Alerte cancer, chimio et rayons

ALERTE CANCER, CHIMIOTHERAPIE ET RADIOTHERAPIE

INFORMEZ VOUS !

Exigeons de nos autorités et gouvernements, le financement de recherches pour des solutions naturelles, non toxiques et efficaces contre le cancer.

Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, Médecine, Médicaments | Laisser un commentaire

Quelques listes de médicaments dangereux, défectueux voir mortels

une liste de médicaments défectueux
la liste du cabinet Parker Wicheman et Alonso
une liste des alertes : Accupril  Accutane (roaccutane)  Aceon Actimmune  Actonel Actoplus Met Actos  Adderall  L’alemtuzumab ( alemtuzumab ; Campath )  L’alendronate ( Fosamax , alendronateAleve Almotriptan  Altace  Amerge  L’amiodarone ( amiodarone ; Cordarone ; PaceroneAmnesteem  Sels d’amphétamine ( sels d’amphétamine ; AdderallAnaprox Aranesp
Une liste de worstpills
Liste du professeur Gotzsche de ce qu’il faut éviter :
Les antidépresseurs pour tous, car il est très probable qu’ils ne fonctionnent pas, même pour les cas graves de dépression.
Tous les médicaments du cerveau actifs chez les enfants.
Les antipsychotiques et autres drogues du cerveau-active pour les personnes âgées. Les médicaments psychotropes devraient servir aussi peu que possible et surtout dans des situations très aiguës, car ils sont très dangereux lorsqu’ils sont utilisés à long terme contre la démence et car ils ne fonctionnent très probable pas.
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens utilisés pour l’arthrite, des douleurs musculaires et des maux de tête, l’ibuprofène en vente libre, à faible dose. Ces médicaments doivent être utilisés le moins possible.
Les Mammographies de dépistage, car elles ne prolongent pas la vie, alors qu’elles rendent beaucoup de femmes en bonne santé, malades par l’intermédiaire de surdiagnostic et conduit à la mort prématurée pour certains parce que la radiothérapie et la chimiothérapie augmente la mortalité lorsqu’ils sont utilisés pour d’inoffensifs cancers détectés lors du dépistage.
Les médicaments pour l’incontinence urinaire, car ils ne fonctionnent très probable pas.
1. Analgésiques à base d’opiacés, 2. Sédatifs, 3. Antipsychotiques, 4. Antidépresseurs, 5. Anticoagulants, 6. Médicaments contre le cholesthérol, 7. AINS, 8. Tylenol, 9. Aspirine, 10. Antibiotiques
une vidéo du professeur philippe Even
Actos (diabète) , … Arcoxia, Arixtra, Bleu patente V, Byetta (diabète), Celance, Cervarix, Champix (sevrage tabac), Cimzia, Colokite, Cymbalta (dépression), Diantalvic, Efient, Elaone, Equanil (sevrage alcool), Exjade, Ferrisat, Fonzylane, Galvus, Eucreas, Gardasil, Gliven, Hexaquine, Intrensa, Isentress, Ianumet, Ianuvia, Ketum, Levothyrox, Lipiocis, Lyrica, Mepronizine (insomnie), Methadone, Ritaline, Mynocine, Multaq, Nexen, Noctran (sommeil), Ongliza, Orienca, Parlodel, Pedea, Pholcodine (toux), pradaxa,praxinor (hypotension), prevenar, primalan, procoralan,protelos,protopic, revlimid, Rivotril, Roacterma, Rohypnol (sommeil), Soriatane, Stablon (dépression), Stelara, stilnox, Subutex, Thalidomide Celgene, Toctino, Tramadol, Trivastal, Tysabri (sclérose), Valdoxan, Vastarel, Vfend, Victoza, Xarelto
Médicaments cardio-vasculaires : 4 vasodilatateurs coronaires et artériels : Adancor (Derono), Ikorel (Sanofi), Vastarel et Trivastal (Servier), 1 anti-insuffisance cardiaque : Procoralan (Servier),  1 antiarythmique : Multas (Sanofi), 3 anticoagulants ou antiagrégants : Ticlid (Sanofi), Pradaxa (Boehringer), Xigris (Lilly). Pilules contraceptives : Cycleane, Mercilon, Varnoline (Schering Prough), Melodia, Yaz, Diane 35, Jasmine-Jasminelle (Bayer), Carlin, Triafemi, Holgyème (Effik), Minesse (Wyeth), Felixita (Theramex), Lumalia (Pierre Fabre), Evépar (Mylan), Minerva (Biogaran). Anti-inflammatoires : Indocide (MSD), Nexen (Therabel), Ketum cutané (Ménarini), Celebrex (Pfizer), Arcoxia (MSD). Antidiabétiques : Byetta (Lilly), Victoza (NovoNordisk), 8 Gliptines : Galvus et Eucrers (Novartis), Januvia et Janumet (MSD), Xanuvia et Velmétia (Pierre Fabre), Trajenta et Onglyzia (Boehringer), 2 glitazines : Actos et Compecta (Takeda). Antiparkinsonniens : Celance (Lilly), Parlodel (Pfizer, également prescrit pour inhiber la lactation lors de l’allaitement), Requip (GSK) et Tasmar (Madiapharma). Anti-ostéoporose : Protelos ( Servier). Médicaments psychiatriques : Ritaline (Novartis), Concerta (Janssen), Tofranil (CSP), Anafranil (Sigma-Tau), Surmontil (Sanofi) et Stablon ( Servier). Anticrampes musculaires : Hexaquine et Quinine-vitamine C (Goménol) et Okimus (Biacodex). Stimulant respiratoire : Vectarion (Servier). Antitabac : Champix (Pfizer) et Zyban (GSK). Anti-angiogènes en cancérologie : Avastin (Roche).
et leurs indications médicales
10 médicaments à retirer du marché Actos, Adartrel, Di-Antalvic, Hexaquine,Intrinsa, Ketek, Nexen, Vastarel, Zyprexa, Zyban
à retirer du marché sans attendre : Actos (diabète), Arcoxia (arthrose, rhumatologie), Equanil (sevrage alcoolique), Hexaquine (crampes), Nexen (douleur), Valdoxan (dépression), Vastarel (angine de poitrine, vertige, acouphènes) et Zyban (sevrage tabagique) » Les autres médicaments à éviter sont le Procoralan (angine de poitrine instable) ; l’Intrinsa (testostérone contre la baisse du désir féminin) ; le Ferrisat (carence en fer) ; le buflomédil (Fonzylane et génériques retirés du marché en février, rappelle la revue) ; le Cymbalta (dépression) ; le Protopic (dermite atopique) ; Victoza, Eucréas et Galvus (diabète) ; Multaq (fibrillation auriculaire, un trouble du rythme cardiaque) ; Praxinor (hypotension) ; Mépronizine, Rohypnol et Noctran (insomnie) ; Celance (Parkinson) ; Alli (obésité) ; Protelos (ostéoporose postménopause) ; Arixtra et Xarelto (prévention des thrombo-embolies veineuses) ; Zypadhera(zyprexa) (schizophrénie, récidive de trouble bipolaire) ; Tysabri (sclérose en plaques) ; Champix (sevrage tabagique) ; Ketum gel (tendinites superficielles).
« Les produits de synthèse actuels n’ont rien à voir avec aucune des substances produites par la vie. Construits de toutes pièces, ce sont des corps morts et leur introduction dans l’organisme, du fait qu’il s’agit de corps chimiques étrangers à nos structures, provoque leur rejet. Ce rejet, hélas ne s’effectue pas sans léser divers organes de manière irréversible. »
liste de ces produits chimiques / médicaments que tant de personnes bien intentionnées vous font avaler depuis des années
revue Prescrire : Les arrêts de commercialisation depuis 1981
liste de plus de 70 médicaments (sauvegarde) : Ces molécules qui mettent en danger la vie des seniors (les médicaments qui ont un effet dit «anticholinergique» favorisent la mortalité des personnes âgées.) Le Figaro cite des tranquillisants tels que Largactil, Terfluzine, des antitussifs tels que Broncalene, Broncorinol, des antidépresseurs tels que Elavil, Laroxyl, Tofranil, des antihypertenseurs comme Atenolol, des diurétiques comme Aldalix, Furosemide, des antiashmatiques comme Asmabec, Beclojet, des antiépileptiques comme Tegretol, des molécules prescrites dans le traitement du glaucome telles qu’Azarga, Combigan, Cosopt ou pour les incontinences urinaires comme Ditropan, Oxybutynine
Des médecins listent 13 médicaments dangereux à retirer (Revue Prescrire, Mutualité française)
L’antidiabétique Actos (pioglitazone), Art 50 (diacéréine) et Chondrosulf (condroïtine), contre l’arthrose de la hanche et du genou,  antidépresseur Cymbalta (duloxétine),  antidouleur Ixprim (paracétamol et tramadol), antidiabétiques Januvia et Xelevia (sitagliptine), anti-inflammatoire Nexen (nimésulide), antidépresseur Stablon (tianeptine), Structum, Vastarel (trimétazidine), Zyprexa ou Zypadhera (olanzapine).
Les médicaments contre le rhume, la toux, les maux de gorge et les troubles intestinaux dont le rapport bénéfice/risque est défavorable en automédication, selon 60 millions de consommateurs.
– Rhume : Actifed Rhume jour et nuit, Actifed Rhume, Actifed États Grippaux, Doli État Grippal, Dolirhume paracétamol et pseudoéphédrine, Fervex Phéniramine adulte sans sucre, Humexlib paracétamol chlorphénamine, Nurofen rhume, Rhinadvil Rhume ibuprofène et pseudoéphrédine.
– Toux : Bronchokod toux grasse sans sucre adultes 5 %, Exomuc toux grasse orange, Fluimucil orange, Humex toux sèche oxomézanine caramel, Mucomyst toux grasse orange, Néo-codion, Toplexil sans sucre.
– Maux de gorge : Colludol, Drill Miel Rosat, Drill Tétracaïne, Hexaspray, Humex mal de gorge, Maxilase maux de gorge, Strefen sans sucre orange, Strepsils lidocaïne. – Troubles intestinaux : Contalax (constipation), Dragées Fuca (constipation), Ercéfuryl (diarrhée), Pursennide (constipation).
la plupart des médicaments sont des neurotoxiques dangereux
dr dach : Protégez votre famille des mauvais médicaments
«Les méfaits ne sont souvent pas reconnus, ignorés, refusés, cachés ou attribués à d’autres causes», a déclaré le professeur Andrew Herxheimer, pharmacologue et membre émérite du Centre Cochrane du Royaume-Uni, à l’ écologiste dans une déclaration écrite.
sont des médicaments dangereux : une liste partiel
En Amérique depuis 2015, l’espérance de vie a diminué et dans d’autres pays développés, la hausse c’est arrêté.
Ces médicaments incluent les contraceptifs oraux, les antacides, les analgésiques, les inhibiteurs de la pompe à protons et les antihypertenseurs. L’étude a constaté que 15% des adultes qui prennent au moins trois de ces médicaments sont déprimés. Cela se compare à seulement 5% des adultes qui ne prennent aucune médication.
SMT Healy ET STOP
Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, Médicaments | Laisser un commentaire

