERICANS every year than WW2 and VIETNAM combined?
Inside abusers and large scale violation of privacy of health information!
MEDICAL RESEARCH FRAUD DOESN’T QUIT
THE MASKING AGENT: DOCTORS
‘NO PROBLEM; WE’RE FIXING IT »
Scientific Fraud and Vaccines
MEDICAL SCANDAL
CDC IS A DESPERATE AGENCY
FOLLOW THE MONEY are scientific and medical experts able to take corporate money without subtly altering their scientific and medical views?
Doctors can be paid thousands of pounds per patient by pharmaceutical companies!
Medical research ’often flawed’
Ritalin Fraud
How big Pharma caught a cold
IBM fights to suppress cancer probe
Signed confessions from corporate mass murderers.
Donors don’t realize they are fueling a lucrative business!
Making death pay.
CORRUPTION WIDESPREAD by Liz Lightfoot
Doctors Are The Third Leading Cause of Death in the US, Causing 250,000 Deaths Every Yearect…
http://robert-silverman.net/medecinerepu.htm
Une médecine répugnante Chronique de livres |
Lorsque des médecins ayant une longue expérience se mettent à écrire des livres sur les dangers que la médecine moderne représente pour notre santé, nous pouvons être sûrs qu’il se cache bien des choses malsaines sous la blouse blanche. « Confessions d’un médecin hérétique », écrit par le docteur Robert Mendelsohn, un médecin avec vingt-cinq ans d’expérience en médecine moderne, n’est qu’un des nombreux livres qui dévoilent les dessous de l’industrie médicopharmaceutique. Robert Silverman en fait ici un compte rendu bien détaillé. «Le médecin, qui était une fois notre agent guérisseur, est devenu aujourd’hui celui qui nous rend malade. La médecine moderne est allée trop loin en utilisant massivement des moyens très puissants pour traiter des cas simples, et a altéré et corrompu même la gestion des cas les plus graves.» Cette affirmation si surprenante a été faite par le docteur Robert Mendelsohn, un homme ayant pratiqué la médecine pendant vingt-cinq ans. Dans son dernier livre «Confessions d’un médecin hérétique», il dévoile les conflits d’intérêt, l’avidité, l’incompétence et la corruption qui sévissent dans les hôpitaux, et bien d’autres cauchemars qu’il a dû vivre durant sa longue carrière de médecin. En se basant sur sa propre expérience, Mendelsohn dit: «Malgré ses belles manières et la haute technologie dont ils dispose pour vous faire sentir qu’il prend soin de vous comme d’un astronaute qui se dirige vers la lune, je considère le médecin qui pratique la médecine moderne comme le plus grand danger pour la santé. Je crois que les moyens que la médecine moderne utilise pour traiter les maladies sont rarement efficaces et qu’ils sont souvent plus dangereux que les maladies qu’ils sont censés guérir. Ces dangers sont d’autant plus aggravés par l’utilisation excessive de procédures dangereuses pour traiter des maladies qui ne le sont pas. Je pense que la médecine moderne pourrait disparaître de la surface de la terre à plus de 90% -médecins, hôpitaux, médicaments et équipements- et qu’ainsi l’effet sur notre santé serait immédiat et bénéfique». L’hypothèse étonnante du docteur Mendelsohn, selon laquelle les gens seraient en bien meilleure santé si la médecine moderne disparaissait à 90%, avait été confirmée. Lorsque les médecins se sont mis en grève à Bogota, en Colombie, dans le comté de Los Angeles en Californie et en Israël, le taux de mortalité dans ces trois différentes régions a chuté considérablement. Durant leur grève d’un mois de 1973, les médecins israéliens ont réduit leurs contacts quotidiens avec les malades de 65 000 à 7000. «Le Service funèbre de Jérusalem a rapporté que le taux de mortalité chez les Israéliens avait baissé de 50% durant ce mois, et qu’il n’y avait pas eu d’autre baisse de mortalité aussi considérable depuis la dernière grève des médecins il y a vingt-ans.» Le docteur Mendelsohn termine son livre avec la conclusion inéluctable que la médecine moderne est une industrie gigantesque et lucrative qui détruit la vie humaine en essayant de guérir la maladie. Elle nous nuit avec ses abus, ses surdoses de médicaments et tous ses gadgets: «À chaque minute de chaque jour la médecine moderne va trop loin car elle aime aller trop loin.» affirme ce vétéran de la médecine. L’une des gigantesques usines médicales est la clinique de Cleveland. Un article intitulé «La merveilleuse usine médicale de Cleveland» et publié dans la revue médicale de cette clinique énumère les chiffres de production énormes de cette clinique, tout en vantant ses réalisations de l’année dernière: 2980 opérations à coeur ouvert, 1,3 millions de tests de laboratoire, 73 320 électrocardiogrammes, 7770 radiographies de tout le corps, 210 378 autres recherches radiologiques et 24 368 procédures chirurgicales. Aucune de ces procédures ne s’est avérée favorable à la guérison ou à la conservation de la santé. L’article a omis de vanter, ou même de mentionner le plus important, à savoir si cette extravagance, si chère, a vraiment aidé des gens. C’est parce que cette usine, comme tant d’autres, utilise des produits tout à fait malsains et nuisibles pour la santé. Lorsque vous allez chez le médecin, on vous considère non comme une personne qui a besoin d’aide pour guérir, mais plutôt comme un marché potentiel pour les produits de l’usine médicale. Dans des chapitres séparés sur les diagnostics, les médicaments, les interventions chirurgicales et les hôpitaux, le docteur Mendelsohn vend la mèche à propos des effets mortels de la médecine moderne. Des études basées sur des diagnostics alarmants nous apprennent qu’environ la moitié des tests de laboratoire sont inexacts car ils passent souvent d’une main à l’autre, donnant ainsi des résultats différents. Dans l’une de ses études favorites, le docteur Mendelsohn dit: «Parmi 200 personnes, 197 ont été « guéries » de leurs anomalies en répétant tout simplement le test de laboratoire» L’utilisation abusive des rayons X est largement répandue. «Des scientifiques ont prouvé que les rayons X favorisent le développement du diabète, de maladies cardiovasculaires, d’attaques d’apoplexie, de haute tension et de la cataracte. D’autres études ont démontré le lien qui existe entre la radiation et le développement de maladies comme le cancer, les altérations du sang et les tumeurs dans le système nerveux central.» Les conflits d’intérêt entrent aussi dans ce diagnostic car les médecins ont souvent des intérêts financiers dans les laboratoires.
Le grand commerce des produits pharmaceutiques Dans son chapitre «Mutilation miraculeuse» sur les médicaments, le docteur Mendelsohn nous montre comment la pénicilline, à l’origine un produit apprécié et considéré même comme miraculeux, s’est métamorphosée en quelque chose de dangereux, futile et banal à cause de son expansion et de son utilisation abusive. Le docteur Mendelsohn se souvient des résultats miraculeux de la pénicilline, développée durant les premières années de sa carrière: «Toutes les deux ou trois heures, je donnais de la pénicilline intraveineuse à des enfants souffrant des symptômes graves de la méningite bactérienne, puis je voyais des changements miraculeux se produire heure après heure. Ces enfants, qui étaient sur le point de mourir, ont repris conscience et commencé à réagir au stimulus en l’intervalle de quelques heures. Quelques jours après, ces mêmes enfants étaient debout et presque prêts à retourner chez eux.» Le docteur se souvient d’avoir vu des malades sur leur lit de mort, souffrant d’une pneumonie, plier bagage et quitter l’hôpital après avoir reçu une dose de pénicilline «Plusieurs d’entre nous avaient vraiment l’impression de vivre et de produire des miracles, mais ce même médicament, qui était une fois extrêmement bénéfique, est devenu extrêmement dangereux.» Mendelsohn explique ce changement par le fait que les médecins ont commencé à prescrire ce médicament d’une façon très abusive: «Plusieurs médecins prescrivent de la pénicilline pour des cas aussi anodins qu’un simple rhume, alors que ce médicament peut engendrer des réactions allant de la rougeur de la peau aux vomissements et diarrhées, jusqu’à la fièvre et aux chocs anaphylactiques. Chaque année, huit à dix millions d’Américains vont chez le médecin pour un simple rhume, et près de la moitié d’entre eux en sortent avec une prescription pour un antibiotique. Non seulement ces personnes sont dupées en payant pour un produit n’aidant pas vraiment à les soulager, mais elles sont également exposées aux dangers des effets secondaires et aux risques d’attraper des infections plus graves.» Il faut des fois plusieurs années pour ressentir l’impact total des effets secondaires sur la santé. Dans les années cinquante, l’hormone DES était largement prescrite pour les femmes ayant des problèmes de fertilité. «Vingt ans plus tard, nous avons découvert que cette hormone cause le cancer vaginal et des anomalies génitales chez des enfants nés de femmes prenant ce médicament durant la grossesse. En 1959, près de 500 enfants en Allemagne et 1000 autres enfants ailleurs étaient nés avec des malformations sévères parce que leurs mères avaient pris de la thalidomide, un somnifère et tranquillisant, durant les premières semaines de grossesse. En 1962, le Tripanorol, un médicament réduisant le taux de cholestérol, a été retiré du marché lorsqu’on s’est rendu compte qu’il avait engendré plusieurs effets secondaires, entre autres la cataracte.» Des désastres comme ceux ci, causés par les médicaments, se produisent chaque jour. En fait, ce sont les usines pharmaceutiques, de plus en plus puissantes, qui continuent de fournir de tels produits dangereux aux médecins, pour qu’ils aboutissent enfin dans les bouches et les corps de malades imprudents. Le docteur Mendelsohn affirme que 20 000 à 30 000 personnes par année meurent suite aux effets funestes des médicaments que leurs médecins leur avaient prescrits. Les évaluateurs les plus modestes estiment que 5% des gens qui se retrouvent dans les hôpitaux américains et anglais y sont à cause de leurs mauvaises réactions aux médicaments. «L’une des lois tacites de la médecine moderne est de prescrire rapidement un nouveau médicament avant que tous ses effets secondaires apparaissent à la surface ». Le docteur Mendelsohn décrit cette approche très précipitée des médecins en prescrivant les médicaments comme suit: «Les fabricants de médicaments et les médecins entretiennent entre eux des rapports intimes et rentables. Aux États-Unis, les fabricants de médicaments dépensent en moyenne 6000$ par année par médecin dans le but de le persuader d’utiliser leurs médicaments. Les détaillants des compagnies pharmaceutiques, en fait leurs représentants des ventes, nouent des relations amicales et rentables avec les médecins qu’ils rencontrent. Ils boivent et dînent avec eux, leur accordent des faveurs tout en leur offrant leurs échantillons de médicaments. Ce qui est déplorable dans cette affaire c’est que la plupart des informations parvenant aux médecins en ce qui concerne le dosage et l’usage abusif des médicaments proviennent des fabricants de médicaments, par l’intermédiaire du détaillant et à travers la publicité dans les magazines médicaux, alors que la plupart des informations cliniques provenant de ces sources est, elle aussi, très douteuse». Une commission d’éminents scientifiques, parmi lesquels quatre lauréats du prix Nobel, a trouvé que les tests cliniques sur les nouveaux médicaments étaient «désastreux». L’Office fédéral du contrôle pharmaceutique aux États-Unis a conclu, après une enquête, que le tiers des tests n’avait pas du tout été fait.(1) Plusieurs médicaments ont les mêmes effets secondaires que les troubles qu’ils sont censés soulager Le valium est supposé réduire l’anxiété, la fatigue et la dépression, mais en lisant la liste des effets secondaires, nous remarquons que le valium peut engendrer les mêmes effets. Eli Lilly, fondateur de la compagnie pharmaceutique du même nom, a dit une fois qu’un médicament sans effets toxiques n’en est pas un. Chaque médicament doit donc être utilisé avec prudence.