Quelques morts et catastrophes

« Les experts estiment que seulement 1 à 10% des événements indésirables graves (ceux provoquant une hospitalisation, une invalidité ou un décès) sont rapportés. »
Mais « Les différents pays européens ne remontent qu’1 à 10% des cas. » soit environ 4 000 000 de morts par an en Europe par les médicaments (si 5% sont déclarés)
.
« Les données montrent que nous assistons actuellement au plus grand meurtre de masse organisé de l’histoire de notre monde » (sauvegarde)
Des millions de personnes sont mortes à la suite de l’injection de covid et des centaines de millions d’entre elles ont subi des effets secondaires graves qui les ont souvent rendues handicapées à vie (sauvegarde réaction 19)
Steve Kirsch estime que les effets secondaires de la vaccination sont sous-déclarés d’un facteur 41
Décès avérés : 26.527 +5,1% depuis le 18/9/2021
(+130,1% depuis le 15/05/21)
Effets secondaires : 2.757.803 +5,7% depuis le 18/9/2021
(+122,2% depuis le 15/05/21)
Le chapitre 1 décrit comment les somnifères causent le cancer, les maladies et les décès.
benzodiazépines : Cette affaire est une vraie bombe, mais les décideurs n’ont pas l’air de le réaliser…(sauvegarde)
Dans l’affaire du Mediator, on parle de 500 à 2000 morts en trente ans. Avec les benzodiazépines, du fait de la consommation forcenée dans la population âgée, c’est beaucoup plus.
Antidépresseurs, somnifères, neuroleptiques500 000 décès par année chez les plus de 65 ans en occident
Les bénéfices sont surestimés et les effets indésirables minimisés, dit-il, parce que la plupart des essais randomisés sont biaisés, ne sont pas réalisés à l’aveugle de façon appropriée, n’évaluent pas complètement les effets des médicaments et les décès sont sous-déclarés, dit-il.
les drogues psychiques ont tué plus de 5 millions de personnes au cours des 10 dernières années
« on estime que d’ici 2020, aux USA, 50 % des cancers seront induits par les médicaments ou les radiations médicales, la médecine devenant ainsi, bientôt, la principale cause de cancer »
Vidéo : Comment fonctionnent l’industrie pharmaceutique
Les effets indésirables graves (RMIS) sont une cause majeure de morbidité et de mortalité dans le monde entier. Certains EIG peuvent être prévisibles, sur la base pharmacodynamiques et pharmacocinétiques…..L’incidence globale des EIG chez les patients hospitalisés aux États-Unis a été estimé à 06/02 à 06/07% et l’incidence des effets indésirables mortels est estimée à 0,15-0,3% (REF. 2 ). Cela se traduit par plus de 2 millions EIG estimés chez les patients hospitalisés chaque année, avec plus de 100.000 morts, ce qui rend ces réactions comme une des causes ies plus mportantes de décès aux États-Unis. Des études en Europe et en Australie ont donné des estimations semblables 3 . Le fardeau des coûts résultant est énorme, ce qui représente des dizaines de milliards de dollars, et a un impact sur les deux l’industrie pharmaceutique internationale des soins de santé et  .
« Maintenant, ils ont franchi une étape supplémentaire et publié une estimation selon laquelle la même orientation peut avoir conduit à la mort de jusqu’à 800 000 personnes en Europe au cours des cinq dernières années.
j’ai vendu plusieurs AINS, qui sont connus pour tuer des milliers de personnes chaque année et hospitaliser des dizaines de milliers
L’antidiabétique Avandia qui vient d’être retiré du marché est suspecté de source officielle d’avoir causé 83 000 infarctus du myocarde aux Etats-Unis. Pourquoi la presse française n’a-t-elle pas repris cette affaire dans le contexte de celle du Mediator qui aurait fait entre 500 et 2000 morts ? Pourquoi Xavier Bertrand s’est-il montré si discret vis-à-vis de GlaxoSmithKline ?
diabete ,AVANDIA® : 83.000 accidents cardiaques aux USA, une agence du médicament en coma dépassé
 Il s’agit d’un excellent compte rendu des effets de permettre la commercialisation des Tamnbocor (flécaïnide) comme un anti-arythmique issu des paramètres intermédiaires « de substitution ». Plus tard, il y avait reconnaissance qu’en fait le médicament était associée à des taux accrus de mort cardiaque
lorcainide : Dans les années 1980, un médicament contre l’arythmie cardiaque, le lorcainide, fut testé auprès d’une centaine d’hommes ayant subi une attaque cardiaque. Le taux de décès fut 9 fois supérieur chez les candidat ayant pris lorcainide que ceux qui ont pris le placebo. L’étude ne fut jamais publiée et les résultats sombrèrent dans l’oubli.
Pourtant, à la même époque, les médecins ont commencé à systématiquement prescrire des médicaments anti-arythmie aux gens ayant subi une attaque cardiaque, par mesure de prévention, sans savoir qu’une étude avait démontré que c’était dangereux. Résultat : environ 100.000 personnes sont mortes avant que l’on ne se rende compte que c’était une mauvaise idée. Ces morts auraient pu être évitées si l’étude sur lorcainide avait été publiée.
Il y a seulement la moitié des résultats d’essais cliniques qui sont publiés, et celles dont les résultats sont négatifs ont deux fois plus de chances de ne pas être publiées. Conséquemment, les informations disponibles aux médecins font en sorte de constamment surestimer les bienfaits des médicaments. Ainsi, comme les médecins sont maintenu dans l’ignorance, les patients sont exposés à des traitements inférieurs, inefficaces, non-nécessaires, plus dispendieux et/ou plus risqués, voire dangereux.
pour s’apercevoir que c’était le médicament anti-arythmie qui tuait le patient
Le Dr David Graham (FDA), qui a sonné l’alarme sur le Vioxx, a déclaré au Congrès que les neuroleptiques atypiques comme Zyprexa tuent quelques 62000 personnes par an dans les utilisations non approuvées
Le spray pour l’asthme Isoproterenol, commercialisé sous le nom de Isuprel, a tué durant les années ’60 environ 3500 patients. Cependant, il continue d’être commercialisé dans notre pays et il est recommandé pour différentes affections du coeur.
le médicament complètement inutile Oxichinolin, recommandé pour les problèmes digestifs, a provoqué un scandale mondial : plus de 30.000 personnes ont été rendues aveugles ou ont subi des paralysies des jambes suite à son utilisation. Ce médicament a provoqué aussi de nombreux décès (plus de 1000 seulement au Japon)
Le D.E.S. a été prescrit depuis 1948 à des millions de femmes dans le monde. Interdit en 1971 aux USA, il a été administré en France à des centaines de milliers de femmes enceintes jusqu’en 1977, avec un pic de consommation entre les années 1968 et 1971.
En France, 80 000 filles D.E.S et 80 000 garçons.
des milliers de morts et des dizaines de milliers de handicapés…mais toujours en vente.
Thalidomide / contergan : il a été à l’origine de la naissance de 10 000 à 20 000 nourrissons atteints de graves malformations
Thalidomide : Près de 40 % des victimes de la thalidomide seront décédées avant leur premier anniversaire.
60 000 patients ont intenté des procès pour avoir subi des effets cardiovasculaires liés à la prise de dexfenfluramine (sous le nom de Redux®) et la fenfluramine (sous le nom de Pondimin®)[102], par l’intermédiaire d’un recours collectif : 3,75 milliards de dollars d’indemnisation auraient été versés à une association regroupant 150000 victimes afin d’éviter un procès[103]. C’est American Home Products qui, le 8 octobre 1999, conclut un accord pour indemniser les victimes ; les indemnités se montaient à 3.5 milliards de dollars[104].
Commercialisé en France en 1985 et 1997.
7 millions de Français en auraient pris.
Coupe faim censé réguler le poids des obèses et surtout faire perdre quelques kilos à de nombreuses personnes qui n’en n’avaient pas forcément besoin.
Découverte de complications de type hypertension artérielle pulmonaire en 1995 et d’anomalie des valvules cardiaques en juillet 1997.
2000 morts depuis 1976, date de l’autorisation de mise sur le marché jusqu’au mois de juillet 2010, date de son retrait définitif, soit une moyenne de 60 victimes par an.
Vioxx : 160 000 victimes de crises cardiaques et attaques cérébrales, 40 000 morts aux États-Unis et au moins 60 000 dans le monde à la date de 2011, le scandale du Vioxx a révélé qu’il n’était pas le fruit du hasard mais bien la conséquence d’un système opaque d’autorisation de mise sur le marché
Merck estima les événements thrombotiques et il y avait 1,5 fois plus de cas d’infarctus du myocarde, de mort subite cardiaque ou d’AVC sous rofecoxib que sous placebo pour 100 patients traités (1). Plus de 80 millions de patients ont été traités avec rofecoxib et, puisque 10% des événements de ce type sont mortels, une estimation brute est que le rofecoxib a tué environ 120.000 personnes.
Le celebrex aurait tué 75 000 personnes
selon le livre : remèdes mortels et crime organisé du professeur peter Gotzsche
Le médicament est l’un du groupe controversé d’antibiotiques, y compris Levaquin, Cipro, Avelox et d’autres fluoroquinolones. Public Citizen a demandé à la FDA en 1996 et de nouveau en 2006, d’émettre des avertissements de boîte noire pour rupture du tendon et la tendinite..Si l’ avertissements avaient été émis, le nombre de morts de Levaquin- réputés de plus de 5000et des dizaines de milliers de personnes qui ont été affaiblis par des maladies mortelles aurait probablement été évitée
près d’un demi-million d’Américains sont morts de surdoses entre 1999 et 2018
En avril 2016, le chanteur Prince meurt d’une overdose et fait connaître au monde une drogue 50 fois plus puissante que l’héroïne et 100 fois plus puissante que la morphine, le fentanyl.
Les laboratoires médico-légaux ont dénombré en 2016 plus de 30.000 cas d’overdoses fatales liées au fentanyl contre « seulement » 600 en 2012.
…aujourd’hui aux États-Unis, près de 100 personnes meurent chaque jour d’une overdose de ce produit.
un fléau qui a fait près de 60 000 morts en 2016 aux Etats-Unis,
Scoliose, troubles musculo-squelettiques, retards de langage, troubles du comportement… Ces souffrances sont aujourd’hui le lot commun de ceux que l’on appelle désormais « les enfants dépakine », du nom de ce médicament nocif pour le fœtus, que 14 322 femmes enceintes, selon les derniers chiffres publiés mercredi 24 août 2016 par l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament, ont pris pendant leur grossesse pour soigner leur épilepsie ou leurs troubles bipolaires, entre 2007 et 2014, et des milliers d’autres encore non évaluées avant elles
En 2005, David Graham de la FDA, évaluait que ces prescriptions hors indication, particulièrement destinées aux segments les plus vulnérables, enfants et vieillards atteints de démence, étaient à l’origine de 62 000 morts excédentaires.
Vidéo du prof peter Gotzsche sous titrée en français
J’ai estimé que Eli Lilly a tué 200.000 personnes avec Zyprexa et c’est seulement un des médicaments antipsychotiques
Quel ironie, on ne meurt plus du VIH mais du cancer causé par les traitements  chimiques qui sont là pour vous aider à lutter contre le  sida. On peut dire je pense qu’ils  ne veulent pas nous soigner, juste nous tuer. Dans tout les cas tu finis entre 4 planches, très joyeux.
LE SIDA par Sylvie Simon
Les médicaments du sida
« Les médicaments employés dans le traitement du SIDA sont les causes établies d’immuno-déficience. L’AZT tue aussi bien les cellules saines que les cellules malsaines. L’AZT est inutile si ce n’est pour commettre des meurtres légaux. »
Le traitement était légèrement efficace, mais la mortalité des patients était à plus de 50 %.
2017 : »La Food and Drug Administration a reçu des rapports sur 1 128 personnes décédées après avoir pris Actemra »
il est raisonnable de penser que le prozac peut-être associé à 156.060 décès par suicide et 2 520 000 réactions indésirables (sauvegarde)
Les individus, âgés de 25 ans et au-dessus, qui prennent des médicaments ISRS doivent savoir qu’ils ne sont pas à l’abri du risque suicidaire (voir ci-dessus) ou des nombreux effets secondaires associés à ces médicaments Les effets secondaires courants comprennent l’anxiété, la dépression, maux de tête, douleurs musculaires, douleurs à la poitrine, nervosité, insomnie, somnolence, faiblesse, changements de la libido, tremblements, bouche sèche, irritée estomac, perte d’appétit, des étourdissements, des nausées, des éruptions cutanées, des démangeaisons, le poids gain, la diarrhée, la perte de cheveux impuissance, la peau sèche, des douleurs thoraciques, de la bronchite, troubles du rythme cardiaque, des contractions musculaires, l’anémie, l’hypoglycémie et la thyroïde faible.
Prozac seule a été associée à plus de 1.734 décès par suicide et plus de 28.000 réactions indésirables
Parmi les effets secondaires des AVK citons la fatigue chronique, la pâleur inhabituelle, les nausées fréquentes, la perte importante d’appétit, l’amaigrissement maladif, la chute accélérée de cheveux. La prise prolongée de ces médicaments est associée à un risque accru de saignement, responsable de 4 000 décès et 17 000 hospitalisations par an.
aura atteint les 1000 milliards de dollars en 2016 et devrait croître de 40% d’ici à 2020, à 1400 milliards.
massacre de la population
Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, Médicaments | 3 commentaires

Les reportages, vidéos et documentaires, médicaments, vaccins, médecine et escroqueries a ne surtout pas manquer

Médicament l’overdose / débat /  LCP: « la santé des gens, ils n’en n’ont rien a faire »
BIG PHARMA : « Ces criminels ne reculent devant rien, nos vies n’ont aucune valeur »
Pharma – Le Cartel criminel de la «Santé» partie 1 et partie 2
La vérité sur tous les vaccins : « Aux USA, les médicaments et vaccins provoquent la mort d’environ un million de personne par an, depuis 50 ans »
EN ANGLAIS: Vous pouvez afficher les sous-titres en français. Appuyez sur lecture, cliquez sur affichez les sous titres. Une fois les sous titres affichés (en anglais), il faut aller dans l’autre commande (a coté de sous titre), Puis, cliquer sur sous titre, Puis sur traduire automatiquement, puis en français.
Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, Médecine, Médicaments | 22 commentaires

Les médicaments dangereux : « Comment empêcher votre docteur de vous tuer »

« Nous pourrions sans grande difficulté supprimer 95% des dépenses liées aux médicaments, et nous aurions même une population en meilleure santé. »
.
vidéos, infos, dangers, escroqueries…
les traitements anti-cholestérol sont 3 à 5 fois plus cancérigènes que le tabac ou l’amiante.
Le taux de décès lié à l’asthme chez les patients sous salmétérol était quatre fois plus élevé que chez les patients sous placebo.
L’Afssaps annonce que “plusieurs cas graves d’atteintes hépatiques ont été rapportés chez des patients traités par orlistat ayant conduit dans certains cas à une transplantation hépatique voir au décès du patient”.
j’ai vendu plusieurs AINS, qui sont connus pour tuer des milliers de personnes chaque année et hospitaliser des dizaines de milliers
« L’antidouleur Arcoxia n’aurait jamais dû être autorisé et remboursé »
En 2004, six ans avant la polémique sur le Mediator, le scandale du Vioxx avait secoué le monde médical, et conduit le fabricant, Merck, Sharp et Dohme-Chibret (MSD), à retirer cet anti-inflammatoire du marché après des études révélant qu’il augmentait les risques cardio-vasculaires, notamment d’infarctus. Visé par quelque 26 600 plaintes, le laboratoire, après s’être défendu, s’est finalement résolu, en 2007, à accepter un accord amiable indemnisant les patients à hauteur de 4,85 milliards de dollars (3,64 milliards d’euros)
Une nouvelle recherche a permis de découvrir que des médicaments usuels utilisés suite à une attaque cardiaque pourraient provoquer la mort chez certains patients
Des morts après vaccination, par centaines de milliers.
Les graves effets secondaires
« Cela fait 10 ans que des alertes dénoncent les dangers de l’Androcur, je réclame son retrait du marché ! »
La conclusion d’une étude de longue durée de The Lancet Neurology, montre qu’il y a une forte hausse des risques d’effets secondaires graves et de mort chez les patients recevant ces médicaments. En plus, ils accélèrent la détérioration mentale
A interdire !
Tous ces médicaments ont un potentiel d’abus et de dépendance
Aricept 23 : Découvrez pourquoi Public Citizen et un expert dans la maladie d’Alzheimer de Johns Hopkins ont demandé à la FDA à interdire la drogue l’a récemment approuvé la maladie d’Alzheimer, l’Aricept 23, sur le marché.
Rivastigmine transdermique (Exelon) Patch : Un autre problème a surgi avec ce médicament que nous avons énumérés en tant NE PAS utiliser pour un long moment. . Il ya un nombre croissant de personnes qui ont involontairement font une overdose à l’Exelon Patch, conduisant à des symptômes de toxicité décrite dans l’article. Nous avons également discuter des moyens d’éviter ce surdosage dangereux.
galantamine (Reminyl) : Il n’existe aucune preuve que ce médicament entraîne une amélioration fonctionnelle importante ou empêche la progression de la maladie, et de nouvelles preuves indiquent qu’il pourrait accroître le risque de décès.
La FDA, basée sur les preuves actuelles, ne devrait pas approuver florbetapir pour l’évaluation des patients suspects d’avoir la maladie d’Alzheimer.
La majorité des médicaments contre le rhume contiennent de la phénylpropanolamine, une substance décongestionnante, certes efficace pour empêcher le nez de couler, mais accusée d’être responsable d’effets secondaires rares mais graves,
Plusieurs cas graves d’atteintes hépatiques ont été rapportés chez des patients traités par orlistat ayant conduit dans certains cas à une transplantation hépatique voir au décès du patient.
La psychose liée à la démence chez les personnes âgées augmente le risque de décès, comparativement au placebo, chez les patients traités avec des médicaments antipsychotiques y compris  Abilify peut également augmenter les pensées suicidaires en particulier dans les premiers mois de traitement
Parkinson, syndrome des jambes sans repos (médicaments pour) alerte afssaps,, troubles du comportement observés avec des médicaments dopaminergiques indiqués essentiellement dans la maladie de Parkinson ou le syndrome des jambes sans repos. TRIVASTAL, STALEVO, SINEMET, SIFROL, ROPINIROLE QUALIMED
La vente est interrompue immédiatement dans toutes les pharmacies des 18 pays de l’Union européenne qui le distribuent”
Les spécialistes ont “estimé que le médicament n’était pas sûr”, selon une porte-parole de la FDA.
rapport qui montre que le risque de cancer de la vessie augmente d’une manière générale de 22 %, et même de 75 % pour les traitements à dose élevée de pioglitazone, la molécule mise en cause.
les dangers des antidepresseurs. Les antidépresseurs tuent ! (zoloft, effexor, déroxat, ixel, norset, atymil…)
Mais dangereux !
attention a la très forte dépendance physique
Parmi les effets secondaires des AVK citons la fatigue chronique, la pâleur inhabituelle, les nausées fréquentes, la perte importante d’appétit, l’amaigrissement maladif, la chute accélérée de cheveux. La prise prolongée de ces médicaments est associée à un risque accru de saignement, responsable de 4 000 décès et 17 000 hospitalisations par an.
 AVK, antivitamine k / anticoagulant (sauvegarde) : Previscan, Pindione, coumadine, Sintrom, Warfarine, Apegmone, Minisintrom…
les traitements par AVK exposent à des risques hémorragiques, parfois sévères, mais souvent évitables. Ainsi, environ 17 000 hospitalisations sont dues, chaque année, aux complications hémorragiques de ce type de traitement.
Les anti-vitamine K ont été découverts par hasard, au Canada, dans les années 1920 après stockage de luzerne (trèfle) après une récolte non fânnée correctement. Les moisissures s’étant développé sur cette luzerne avaient tué tous le bétail ayant consommé « foin », tous morts d’hémorragies intestinales massives a permis de suspecter l’effet [1]. Sa première application fut dans la compositions de la “mort-aux-rats”, provoquant des hémorragies intestinales globales conduisent à la mort de l’animal.
l’Agence Européenne du médicament recommande de suspendre la commercialisation d’Agréal dans toute l’Europe. Une décision appliquée en France depuis l’automne 2007
diabete ,AVANDIA® : 83.000 accidents cardiaques aux USA, une agence du médicament en coma dépassé
Les patients prenant Avandia ont plus de 66 pour cent de crises cardiaques, 39 pour cent de plus les accidents vasculaires cérébraux et de 20 pour cent de plus de décès liés à des problèmes cardiovasculaires
La rosiglitazone a fait l’objet d’une controverse considérable depuis 2007, quand une analyse de 42 études publiées a conclu que le médicament peut accroître considérablement le risque de crises cardiaques et d’autres événements cardiovasculaires
Avandia augmenterait de 43 % le risque d’être victime d’un infarctus du myocarde
Avonex dans la sclérose en plaques : exemple de mauvaise évaluation des médicaments par les autorités sanitaires
Après le scandale du Médiator, le dossier de l’aspartame révèle que les experts chargés des études sanitaires sont liés à des entreprises du secteur agro-industriel. La récente réforme du médicament s’appliquera-t-elle au secteur alimentaire ?
  »ne pas utiliser le salmeterol (Serevent), la combinaison de salmeterol avec le corticostéroïde fluticasone (Advair, Seretide en France) ou le formoterol (Foradil, Symbicort en France) pour le traitement de l’asthme. »
Les AINS sont responsables, chaque année en France, de plus de décès que le SIDA ! Pr René-Marc FLIPO
Or les caillots sanguins sont l’une des principales causes de morbidité et de décès des patients souffrant d’un cancer
Avastin n’est plus autorisé dans le cancer du sein (Etats-Unis)

Rappel des problèmes des anticorps monoclonaux (Enbrel, Humira, Tysabri, Herceptin, Xolair…)
Les antagonistes calciques sont massivement commercialisés sous le faux prétexte de traiter l’hypertension et de prévenir les attaques cardiaques alors que leur utilisation à long terme est réputée causer une augmentation de la fréquence des attaques cardiaques, des infarctus et d’autres maladies.
“je dis meme que l’AZT, c’est le sida sur ordonnance”
Les docteurs MENGELE de la SS ne sont pas loin de réssusciter…
Dorway. Le site de reférence
Les dangers des benzodiazepines : havlane®, seresta®, tranxène®, lysanxia®, mogadon®, nordaz® valium®, temesta®, lexomil®, urbanyl®, veratran®, xanax® noctamide®, normison®, nuctalon®, rohypnol®,  myolastan, panos et assimilés  : imovane, stilnox, stresam, lyrica,  neurontin, atarax…
les dangers de la toxicomanie aux beta-bloquants
Les médicaments bêta-bloquant maintenant considérés comme dangereux pour la santé publique