Mutilations rituelles Selon des estimations modestes, comme celles faites par un sous-comité du Congrès, environ 2,4 millions d’opérations inutiles sont faites chaque année, et qu’elles coûtent 4 milliards de dollars et 12 000 vies, soit 5% du quart de million de morts survenues après ou pendant l’opération chirurgicale chaque année aux États-Unis. Le Groupe indépendant de recherche sur la santé déclare que le nombre d’opérations inutiles dépasse les trois millions. Différentes études ont estimé le nombre d’opérations inutiles entre 11% et 13%. «Je pense, de ma part, que près de 90% des interventions chirurgicales sont une perte de temps, d’énergie, d’argent et de vies. Une étude examinant de très près des personnes que les médecins avaient décidé d’opérer a non seulement révélé que la plupart de ces personnes n’avaient pas besoin d’être opérées, mais que presque la moitié d’entre elles n’avaient même pas besoin de traitement médical.» Le docteur Mendelsohn affirme que les principales victimes des ces opérations inutiles sont les enfants et les femmes. Près de un million d’amygdalectomies sont effectuées chaque année aux États-Unis: «Mais ces opérations n’ont jamais prouvé qu’elles sont vraiment bénéfiques pour le patient» rajoute-t-il. Les hystérectomies semblent être une industrie florissante, et leur nombre total est de presque un million, mais seulement quelques-unes de ces opérations se sont avérées nécessaires. Dans six nouveaux hôpitaux de New York, 43% des hystérectomies réexaminées se sont révélées injustifiées. Les médecins ont effectué des hystérectomies sur des femmes souffrant de saignements anormaux dans l’utérus et de fortes menstruations, alors qu’elles auraient pu bénéficier d’un traitement bien meilleur pour la santé, ou ne pas en recevoir du tout.» Quant aux obstétriciens, ils sont en train de changer rapidement le processus naturel d’accouchement en une véritable procédure chirurgicale. «C’est avec une multidue de « traitements » consécutifs qu’ils dénaturent ce processus et l’ensevélissent sous la blouse de la maladie, car chaque traitement en requiert un autre pour compenser ses effets contraires. Et chose assez étrange, c’est que vous pouvez être sûr que les médecins vont s’approprier le mérite d’avoir remédier à ces effets, mais jamais ils n’admettront les désastres médicaux qui ont rendu la compensation necessaire en premier lieu». De plus en plus d’accouchements sont programmés en fonction des heures d’ouverture des hôpitaux. «Dans plusieurs hôpitaux, les accouchements « 9 à 5 » déclenchés artificiellement sont devenus la règle » Les césariennes prolifèrent comme des champignons, alors que dans le temps, lorsque le taux d’accouchements par césarienne dans un hôpital dépassait 4 ou 5%, une enquête d’envergure était immédiatement ordonnée. Le taux actuel est d’environ 25% et il n’y a pas du tout d’enquêtes. Dans certains hôpitaux, ce taux s’élève même à 50%. «C’est la recherche du profit et non le facteur humain qui expliquent la grande quantité d’opérations inutiles. Si vous éliminez toutes les opérations inutiles, la plupart des chirurgiens n’auront plus de raison d’exercer leur métier. Dans les cabinets collectifs, les chirurgiens, qui reçoivent un salaire régulier non relié au nombre d’opérations chirurgicales qu’ils font, effectuent seulement le tiers des hystérectomies et des amygdalectomies, par rapport à ceux qui sont payés pour chacune de ces opérations. «Les opérations sont souvent effectuées pour permettre aux médecins stagiaires de pratiquer Le docteur Mendelsohn a usé de son influence à trois différentes occasions pour réduire les opérations inutiles. Une fois, il a biffé une question inutile d’un questionnaire d’examen médical de routine, et le nombre d’amygdalectomies a diminué. «Comme vous pouvez vous y attendre, le président du service d’oto-rhino-laryngologie m’a appelé suite à cet incident pour me dire que je menaçais son programme d’enseignement.»
«Temples du malheur» C’est ainsi que le docteur Mendelsohn décrit les hôpitaux après y avoir passé les dernières vingt-cinq années de sa vie: «Un hôpital, c’est comme la guerre; vous devriez rester en dehors d’elle. Et si vous y entrez, tâchez d’avoir le maximum d’alliés et d’en sortir le plus rapidement possible.» Pour la somme d’argent que coûte en moyenne un séjour à l’hôpital, vous pouvez passer la même période de temps dans n’importe quel lieu de séjour dans le monde, y compris les frais de transport. C’est parce que l’hôpital est le temple de l’Église de la médecine moderne qu’il est l’un des endroits les plus dangereux au monde.» Mendelsohn explique les dangers que les hôpitaux représentent pour la santé en disant: «En général, vos chances d’attraper une infection à l’hôpital sont d’environ une sur vingt, mais ce n’est qu’une estimation modeste. La moitié des infections dans les hôpitaux sont causées par des instruments médicaux contaminés, comme les cathéters et les équipements intraveineux, alors que les infections de ce genre étaient pratiquement inexistantes avant l’utilisation massive de tels instruments aux alentours de 1965. Environ 15 000 personnes meurent chaque année suite à des infections attrapées à l’hôpital. «D’après mon expérience, un risque sur vingt devrait être la ligne de base représentant le danger minimum d’attraper une infection. J’ai vu des épidémies se répandre si rapidement dans les hôpitaux qu’il a fallu renvoyer tout le monde à la maison. Les pavillons de pédiatrie et des nouveaux-nés sont les plus susceptibles de répandre les infections.» Il n’y a pas que les microbes qui contaminent les hôpitaux. Il y a aussi tous ces produits chimiques dangereux, fournis en grandes quantités et que les médecins aiment utiliser, car les hôpitaux, comme on le sait, sont les temples de la Médecine moderne. Les médecins, ayant tous ces produits pharmaceutiques à leur dispostion, sont tenus de les utiliser, et c’est ce qu’ils font. À l’hôpital, les malades reçoivent en moyenne douze médicaments différents, et même si vous n’êtes pas bourré de médicaments jusqu’à la mort ou l’infirmité, il y a d’autres produits chimiques qui y circulent et qui peuvent affecter votre séjour et votre santé. Votre médecin peut ne pas utiliser ce genre de produits, mais n’importe qui d’autre à l’hôpital peut le faire. Tous ces solvants toxiques utilisés dans les laboratoires, ces produits de nettoyage, ces substances chimiques inflammables et ces déchets radioactifs constituent une menace de contamination pour vous.» Le docteur Mendelsohn dénonce les autres dangers qui circulent dans ces institutions: «Les hôpitaux sont de véritables modèles d’inefficacité. Ils sont tellement bourrés de petites erreurs, parmi lesquelles vous avez deux ou trois options mais finissez par faire le mauvais choix , que vous devenez extrêmement inquiét lorsque vous ouvrez grands vos yeux pour voir toutes les opportunités qui existent pour les erreurs complexes! «Tout est déboussolé dans les hôpitaux, y compris les patients. Mon frère est allé à l’hôpital pour une opération d’hernie, il y a plusieurs années déjà. Il devait être opéré à 11 heures du matin, selon les médecins. À 9 h30, je montai dans sa chambre mais il n’y était pas. Je me précipitai vers la salle d’opération car j’étais presque sûr qu’ il y était, et il y était!. Ils l’avaient pris à la place d’un autre patient et la raison pour laquelle il a échappé à cette opération est que l’autre devait subir une hystérectomie. Le docteur Mendelsohn se réfère à des études indiquant que la malnutrition est presque omniprésente dans les hôpitaux. «Si les médicaments, les microbes, les interventions chirurgicales, les substances chimiques ou les accidents ne vous affectent pas, vous avez de fortes chances de mourir de faim.» Une étude effectuée sur des malades ayant été opérés par le docteur Georges Blackburn dans un grand hôpital de Boston a révélé que la moitié de ces patients souffraient d’une malnutrition grave. Ils étaient assez mal nourris pour pouvoir guérir et durent rester à l’hôpital plus longtemps. Le docteur Mendelsohn dit à propos de cette révélation si surprenante: «Les résultats de cette étude ne sont nullement peu communs, car plusieurs autres études ont révélé que la malnutrition touche de 25 à 50% des malades dans les hôpitaux américains et britanniques. Le docteur George Blackburn a fini par avouer que la malnutrition est l’une des causes de décès les plus communes parmi les personnes âgées dans les hôpitaux.» Haut de page
Prêtres du diable Mendelsohn, qui a passé la plus grande partie de sa vie parmi les médecins, les décrit comme suit: «Je suis arrivé à la conclusion que les médecins sont malhonnêtes, corrompus, immoraux, malades, peu éduqués et carrément plus stupides que le reste de la société. Lorsque je m’apprête à rencontrer un médecin, je me vois devant une personne bornée, pleine de préjugés et vraiment incapable de raisonner et de délibérer. Très peu de médecins que j’ai rencontrés ont réussi à me prouver que ma prédiction est fausse.» La corruption règne parmi les médecins, surtout ceux qui occupent les postes les plus élevés. Mendelsohn rapporte que les doyens des facultés de médecine de Yale et Harvard travaillaient comme consultants payés pour la Corporation Squibb et, en même temps, ils essayaient de convaincre l’Office du contrôle pharmaceutique et alimentaire de lever l’embargo sur Mysteclin, l’une des plus grandes affaires lucratives pour la Corporation Squibb. Plus tard, le docteur Robert Ebert, doyen de la faculté de Harvard, devint un des directeurs payés de Squibb. «Les essais expérimentaux sur les médicaments sont très souvent falsifiés. l’Office du contrôle pharmaceutique et alimentaire a découvert que les procédures de surdosage et de sous-dosage, l’émission de rapports de tests et l’écoulement des médicaments étaient falsifiées, lorsqu’il a ouvert une enquête sur les essais pharmaceutiques expérimentaux. C’est bien évident car les médecins travaillent pour les fabricants de médicaments, et ils veulent produire des résultats qui puissent convaincre l’OCPA d’approuver le médicament.» L’un des exemples de fraude les plus frappants dans le domaine de la recherche est celui de l’Institut Sloan-Kettering à New York (Sloan aussi bien que Kettering étaient directeurs chez General Motors et Alfred Sloan avait organisé la destruction du système de tramways dans 45 villes américaines durant sa longue carrière de président de cette compagnie d’automobiles). Le docteur William Summerlin, qui travaillait dans cet institut de recherche sur le cancer, a admis avoir peint des souris pour leur donner l’apparence d’un exemple réussi de greffes de la peau. Les médecins semblent être plus malades que le reste de la société. Des estimations modestes portent le nombre des médecins souffrant de troubles mentaux aux États-Unis à 17 000 ou un sur vingt, le nombre des alcooliques à plus de 30 000 et celui des médecins toxicomanes à 3500, soit 1%. Une étude étalée sur une période de trente ans et comparant des médecins à des professionnels ayant un profil socio-économique et un niveau intellectuel similaires, a conclu que presque la moitié des médecins étaient divorcés ou malheureux dans leur vie conjugale, plus que le tiers prenait des drogues comme l’amphétamine, des barbituriques et d’autres narcotiques, et un autre tiers souffrait de troubles émotifs assez sérieux pour nécessiter au moins dix séances de thérapie chez un psychiatre. Cette comparaison a révélé que ces professionnels, qui n’étaient pas des médecins, n’étaient pas dans une si mauvaise situation. Mendelsohn affirme que c’est dans les classes sociales les plus favorisées, dont ils font partie, que les médecins tissent leurs liens de solidarité. «Ils se prennent vraiment pour l’élite de la société. Leur train de vie et leur attitude professionnelle favorisent la pensée autocratique, d’où leurs positions politiques et économiques conservatrices. La plupart des médecins sont des hommes blancs et riches, et ils sont rarement prêts à se mettre du côté des pauvres, des personnes de couleur et des femmes.»