De nouvelles preuves montrant que les médicaments bêta-bloquants augmentent le risque des patients d’AVC, de crises cardiaques et le diabète a conduit à 2 millions de Britanniques sont prises au large de la drogue de la pression artérielle
26/11/2009. Suspension d’autorisation de mise sur le marché des médicaments contenant du benfluorex
Le benfluorex, un amphétaminique dérivé de la fenfluramine, est commercialisé en France depuis plus de 30 ans malgré une balance bénéfices-risques nettement défavorable
les risques graves et les effets secondaires de cet antibiotique, commercialisé sous plusieurs noms, notamment Bactrim, Bactrim DS, Septra , Septra DS, Septrin, Sulfatrim, SMZ / TMP, Septran et co-trimoxazole
mais vendu massivement.
première grande enquête sur les risques d’utilisation d’antibiotiques par les femmes enceintes
Plusieurs études internationales récentes, publiées dans de grandes revues de cancérologie, montrent que 85% des médicaments anticancéreux mis sur le marché dans les 15 dernières années sont inutiles et souvent dangereux parce que leur balance avantages /risques est défavorable (trop peu efficace et/ou trop toxique) et que trop peu d’entre eux sont retirés du marché ou trop tardivement. L’agence européenne, dont les experts sont trop liés aux firmes, privilégie constamment l’intérêt de l’industrie sur la sécurité des malades, encouragée par la Commission européenne dont tous les rapports soulignent la « porosité » aux représentants industriels. L’un des derniers directeurs de l’EMA, une fois son mandat terminé, a été immédiatement nommé directeur pour l’Europe d’une grande firme pharmaceutique qu’il avait « contrôlée » durant son mandat, et en toute impunité.
un article américain rapporte que les 71 dernières molécules anti cancéreuses (Tumeurs solides réfractaires et/ou métastatiques et/ou avancées apportaient en moyenne une survie augmentée de 2,1 mois): LA
clopidogrel/plavix, prasugrel/efient,  extrait du livre corruptions et crédulité en médecine (dont une bonne partie parle des anticoagulants, antiagrégants) : » Il n’y a aucune raison de remplacer le clopidogrel / PLAVIX générique par le prasugrel / EFIENT, beaucoup plus cher. LE PRASUGREL NE SERT A RIEN ET D’AILLEURS, LE CLOPIDOGREL NON PLUS »… »l’utilité du ticagrelor n’est pas démontré, …..ne sert a rien….« 
Danger !
Danger !!
Un patient présentant une fibrillation auriculaire a été traité pendant cinq mois par un médicament prescrit dans le traitement et la prévention des troubles du rythmes cardiaques, la cordarone, dont le principe actif est l’amiodarone. Il a alors développé une hypoxie sévère et une pneumopathie interstitielle diffuse, avant de décéder d’une fibrose pulmonaire.
Champix peut provoquer des suicides
Arrêter de fumer tue ?
Les effets indésirables neurologiques et cardiovasculaires du Champix
Contraceptifs oraux 
La pilule peut provoquer de nombreux effets indésirables. Certains d’entre eux sont simplement une nuisance, tandis que d’autres peuvent être mortels. La pilule peut causer des maux de tête, des ballonnements, des nausées, des saignements et des saignements irréguliers, une sensibilité des seins, un gain de poids ou des changements de la vision. D’autres effets indésirables plus graves peuvent survenir entre quelques mois et quelques années après le début des contraceptifs oraux: hypertension artérielle, maladie de la vésicule biliaire, tumeurs hépatiques, dépression et troubles métaboliques, tels que le diabète. L’infertilité temporaire a été associée à la période de temps juste après l’arrêt de l’utilisation de la pilule. Mais les deux risques les plus dangereux associés à la prise de pilules contraceptives sont les caillots sanguins et le cancer.
En 1975, il y avait 7.000 cas de nouveaux cancers du sein par an en France.En 2013, il y en avait 60.000, et chez des femmes de plus en plus jeunes à cause de la pilule… Cancers, AVC, thrombo-embolies, dépressions, perte de libido, autisme chez les enfants… de nombreux effets secondaires graves et plusieurs maladies sont impliquées.
Des décès de mères et de fœtus ont été rapportés : halte au massacre
Il a fallu plus de 1 000 morts et environ 30 000 handicapés, aveugles ou paralysés, pour attirer l’attention sur la nocivité du clioquinol, responsable d’une grave maladie du système nerveux dénommée SMON (neuropathie myélo-optique subaiguë), qui causa les mêmes dégâts en France, au Danemark, en Suède, aux Pays-Bas, en Allemagne fédérale, au Royaume-Uni, en Italie et au Japon.
Menée sur 8.000 personnes ne présentant aucun problème cardiaque, l’étude démontre que la consommation de ce médicament serait associée à un risque accru de 72% d’hospitalisation pour accident cardio-vasculaire grave comme une attaque ou une arythmie cardiaque.
A noter qu’au Etats Unies, 1.200 plaintes ont déjà été déposées contre le laboratoire Pfizer, à cause des effets secondaires provoqués par le Champix, notamment ses effets suicidaires avec parfois passage à l’acte.
les dangers de la toxicomanie au cymbalta
« on estime que d’ici 2020, aux USA, 50 % des cancers seront induits par les médicaments ou les radiations médicales, la médecine devenant ainsi, bientôt, la principale cause de cancer »
En ce qui concerne la survie au bout de 5 ans, et bien qu’en Australie seuls 2,3 % des patients tirent profit d’une chimiothérapie et qu’aux USA, il n’y en ait que 2,1 %, on continue malgré cela à proposer ces mêmes thérapies aux patients cancéreux.
CRITIQUES DE LA CHIMIOTHÉRAPIE
Si j’avais une tumeur, je n’irais pas dans un centre anti-cancéreux.”- Professeur G. Mathé, “L’Express” – 4/10/85
Selon les constatations de l’étude, en fait, la chimiothérapie ne traite ni ne guérit le cancer
Chaque année en France, 200 patients* atteints d’un cancer meurent, non pas à cause de leur maladie, mais à cause d’un médicament anticancéreux, le 5-Fluorouracile (5-FU), qui s’est avéré toxique pour eux car ils présentaient un déficit enzymatique, le déficit en DPD (Dihydropyrimidine déshydrogénase)**
30 000 morts en environ 20 ans, 250 000 victimes de très graves effets secondaires…
FDA ALERT [1/31/2008] : environ deux fois le risque de comportement suicidaire ou idées . FDA ALERT [12/12/2007] : dangereux voire mortels réactions cutanées (syndrome de Stevens-Johnson et nécrolyse épidermique toxique),
Le 12 mai dernier, une «information urgente» des laboratoires Novartis notifiait à tous les pharmaciens l’interdiction de délivrer désormais le Centralgol – un dérivé barbiturique utilisé depuis 1997 pour traiter les petits troubles de l’anxiété ou les bouffées de chaleur de la ménopause… –
L’histoire de la mise sur le marché et de la surveillance administrative de ce médicament est caractéristique de la négligence ou de la complaisance témoignée par les instances publiques envers des médicaments de confort dont le seul bénéfice concret se réduit souvent à un coquet chiffre d’affaires.
Finalement, on “termine” le supplicié avec du chlorure de potassium qui provoque un arrêt cardiaque
 par fibrillation ventriculaire…
l ’injection de chlorure de potassium, est un acte d ’euthanasie active. Elle n ’est jamais justifiable et est juridiquement qualifiable d ’homicide volontaire (Art. 221- 1 du Code pénal). »
Une enquête avait démontré que plus de 300 décès par an étaient liés à un surdosage, volontaire ou non, de ces médicaments
au vu des données du réseau Dawn (Drug abuse warning network), qui a recensé 2 110 décès accidentels liés au dextropropoxyphène entre 1981 et 1999 (5).
En janvier 2009, un comité de spécialistes réunis par la Food and Drug Administration (FDA) s’est prononcé pour le retrait du marché étatsunien du dextropropoxyphène, un antalgique opiacé associé en France au paracétamol dans Di-Antalvic° ou autre
Le donormyl, le théralène, le phénérgan sont des phénothiazines (neuroleptique). Il engendre donc une forte dépendance chez la majorité des victimes et les mêmes dangers que les autres neuroléptiques
Dépakine pendant la grossesse, c’est 30 à 40% d’atteintes cognitives (autisme),11% de malformations.
80% des enfants exposés au valproate présentent des dysmorphies faciales
D’après Marine Martin, présidente de l’association d’aide aux parents ayant pris de la Dépakine, plus de 30 000 enfants ont pu être exposés au médicament depuis le début de sa commercialisation en 1967, rapporte France Info.
La dépakine, c’est « 40% de déficits mentaux et 5 à 10% de malformations, cérébrales, cardiaques ou musculaires. Mais c’est aussi 40% d’avortement ! » a-t-il précisé. Selon lui, le médicament « ouvre la boîte de Pandore » (le génome) et dans ce cas « n’importe quoi peut se produire ». « Plus de globule blanc, plus de globule rouge, plus de plaquette, les muscles fondent et ça détruit le cerveau », tels sont les effets dévastateurs provoqués par la dépakine, décrits par Philippe Even
Enantone (traitement du cancer de la prostate et endométriose)
la dernière méta-étude de Harvard 2006 sur plus de 70.000 cas; étude qui compare par ailleurs castration chirurgicale et castration chimique pour aboutir à la conclusion que les effets ne sont pas du tout les mêmes, et qu’il y a un très fort risque de maladies cardiovasculaires et de mortalité qui n’est pas constaté dans le groupe ayant subi une orchidectomie.
Enantone, Décapeptyl pour le cancer de la prostate et l’endométriose (traitement hormonal de synthèse)
Blog de l’association de victimes de tous les analogues agonistes GnRH.
Le traitement hormonal du cancer localisé de la prostate n’améliore pas la survie
Le médicament Buflomédil (Fonzylane), utilisé dans les cas d’artérites, a des effets indésirables cardiaques et neurologiques parfois mortels.
Un crime contre l’humanité
augmentent significativement le risque de cancer du pancréas, de pancréatite et de cancer de la thyroïde
Javlor (vinflunine) :  a une balance bénéfices-risques défavorable dans les cancers de la vessie
Vinflunine (anticancéreux) : un cytotoxique à éviter
le fluorure est un poison. (le fluorure comme plus toxique que le plomb et légèrement moins toxique que l’arsenic.)
Il y a aussi eu encore 1.824 réactions indésirables au médicament, ce qui porte le nombre total des problèmes connus à 3.461, selon le groupe d’intérêt public qui enquête et poursuit la corruption gouvernementale.
gardasil (vaccin)
25 132 victimes, dont 110 décès et 826 infirmes.
héroïne de Bayer
« La campagne en faveur de l’héroïne montre que l’habitude qu’ont les multinationales pharmaceutiques de mettre en vente sciemment et en dépit de toutes les mises en garde des produits dangereux dans le seul but de faire du profit ne date pas d’hier. »
Une équipe de chercheurs de l’Université du Texas MD Anderson Cancer Center a étudié 173 patients atteints de cancer avancé du sein à qui avait été prescrit Herceptin
Communication de la FDA sur l’innocuité des médicaments: la FDA met en garde sur le risque de saignement grave avec les produits antiacides en vente libre contenant de l’aspirine
Association d’inhibiteurs de la pompe à protons avec le risque de démence A Analyse de données d’allégations pharmacoépidémiologiques
Les médicaments couramment utilisés contre le reflux et les ulcères peuvent provoquer des lésions rénales graves
IPP liés à un risque accru de maladie rénale chronique
les patients hospitalisés recevant des médicaments anti-brûlures d’estomac présentent un risque plus élevé de décès, révèle une étude
Les inhibiteurs de la pompe à protons sont associés à un risque accru de crise cardiaque
L’utilisation d’inhibiteurs de la pompe à protons est associée à un risque accru de crise cardiaque
la diarrhée associée à Clostridium difficile peut être associée à des médicaments acides pour l’estomac connus sous le nom d’inhibiteurs de la pompe à proton (IPP)
risque accru de fractures de la hanche, du poignet et de la colonne vertébrale avec l’utilisation d’inhibiteurs de la pompe à protons
de faibles niveaux de magnésium peuvent être associés à l’utilisation à long terme de médicaments inhibiteurs de la pompe à protons (IPP)
Les IPP / inhibiteurs de pompe a proton, provoquent l’ostéoporose, la dépendance….
inhibiteurs de pompe à proton : Les médicaments contre le reflux gastrique, dangereux pour les reins
En France les IPP que l’on peut trouver sont l’Inexium, l’Inipomp, le Lanzor, le Mopral, l’Oméprazole (générique), le Pantoprazole (générique), le Pariet et le Zoltum. « Plus de deux tiers des patients seraient traités inutilement par IPP »
En août 2011, Public Citizen a introduit une requête auprès de la FDA de mettre des avertissements de boîte noire sur les IPP pour avertir les médecins et les patients des effets secondaires dangereux et des alternatives plus sûres. Les effets secondaires dangereux qui devraient être inclus dans la boîte noire sont les suivants :
1. rebond risque d’hypersécrétion acide-il n’y a actuellement aucune mise en garde concernant la dépendance ou la dépendance de ces médicaments après les avoir prises pour aussi peu que quatre semaines
2. fracture Risk – plusieurs dose quotidienne et à long terme a été associée à un risque accru de fractures liées à l’ostéoporose de la fracture de la hanche, colonne vertébrale et du poignet ;
3. infection risque – risque accru de pneumonie et diarrhée C-difficile-causés ; et
4. une carence majeure en magnésium – peuvent augmenter la probabilité de perturbations du rythme cardiaque mortelle.
Dr Carroll écrit à propos de la pression qui s’exerce à la baisse de la limite d’âge pour les diagnostics chez les enfants de RGO (reflux gastro-oesophagien), même si la maladie réelle (par opposition à ses symptômes les plus courants) est « rare » parmi ce groupe d’âge. «Environ 50 pour cent des nourrissons en bonne santé va cracher plus de deux fois par jour», écrit Carroll. « Environ 95 pour cent d’entre eux vont arrêter complètement de le faire sans traitement. Lorsque la majorité des nourrissons ont (et ont toujours eu) un ensemble de symptômes qui disparaissent d’eux-mêmes, ce n’est pas une maladie, c’est une variation de la normale « . Comme les seuils d’âge (d’inclusion) pour cette « maladie » ont chuté néanmoins, et comme les campagnes de promotion (de cette maladie ) se sont emparées du problème, « de plus en plus de bébés avec reflux ont été étiquetés comme ayant une« maladie ». L’incidence d’un diagnostic de RGO chez les nourrissons a triplé de 2000 à 2005. » Il est peu surprenant d’entendre ce pédiatre que «beaucoup de ces bébés sont maintenant traités avec des médicaments appelés inhibiteurs de la pompe à protons (IPP)
Inexium , IPP , risque accru de démence : Les IPP – surtout quand ils sont prescrits au long cours – sont décidément dans le collimateur. Après les avoir soupçonnés d’augmenterle risque d’ostéoporose, celuid’infarctus du myocarde et, tout récemment, le risque infectieux et celui de maladie rénale, les voici désormais sur la sellette quant au risque de démence chez les sujets âgés. Dans une large analyse pharmaco-épidémiologique fondée sur les bases de données de l’assurance maladie AOK (1/3 de la population d’Allemagne), une équipe germanique a établi un lien entre IPP et risque de démence. Il s’agit en fait d’une confirmation puisqu’à l’occasion d’une précédente grande étude de cohorte prospective, longitudinale et multicentrique, ces mêmes chercheurs avaient détecté une association significative. Moins précise que ce premier travail qui s’était intéressé de façon très détaillée aux dossiers médicaux de 73.679 sujets de plus de 75 ans hébergée en maison de retraite, allant jusqu’à investiguer la présence de l’apoliprotéine E4 (Apo E4), cette nouvelle étude pharmaco-épidémiologique a, en revanche, l’avantage de la taille puisqu’elle a inclus un large panel de personnes – 73.679 sujets de plus de 75 ans – pour pouvoir valider le signal.
Alzheimer :les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) pourraient être responsables : Des chercheurs allemands ont constaté que les personnes âgées de plus de 75 ans et qui prennent régulièrement ces médicaments ont 44% plus de risque de développer la maladie d’alzheimer.
«Chaque année, plusieurs centaines de personnes meurent après avoir pris des AINS, et pas toujours à forte dose», accuse le Pr Queneau
ibuprofène et voltaren : Selon un rapport de reuters – « l’utilisation à forte dose à long terme des analgésiques tels que l’ibuprofène ou le diclofénac est tout aussi dangereuse en terme de risque de crise cardiaque que l’utilisation du médicament Vioxx, qui a été retiré en raison de ses dangers potentiels »
interféron: le tueur silencieux
dommages au cerveaux et vie détruite
interféron
Les évenements indésirables graves du traitement interferon
interféron (betaferon, multiferon, avonex, roferon, pegasis…)
recours collectif
psychotropes : meurtres, suicides…dus aux médicaments
Que vaut la santé de quelques uns, au regard des profits de l’industrie pharmaceutique ? Rien, pour le Conseil d’Etat.
Le risque de syndrome de Stevens-Johnson ou de syndrome de lyell serait de 1 pour mille chez l’adulte et passerait à 1 pour 50 ou 100 chez l’enfant (moins de 16 ans).
tératogène, risque de fractures, méningites, risque de suicide…
On en fit une solution miracle à la maladie du sommeil générée par la fameuse mouche Tse Tse. Il se révéla, en réalité, être à l’origine d’un véritable scandale pharmaceutique, une affaire oubliée, voir même enterrée par les pouvoirs coloniaux dans les années 1950. Des grandes campagnes de « lomidisation préventive » massives aux effets secondaires de cette molécule inefficace et dangereuse, et aux premiers morts
danger !
Ce médicament antipaludique qui rend fou
l’Agence du médicament nie tout « lien établi »
La substance connue aussi sous le nom de largactile ou torasine est un neuroleptique d’ancienne génération, utilisé encore dans certains hôpitaux psychiatriques. Il a des effets désastreux sur l’organisme
fraude, suicide, dangers, prescription hors AMM, escroquerie
Enantone, « Lupron » (nom générique leuprolide / leuproréline, d’autres noms de marque sont Prostap, Enantone, Procrin, Lucrin) est « la superproduction », le plus prescrit, le nom de marque d’un seul « GnRHa ».Gonapeptyl, Décapeptyl, Diphéréline, Trelstar, Prostap, Procrin, etc
L’une de ces dangereuses conséquences est l’augmentation du risque de cancer associé à long terme à l’hormonothérapie.
L’utilisation de statines pourrait avec le temps promeut le cancer, l’insuffisance cardiaque
Quand les médicaments tuent : La cérivastatine, aurait fait 7 577 décès dans le monde