La formation des médecins «Les tests d’admission et les politiques des facultés de médecine guarantissent que les étudiants qui s’y inscrivent seront pratiquement tous des médecins médiocres. Les tests quantitatifs, le test d’admission ainsi que les notes, généralement moyennes, passent par une personne qui ne peut pas ou qui refuse carrément de communiquer avec les gens.» «Les facultés de médecine font tout pour rendre les étudiants intelligents stupides, corrompre ceux qui sont honnêtes et rendre malades ceux qui sont sains. Ce n’est pas très difficile de rendre un étudiant intelligent stupide. Premièrement, le bureau des inscriptions fait tout pour que les professeurs aient à leur disposition des étudiants velléitaires et soumis. Après, ils leur donnent un programme d’études qui n’a pratiquement rien à voir avec la guérison ou la santé.» Les médecins cachent souvent les erreurs, mêmes les plus graves, de leurs collègues. Au Nouveau-Mexique, un chirurgien a fermé le mauvais conduit lors d’une opération de la vésicule biliaire et le patient mourut. Malgré que cette erreur fût découverte lors de l’autopsie, le chirurgien n’a pas été discipliné. On ne lui a même pas inculqué la bonne façon de faire cette opération, car il l’a refaite quelques mois plus tard en commettant la même erreur et un autre patient décéda. Encore une fois, aucune leçon. Ce n’est qu’après avoir effectué l’opération une troisième fois et tué une autre personne qu’on décida de mener une enquête suite à laquelle on lui retira sa license.» D’aucuns pourraient penser que le docteur Mendelsohn est un homme bizarre et désappointé qui a laissé libre cours à son imagination après avoir échoué dans le milieu médical. Mais ce n’est pas du tout le cas. Il est président du comité qui délivre les licenses médicales dans l’État d’Illinois, maître de conférences pour la médecine préventive et la santé communautaire à la faculté de médecine de l’université d’Illinois et détenteur de plusieurs prix d’excellence en médecine et en enseignement médical. Qu’un médecin avec son expérience et de telles références puisse écrire «Confessions d’un médecin hérétique» indique bien qu’une grande partie de la médecine moderne est une menace pour notre santé. Le docteur Serge Mongeau est un médecin hérétique d’origine québécoise et un écrivain dont les opinions ressemblent beaucoup à celles du docteur Mendelsohn. Il a écrit plusieurs livres sur la santé et la médecine, entre autres «Survivre aux soins médicaux» et «Adieu médecine, bonjour Santé». Selon lui: «C’est tout le système médical qui fait fausse route et qui est devenu contre-productif.» Les maladies créées par les médecins sont devenues épidémiques. L’obstination du corps médical à nier l’évidence et à refuser de prendre des mesures pour remédier à la situation perpétue le danger. Les horreurs perpétuées par la médecine moderne sont aggravées par le fait que celle-ci exerce un véritable monopole. Nous devons payer des thérapeutes alternatifs «illégaux » comme les sage-femmes, les homéopathes, ceux qui pratiquent la méthode du rebirth (renaissance) et d’innombrables autres guérisseurs, alors que la médecine officielle est contre-productive et massivement subventionnée. L’arrêt immédiat du monopole exercé par l’Ordre des médecins du Québec et la reconnaissance des médecins alternatifs donneront aux gens la liberté de choisir quel type de soins médicaux ils veulent.
La médecine moderne: c’est seulement une autre grande affaire Le complexe médico-industriel devient de plus en plus puissant, alors que des milliers de personnes tombent malades ou meurent suite à des maladies inventées par les médecins. L’ex-président américain, Jimmy Carter, l’a considéré comme le deuxième plus puissant cartel aux États-Unis. Les dépenses médicales concurrencent maintenant les dépenses militaires et celles consacrées à la construction de routes dans le partage du budget national. L’édition de juillet du Monde diplomatique mentionne que le capitalisme médical est une industrie florissante aux États-Unis et passe en revue des chaînes d’hôpitaux et des compagnies pharmaceutiques qui viennent d’augmenter considérablement leurs valeurs à la Bourse. C’est là la contradiction. Votre santé versus leurs profits. Respirez donc profondément et dites «Bye-bye docteur, pour votre propre santé.»
Références Confessions of a Medical Heretic, par Robert S. Mendelsohn, M.D. Warner Books, New-York. Survivre aux soins Médicaux, par le docteur Serge Mongeau, Québec/Amérique, Montréal; Médical Nemesis, Ivan Illich, Pantheon Press. (1) Confessions d’un médecin hérétique, p. 74. Haut de page Publié dans le journal Le Monde à Bicyclette, automne 1987. Par Robert Silverman. Traduction: Saloua Laridhi.
Chronique de Sylvie Simon
« On n’a pas le droit de laisser à l’industrie un pouvoir de vie ou de mort sur les patients ».
Dr Kessler – Le Quotidien du médecin -26 février 1996
Chaque année, l’Inserm nous répète que, grâce à notre médecine — la meilleure et la plus enviée du monde — l’espérance de vie progresse, la France se situant en la matière au deuxième rang mondial pour les femmes et au quatrième pour les hommes, derrière le Japon, les Pays-Bas et la Suède. Ce résultat rassurant est le fruit de manipulations statistiques servant de justification à un accroissement régulier des prélèvements sociaux, ce qui vaudrait à tout industriel un redressement fiscal, une garde-à-vue et des poursuites judiciaires.
Mais, en réalité, une autre étude de l’Inserm, réalisée en 1992 en collaboration avec le Haut Comité de Santé publique et publiée en 1996, démontre magistralement — par les chiffres — que les taux de décès des Françaises et des Français nés après 1938 sont très sensiblement supérieurs à ceux des pays voisins comme la Suède, mais aussi le Royaume-Uni et même l’Italie ! La mortalité est supérieure de 18,3 % pour les femmes et 35,5 % pour les hommes par rapport à la Suède, 6,5 % pour les femmes et 24 % pour les hommes par rapport à la Grande-Bretagne, et 6 % pour les femmes et 16,3 % pour les hommes par rapport à l’Italie.
Ces chiffres peuvent surprendre étant donné que pour les personnes nées avant 1938, ils étaient inversés, la mortalité étant largement inférieure en France que dans ces pays.
Paradoxalement, cette étude, publiée très confidentiellement aux Editions Le Monde, n’a pas fait l’objet de commentaires par les médias, ni par les pouvoirs publics. Comment ces derniers pourraient-ils, en effet, expliquer cette inversion ? Certains médecins et surtout les immunologistes pensent que ce n’est pas sans rapport avec l’apparition des vaccins obligatoires en France à partir de cette époque.
La mortalité prématurée, c’est-à-dire celle intervenant avant l’âge de soixante-cinq ans, est à l’origine de 25 % des décès annuels dans l’hexagone. Ce pourcentage est très supérieur à celui des autres pays de la Communauté européenne, excepté le Portugal. D’après l’Inserm, la mortalité pour le Français de 25 ans est le double de celle des Suédois ou des habitants du Royaume-Uni.
De même, les Grecs de 25 à 65 ans sont en meilleure santé que nous, avec des dépenses de santé très loin d’égaler les nôtres.
On peut se demander si ce triste constat est subordonné au fait que le médecin français est le champion d’Europe de la prescription de médicaments, psychotropes, anti-migraineux, hypertenseurs et antibiotiques, avec des ordonnances quatre fois plus importantes que celles de la Grande-Bretagne et six fois plus que celles de l’Allemagne et que 70 à 80 % des médicaments provoquent plus de dégâts qu’ils n’en soignent.
Quant aux antibiotiques, 80 % des souches de staphylocoques présents dans la population générale et 95 % dans les hôpitaux résistent à la pénicilline. Bien que cette résistance des microbes soit continuellement dénoncée, certains médecins continuent de prescrire des antibiotiques pour le moindre rhume et même pour la grippe alors que l’on sait qu’ils n’ont aucun effet sur les virus, souvent il est vrai à la demande pressante des patients mal informés.
Ils représentent 35 % des prescriptions pédiatriques. On considère que les nourrissons en absorbent en moyenne trois fois par an, ce qui explique pourquoi les pneumonies, les méningites et les otites sont de plus en plus nombreuses et de plus en plus graves et 65 % des enfants qui souffrent d’affections O.R.L. sont traités par des antibiotiques. Si l’on compare en pourcentage la résistance des staphylocoques en Europe, on constate qu’elle est de 0,01 % au Danemark, 0,03 % en Suède, 1,5 % en Hollande, 1,8 % en Suisse. Ce chiffre grimpe à 5,5 % en Allemagne, pour arriver à 30,3 % en Espagne et enfin 33,6 % en France (chiffres publiés par La Recherche de novembre 1998). A-t-on jamais entendu parler de médecins blâmés pour avoir abusé de ces prescriptions ? Pourtant, à long terme, elles peuvent tuer puisqu’elles induisent une antibio-résistance.
Il est évident que nous ne pouvons nier les progrès de la technologie, particulièrement en chirurgie, discipline qui a spectaculairement évolué depuis les dernières décennies. Il est aussi incontestable qu’elle sauve de nombreuses vies humaines avec des moyens bien moins traumatisants qu’autrefois. Mais les progrès de santé de ces dernières décennies doivent être davantage attribués à l’hygiène, à de meilleures conditions de vie et au recul de la pauvreté, plutôt qu’aux avancés de la médecine qui s’attribue pourtant l’exclusivité de cette amélioration. C’est ainsi qu’il est plus facile de trouver des fonds pour financer la recherche médicale ou la construction d’hôpitaux que pour commanditer l’adduction d’eau potable.
Dans une interview accordée au Généraliste le 26 octobre 1999, le Pr Norbert Gualde, chef du service d’immunologie à l’université de Bordeaux, a déclaré : « Nous n’avons pas fini avec les épidémies ». Pour lui aussi, un monde utopique, dépourvu de microbes, est difficile à imaginer. Il constate que « de façon significative, le progrès socio-économique, diminuant l’immunité acquise des populations, peut favoriser certaines infections : au Maroc, avant la vaccination contre la poliomyélite, les Français étaient vingt fois plus atteints que les Marocains ».
En 1975, le philosophe Ivan Illich avait publié aux Éditions du Seuil un ouvrage qui fit grand bruit à cette époque et qui reste plus que jamais d’actualité, La Némésis médicale. Ivan Illich constate, lui aussi, que les sociétés nanties d’un système médical très coûteux sont impuissantes à augmenter l’espérance de vie, sauf dans la période périnatale, que la multiplicité des actes médicaux est impuissante à réduire la morbidité globale et que ces actes médicaux ainsi que les programmes d’action sanitaire sont devenus les sources d’une nouvelle maladie : la maladie « iatrogène », c’est-à-dire engendrée par la médecine.
« L’infirmité, l’impuissance, l’angoisse et la maladie occasionnées par les soins professionnels dans leur ensemble constituent l’épidémie la plus importante qui soit et cependant la moins reconnue. Les mesures prises pour neutraliser la iatrogénèse continueront à avoir un effet paradoxal, elles rendront cette maladie médicalement incurable encore plus insidieuse, tant que le public tolèrera que la profession qui engendre cette maladie la cache comme une infection honteuse et se charge de son contrôle exclusif. »
Pour Illich, la somme des actes préventifs diagnostiques et thérapeutiques abaisse globalement le niveau de santé de toute la société, en réduisant ce qui précisément constitue la santé de chaque individu : son autonomie personnelle. Il prêche l’abolition d’une « prêtrise sanitaire qui impose une médecine morbide » et d’un fléau contagieux : « l’invasion médicale ».
De même, la médecine préconisée par le ministère de la Santé (ou de la maladie ?) semble impuissante à guérir, tant les maladies chroniques dont souffre un tiers des Français, que la plupart des 240 000 nouveaux cas annuels de cancer, maladie qui représente la première cause de décès, dont 35 % chez les personnes âgées de 35 à 45 ans, ce qui dément formellement les déclarations qui prétendent que si le cancer est en progression, c’est à cause de l’allongement de la durée de vie.
Entre 1970 et 1990, les cancers des poumons ont augmenté de 110 %, ceux des bronches de 75 %, des ovaires de 94 %, et du sein de 60 %. Et d’après André Aschieri, en France, les lymphomes ont grimpé de 67 % et les tumeurs du cerveau de 46 % en dix ans. (cf. La France toxique, santé-environnement : les risques cachés, Ed. La Découverte).
Si le cancer du sein a tellement augmenté, il est évident que les traitements hormonaux, contraceptifs ou de substitution, portent une immense responsabilité dans cette expansion. Une étude portant sur plus de 46 355 femmes ménopausées aux Etats-Unis au cours des années 1980-1995 et publiée par C. Schairer et coll, du National Cancer Institute dans la revue Jama (2000, vol 283, n°4, 26 janvier 2000), montre une augmentation du risque d’apparition du cancer du sein de l’ordre de 8 % chaque année lors de l’utilisation d’un œstro-progestatif (EP), soit 80 % après dix ans de traitement. De leur côté, R.K. Ross et coll signalent ces mêmes risques dans le Journal of the National Cancer Institute du 16 février 2000 (92 n°4, 328-32).