WorstPills.org
Public Citizen, un groupe de défense des droits des consommateurs américain, a écrit une deuxième lettre à l’intention de la Food and Drug Administration (FDA) réclamant l’interdiction de Crestor
les effets secondaires dangereux et débilitants
Le réseau international de cholestérol sceptiques
La vérité sur d’innombrables effets secondaires des statines
Voulez-vous savoir enfin avoir accès à une ANALYSE INDEPENDANTE des données de la science ?
Cholestérol et statines :  le grand mensonge
Atorvastatine : Tahor® Fluvastatine : Fractal®, Lescol® Pravastatine : Elisor®, Vasten® Rosuvastatine : Crestor® Simvastatine : Lodalès®, Zocor®
– Notre objectif est d’aider à arrêter ce inutile gaspillage de vies de personnes innocentes –
Les fluoroquinolones sont les medicaments antibiotiques les plus toxiques et dangereux dans la pratique clinique aujourd’hui
Autorisé chez l’adulte aux États-Unis en 1997, le Trovan a été retiré en 1999
réaction défavorable de medicament. Clofazimine, Loméfloxacine, Enoxacine, Norfloxacine, Moxifloxacine, Lévofloxacine, Ofloxacine, Ciprofloxacine, Péfloxacine, Acide pipémidique, Fluméquine, Acide nalidixique.
Le médicament anti-coagulant Dabigatran, vendu en Belgique sous l’appellation Pradaxa, a causé cinq fois plus de décès dans le monde que ce qu’a admis jusqu’ici son producteur, Boehringer Ingelheim.
XARELTO: un nouvel anticoagulant Bayer contesté : 58 décès en Allemagne
Bayer contesté  Les inquiétudes concernant la sécurité de l’anticoagulant Xarelto n’ont pas été dissipées. Les premières utilisations ont provoqué plusieurs décès. En outre, on a eu recours à des pratiques douteuses pour lancer le produit sur le marché. Il existe des craintes justifiées qu’un produit hautement risqué et trop cher, sans nouveaux bénéfices thérapeutiques, soit introduit sur le marché de force.
Alerte sur des médicaments anticoagulants
les danger de la toxicomanie au prozac
une drogue dangereuse
Le deroxat tuent les bébés
Les danger de l’effexor
Parmi les multiples scandales sanitaires qui surgissent de toute part et qui ne sont que la partie apparente de l’iceberg, on ne peut ignorer celui de l’hormone de croissance extraite de l’hypophyse de cadavres humains et administrée jusqu’en 1985 à 1 698 enfants, alors que l’on connaissait ses risques mortels. Évidemment, la plupart d’entre nous, excepté les familles des victimes, ont oublié les faits qui ont abouti, en octobre 2010, au dernier épisode de procès scandaleux. Quelque 1 698 enfants ont ainsi été traités, et 120 sont décédés depuis cette époque, après avoir développé une grave dégénérescence du système nerveux — les autres restant sous la menace de cette maladie incurable — pour la seule raison que s’il avait fallu détruire les lots contaminés la perte financière aurait été catastrophique.
L’hormone de croissance extraite contaminée par les prions
En fait, le THS accroît le risque de MCV, y compris celui d’accidents vasculaires cérébraux
les dangers
contrairement à ce que son nom laisse entendre, il ne contient pas que de l’ibuprofène, anti-inflammatoire non stéroïdien (par ailleurs néfaste pour l’estomac), mais aussi de la pseudoéphédrine. Il s’agit d’une molécule très proche de l’amphétamine. Par réduction alcoolique de pseudo-éphédrine, un chimiste amateur
NE PAS UTILISER !
Plainte pour génocide et autres crimes contre l’humanité
neuroleptiques : zyprexa, abilify, haldol, séroquel….
« Nous croyons qu’une pratique plus rationnelle de la psychiatrie éliminerait l’usage d’une médication si dangereuse. » professeurs Breggin et Cohen
le danger des neuroleptiques cachés : “Nous croyons qu’une pratique plus rationnelle de la psychiatrie éliminerait l’usage d’une médication si dangereuse.”
Pfizer a payé 83,6 millions $ au gouvernement fédéral et 68,4 millions $ pour les 50 États et le District de Columbia. En outre, Pfizer a accepté de payer aux États un total de 38 millions de dollars pour régler les
risque de suicide, prescription hors AMM…
 Le nimésulide (Nexen° ou autre) est un anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS) qui n’a pas d’avantage démontré en termes d’efficacité ou d’effets indésirables, notamment digestifs, par rapport aux AINS de premier choix tel que l’ibuprofène (Advil° ou autre). Mais il est à l’origine de troubles hépatiques parfois mortels, connus depuis de nombreuses années. Plusieurs pays ont retiré ce médicament du marché : Argentine, Belgique, Espagne, Finlande, Irlande,Singapour, etc
Le Noctran, un vieux médicament contre les insomnies, qui expose les patients à un cumul de risques d’effets indésirables, fait l’objet d’une mesure de retrait du marché qui “sera effective à partir du 27 octobre”, sur décision de l’agence du médicament (Afssaps).
D’autres hypnotiques sont visés
A l’exception possible de la chimiothérapie utilisée dans le traitement du cancer, il serait difficile d’identifier une classe de médicaments aussi toxiques que les antipsychotiques. Si l’on considère les effets des antagonistes de la dopamine sur le système nerveux central ou à l’extérieur, leur nocivité prouvée est une tragédie iatrogène trop souvent minimisé ou refusé. (page 214)
sont en train de tuer des milliers de personnes chaque année
Il est plus fort que l’héroïne et plus puissant que l’OxyContin
En Colombie-Britannique, il a tué près de 80 personnes en 2014 et était responsable pour un quart de tous les décès, de médicaments jusqu’à de seulement cinq pour cent en 2012. En Ontario, où 625 personnes sont mortes d’overdose aux opiacés en 2013, fentanyl a été impliqué dans 133 de ces cas et, chaque année, il tue maintenant deux fois plus que l’héroïne.
En 1997 les fenfluramines, rendues responsables aux Etats-Unis d’atteintes des valves cardiaques et d’hypertensions artérielles pulmonaires (HTAP), sont définitivement proscrites
Les décès d’overdoses de médicaments opiacés tels la morphine, la codéine, l’oxycodone (ex., OxyContin), l’hydrocodone (ex., Vicodin), l’oxymorphone (ex., Opana) et la méthadone
CANADA
MORTEL PRESCRIPTION de Oxycodone, Antalgique opiacé fort
  »39 embolies pulmonaires et 54 thromboses veineuses profondes »
La prise d’antalgiques légers (aspirine, anti-inflammatoires, mais aussi paracétamol) au cours de la grossesse constitue un facteur de risque d’anomalies du développement de l’appareil reproducteur des fœtus mâles
Première cause d’intoxication médicamenteuse en France.
Ce « médicament » pourrait vous tuer
Aux Etats-Unis, les overdoses de paracétamol envoient 55 000 à 80 000 personnes chaque année aux urgences, et en tuent 500, selon le Centre de contrôle et de prévention des maladies (Centers for Disease Control and Prevention)
traitement de l’ostéoporose post-ménopausique
« un médicament plus dangereux qu’utile »
Un médicament anti-allaitement sur la sellette
effets secondaires
Propecia, Proscar, (finastéride) : Traitement contre la chute de cheveux
Effets secondaires de propercia : impuissance, dysfonction érectile, baisse de libido, dépression, cancer de la prostate, suicide…
PROPECIAHELP effets secondaires info & forum
propecia
Parmi ceux qui souffrent de ces effets, on ne sait pas combien seront impuissants à vie
primperan (neuroleptique caché) interdit aux enfants Ce médicament contre les nausées et vomissements et ses génériques, sont désormais contre-indiqués chez les enfants et adolescents de moins de 18 ans.
L’ANSM rappelle que l’utilisation d’un médicament inhibant la lactation doit être réservée aux situations où l’inhibition de la lactation est souhaitée pour raison médicale
il faut désormais se protéger aussi des médicaments
Une nouvelle affaire de médicaments dangereux : De nombreux malades, atteints de la maladie de Parkinson, sont victimes des effets secondaires terrifiants de plusieurs médicaments. Didier Jambart réclame 450.000 euros de dommages « GSK ne pouvait pas l’ignorer ! ».Des centaines de personnes, en France, ces jours-ci, réalisent qu’ils ne sont ni fou ni pervers. Juste victime d’un médicament. La justice a finalement décidé de condamner le laboratoire GSK qui commercialise Requip® à 117.000 eurode dommages et intérêts
Les dangers de la ritaline
Le site officiel de Fred A. BaughmanJr., MD (Neurologue, Pediatric Neurology
Le docteur Block est un expert international
Les dangers de la ritaline
Parmi les 764 patients sous ® Risperdal, 29 cas d’événements AVC et d’AVC ont été vu, en plus de quatre décès
sa propension grave (30% des grossesses sous Roaccutane) et fréquente à provoquer des malformations congénitales chez la femme enceinte (depuis mars 1997
Le roaccutane, avant d’être un médicament anti-acné, était utilisé comme médicament lors de sessions de chimiothérapies lourdes (traitement contre le cancer).
l’histoire : Le médicament Accutane pour l’acné est l’un des plus dangereux produits sur le marché aujourd’hui.
association d’Héroïne et de Rohypnol : C’est le Rohypnol qui est dangereux !
le magazine a passé en revue 37 médicaments pour adultes qui revendiquent une action soit contre la toux sèche, soit contre la toux grasse, vendus en pharmacie sans ordonnance. Le verdict est sanglant : seule une minorité d’entre eux est recommandé, les autres étant jugés « sans intérêt ».
assimilé aux benzodiazepines
Les somnifères peuvent être dangereux pour votre santé ou causer la mort par cancer, une maladie cardiaque ou d’autres maladies.
La revue Prescrire demande le retrait de l’anxiolytique Stresam ®
Tamnbocor / flécaïnide : Médecine mortelle : pourquoi des dizaines de milliers de Patients cardiaques sont morts dans la pire catastrophe de médicament de l’Amérique Il s’agit d’un excellent compte rendu des effets de permettre la commercialisation des Tamnbocor (flécaïnide) comme un anti-arythmique issu des paramètres intermédiaires « de substitution ». Plus tard, il  y avait reconnaissance qu’en fait le médicament était associée à des taux accrus de mort cardiaque.
« Il n’est pas raisonnable d’exposer » les personnes atteintes de sclérose en plaques, « quelque soit la gravité de la maladie« , « aux nombreux effets indésirables graves » du natalizumab (Tysabri) et de l’alemtuzumab (Lemtrada) pour des bénéfices très incertains, estime la revue Prescrire dans son numéro de décembre.
tamoxifène provoque le cancer et l’EPA est au courant
Un médicament pour nous pigeonner
les effets indésirables l’emportant sur les bénéfices.
Si le Tamiflu n’est pas plus efficace que le paracétamol, il faudra se demander un jour pourquoi et dans quelles conditions le gouvernement français en a acheté 24 millions de doses
En tout, depuis 2001, 67 Japonais sont morts après avoir avalé du Tamiflu
Le Tramadol, un médicament qui remplace le Di-Antalvic, aurait des effets secondaires importants. Cet antidouleur provoquerait notamment une forte addiction, révèle ce mercredi Le Parisien.
je voulais souligner la dangerosité du tramadol, en général et essentiellement chez les personnes âgées.
Nous avons ainsi voulu parler aujourd’hui de deux médicaments opiacés, la codéine (neo-codion, dafalgan et efferalgan codeiné, Tussipax, padéryl, etc) et le tramadol (Ixprim, Zumalgic, topalgic, contramal, zaldiar, etc). Ils ne font pas de bruit, mais de plus en plus de personnes parlentt de leurs difficultés avec ces substances sur  le forum Psychoactif (forum vendu aux médecins et aux labos !) d’où nous avons extrait les témoignages ci-dessous. Ces opioïdes, analgésiques de niveau II, sont d’accès facile, en vente libre pour la codéine et prescrit facilement par les médecins pour le tramadol (comme pour les règles douloureuses ou les douleurs dorsales par exemple).
C’est un analgésique morphinique qui la particularité d’inhiber la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline, ce qui modifie le tableau de l’intoxication (agitation, confusion, tachycardie, poussées hypertensives, convulsions).
La balance bénéfices-risques du traitement hormonal substitutif de la ménopause est défavorable en raison d’un risque accru cardiovasculaire et de cancers du sein. Il expose aussi à un risque de cancers de l’ovaire.
Les effets secondaires des médicaments Uloric comprennent l’arrêt cardiaque ou la mort
votre enfant sera la prochaine victime de ce vaccin mortel
Stop gardasil
“Vaccination, Le Génocide Silencieux”
liens et vidéos d’informations vaccins
Il est estimé par la FDA que le plus de 140000 Américains ont été blessés et plus de 50000 Américains sont morts après la prise de Vioxx. Dr. Compter que la mort “est l’équivalent de la guerre du Vietnam
La FDA est responsable de 140000 crises cardiaques et 60000 morts Américains.C’est un plus grand nombre de personnes qui ont étés tuées que dans la guerre du Vietnam
Les coxibs tuent des miliers de personnes
Le celebrex aurait tué 75 000 personnes
selon le livre : remèdes mortels et crime organisé du professeur peter Gotzsche
les essais cliniques n’ont pas démontré d’efficacité du célécoxib supérieure à celle d’un AINS classique
ATTENTION: Si vous prenez actuellement les médicaments Celebrex, il est possible que vous risquiez de graves problèmes de santé, notamment la crise cardiaque et accident vasculaire cérébral
syndromes parkinsoniens imputables à la trimétazidine
La trimétazidine (Vastarel° ou autre) reste commercialisée malgré son absence d’efficacité clinique tangible et ses nombreux effets indésirables. Sa dispensation nécessite désormais une prescription médicale ; il vaut mieux la retirer du marché.
Voltaren, pennsaid (diclofenac) / AINS : comporte des risques d’importants effets secondaires cardiovasculaires quasiment identiques à ceux du .Vioxx
Des chercheurs réclament le retrait d’un médicament antidouleur couramment utilisé partout sur la planète, en raison d’un risque élevé de crise cardiaque et d’autres problèmes cardiovasculaires.
Le diclofenac, un médicament anti-inflammatoire non stéroïdien (ou AINS), est souvent prescrit pour soulager la douleur et réduire l’inflammation provoquées par l’arthrite.
voltarène / diclofénac  / AINS
morts massives des vautours
Viagra (citrate de sildénafil),
Une étude publiée en Mars 2000 a révélé que sur les 1473 événements indésirables rapportés de la FDA dans les deux ans, 564 décès Viagra ® ont été signalés. La plupart de ces décès ® Viagra ont été causés par des complications cardiovasculaires.
il a un «risque accru de causer des dommages importants pour le patient». Sa dangerosité a encore été soulignée par la FDA, qui a inclus le «Diluant du sang»  certaines des contre-indications et avertissements les plus sérieux tels que les saignements intracrâniens et gastro-intestinaux. Xarelto est également dangereux en raison d’un risque sérieux de paralysie permanente
Ici, en plus de rappeler les liaisons dangereuses entre certains médecins et l’industrie pharmaceutique, le médecin pointe du doigt les nouveaux anticoagulants oraux (les NACO, dont Pradaxa®, Xarelto® et Eliquis®) et les antiagrégants plaquettaires (AAP).
les résultats des essais cliniques menés sur les NACO ne sont pas fiables, car menés « sur des malades idéaux, sélectionnés, et non représentatifs de la population générale. » Sauf qu’en réalité, cette méthode est la base de tous les essais cliniques donnant lieu à une autorisation de mise sur le marché, pour éviter les biais
Ce traitement a été prescrit à 10 700 personnes depuis sa mise sur le marché au Japon le 19 novembre 2013. Les causes des 17 décès comprennent notamment des infarctus du myocarde, embolies pulmonaires et suffocations après vomissements. Dans de nombreux cas, les décès sont survenus environ 40 jours après les injections du médicament.
LES MEDICAMENTS LES PLUS DANGEREUX : Les antibiotiques, Les corticoïdes ou corticostéroïdes, Les Barbituriques, Les tranquillisants
Produit cancérigène de première catégorie et perturbateur endocrinien puissant prescrit à des jeunes femmes en parfaite santé, des milliers de Françaises subissent des problèmes de santé graves à cause d’elle chaque année. Certaines en meurent. Sans parler des millions d’autres à qui elle gâche la vie à cause de ses effets secondaires « bénins » : dépressions, migraines chroniques, prise de poids ou baisse de libido.
On la suspecte aussi de jouer un rôle dans les épidémies de cancer du sein, d’infertilité et de maladies auto-immunes qui explosent ces dernières décennies. La science, censée nous en informer, se révèle plus que défaillante en la matière. Pendant ce temps-là, une industrie multimillionnaire prospère.
les effets secondaires potentiellement mortels, y compris les attaques cardiaques, les AVC, la maladie de la vésicule biliaire, la thrombose veineuse profonde (TVP) et l’embolie pulmonaire (EP)
danger !
En Grande-Bretagne, 57 décès ont été rapportés chez des personnes suivant un traitement au Zyban
un taux de mortalité plus élevé sur Zyprexa que sur toute autre antipsychotiques jamais enregistré
« Ex membre de la FDA Dr David Graham, qui a sonné l’alarme sur le Vioxx, a déclaré au Congrès que les neuroleptiques atypiques comme le Zyprexa tuent quelques 62000 personnes par an dans des utilisations non approuvées »
Le Dr David Healy, psychopharmacologiste, expert internationalement reconnu, a fait remarquer que le taux de suicide, de mort et de tentatives de suicide liées au Zyprexa ayant eu lieu pendant les essais cliniques de pré-commercialisation a été “le plus élevé que tout autres médicaments psychotropes dans l’histoire
. . .
L’histoire :
l’histoire de la mafia médicale
Origine et histoire
L’industrie pharmaceutique mène une guerre implacable, au budget colossal, aux manœuvres impitoyables, aux techniques innombrables, contre nos santés. Une histoire des médicaments…
Depuis plus de 30 ans, la « Coordination contre les méfaits de Bayer », basée à Düsseldorf, non loin du siège de l’entreprise, passe au crible les activités de la multinationale allemande
On aurait pu penser, qu’après la fin de la guerre, en raison de leur participation à l’assassinat des millions de personnes à Auschwitz, les membres du conseil d’I.G. Farben auraient été « condamnés » par les entreprises pharmaceutiques US. Rien n’aurait pu être plus explicite. Avez-vous déjà entendu parler de Bayer Corporation ? En 1956, Bayer a nommé Fritz ter Meer, d’I.G. Farben , ( criminel de guerre reconnu coupable au procès de Nuremberg par les membres du jury pénal), comme président de son conseil d’administration. (Joseph Borkin, Le Crime et la Répression d’IG Farben )
pas besoin des médicaments
Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, Médicaments | 13 commentaires