On a également constaté une inquiétante augmentation des cancers du cerveau chez les moins de 15 ans. Il serait important de considérer cette donnée comme primordiale : pourquoi, soudain, cette flambée des cancers du cerveau chez des jeunes ? La pollution de l’environnement, toujours donnée comme prétexte, contribue sans doute à cette détérioration de la santé, mais elle n’est pas suffisante pour l’expliquer, particulièrement chez les moins de 15 ans.
Aussi est-il tellement raisonnable d’écouter le credo récité par les médias qui nous invitent à toujours donner plus pour la recherche contre le cancer et qui nous cachent soigneusement que la situation n’est pas en voie d’amélioration ? Car c’est là un secret d’Etat dans tout pays dit développé. Et pour cause, si ce secret venait à être divulgué, qui donnerait encore généreusement à cette recherche officielle qui ne trouve pour ainsi dire jamais ?
De toute manière, plutôt que de guérir le cancer, n’est-il pas préférable de chercher à le prévenir grâce à des changements d’hygiène de vie ? Mais cette politique de santé, ne rapportant pas aux laboratoires, n’intéresse personne et ainsi le cancer fait toujours vivre plus de gens qu’il n’en tue.
Aussi est-il tellement raisonnable d’écouter le credo récité par les médias qui nous invitent à toujours donner plus pour la recherche contre le cancer et qui nous cachent soigneusement que la situation n’est pas en voie d’amélioration ? Car c’est là un secret d’Etat dans tout pays dit développé. Et pour cause, si ce secret venait à être divulgué, qui donnerait encore généreusement à cette recherche officielle qui ne trouve pour ainsi dire jamais ?
Notre médecine est également responsable chaque année, en France, de 15 000 morts par maladies nosocomiales — chaque année, près de 800 000 personnes sont victimes d’infections dans les hôpitaux — et de près de 20 000 décès par maladies iatrogènes. Sans compter ces « erreurs médicales », les Français sont de plus en plus malades, avec une spectaculaire et effarante augmentation de 210 % des maladies mentales et de 960 % des maladies endocriniennes (cf. enquêtes annuelles Credes/Cnam).
Pour la mortalité maternelle, nous nous situons au quinzième rang européen et au dix-huitième rang des pays industrialisés. Quant aux deux millions de handicapés physiques et mentaux, ils sont parqués dans des hôpitaux qui ne leur dispensent à haute dose que des calmants, des anesthésiants, mais pas des thérapeutiques efficaces.
Incontestablement, les dépenses de santé, qui représentent 6 % de la richesse nationale, sont l’un des secteurs productifs majeurs de l’économie française. Selon une étude du Centre de recherche, d’étude et de documentation en économie de santé, les activités de santé seraient une branche économique « comme les autres », ce qui n’est pas normal étant donné son mode de financement auquel nous participons tous, de gré ou de force. Il faut s’empresser d’ajouter que dans ce contexte, ce qu’on appelle la « santé » est essentiellement la « maladie ». La santé ne fait pas vivre les laboratoires, seule la maladie intéresse ces producteurs de consommation. Comme le signale la revue L’Ecologiste (n°1 automne 2000) : « La bonne santé porte préjudice à la rentabilité du capital. Tout sera donc fait pour s’en débarrasser ».
Sylvie Simon – Auteur, journaliste.
Etude de l’Inserm, réalisée en 1992 en collaboration avec le Haut Comité de Santé publique -Editions Le Monde
La Recherche de novembre 1998
Généraliste le 26 octobre 1999, le Pr Norbert Gualde,
La Némésis médicale – Ivan Illich – Le Seuil
La France toxique, santé-environnement : les risques cachés – La Découverte
Jama – vol 283, n°4, 26 janvier 2000
Journal of the National Cancer Institute – 16 février 2000 (92 n°4, 328-32)
L’Ecologiste (n°1 automne 2000)
« Mon médecin m’a prescrit Lipitor, et après plusieurs mois, j’ai trouvé que j’avais de la difficulté à me rappeler des noms et à venir avec le mot juste. Au dîner une fois, j’ai dit: « S’il vous plaît laissez-passer l’éléphant, » alors que je ne voulais que le pain. J’ai dit à mon mari que je pensais avoir eu un accident vasculaire cérébral. En Janvier, un ami est venu nous voir. Elle était inquiète au sujet de sa mémoire et ne pouvait pas penser à sa fille le nom sur le téléphone. Elle a aussi été le Lipitor. J’ai demandé à mon médecin de prescrire un taux de cholestérol médecine . Dans quelques semaines, j’ai été plus alerte mentalement. Mais mon ami (toujours sur Lipitor), a été dans une situation pire et la peur, elle perdrait son emploi. Son médecin lui a dit que les toubles de mémoire ne peuvent pas être due à la drogue. Elle a finalement cessé de prendre Lipitor et est maintenant beaucoup mieux « .
Cohen écrit qu’il n’a jamais entendu plus de plaintes sur les effets secondaires de Lipitor que tous les autres médicaments de sa catégorie, combiné.
Les patients prenant Lipitor – le best-seller de la médecine du cholestérol dans le monde avec 22 millions d’utilisateurs – ont commencé à poursuivre Pfizer en Juin, alléguant que la physique des effets secondaires négatifs tels que des douleurs musculaires, lésions nerveuses, des cauchemars, perte de mémoire et d’autres problèmes du système nerveux central n’ont pas été bien expliqué quand on leur a prescrit le médicament.
*de nouvelles preuves que les antidépresseurs poussent certains
utilisateurs au suicide et qu’ils n’ont pas l’efficacité qu’on leur
prête;
* la démonstration qu’une autre politique du médicament est possible et peut sauver des vies et des milliards de dollars;
* la façon dont on invente de nouvelles maladies pour nous abonner aux pilules;
* comment les agences de contrôle jouent à la roulette russe avec nos vies;
*
la constatation que le virus de la grippe aviaire est connu depuis au
moins un demi-siècle et qu’il n’a pourtant jamais provoqué la pandémie
si redoutée;
* et une foule d’autres renseignements qui pourraient vous protéger contre les dérives de l’industrie de la santé.
J.-Claude
St-Onge enseigne la philosophie au Collège Lionel-Groulx. Il détient
une maîtrise en philosophie et un doctorat en socio-économie. Il est
l’auteur de nombreux essais et membre du comité scientifique de
l’initiative luso-francophone pour l’accès au médicament et la
protection du citoyen.TABLE DES MATIÈRES
GLOSSAIRE DES SIGLES
INTRODUCTION
Antidépresseurs
Dissimulation des effets indésirables
Risque de tentatives de suicide et efficacité modeste
Un antidépresseur en cinq minutes : la dépression au Canada
De nouvelles preuves que les antidépresseurs accroissent
le risque de suicide
Un rush de sérotonine semblable à l’effet de la cocaïne
Découverte de nouveaux effets indésirables
des antidépresseurs
La pilule du bonheur ?
Un déséquilibre chimique ?
Profil de consommation et facteurs de risques
Pourquoi l’augmentation fulgurante du nombre de déprimés ?
Une épidémie ?
Des alternatives ?Brésil
Une politique du médicament au service des patients
Une loi sur les brevets pour l’accès aux médicaments
Pour soigner les maladies délaissées des pays pauvres
Complicité, collaboration, connivence et corruption
Des accusations au pénal
Les cadeaux de l’industrie influencent les prescripteurs
Créativité
Une façon particulière d’innover : comment multiplier les profits sans se fatiguer
Des trucs pour prolonger la durée de vie des brevets
Déterminants sociaux de la santé
Pauvre et malade, riche et en santé
Le taux de cholestérol moins important que le contrôle de sa vie
Erreurs médicales
Responsables de 9250 à 23750 décès évitables au Québec: 670 décès évitables attribuables aux soins reçus dans les hôpitaux
Des effets indésirables après avoir reçu son congé de l’hôpital
Essais cliniques
La jungle
Des résultats impossibles
Un territoire miné par les conflits d’intérêts
Le jargon des essais cliniques
Les variables cachées : des limites inhérentes aux essais cliniques
La confiance aveugle en la statistique
«Frais aux usagers » et conflits d’intérêts
Santé Canada en otage : un danger pour la santé
L’industrie fournit jusqu’à 70 % des fonds pour approuver les médicaments
Une mesure qui mine la confiance des scientifiques des agences de contrôle
La moitié des membres des comités d’évaluation
des agences sont en situation de conflit d’intérêts
Les préjudices causés par la déréglementation
Grippe aviaire
Le A (H5N1), menace imminente ou prétexte ?
Le Tamiflu: une véritable poule aux oeufs d’or
Gilead : une société bien branchée sur le pouvoir
Le Relenza approuvé par la FDA en dépit de l’avis
de son comité d’experts
Une menace imminente?
Le Tamiflu testé sur des patients vietnamiens
Des effets indésirables du Tamiflu
Un vaccin contre la grippe aviaire
Un projet de loi pour déresponsabiliser les sociétés
pharmaceutiques
La pandémie serait-elle en perte de vitesse ?
Homéopathie
Le triomphe du granule
Les semblables guérissent les semblables
Un produit hyper-dilué
Un mode d’action aussi mystérieux que les voies de Dieu
Les preuves cliniques
Des résultats souvent dus au hasard
Pourquoi l’homéopathie semble-t-elle marcher ?
L’effet placebo
La perte de confiance en la médecine classique
Hypertension
Une controverse traversée par des conflits d’intérêts
Un nouveau bassin de patients
Ouverture d’un marché fabuleux
Les seuils étaient déjà abaissés en 1999
Infections nosocomiales
Jusqu’à 90 000 personnes infectées dans les hôpitaux québécois
Journaux médicaux
Congédié pour avoir voulu maintenir l’indépendance du JAMC
Un nouveau journal médical indépendant
Knock
Le précurseur des inventeurs de maladies
Le marché mondial
Une industrie profitable qui traverse une mauvaise passe
Un revers de fortune ? Une conjoncture difficile
Le facteur fondamental : le ralentissement des découvertes
Marketing
Ajout de 30 % aux prix
La version officielle
Une comptabilité plus transparente
L’éducation médicale continue : une forme
de promotion déguisée
Des meneuses de claques pour mousser les ventes
Nouvelle-Zélande
Comment couper la facture des médicaments en deux et plus…
Des économies énormes
Le fonctionnement du système
Obsédés par la santé
Échapper à la condition humaine
Prix
Saut abrupt de 1000 % pour le prix d’un anticancéreux
Une nouvelle offensive de l’industrie ?
Otages des prix
L’Avastin : doublement du prix et effets
indésirables potentiellement mortels
Des médicaments miracle ?
Quelle logique derrière les prix ?
Québec dore la pilule aux fabricants de produits brevetés
Pour une politique du médicament au service du public
Une politique généreuse envers les fabricants de produits brevetés
Une autre politique du médicament est possible
Ritalin & Cie
Les psychostimulants : crises cardiaques et hallucinations
La consommation double en cinq ans
Risques cardiovasculaires et hallucinations
Des alternatives
Surconsommation
On vend des maladies
Vendre aux malades comme aux bien-portants
Les chasseurs de maladies
Les différentes figures de la surconsommation
Vieillissement, responsabilités et surconsommation
Trouble dysphorique prémenstruel
Une nouvelle maladie ou un moyen de vendre des pilules
Une longue controverse
La publicité pour le TDPM interdite en Europe
Un métier dangereux : cobaye
20 personnes contaminées par la tuberculose à Montréal
Le profit avant la vie et la sécurité.
Qui Santé Canada protège-t-il ?
Dans les laboratoires d’Anapharm
Qui est SFBC international ?
Conflits d’intérêts et personnel non qualifié
Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes
Vioxx
Des victimes plus nombreuses que celles du 11 septembre 2001
Merck ne pouvait ignorer les dangers du Vioxx
Une promotion mensongère?