Iatrogènie (maladies et morts provoqués par les medecins) : 4 000 000 morts par an, en Europe par les médicaments ?

LE SYNDROME PARKINSONIEN, LA DYSKINESIE, LA FIBROMYALGIE, ALZHEIMER, LE SYNDROME DES JAMBES SANS REPOS, L’AKATHISIE, LA SCLEROSE EN PLAQUE, LES SYNDROMES PROLONGES DESEVRAGE, L’INSOMNIE CHRONIQUE, LE DIABETE, LA DEMENCE, LA DEPRESSION, LA BIPOLARITE, L’AUTISME, LE CANCER, LA CASTRATION CHIMIQUE, LA NARCOLEPSIE, LE SYNDROME DE STEVENS-JOHNSON, LA MIOFACIITE A MACROPHAGE,LE TDAH, LA DYSTONIE, LA FATIGUE CHRONIQUE, LA MALADIE DE PARKINSON, LA PSYCHOSE, LES HALLUCINATIONS, LA PHOBIE SOCIALE, LES AVC, LES ACCIDENTS CARDIOVASCULAIRES, L’ALCOOLISME, LE SYNDROME SEROTONINERGIQUE, LE SYNDROME MALIN DES NEUROLEPTIQUES, L’EPILEPSIE, L’HYPERTENSION… SONT DES EFFETS COURANTS DES MEDICAMENTS OU VACCINS, QUI, LE PLUS SOUVENT, NE SERVENT A RIEN
Le taux de mortalité lié aux prescriptions de médicaments est 10 fois plus élevé que dans les pays voisins et un étonnant 20 à-50 fois plus élevé chez les personnes âgées de plus de 75 ans
maladies et morts provoqués par le médecin
200.000 morts par an en Europe par les médicaments ! (déclarés)
Mais « Les différents pays européens ne remontent qu’1 à 10% des cas. » soit environ 4 000 000 morts par en Europe par les médicaments (si 5% sont déclarés) ?
« La médecine conventionnelle est une «machine à tuer» »
« la médecine conventionnelle est aujourd’hui la principale cause de décès ! «
car cette industrie tue un gigantesque paquet de monde par toutes ses fraudes.. et la pile de cadavres est bien supérieure au camps de la mort, même si cela vous semble impossible »
Dans les faits, le système pharmacologique et médical moderne s’octroie la première place au palmarès des causes de décès aux Etat Unis.
la médecine moderne est devenue à présent la source primordiale des maladies.
Quand la médecine rend malade
la médecine est le premier vrai danger pour la santé
Les effets indésirables graves (RMIS) sont une cause majeure de morbidité et de mortalité dans le monde entier. Certains EIG peuvent être prévisibles, sur la base pharmacodynamiques et pharmacocinétiques…..L’incidence globale des EIG chez les patients hospitalisés aux États-Unis a été estimé à 06/02 à 06/07% et l’incidence des effets indésirables mortels est estimée à 0,15-0,3% (REF. 2 ). Cela se traduit par plus de 2 millions EIG estimés chez les patients hospitalisés chaque année, avec plus de 100.000 morts, ce qui rend ces réactions comme une des causes ies plus mportantes de décès aux États-Unis. Des études en Europe et en Australie ont donné des estimations semblables 3 . Le fardeau des coûts résultant est énorme, ce qui représente des dizaines de milliards de dollars, et a un impact sur les deux l’industrie pharmaceutique internationale des soins de santé et
« Les effets indésirables [des médicaments (sauvegarde) ont atteint des proportions épidémiques et augmentent deux fois plus vite que le nombre de prescriptions. La Commission européenne a estimé en 2008 que les effets indésirables tuent 197 000 citoyens de l’UE chaque année, pour un coût de 79 milliards d’euros ».
Les effets bénéfiques des médicaments psychiatriques sont si minces, dit-il, qu’il serait possible d’arrêter l’utilisation actuelle presque complètement sans causer de dommages. Il recommande d’arrêter l’utilisation de tous les médicaments antidépresseurs ainsi que ceux du TDAH et de la démence, et de prescrire seulement une petite fraction des antipsychotiques et des benzodiazépines utilisés actuellement.
Chaque année, dans les seuls hôpitaux, il ya 28.000 cas de coeur toxicité mortelle de réactions indésirables à la digoxine, la forme la plus couramment utilisée de la digitaline (médicaments qui régulent la vitesse et la force de battements cardiaques) chez les personnes âgées. 2 Depuis le plus grand nombre 40% ou plus de ces gens utilisent ce médicament inutilement (voir la discussion sur la digoxine), nombre de ces blessures sont évitables.
Chaque année, 41.000 personnes âgées sont hospitalisées et 3.300 d’entre eux meurent-des ulcères causés par les AINS (anti-inflammatoires non stéroïdiens, habituellement pour le traitement de l’arthrite). 3 Des milliers de jeunes adultes sont hospitalisés. (Voir liste des médicaments qui peuvent causer des saignements gastro-intestinaux.) Au moins 16.000 blessures dus aux accidents d’automobiles chaque année impliquant des conducteurs âgés sont attribuables à l’utilisation de substances psychoactives, en particulier les benzodiazépines et les antidépresseurs tricycliques. 4 drogues psychoactives sont ceux qui touchent l’esprit ou le comportement. (Voir liste des médicaments qui peuvent causer des accidents d’automobile.)
Chaque adultes année 32.000 âgées souffrent de fractures de la hanche attribuables à des chutes induites par les médicaments, entraînant plus de 1500 décès. 5, 6 Dans une étude, les principales catégories de médicaments responsables des chutes entraînant des fractures de la hanche ont été somnifères et tranquillisants mineurs ( 30%), antipsychotiques (52%) et les antidépresseurs (17%). Toutes ces catégories de médicaments sont souvent prescrits inutilement, surtout chez les adultes plus âgés. (Voir la section sur les somnifères et les tranquillisants, médicaments antipsychotiques et antidépresseurs; vous pouvez aussi consulter la liste des médicaments qui peuvent causer des fractures de la hanche en raison de chutes induites par des médicaments.)
Environ 163.000 Américains âgés souffrent de déficience mentale grave (perte de mémoire, la démence) soit causé ou aggravé par des médicaments. 7, 8 Dans une étude dans l’État de Washington, dans 46% des patients atteints de déficience mentale induite par le médicament, le problème était causée par tranquillisants mineurs ou des somnifères; à 14%, par des médicaments de l’hypertension artérielle; et à 11%, par des médicaments antipsychotiques. (Voir liste des médicaments qui peuvent causer ou aggraver la démence.)
Américains Deux millions de personnes âgées sont accros ou au risque de dépendance aux tranquillisants mineurs ou des somnifères parce qu’ils avaient utilisé quotidiennement pendant au moins un an, même si il n’y a aucune preuve acceptable que les tranquillisants sont efficaces pendant plus de quatre mois, et le sommeil pilules pour plus de 30 jours. 9
Drug-induced dyskinésie tardive a développé dans 73.000 adultes plus âgés; cette condition est la réaction indésirable la plus grave et commune aux médicaments antipsychotiques, et il est souvent irréversible. La dyskinésie tardive est caractérisée par des mouvements involontaires du visage, les bras et les jambes. Environ 80% des personnes âgées recevant des médicaments antipsychotiques ne souffrent de schizophrénie ou d’autres conditions qui justifient l’utilisation de ces médicaments puissants, beaucoup de ces patients ont des effets secondaires graves de médicaments qui ont été prescrits de façon inappropriée. 10 (Voir liste des médicaments qui peuvent causer la dyskinésie tardive ou d’autres troubles du mouvement.) Le parkinsonisme d’origine médicamenteuse a développé ches 61.000 adultes plus âgés aussi en raison de l’utilisation de médicaments antipsychotiques tels que l’halopéridol (HALDOL), la chlorpromazine (Thorazine), la thioridazine (Mellaril), la trifluopérazine (STELAZINE), et la fluphénazine (Prolixin). Il existe d’autres parkinsonisme inductrices médicaments ainsi, comme le métoclopramide (REGLAN), prochlorpérazine (COMPAZINE), et la prométhazine (PHENERGAN), prescrit pour des problèmes gastro-intestinaux. 11 (Voir liste des médicaments qui peuvent causer la maladie de Parkinson.)
antidepresseurs, benzodiazépines, neuroleptiques….
Le premier est le facteur nutritionnel, le deuxième est le facteur activité physique, le troisième est le facteur intoxication : le tabac, les polluants aériens, les polluants nutritionnels – les pesticides –  et surtout les médicaments. Les médicaments représentent le principal agent d’intoxication qui favorise les maladies cardiovasculaires. Et enfin le quatrième facteur est ce que j’appellerai les conditions d’existence, les difficultés de la vie (familiale, professionnelle) ou le stress (et inversement notre aptitude à surmonter ces difficultés) ce que j’appelle dans mon livre le sens de notre vie…
La FDA est simplement une branche criminele d’un gouvernement fédéral qui est devenu une menace pour les personnes mêmes qu’il est censé protéger et servir
« seul un pays authentiquemement moderne était capable de traiter les vieillards comme de purs déchets »
Des victimes par dizaines de milliers du fait de médicaments dangereux mis sur le marché par des laboratoires sans scrupules pour des profits maxima. Décidemment la « pilule » ne passe plus
actionminddrugs
Ensuite, lorsque vous ajoutez le mal prescrits des médicaments à ce qui ne sont pas pris correctement, c’est une autre 80.000 morts , ce qui en fait le leader troisième cause de décès
Au cours des 10 dernières années, il a été estimé que la médecine a blessé 191 millions d’Américains et tués plus de 8 millions – plus de la totalité des pertes américaines à l’ensemble de nos guerres mondiales combinées
« La personne qui a le plus de probabilité de vous tuer n’est pas un parent ou un ami ou un agresseur ou un cambrioleur ou un conducteur ivre. La personne qui risque le plus probablement de vous tuer est votre docteur »
Et cependant, la FDA continue à dealer encore plus de médicaments auprès des Américains, battant tous les précédents records en la matière, tout en prétendant que ces substances seraient efficaces et inoffensives
L’association Iatrogenic américaine est consacrée à l’étude et au reportage sur les erreurs médicales qui mènent à la maladie et à la mort
des drogues psychiatriques qui ne sont pas seulement inefficaces mais toxiques et trop souvent mortelles
AMESSI
L’experimentation médicale humaine à l »époque moderne
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) estime que 33% des maladies d’aujourd’hui sont causées par un traitement médical ou le médecin iatrogène (c’est-à-dire maladie induite par le medecin.)
La seule « mortalité par cancers liée à l’irradiation médicale à visée diagnostique est estimée à 3 000-5 000 /an, dont une partie évitable ».
144 000 hospitalisations par an sont causées par ce qu’on appelle la iatrogénie médicamenteuse
Meurtre ou erreur?
Ci-dessous, il est spécifiquement démontré que les accusés entretiennent et répandent délibérément les maladies contemporaines les plus communes en dépit du fait que ces maladies auraient pu être efficacement guéries
médecine dangereuse. Natural news
100.000 personnes sont tuées et plus de 2 millions de personnes mutilées et handicapées chaque année.. par la médecine moderne (aux USA)
Chaque hôpital doit avoir un avertissement de santé sur son entrée
Aujourd’hui, les médecins et les infirmières doivent porter un avertissement danger pour la santé apposé sur leurs fronts
Près de 400 de ces accidents seraient évitables, avance une étude nationale.
sylvie Simon
OMS : Médicaments: sécurité et effets indésirables