Des risques d’infarctus dès les premières semaines ?
Un cours dans l’art de dissimuler
Combien de victimes ?
L’intimidation des chercheurs
La responsabilité de la FDA
Le retour du Vioxx ?
Des alternatives
Chronologie des événements
Worst Pills Best Pills
Un guide qui pourrait vous sauver la vie
Dix règles pour l’utilisation sécuritaire des médicaments
Des conseils de Consumer Reports
Liste de médicaments de Consumer Reports comportant des risques élevés
Xenical : pour maigrir
Efficacité très modeste et potentiel de toxicité inquiétant
Cher la livre
Des effets indésirables soupçonnés et inquiétants
Des effets indésirables moins graves mais gênants
Bientôt en vente libre ?
Une feuille de route désastreuse pour les anorexigènes
Moins mais mieux
Y a-t-il un pilote dans la barque de la FDA ?
Des normes insuffisantes pour la sécurité des médicaments
La roulette russe
Le Congrès blâme la FDA
L’ancien DG de Santé Canada joint sa voix au concert
Une réforme en profondeur
Zyprexa
Payé 200 fois trop cher par la RAMQ et diabète à la clé
Des médicaments reliés à des centaines de morts
La psychiatrie dans tous ses états
Influence indue du lobby pharmaceutique auprès de G.W. Bush ?
Des alternatives : former du personnel qualifiéBIBLIOGRAPHIE
NOTES
INDEX
http://www.proteinpower.com/drmike/statins/statin-disaster/
http://capitalreward.blogspot.com/2008/01/tmoignage-sur-les-effets-secondaires.html
Si vous parlez anglais svp lisez le texte original qui est beaucoup plus authentique, émotif, touchant qu’une traduction peut jamais l’être.
Voici donc le texte.
Je voudrais partager avec vous mon expérience avec les statines [une catégorie de médicaments prescrits pour réduire le taux de cholestérol]. Je m’excuse à l’avance de la longueur de mon témoignage, mais le portrait complet des conséquences de la simple prescription de cette pilule miracle nécessite une attention aux détails dans ce cas.
Ma vie fut chamboulée lors d’un examen de routine chez le médecin.
Mon résumé médical : Je suis à l’époque un homme de 56 ans, sédentaire (travail en informatique), libido normale, provenant du sud des Etats-Unis, plutôt relax comme personne. Je mesure 6 pieds, pesais 212 lbs à ce moment. Fumeur depuis des années, mais ayant un bagage génétique favorable à une longue vie. Capacité pulmonaire normale, pression sanguine de 118/65 au repos (debout et assis), tension à 64. Je ne suivais aucun régime particulier – j’avais une alimentation typique du sud. Je ne prenais aucuns suppléments non plus. J’étais généralement en bonne santé : à part quelques spasmes musculaires dans le dos, rien à signaler. Aucunes allergies, résultats d’électrocardiogramme et électroencéphalogramme normaux, composition sanguine, thyroïde et foie fonctionnant également correctement.
Mais, UN test révèle que mon niveau de triglycérides est élevé, à 287 [mg/dl]. Mon cholestérol total est 149, HDL 37, LDL 55, glucose 89.
Mon médecin me prescrit du Vytorin 20 mg . Résultat : Triglycérides 175, cholestérol total monte à 214, HDL 40, LDL descend à 139.
Ensuite, Vytorin 40mg. Résultat : Triglycérides 199, total 144, HDL 40, LDL 64.
Puis Crestor (une statine différente) 10mg. Résultat : Triglycérides 98, total 141, HDL 45, LDL 76, glucose 103.
Je mentionne à mon médecin que ma libido et mon niveau d’énergie ont baissé. Celui-ci me suggère de faire de l’exercice. Je commence donc à prendre des marches rapides de 2 1/2 miles tous les matins, activité que je maintiens toujours aujourd’hui depuis neuf mois. .
Les pertes d’énergie et de libido s’accentuent. Mon médecin me prescrit du Effexor XR 75mg (je prends toujours Crestor 10 mg).
Je me plains de nervosité anormale et de fatigue continue. Ma dose d’Effexor est augmentée à 150 mg et mon médecin me prescrit du Benztropine 1mg, Lorazepam 2mg (je prends toujours Crestor 10 mg).
Je ne perçois aucun changement. Dose d’Effexor augmentée à 225mg, Benztropine 2mg, Lorazepam 4mg (je prends toujours Crestor 10 mg).
Je commence à avoir de la douleur aux muscles et articulations. On rajoute Darvocet au cocktail pharmaceutique, ce qui aide à diminuer la douleur, mais je souffre de plus en plus de la baisse d’énergie et de libido (je prends toujours Crestor 10 mg).
Mon médecin me fait passer à Cymbalta 60 mg, Lorazepam 4mg et Darvocet (je prends toujours Crestor 10 mg).
Je commence à subir des crises d’anxiété et de panique (ce que je n’avais jamais subi en 56 ans). J’ai du annuler un voyage d’affaire parce que j’étais paniqué à l’idée de devoir prendre l’avion. J’ai pourtant pris l’avion durant toute ma vie adulte. Mon médecin ajoute Seroquill 100mg à mon mélange quotidien, augmente Cymbalta à 90mg, Lorazepam à 4mg et Darvocet (je prends toujours Crestor 10 mg).
Je ne perçois aucun changement, alors on me change encore de combinaison. Je prends maintenant Wellbutrin XL 150mg, Lorazepam 4mg et Darvocet (je prends toujours Crestor 10 mg).
Mon anxiété devient constante. Les crises de panique s’estompent, mais j’ai des sueurs, je suis faible, n’ai plus de libido, et je fais maintenant de l’insomnie. J’ai commencé à perdre l’appétit et perd rapidement du poids. Les douleurs musculaires et articulaires reviennent si j’oublie de prendre mon Darvocet. On augmente ma dose de Wellbutrin à 300mg, rajoute Aderall 30mg et commence à prendre du Ibuprofen 600mg (je prends toujours Crestor 10 mg).
Les symptômes empirent, alors je décide de changer de médecin. Le nouveau docteur arrête le traitement d’Adderall et de Wellbutrin et me prescript du Prozac 20mg et du Xanex 25mg comme remplacement. L’anxiété est maintenant intermittente, mais je continue à m’affaiblir, à maigrir, à n’avoir aucune énergie et à avoir des douleurs musculaires et articulaires. On augmente la dose du Prozac à 40 mg. Aucune amélioration.
Le nouveau médecin me donne du Paxil 20 mg. L’anxiété me prend moins souvent, mais tous les autres symptômes empirent. La dose de Paxil est augmentée à 40 mg. Mes crises d’anxiété s’évaporent presque complètement; je prends du Xanex à l’occasion pour m’aider à dormir. Par contre je me réveille toujours en sueurs et épuisé le matin venu. Ma faiblesse devient chronique et m’empêche de fonctionner normalement. En combinant ces problèmes avec une vue nouvellement embrouillée et la détérioration de ma capacité de compréhension, il est devenu impossible pour moi d’accomplir mes tâches au travail (je prends toujours Crestor 10 mg).
On m’envoie chez un psychiatre car j’ai tous les signes d’être en dépression. Le psy juge que je n’ai pas besoin de thérapie, que mes symptômes sont dus à un débalancement chimique, et me remet sur le Prozac 20 mg, remplace Xanex par Lunesta et me prescrit du Provigil 200mg. Mon anxiété revient à l’occasion; on me dit de prendre du Xanex si ça arrive. Ma capacité de compréhension semble revenir à la normale, mais je me sens de plus en plus faible et je maigris à vue d’œil. De plus mon mollet et mon pied droits deviennent régulièrement engourdis (je prends toujours Crestor 10 mg).
Ma partenaire de marche, une vendeuse de produits pharmaceutiques à la retraite, remarque que je bouette légèrement lors de nos marches. On discute de ma santé chancellante. Elle me demande si je prends des statines. Je lui réponds que je prends Crestor 10 mg. Elle veut ensuite savoir si on m’avait conseillé de prendre des suppléments de Co-Q10, vitamines B et vitamine C ; je lui réponds que non. Elle suggère que je commence à en prendre immédiatement et d’examiner la situation avec mon médecin au plus vite. Comme j’ai un rendez-vous chez le psy qui s’en vient, je décide de lui poser la question. Le psy semble d’accord avec mon amie et trouve étrange que personne ne m’ait conseillé de prendre ces suppléments. Il s’empresse toutefois de vanter les mérites de Crestor, en particulier pour la prévention de la maladie d’Alzheimer. Le psy augmente ma dose de Provigil à 300mg (je prends toujours Crestor 10 mg).
Deux jours plus tard, je m’effondre lors de notre marche matinale ; mes jambes et genoux étaient trop faibles pour me soutenir et mon pied droit est devenu paralysé. Après m’avoir reconduit chez moi de peine et de misère, mon amie me suggère de cesser de prendre Crestor (progressivement sur deux semaines, car un arrêt soudain me mettrait à risque de faire un ACV), de prendre plus du supplément CoQ10 et d’aller voir un médecin au plus vite. Je suis sensé partir en voyage d’affaire pendant 4 semaines et je ne peux vraiment pas manquer celui-ci après avoir dû annuler le dernier. Je décide quand même de suivre ses conseils. La douleur est atroce durant les 2 premières semaines ; je dois me gaver de Darvocet, hydrocodone et ibuprofen pour la soutenir. Je peux à peine marcher ou faire des tâches pourtant faciles.
Mes collègues trouvent que j’ai l’air de quelqu’un qui vient de faire une crise cardiaque. J’ai l’air mort, j’ai perdu énormément de poids, mes capacités mentales sont grandement diminuées et j’ai de la difficulté à bouger.
Les symptômes s’améliorent drastiquement au cours des 2 semaines qui suivent.
Durant mon voyage et depuis mon retour j’ai eu la chance de faire beaucoup de recherche sur internet. J’ai aussi parlé à des gens qui ont vécu une expérience similaire à la mienne avec les statines. Ce que j’ai trouvé est absolument épeurant. Des centaines et centaines d’histoires d’horreur concernant les statines. Des patients ignorants qui n’ont aucune idée que leurs symptômes (dépression, épuisement, douleurs) puissent être causés par les statines.
Après avoir partagé les résultats de mes recherches avec ma partenaire de marche, elle m’informe que les fabricants de ces médicaments sont au courant des effets secondaires de leurs produits, et qu’ils planifient même combiner les vitamines CoQ10, B et C directement avec les statines. Les compagnies pharmaceutiques commencent à peine à informer les médecins qu’ils devraient suggérer à leurs patients de prendre ces suppléments s’ils sont traités aux statines, me dit-elle. Elle m’informe aussi que ça pourrait me prendre de six mois à un an pour récupérer des effets secondaires que j’ai subis, mais que les suppléments allaient m’aider.
Dans toute cette histoire :
J’ai perdu 42 lbs, passant de 212 à 170 lbs, principalement de la masse musculaire. J’ai perdu du muscle de partout, même dans mes mains! J’ai aussi perdu environ 50% de ma force ; je ne peux plus marcher, me concentrer, réfléchir clairement.
J’ai du supporter un épuisement absolu, une libido inexistante. J’avais perdu tout appétit, j’étais dépressif, pris d’anxiété, d’insomnie et douleurs atroces.
J’ai été diagnostiqué avec et/ou traité pour de l’anxiété généralisée, de la dépression, de l’arthrite, de l’insomnie, des dysfonctions érectiles. On m’a tâté, examiné, et finalement dit que je passais par les étapes normales du vieillissement. On m’a envoyé chez le psychiatre.
Je suis passé très près de perdre mon travail.
Tout ça pourquoi? Parce qu’un nombre, une statistique était un peu élevé au goût d’un médecin et que celui-ci a décidé que je devrais prendre des statines. Statines qui, je l’ai découvert lors de mes recherches approfondies, ne contribuent en rien à la diminution de la mortalité chez ceux qui les prennent.
Je suis revenu de mon voyage d’affaire depuis 5 jours et j’ai cessé de prendre du Crestor depuis 3 semaines déjà. Je prends mes suppléments en quantité adéquate et suis une diète beaucoup plus saine.
J’ai recommencé mes marches rapides tous les matins, mais je suis ankylosé comme si c’était la première fois. J’ai retrouvé 75% de l’usage de mon pied droit et ça s’améliore de jour en jour. Je n’ai qu’une douleur occasionnelle à la jambe.
Je me sens un peu mieux chaque jour. Je récupère mes forces physiques et mentales. Je suis par contre absolument terrifié à l’idée de retourner chez mon médecin, même si c’est simplement pour vérifier mon niveau de cholestérol. Je recherche maintenant un chiropraticien pour traiter la douleur que j’ai à la jambe.
traduction automatique
Maux de tête pour Big Big Pharma
Adbuster
Pour le géant pharmaceutique Eli Lilly, les décès et les blessures ne sont que le coût de faire des affaires. Quand Zyprexa, médicaments de Lilly pour traiter la schizophrénie et le trouble bipolaire, a frappé le marché en 1996, il a été salué comme une «atypiques» – un «coffre-fort, doux psychotropes», plus efficaces que les anciens médicaments comme la Thorazine Trilafon et, sans le danger des effets secondaires. Les ventes sont grimpé en flèche Le battage bientôt a cédé la place à la réalité, comme Lilly du faire face à des vagues de procès intentés par des patients souffrant de diabète, de prise de poids massive, de pancréatite et de problèmes cardiaques.Lilly a répondu par des arrangements confortables qui a travaillé avec le Prozac, un autre blockbuster en proie à des problèmes: s’installer tranquillement costumes de cour, avec actes scellés et secret dans le cadre d’un bâillon. Tout embarrassante – ou illégale – que Lilly fait derrière des portes closes ne restent cachés à la vue du public.
Même si le gain est énorme – plus de un milliard de dollars dans des établissements à des dizaines de milliers de demandeurs – Lilly peuvent se le permettre: atypicals sont vendu dix fois plus que les anciens médicaments, de marketing et de Lilly Zyprexa machine fait son plus gros fabricant de profit, avec plus de 20 millions de clients dans le monde et en tête des ventes $ 4 milliards de dollars annuellement.Alors Lilly écrit un chèque, d’acheter le silence de la population atteinte par ses produits, puis se retourne et passe le long de coût pour le consommateur à des prix gonflés pharmacie. Tout à fait légal.
Qu’est-ce que Lilly n’a pas compter sur était un dénonciateur, un avocat et les pirates informatiques de prendre les choses en mains. Tout comme Lilly juridique du muscle a été laxiste pendant les vacances de Noël, l’un des témoins experts dans le contentieux Zyprexa contacté avocat des droits de l’homme Gottstein Jim, qui a utilisé une combinaison habile de la citation à la magie et d’action rapide pour obtenir des centaines de documents secrets à partir dans le cadre de la le sceau de la cour. Les notes, les courriels et la correspondance montrent comment la stratégie de marketing Lilly plié et brisé la loi, les études de risques défavorables caché et poussé Zyprexa non approuvés pour utilisation sur les personnes âgées et les enfants. Le Times a répété en première page des histoires, et Lilly a eu un nez stock plongée.
Revendication de « secrets commerciaux » et de propriété « techniques de merchandising,« Lilly swooped avocats sur Gottstein, la saisie des e-mails et la messagerie vocale records.Ils ont convaincu le tribunal à ordonner une injonction interdisant la distribution de ces fichiers, mais Gottstein avait déjà envoyé des disques chargés de copies numérisées d’une douzaine de militants et de journalistes à travers le pays. Lilly suivis par les disques, en essayant de mettre fin à l’escalade de la crise.
Et c’est là que les pirates viennent po Someone – encore non identifiées par Lilly – obtenu une copie, mais toute distribution remonte à eux peut mener à un mépris de la cour et de graves conséquences juridiques.Alors ils se sont tournés vers un logiciel appelé Tor, mis en place par l’Electronic Frontier Foundation. Tor est un serveur anonyme confidentialité EFF outil créé pour aider les dissidents dans les régimes totalitaires comme la Chine slip passé état de censeurs.Il est parfait pour aider les dénonciateurs Lilly se soustraire à la surveillance.Le fichier – zyprexakills.tar.gz – fait son chemin dans le cyberespace, et le tribunal a finalement jugé que Lilly ne pouvait pas bloquer les sites Internet de l’hébergement de ce fichier une fois qu’il a été librement disponible en ligne. La fuite a finalement public.
Le Zyprexa documents sont un aperçu inquiétant de la commercialisation dans l’esprit de l’une des plus grandes entreprises dans le monde, une entreprise ayant des liens étroits avec l’administration Bush (Lilly CEO Sidney Taurel siège au Conseil de sécurité de la patrie). Quand une étude a montré trois fois le risque de diabète par rapport à d’autres médicaments, Lilly simplement caché de la Food and Drug Administration, l’examen. Lilly visant la vente à la démence des patients – sans autorisation – dans une campagne baptisée «Viva Zyprexa. » Ils ont produit des représentants de minimiser les risques des drogues et, enfin, les enfants, qui Zyprexa n’a jamais été testé sur. Emails discuté de la stratégie de l’indemnisation des médecins qui prescrivent Zyprexa contre toute action en justice: «Notre expérience avec le Prozac», dit la note, « confirme l’impact et de la bonne volonté d’une telle initiative. » Les notes de révéler à l’indifférence de risque de diabète Zyprexa causes, Lilly peut-être parce que les autres comprennent la vente de drogue haut – vous l’avez deviné – médicaments pour le diabète.
Lilly est désormais confronté à un scandale qui fait boule de neige. The Times compare Zyprexa par rapport à Vioxx, l’ anti-douleur Merk retiré du marché après la divulgation de documents de la société montré caché les risques de crise cardiaque.Ex membre de la FDA Dr David Graham, qui a sonné l’alarme sur le Vioxx, a déclaré au Congrès que les neuroleptiques atypiques comme Zyprexa tuent quelques 62000 personnes par an dans les utilisations non approuvées. Une étude menée dans les Archives of General Psychiatry conclu qye les neuroleptiques atypiques ne sont pas plus efficaces que les plus anciens neuroleptiques, des médicaments moins chers, et de cinq gouvernements des États, avec d’énormes budgets pour atypicals, ont ouvert des enquêtes. Et le mois dernier, de quatre ans est mort de Rebecca Riley médicaments prescrits par un psychiatre, notamment un atypique, qui suscite des inquiétudes sur les quelque 30.000 enfants de moins de cinq ans qui prennent ces médicaments, malgré l’absence d’étude sur l’innocuité des médicaments pour les enfants.
Lilly secret opposé à son public les notes de cours, parce qu’ils pourraient «provoquer la peur injustifiée chez les patients qui les amènent à cesser de prendre leurs médicaments. » Pourtant, ce fait au cœur de la corruption de Lilly. Au-delà de risques de se cacher la drogue et de la commercialisation illégale, Big Pharma n’a pas confiance à ses clients de prendre des décisions éclairées sur leurs soins de santé. Un nombre croissant de personnes sont d’éteindre la télévision des annonces de pilules et d’explorer d’autres moyens pour faire face à leurs souffrances. Un article du New York Times a éclaté l’an dernier l’histoire de nombreuses personnes avec un diagnostic de schizophrénie qui réussissent bien avec les médicaments non-traitement. Peut-être que la solution ne se trouve pas dans une pilule, après tout?
Maintenant que se traduirait par une baisse plus rapide que Big Pharma tout scandale.
Si la volonté d’éradiquer des maladies comme le cancer est réelle et sincère, cela se fera. Sinon, tous les indicateurs sont en place pour nous dire que nous allons, à moins de 20 ans, vers une catastrophe humanitaire.
Voici une liste malheureusement non exhaustive des médicaments prouvés sans danger, selon les tests de toxicités effectués sur animaux (sur différentes espèces et sur plusieurs années), mais se révélant hautement toxiques pour les humains :
Flosint (arthrite), mortel pour les humains (8 morts), tolérance chez les rats, singes et chiens testés en laboratoire.
Zelmide (antidépresseur) sévères problèmes neurologiques pour les humains, aucun incident chez les rats et chiens testés en laboratoire.
Clioquinol (anti-diarrhéique) paralysie et cécité pour les humains, sans danger pour les rats, chiens et lapins testés en laboratoire.
Eraldin : (cœur) : mortel ou (et) cécité pour les humains, selon les scientifiques : « Aucun fâcheux effet sur les animaux de laboratoires lors des études de toxicité. »
Opren : (arthrite) mortel pour les humains (61), rien à signaler chez les singes et les autres animaux de laboratoire.
Zomax : (arthrite) mortel chez les humains (14), rien à signaler chez les singes et les autres animaux de laboratoire.
Nomifensine (antidépresseur) mortel pour les humains (sévère défaillance rénale), aucun incident sur les animaux testés en laboratoire.
Fialuridine (antiviral) mortel pour les humains (dommage irréversible du foie), sans danger pour les animaux testés en laboratoire.
Isoprotérénol (asthme) mortel pour les humains (3500 au RU), aucun incident sur les animaux testés en laboratoire.
Selacrine (diurétique) mortel pour les humains (dommage irréversible du foie), aucun incident sur les animaux testés en laboratoire.
Domperidone (nausée, vomissements), provoque chez les humains un rythme cardiaque irrégulier. Les scientifiques étaient incapables de reproduire cet effet sur des chiens même avec une dose de 70 fois la normale.
Mitoxantrone (cancer) provoque l’arrêt du cœur chez les humains. Il fut pourtant largement testés sur des chiens, qui n’ont jamais manifesté cet effet.
Carbenoxalone (ulcères gastriques) provoque l’arrêt du cœur chez les humains. Après que les scientifiques ont su ce qu’il avait fait aux gens, ils ont continué à le tester sur des rats, souris, singes, des lapins, sans jamais pouvoir reproduire le même effet.
Perhexiline (cœur) provoque une défaillance du foie, sans danger pour les animaux testés en laboratoire. Même quand ils savaient qu’ils cherchaient un type particulier de défaillance du foie, ils ne pouvaient pas le provoquer sur des animaux.
Surgam (arthrite) provoque des ulcères d’estomac chez les humains, aucun incident chez les animaux testés en laboratoire. Les ulcères sont un effet secondaire commun de beaucoup de médicaments pour soulager d’arthrite. A la mise sur le marché, les scientifiques avaient déclaré que cette fois-ci le médicamentent ne pouvait causer des ulcères, tous les tests (sur animaux) avaient été faits pour s’en prévenir.
Suprofen (arthrite) provoque une toxicité rénale pour les humains. Avant sa mise sur le marché, les chercheurs avaient commenté les essais du produit sur animaux comme : « … Excellent profil de sécurité. Aucun effet cardiaque, rénal, ou SNC (système nerveux central) rencontré sur les différentes espèces. »
Methysergide (maux de tête) provoque lésions au niveau du cœur et des reins. Les scientifiques ont été incapables de reproduire ces effets sur les animaux.
Clindamycin (antibiotique) provoque des lésions au niveau de l’intestin. Il a été testé sur des rats et des chiens chaque jour pendant un an. Ils tolérèrent des doses 10 fois plus grandes que celles qui furent prescrites pour les humains.
Linomide (sclérose en plaques) provoque des crises cardiaques pour les humains, les expériences animales n’avaient pas prédit cela.
Pemoline (hyperactivité) mortel pour les humains (dommage irréversible du foie), sans danger pour les animaux testés en laboratoire.
Eldepryl (Parkinson) provoque de l’hypertension pour les humains, cet effet secondaire n’avait pas été vu chez les animaux.
Rezulin (diabètes) mortel pour les humains (dommage irréversible du foie), sans danger pour les animaux testés en laboratoire.
Amrinone (cœur) provoque une thrombocitopénie chez les humains, c’est-à-dire un manque de cellules de sang type qui sont nécessaires à la coagulation. Les expériences animales n’avaient pas prédit cela.
Méthoxyflurane (anesthésique) provoque une toxicité rénale aiguë. Les expériences animales n’ont pas prévu la toxicité du produit sur le système rénal.