  • Les réactions nocives et inattendues aux médicaments (que l’on appelle effets indésirables) font partie des principales causes de mortalité dans de nombreux pays.
  • On peut éviter la majorité des effets indésirables aux médicaments.
  • Toutes les populations du monde sont touchées par ces effets indésirables.
  • Dans certains pays, les dépenses qu’entraînent les effets indésirables, frais d’hospitalisation, de chirurgie, perte de productivité, dépassent les coûts des médicaments.
  • Aucun médicament n’est dépourvu de risque. La sécurité des patients passe par une évaluation attentive des risques et des bienfaits des médicaments.
le médecin est la personne qui risque le plus de vous tuer
Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, Médecine, Médicaments | 3 commentaires

Quelques sites, blogs, vidéos …de victimes

Mon travail que je fais pour Sarina et tous les autres qui sont là-bas, ont été et pourraient être les victimes innocentes de ces drogues mortelles
A la mémoire d’anabelle Morin
site mémorial pour les victimes et leurs familles
autres sites
Lauren
Le 15 Juillet 1974, mon fils Franck décédait le jour de ses dix ans dans une ultime crise d’asthme et suite à un surdosage de théophylline dû à une erreur de délivrance de suppositoires « adultes » au lieu et place « d’enfant »
victime des médecins et de leur médecine
A présent, je souffre d’une atteinte sur tout le long du plexus brachiale et en pleine évolution suite à un liquide toxique (Chlorure de potassium, toxique à l’organisme humain) injecter par ERREUR
A ce jour j’ai perdu 90 % de ma vue au deux yeux, je ne supporte plus la lumière du jour ou du soleil, je garde des séquelles physiques, oculaires et morales
Ces pages ont été réalisées en hommage à mon bébé de 8 mois disparu le 23 décembre 1998 à l’hôpital de Nantes, aprés 5 semaines d’hospitalisation et une succession d’infections nosocomiales (une grippe, une bronchiolite et une gastro-entérite
a la mémoire de Kaitlyn Sierra Langstaff
Le site de Charly Groenendijk
base de données mondiale de certaines des victimes de l’Ambien, Ambien CR et Zolpidem
Enantone, « Lupron » (nom générique leuprolide / leuproréline, d’autres noms de marque sont Prostap, Enantone, Procrin, Lucrin) est « la superproduction », le plus prescrit, le nom de marque d’un seul « GnRHa ».Gonapeptyl, Décapeptyl, Diphéréline, Trelstar, Prostap, Procrin, etc
Comment Cipro et Flagyl vous tue
victime des antibiotiques quinolone : LA JOIE DE VIVRE EMPOISONNÉE Sachant qu’entre 30% et 40% des preneurs de quinolones souffrent des effets advers, où sont-ils? Chez leurs médecins, à renouveler leurs ordonnances pour d’autres poisons afin de « soigner » (je plaisante, bien sûr) leurs fibromyalgies, dépressions, schizophrénies, insomnies, arthroses, angoisses, migraines, bronchites, problêmes cardiacs et n’importe quoi, voilà où ils sont. Ils ne savent pas d’où viennent leurs « maladies »; ils ne savent pas que presque toutes sont une seule maladie, celle de Big Pharma
parlons statines (anglais)
Le site de phil
Mon histoire de statine. Effet secondaires
le site du Dr Graveline victime du lipitor (statine)
Le responsable de votre pharmaco-vigilance m’a dit qu’il n’avait rien à faire de la mort d’Alexandre, avant de nous raccrocher au nez ! Voilà ou est l’ethique des laboratoires Pierre Fabre
la vie et de la mort de Tal
Le blog de david de Madrid (Espagne)
Le site de ray Nimmo
Le site de Colin Downes-Grainger
Audrey (France)
le site de sandy
le site de ross
Le site de corinne (France)
Le site du docteur reag Peart
Le site de pam Amstrong
Le site de Sue Bibby
le site de Will
Le site de Betty Foote
Benzo Aren’t Us
Non Aux Benzodiazépines (France)
Carol’s blog (Suisse)
France
Brain Underwood : sevrage des benzodiazépines, bienvenu en enfer
le blog de marianne (France)
Les médecins qui m’ont prescrit des benzodiazépines ne m’ont jamais averti des dangers associés à l’usage de ces médicaments et des risques de dépendance dans le cas d’une utilisation prolongée
Le site de catherine
Le site de
Les secrets du deroxat
Justice pour Seroxat /Déroxat/ Paxil / Paroxétine utilisateurs
ils sont certainement conscients du fait que ce médicament doit être tiré d’urgence? comment pouvez-vous dormir la nuit ?
mort par deroxat / paxil
Ce site est un mémorial à Matt Burne, un homme de 37 ans chef d’entreprise prospère
David Carmichael
famille Crespi
Seroxat WEBLOG Nouvelles et opinions sur Seroxat / Paxil / Paroxetine
thepaxilprotest : protestations déroxat / paxil
Ce site web est dédié à mon défunt frère Sharise Gatchell
PAXIL WITHDRAWAL HELL’vidéo)
mon cauchemar : le deroxat (vidéo)
In Memory of Indiana (en mémoire d’indiana
In Memory of Matthew Schultz (en mémoire de matthew
Ma fille avait 15 ans lorsque, à mon insu, on lui a prescrit un antidépresseur et un antipsychotique suite à une opération au genou. Ce fut le début d’un long cauchemar qui l’amènera jusqu’au suicide
site a la memoire de kate 16 ans
en memoire de Christopher Pittman agé de 12 ans
Pour woody victime du zoloft a 37 ans
benzoinfo
Le site de jane
Mourir sur Internet La navrante et triste histoire de Brandon Carl Vedas
à la mémoire de notre fils Matthew 14 ans
En mémoire de Christophe
NON AUX ANTIDEPRESSEURS (France)
Le blog de yagmur (Turquie en français)
Kurt Danysh
le site de gianna kali
Le blog de daniel
Pour les Parents qui ont perdu un enfant par la tragédie du Suicide
France
Publié dans La médecine qui tuent, Médicaments | 2 commentaires