Staltor, Ananxyl, Orabilex, Métaqualone, Chloramphénicol, Stilboestrol, Flamanil, Ponderax, Primodos, Aménorone fort, Bendectin, Debendox, Préludine, Maxiton, Nembutal, Pronap, Plaxin, Phénacétine, Amydopyrine, Marzine, Réserpine, Phénindione, Méthotrexate, Uréthane, Mitotane, Cyclophosphamide, Isoniazide, Iproniazide, Kanamycine, Bismuth, Clioquinol, …
La liste de médicaments passant haut la main les prétendus tests de sécurité et toxicité sur animaux qui provoquèrent paralysie, cancers, cécité, troubles cérébraux, insuffisances rénales, troubles hépatiques, … Sur des patients humains, s’allongera tant que la vivisection continuera.
Avant la sortie sur le marché d’un nouveau médicament, des études sont conduites, pendant près de 10 ans, sur des dizaines de milliers animaux, de toutes espèces, sous le prétexte fallacieux qu’ils aident la santé humaine et animale (sic !). Si un médicament doit être retiré du marché (nocif aux humains) d’autres animaux de laboratoire sont encore torturés pour « comprendre » pourquoi le médicament incriminé fut toxique à l’espèce humaine.
Lorsqu’un médicament est suspecté nocif, il n’est pas immédiatement retiré du commerce car les laboratoires traînent les pieds en mettant en avant le fait qu’il a été prouvé inoffensif sur les animaux (« tests de sécurité » et « toxicité »). Par exemple, il fallut attendre 18 ans pour retirer le Phenphormin (diabète) alors qu’une estimation de 1000 patients mourraient chaque année d’effets secondaires.
Sans compter, que les médicaments retirés du marché occidental sont souvent toujours disponibles dans les pays du Tiers Monde ou que d’un pays à l’autre, le produit chimique ou molécule change de nom (exemple avec des scandales du Duogynom ou Clioquinol).
Quand ce charlatanisme s’arrêtera-il ? Au lieu de reconnaître une bonne fois pour toutes que le modèle animal n’est pas fiable et dangereux pour la santé humaine, les chercheurs reçoivent encore et toujours plus de subventions pour continuer les expérimentations animales.
La vérité est que la vivisection sert de couverture juridique en cas ou les familles de victimes voudraient assigner les fabricants en justice. Les juges ne condamnent pratiquement jamais les fabricants grâce à ces prétendus « tests de sécurité » conduits sur les animaux.
À propos du scandale du Clioquinol, qui provoqua pour le seul Japon une estimation de 1.000 morts et 30.000 handicapés, le Dr André Passebecq de Vence écrivit : « Les expérimentations sur animaux avaient bien été réalisées, mais que veulent-elles dire ? Comme d’habitude rien ou presque, lorsque les résultats sont transportés au niveau de l’homme. »
Source :
« Sacred cows and golden geese, the human cost of experiments on animals » des Docteurs C.R et J.S Greek.
« Expérimentation animale : honte et échecs de la médecine » d’Hans Ruesch
http://www.stopvivisection.info/article_imprime.php3?id_article=26
Publiée dans le journal Medical Hypotheses (2004)
62, 5–13
Histoire préclinique
1883 Les phénothiazines sont développées comme colorants synthétiques.
1934 Le ministère de l’agriculture américain développe les phénothiazines comme insecticides.
1949 Les phénothiazines démontrent un effet inhibant sur l’activité physique des rats.
1950 Rhône Poulenc synthétise la chlorpromazine, une phénotiazine, pour l’utiliser comme anesthésiant.
Histoire clinique : les neuroleptiques classiques
1954 Il est démontré que la chlorpromazine, commercialisée aux Etats-Unis sous la marque Thorazine, provoque chez les patients des symptômes de la maladie de Parkinson.
1955 On découvre que la chlorpromazine induit des symptômes similaires à l’encéphalite léthargique.
1959 Premiers signalements de dysfonctionnements moteurs permanents liés à la prise de neuroleptiques, par la suite nommés » dyskinésie tardive « .
1960 Des scientifiques français découvrent une réaction toxique potentiellement mortelle aux neuroleptiques, par la suite nommée syndrome malin des neuroleptiques.
1962 Le département d’hygiène mentale de Californie établit que la chlorpromazine, parmi d’autres neuroleptiques, prolonge la durée moyenne d’hospitalisation.
1963 Une étude de six semaines menée par le National Institute of Mental Health (NIMH, Institut National de Santé Mentale, Etats-Unis) conclut à l’innocuité des neuroleptiques et à leur efficacité dans le traitement de la schizophrénie.
1964 On découvre que les neuroleptiques nuisent aux capacités d’apprentissage chez les animaux et chez les êtres humains.
1965 Une étude menée après un an de suivi par le NIMH démontre que les patients traités par les neuroleptiques sont davantage susceptibles d’être hospitalisés à nouveau que les patients sous placebo.
1968 Dans le cadre d’une étude sur le sevrage des neuroleptiques, le NIMH découvre que les taux de rechute augmentent à proportion du dosage : plus la dose prise par les patients est élevée, plus les risques de rechute sont importants après sevrage.
1972 La dyskinésie tardive est mise en relation avec la maladie de Huntington, ou « lésions cérébrales postencéphaliques « .
1974 Une équipe de chercheurs de Boston signale que les taux de rechute étaient inférieurs avant la période de traitement par les neuroleptiques, et que les patients traités par neuroleptiques sont plus susceptibles d’être dépendants socialement.
1977 Une étude randomisée du NIMH, comparant un groupe de patients schizophrènes sous traitement neuroleptique à un autre groupe de patients sous placebo a permis d’établir que seuls 35% des patients sans traitement rechutaient dans l’année suivant leur sortie d’hôpital, alors que 45% des patients sous neuroleptiques rechutaient dans l’année.
1978 Le Dr Maurice Rappaport, ancien président de la California Psychiatric Society, a signalé de bien meilleurs résultats au terme de trois ans de soins chez les patients qui n’étaient pas sous traitement neuroleptique. Seuls 27% des patients sans traitement médicamenteux rechutaient dans les trois ans suivant leur sortie d’hôpital, comparé aux 62% des patients sous traitement médicamenteux.
1978 Une équipe de chercheurs canadiens a décrit les changements induits par les neuroleptiques dans le cerveau qui rendent les patients plus vulnérables à la rechute – ceux-ci ont été baptisés » psychose ultra sensible induite par les neuroleptiques « .
1978 Il est prouvé que les neuroleptiques sont à l’origine d’une perte cellulaire de 10% dans les cerveaux des rats.
1979 Il est démontré qu’entre 24 et 56% des patients traités par neuroleptiques développent une dyskinésie tardive.
1979 On découvre que la dyskinésie tardive est associée à une détérioration cognitive.
1979 Le Dr Loren Mosher, directeur du département d’études sur la schizophrénie au NIMH, signale des résultats supérieurs, à un an et à deux ans, des patients traités sans neuroleptiques dans sa clinique de Soteria.
1980 Des chercheurs du NIMH ont découvert que les patients sous traitement neuroleptique qui ne rechutaient pas souffraient d’un taux de retrait émotionnel supérieur. Par ailleurs, ils ont établi que les neuroleptiques n’amélioraient pas les capacités sociales des patients sous neuroleptiques.
1982 On découvre que les traitements anticholinergiques utilisés pour contrer les symptômes parkinsoniens induits par les neuroleptiques sont source de détérioration cognitive.
1985 Le lien entre l’akathisie provoquée par les psychotropes et les suicides est établi.
1985 Le lien entre l’akathisie provoquée par les psychotropes et les homicides commis avec violence est mis en avant.
1987 Des chercheurs établissent que la dyskinésie tardive est associée à une aggravation des symptômes négatifs de la schizophrénie, à des difficultés à marcher et à parler, à une détérioration psychosociale et à une perte de mémoire. Ils en concluent que la dyskinésie tardive est un trouble moteur dont les symptômes sont proches de la démence.
1992 L’Organisation Mondiale de la Santé indique que l’évolution des personnes schizophrènes est bien meilleure dans les pays en voie de développement, où seuls 16% des patients sont maintenus sous neuroleptiques en permanence. L’OMS conclut que vivre dans un pays développé est un indicateur significatif du fait qu’un patient ne se rétablira jamais totalement.
1992 Les chercheurs reconnaissent l’existence d’une pathologie identifiable, causée par les neuroleptiques, qu’ils appellent syndrome neuroleptique. Outre la maladie de Parkinson, l’akathisie, le retrait émotionnel et la dyskinésie tardive, les patients sous traitement neuroleptique souffrent d’un risque plus important de cécité, de caillots sanguins mortels, d’arythmie, de coups de chaleur, de gonflement des seins, d’écoulement des seins, d’impuissance, d’obésité, de dysfonctionnements sexuels, de troubles sanguins, d’éruptions cutanées, de convulsions et de mortalité précoce.
1994 On découvre que les neuroleptiques causent une hypertrophie de la région caudale du cerveau.
1994 Une équipe de chercheurs de Harvard conclut, dans un rapport, que l’évolution de la schizophrénie chez les américains a empiré ces vingt dernières années et que la situation n’est pas meilleure aujourd’hui que dans les premières décennies du vingtième siècle.
1995 Le taux de rechute des patients schizophrènes sous traitement neuroleptique, dans les deux années suivant la sortie d’hôpital, est supérieure à 80%, ce qui est un taux beaucoup plus élevé qu’à l’époque où les patients n’étaient pas traités par neuroleptiques.
1995 Il est signalé que la qualité de vie des patients sous traitement est très médiocre.
1998 Des études d’IRM montrent que les neuroleptiques causent une hypertrophie du putamen, du noyau caudé et du thalamus, associée à une plus grande sévérité des symptômes tant négatifs que positifs.
1998 Il est prouvé que l’usage de neuroleptiques peut causer une atrophie du cortex cérébral.
1998 Des chercheurs de Harvard concluent que l’usage des neuroleptiques produit un stress oxydant, à l’origine des dégâts neuronaux observés dans le cerveau.
1998 Un traitement de deux neuroleptiques ou plus accroît le risque de mort prématurée.
2000 Les neuroleptiques sont associés à la formation de caillots sanguins mortels.
2003 Les neuroleptiques de deuxième génération sont à l’origine d’un risque plus grand d’obésité, d’hyperglycémie, de diabète et de pancréatite.
connaissez vous le zyban, mon frére la pris il y a 2 ans pour arréter de fumer et il a eu de gros problème d’allucination et d’agréciviter, à la suite de ça il a été hospitalisé de force par les autorité pendant 2 mois. Et a sa sortie il a eu de gros probléme de dépréssion, d’orticaire et oedème au niveau du visage. Il a eu un traitement de 6 mois pour une dépréssion et aprés ça on la laisser se débrouiller seul il n’a pas eu de suivi par les medcins. Dans son premier délire il sait sauver par son balcon car il voyait des gens qui le poursuivait et lui voulais du mal .ça il me la raconter lors de son hospitalisation c’était terrible ce qu’il a vécu je ne rentre pas dans les détails car c’est trop étrange.J’ai eu beaucoup de peine pour mon frére car c’est mon ainé et pour moi c’était quelqu’un de fort et je ne voulais pas croire qu’il avait un problème, de plus il me paraisait tout a fait revenu à la raison alors je me suis dit qu’il avait subi les effet indésirable du zyban et que c’était fini.Malheureusement aprés l’arrét de son traitement il y a eu les symptomes qui sont revenu et il a essayer de lutter seul contre ces allucinations et un soir il s’est réfugier chez ma mére qui m’a appelé car mon frére tenait des propos incohérant et était térrifier, alors on l’a rassurer et j’ai appelé de mon coté l’hopital en leur décrivant ses symptomes alors ils m’ont dit qu’il ne pouvait rien faire que c’était a nous de l’amener,mais étant dans son délire il avait peur et ne voulait pas sortir, alors avec ma mére et mon aautre frére nous décidions de le laisser dormir tranquilement chez ma mére car il se sentais rassurer prés de nous .Et nous voulions le faire interner le lendemain matin mais on n’a pas eu le temps car en pleine nuit il s’est réveillé en hurlant et en appelant à « aide moi maman » » il avait 43 ans et on aurait dit un enfant qui avait trés peur malheureusement il ne reconnaisait pas ma mére qui m’a apelé et quand je suis arivée il s’est mis a hurlé comme une bête ça ma fait peur mais en fait lui avait plus peur de moi et me reconnaissait pas et la j’ai compris que son délire recommençait et qu’il nous voyait comme des personnes qui voulais l’agresser, alors il a fait comme la premiére fois il s’est sauver par le balcon mais malheureusement ma mére habite au 6ème étage alors que lorsqu’il a fait ça chez lui il habitait au 1er. alors ma mére et moi avons vu mon frére se defenestrer sans pouvoir rien faire , quand on l’a rejoint en bas il était toujours vivant mais dans un sale état il était tout cassé alors je n’arrétais pas de l’embrasser car je croyais qu’il était mort mais il m’a parlé en me demandant ce qui c’était passé et ou il était. Je ne pouvais pas pleuré alors je le rassurais et l’embrassais sans arrêt car je savais qu’il allait partir. Aprés ça il est décédé 4 jours aprés à l’hopital. Alors jusqu’au jour d’aujourd’hui j’ai mal de la souffrance qu’il a du subir pendant ces 2 ans et surtout je m’en veux de ne rien avoir pu faire.Alors je peux juste vous dire ATTENTION AU ZYBAN car il est vrai que pour certaine personnes cela peut etre efficace mais pour d’autre dramatique car il y a eu beaucoup de mort aprés la prise de Zyban en allemagne en grande bretagne ….,mais cela ést difficile à prouver meme si pourtant se sont tout des effets indésirable dû au Zyban il y a des famille qui ont peut témoigner ou encore des personnes qui ont subi ses effets mais qui s’en sont sorti.
Le zyban est un antidepresseur appellé wellbutrin dans d’autres pays.
http://www.antidepressantsfacts.com/wellbutrin-ADF.htm
Des tranquillisants pour tous, des antibiotiques dès la petite enfance, des hormones pour cacher le vieillissement, des médicaments qui rendent malades, la grande mode des vaccins pour tout, des diagnostics qui font vendre…
La médecine serait-elle devenue folle ? A-t-on le droit aujourd’hui de critiquer cette nouvelle religion où le médecin, véritable moine en blouse blanche, nous assène des connaissances comme paroles d’Évangile ? Parce que la médecine actuelle retire à l’individu la responsabilité de sa santé, parce que le citoyen est infantilisé et conditionné à vivre dans la terreur des maladies, il est temps qu’une voix s’élève contre cette dérive. Cette voix est celle d’un homme, libre penseur, qui a choisi une philosophie de vie où la réflexion et l’action ne sont pas sous le joug du bien pensant consensuel.
Marc Menant nous propose une réflexion solidement fondée sur des faits d’actualité, une mise en perspective historique des liens qui unissent la médecine et le religieux. Le style est celui d’un écrivain, qui là encore, fait œuvre de liberté, d’originalité. C’est une pensée buissonnière qui nous entraîne hors des sentiers battus, hors des clichés rebattus, loin des certitudes que l’arrogance des spécialistes nous distille quotidiennement. Marc Menant revendique le droit à la suspicion devant tant d’informations, tant de préconisations et tant de prescriptions concernant notre alimentation, notre sexualité, notre sommeil, nos loisirs.
Il cherche le ressort de cette volonté de puissance d’une médecine qui, à vouloir tellement nous guérir, finit par nous affaiblir jusqu’à la mort. Dénonçant cet étrange paradoxe d’une médecine qui nous tue, ce livre participe d’une démarche citoyenne, il s’agit d’éthique et de liberté, il s’agit de reprendre la maîtrise de soi, de refuser la passivité et la manipulation, il s’agit de vivre pleinement. Pour autant Marc Menant, dans la deuxième partie du livre, ne choisit pas la simplicité de nouvelles recettes qui viendraient s’ajouter à la longue liste de celles proposées par les thérapeutes, médecins, spécialistes, coachs et psy en tous genres. Il nous parle d’une dynamique de vie et nous invite à quitter la survie pour une vie supérieure, une « sur vie » qui ne s’acquiert qu’à la condition d’un engagement complet, d’un désir ardent et d’un appétit de vivre qui apparaissent comme source de santé. Marc Menant est l’homme de cet engagement.
mortalité par iatrogénie médicamenteuse dans la population générale
Si les antidépresseurs arrivent en troisième position en Suède, les chiffres français doivent être astronomiques
« En France, c’est motus et bouche cousue. Et on prescrit des antidépresseurs pour le moindre vague à l’âme… Ca va de l’insomnie passagère à l’anxiété, à la timidité, aux troubles prémenstruels, aux troubles paniques, aux problèmes sociaux et économiques, à la non adéquation aux standards de « normalité » dominants dans notre société,aux douleurs chroniques et aux soucis de santé non diagnostiqués, dont beaucoup de médecins français supposent trop vite qu’ils sont psychosomatiques et à traiter par des psychotropes sans autre forme d’écoute ou d’investigation. »
« Une étude suédoise estime à 3% le taux de décès par effets indésirables des médicaments. Les antidépresseurs arrivent en troisième position »
La seule grande étude scientifique ayant évalué l’impact du dépistage du cancer de la prostate a constaté que les hommes incités à pratiquer un dépistage sont plus souvent morts d’un cancer de la prostate que ceux qui n’y ont pas été invités. Cette étude a porté sur 46000 hommes suivis pendant 11 ans.
« Le dépistage systématique du cancer de la prostate n’est pas une bonne stratégie de santé.
Ce dépistage aboutit dans de nombreux cas à découvrir dans la prostate des cellules cancéreuses qui n’auraient jamais provoqué de cancer. La moitié des hommes de 60 ans ont des cellules cancéreuses dans leur prostate, c’est un phénomène quasi normal et c’est le cas de près de 100% des hommes de 90 ans.
La seule grande étude scientifique ayant évalué l’impact du dépistage du cancer de la prostate a constaté que les hommes incités à pratiquer un dépistage sont plus souvent morts d’un cancer de la prostate que ceux qui n’y ont pas été invités. Cette étude a porté sur 46000 hommes suivis pendant 11 ans.
Cette situation a conduit la Haute Autorité de Santé à ne pas recommander ce dépistage en routine.
Malgré ces incertitudes, tous les ans, des milliers d’hommes sont inquiétés, opérés, irradiés, rendus impuissants ou incontinents pour un bénéfice hypothétique. »
Combien de fois j’ai écrit ou validé des articles qui exprimaient la nécessité chez les hommes de procéder dès 50 ans au dépistage du cancer de la prostate (dosage sanguin des PSA et toucher rectal)… alors que, finalement, si j’en crois mes lectures, il vaudrait mieux pas.
Car, un homme sur deux de plus de 60 ans aurait des cellules cancéreuses dans la prostate (phénomène naturel) et ne développera pas pour autant un cancer. Résultat, 70% des cancers diagnostiqués après dépistage sont des faux positifs… qui vont subir la chirurgie avec souvent des effets indésirables à la clé : impuissance et incontinence.
Même le médecin (Dr Stamey) qui, en 1987, démontrait que l’augmentation du taux de PSA était un signe de cancer de la prostate dit aujourd’hui que ce serait plutôt le signe d’une augmentation bénigne de la taille de la prostate et « que le test entraîne inutilement des milliers de chirurgies qui visent à enlever de minuscules cancers qui pourraient être sans danger pour le patient. »
Conclusion : à trop relayer les messages des sociétés médicales (ici l’AFO, association française d’urologie) ou des instances sanitaires, la presse ne joue plus son rôle d’investigation. On pourrait aussi parler de la communication autour de certains vaccins ou, pendant un temps, de l’incitation au traitement hormonal substitutif de la ménopause.
http://www.wk-pharma.fr/blog/porphyre/?p=76
http://fr.truveo.com/Merck-paie-cher-les-victimes-du-Vioxx/id/3900524009
http://afssaps.spaces.live.com
Et rappelons que notre agence du médicament (AFSSAPS) est habituellement parmi les toutes dernières à réagir en cas de souci. Comparée à l’Afssaps, la FDA est un modèle de transparence et d’efficacité en pharmacovigilance comme en matière d’information du public et des médecins.
Isabelle Faure, à New Delhi
25/08/2008 | Mise à jour : 09:21 | Commentaires 5
Ce n’est pas dans une obscure clinique privée d’un coin de l’Inde que 49 enfants sont morts, entre janvier 2006 et juin 2008, alors qu’ils étaient soumis à des tests cliniques, mais à l’AIIMS, l’Institut des sciences médicales d’Inde à New Delhi, le fleuron du milieu hospitalier du pays. Et si les bâtiments décrépis ne payent pas de mine, si le hall d’entrée ressemble plutôt à un hall de gare, c’est pourtant ici que se font soigner gratuitement politiciens et hauts fonctionnaires, et les familles pauvres qui ont la chance d’y être admises.
Montré du doigt pour avoir utilisé en tant que cobayes 4 142 bébés et très jeunes enfants dont plus de la moitié avaient moins d’un an, avec des molécules venant de laboratoires tels que Novartis, Roche ou le japonais Sankyo Pharma, l’hôpital s’est défendu de toute négligence. «Les enfants décédés étaient gravement malades», a affirmé un porte-parole. «Aucun des décès n’est dû aux médicaments ou aux interventions opérées au cours des tests», a précisé V. K. Paul, à la tête du département de pédiatrie. Une partie de ces petits patients recevaient d’ailleurs un placebo, a souligné l’hôpital. Le taux de mortalité est de 1,18 % parmi ces patients, alors qu’il est de 4 % pour l’ensemble de l’hôpital, affirment les autorités.
Une enquête a été ouverte, mais le mal est fait et l’affaire a réveillé de vieux démons. Depuis que le pays attire les laboratoires du monde entier, l’Inde est régulièrement secouée par des scandales qui font craindre que cette nouvelle forme de délocalisation n’entraîne l’exploitation systématique des populations pauvres et illettrées.
«Les atouts de l’Inde sont clairs, souligne-t-on à la Confédération de l’industrie indienne (CII), une population de plus d’un milliard de personnes, diverse, aux groupes génétiques bien distincts, et un vivier de docteurs, scientifiques et techniciens bien formés.» Tout cela a un coût tel qu’il permet aux laboratoires de réaliser une économie de 20 à 60 %. «Or 70 % du temps et de l’argent dépensés pour la découverte d’un nouveau médicament passent dans les tests cliniques sur les hommes», ajoute la CII.
Résultat : le pays est devenu le premier destinataire des tests délocalisés, avec un total de 139 l’année dernière, contre 98 pour la Chine. Tous les grands noms étrangers, Pfizer, Roche, GlaxoSmithKline, Sanofi, ont désormais un pied en Inde. Selon un rapport de McKinsey, c’est un marché qui pourrait représenter 1 milliard de dollars d’ici à 2010.
Le gouvernement indien est soucieux d’éviter les excès et a introduit régulièrement des changements de législation et des règles de conduite. À la suite du scandale de l’AIIMS, le ministre de la Santé a promis que les règles de conduite seraient d’ailleurs bientôt transformées en lois et les abus strictement punis. Reste qu’il est difficile d’empêcher l’exploitation de la pauvreté et de l’illettrisme de la population. C’est d’ailleurs en grande partie ce qui fait l’attractivité de l’Inde, puisqu’on y trouve des volontaires deux fois plus vite qu’en Occident. C’est aussi ce que Rahul Verma, directeur de l’ONG Uday Foundation, qui a révélé l’affaire de l’AIIMS, déplore. «La plupart des patients à l’AIIMS étant illettrés et extrêmement pauvres, je doute qu’ils comprennent même ce qu’est un test clinique et ce qu’on fait subir à leurs enfants», s’indigne-t-il. Pourtant, vu le niveau déplorable de la santé publique en Inde, le patient est souvent tout simplement reconnaissant de trouver un docteur qui s’intéresse à son cas et lui donne des médicaments gratuits. La majorité de la population se situant au-dessous du seuil de pauvreté, c’est un problème bien plus profond
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Le SIDA apparaîtra un jour comme la page la plus noire de l’histoire de la médecine.
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Et si tout ce que vous avez appris à propos du $IDA était faux ?