Quelques maladies

« Je ne suis pas étonné d’entendre dire que la plupart des oncologues ne laisseraient pas des membres de leur famille suivre ces traitements … »
Les traitements les plus populaires contre l’ostéoporose sont, en fait, dangereux pour la santé de la femme – on sait que l’oestrogène de synthèse est carcinogène
J’accuse ! le Pr. François Bernard Michel, le Pr. Godard et l’association Asthme et allergies de ne servir que les intérêts financiers des grands laboratoires pharmaceutique
L’argent des laboratoires est partout et sert à financer la corruption des « hommes clés » pour leur permettre d’accéder au pouvoir et de renvoyer l’ascenseur. Quand ils n’installent pas dans les postes clé de l’État, directement des hommes à eux
Seuls certains médicaments diminuent efficacement le cholestérol, mais ni la mortalité cardio-vasculaire, ni la mortalité totale n’ont été améliorées avec des médicaments dont le seul effet est de réduire le cholestérol. Au contraire, ces médicaments so
on risque d’en tuer plus que l’on n’en sauve
une grande fréquence de mammographies : un risque accru de cancer
Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, Médecine, Médicaments | 1 commentaire

Quelques associations de victimes de la médecine sur le net

Chaque année en France, 200 patients* atteints d’un cancer meurent, non pas à cause de leur maladie, mais à cause d’un médicament anticancéreux, le 5-Fluorouracile (5-FU), qui s’est avéré toxique pour eux car ils présentaient un déficit enzymatique, le déficit en DPD (Dihydropyrimidine déshydrogénase)**
Cette association a été créée par nous, deux jeunes filles touchées par le vaccin ( Julie et Mélanie ) et leurs mamans.
groupe facebook
Nos filles sont en danger
Espagne
Quand la pilule tue
association des blessés par la drospirénone
pilules contraceptives ( Allemagne)
Association d’Aide aux Parents d’Enfants victimes du Syndrome de l’Anti-Convulsivant (dépakote, dépakine….)
Pourquoi parler du scandale du syndrome de l’anti-convulsivant ? Pour deux raisons simples :
1- les connaissances autour des effets tératogènes du valproate de sodium remontent au début des années 80, mais ne sont prises en compte en France qu’en 2008 !
2- encore aujourd’hui, de nombreuses femmes donnent naissance à des enfants atteints par manque d’information.
est le Réseau d’Entraide, de Soutien, d’Informations sur la Stérilisation Tubaire en France
l’industrie pharmaceutique intervient également dans le financement d’associations de malades, au point, parfois de les créer de toutes pièces.
antibiotiques ibuprofen allopurinol sulfamides paracétamol lamotrigine
Syndrome de Stevens-Johnson / nécrolyse épidermique toxique
lors de l’accouchement
au 36/02/2016 : 1091 victimes dont 177 morts
APVPC (Association des patients victimes potentielles de la cérivastatine): 400 PLAINTES
L’organisation a été créée en 1998 et composée d’individus et de familles de personnes qui ont souffert, et dans bien des cas, continuent de souffrir des effets secondaires graves, y compris des troubles psychiatriques, les tentatives de suicide, des idée
France
Association des victimes du Roaccutane et génériques (isotrétinoine) Suisse
Le but d’HHORAGES-France, c’est d’établir la relation de cause à effet entre la prise d’hormones sexuelles de synthèse lors des grossesses et tous les troubles générés, à plus ou moins long terme, chez les enfants issus de ces grossesses.Nous mettons l’accent en particulier sur les troubles psychiques : dépressions récurrentes, anorexie, boulimie, maniaco-dépressions, schizophrénies associés ou non à des dysfonctionnements et/ou malformations.
DES france
Les filles DES
Informations à propos du Distilbène
Les experts évaluent à 160 000 le nombre d’enfants exposés pendant la grossesse
neuroleptique caché
10 ans apres son intediction des millers de femme souffrent toujours des effets secondaire de l’isomeride
association de victimes de tous les analogues agonistes GnRH
l’intérêt financier du médecin en question est opposé à l’intérêt de la santé du patient
Le plus grand problème de drogue das le monde !
BCNC (england)
TRANX Australie
CITA
benzo group support site
BAT
Avril a été fondée par Millie Kieve qui a commencé ses recherches pour obtenir des renseignements sur les réactions indésirables aux médicaments (ADR), après la mort de son Karen fille en 1995
prozac survivor
paxilprogress
seroxatusergroup
the effexoractivist
FQ victims
Nombre de victimes graves chaque année : 30000.- Nombre de victimes mortelles chaque année : quelques
victime de la barbarie médicale
maladies de la guerre du Golfe
Environ 15000 personnes regroupées en 15 associations sont devant le tribunal de Paris contre les personnes
alliance international
les survivants
Nous sommes nés sans membres, avec des membres foreshortened, avec des déficiences de l’audition et
La Société de la thalidomide a été formé au Royaume-Uni en 1962 par les parents des enfants déficients de la thalidomide dans le but d’aider et de soutenir les familles touchées et à faire campagne pour le soutien du public et la reconnaissance…
La thalidomide est un handicap du fait de l’homme par un médicament, ce qui aurait pu être facilement évitée si les fabricants et les fournisseurs ont effectué les tests adéquats sur la drogue
Brésil
Allemagne
Espagne
Suède
Ce site est un lieu pour les gens à se rendre pour obtenir les dernières nouvelles, et de prêter leur voix à la lutte
France (sauvegarde)
Le LIEN est une Association visant à aider les victimes d’infections contractées dans une clinique ou un hôpital
Quebec
dentiste sans frontiere
PsychRights®
MindFreedom international
France
5 500 victimes de surirradiation au service de radiothérapie
sauvegarde
 stop lariam (contre le paludisme)
La FDA approuve les changements d’étiquette pour le chlorhydrate de méfloquine antipaludique en raison des risques de graves psychiatrique et effets secondaires du nerf.
L’ARACHNOIDITE PERIMEDULLAIRE, UNE COMPLICATION SEVERE ET TARDIVE DE L’ANALGESIE PERIDURALE
une liste de liens avec de vraies informations non biaisées par le crime médical organisé
Les vaccins sont inefficaces et dangereux!
informations sur les vaccins
vous informer sur les vaccins avec le maximum de références scientifiques
L’association REVAHB (Réseau vaccin Hépatite B) regroupe les victimes du vaccin contre l’hépatite B. Notre association a été créée en février 1997 grâce au journal « Alternative Santé »

victimes du vaccin hépatite B :Interviews vidéo du Dr Berthoud, de Sylvie Simon, Michel Georget et Edith Gallay

STOP MED TORTURE MAIN
Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, Médicaments | 1 commentaire

Quelques forums de victimes

douleurs musculaires et articulaires, fibromyalgie, vertiges, neuropathies, troubles neurologiques, visuels, endocriniens (hypophyse, thyroïde, ovaires), cardio-vasculaires, (auto)immunes, diminution des capacités intellectuelles, dépression…
 en plus persistante des problèmes sexuels, il ya des problèmes cognitifs persistants centrale et des préoccupations de la dépression persistante.
Le finastéride peut augmenter le risque de haute qualité CANCER DE LA PROSTATE
anglais, français espagnol
France
isotrétinoïne
anglais
2082 membres (anglais)
ISRS et toutes antidépresseurs
forum d’entraide en anglais
Forum de discussion sur les effets indésirables des antibiotiques quinolones
Norfloxacine Zoroxin® Pefloxacine Peflacine® Ofloxacine Tarivid® Ciprofloxacine Ciproxine
anglais
fluoroquinolone Antibiotic Victim Community
deroxat : paxilprogress – Paxil Withdrawal – Paxil Support
effexor activist
mad seroxat
anglais
anglais
site et forum de soutient pour le sevrage aux benzodiazépines
bienvenue sur benzoisland où nous nous consacrons à aider les individus qui souhaitent se libérer d’une dépendance aux benzodiazépines.
uniquement pour les syndromes prolongé de sevrage aux benzodiazépines (plus de trois ans)
Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, La médecine qui tuent, Médicaments | Laisser un commentaire

Les pétitions des victimes de la médecine sur internet (souvent censurée)

elles sont hautement addictives, neurotoxiques, et malgré cela, prescrites sans prudence et sans contrôle, à travers le monde.
Cette pétition est destinée a porter des accusations criminelles contre GlaxoSmith Kline. Les médicaments fabriqués ont causé de nombreux morts parceque les dangereux effets secondaires n’ont pas été mentionnés.
Nous, soussignés, demandons à l’Organisation mondiale de la santé à lancer une enquête impartiale et globale sur les dommages causés par des doses thérapeutiques de statine.
Pétition internationale benzodiazépine (somnifères et anxiolitiques)
Il s’agit là d’un problème mondial de proportions épidémiques
Ceci passe par la reconnaissance de la sévérité et la durée du syndrome de sevrage aux benzodiazépines, qui est totalement nié à la fois par les professionnels de santé et par les autorités françaises
interdire immédiatement le zolpidem (silnox), la zopiclone (imovane) et toutes les autres benzodiazépines hypnotiques pour le traitement de l’insomnie et autres troubles liés au sommeil.
Ma campagne est de transmettre un projet de loi qui deviendra finalement Sarina’s Law.
pour l’interdiction de l’oxycontin
inutile mais dangereuse
docteur Rath
France
un cauchemar vivant
Veiller à ce que la santé et la sécurité des personnes, soit la première priorité avant les médicaments et avant que les médicaments ne soient vendus à au grand public.
pétition public cytizen
Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, Médicaments | Laisser un commentaire

Quelques sources

Tout les sujets importants de santé. Médicaments, cancer, sida, hopitaux, vaccins, médecins, ritaline
LA MEILLEUR INFORMATION MONDIALE. Public citizen, organisation d’intéret public sans but lucratif. Nos médecins et pharmaciens analysent les données propres de la FDA. Notre conseil : NE PAS EMPLOYER 214 médicaments comprenant
L’association Iatrogenic américaine est consacrée à l’étude et au reportage des erreurs médicales
Depuis le début des années 1970, le docteur Peter Breggin a été trés actif comme expert médical
Ce site explore les menaces à la sécurité publique et la liberté académique entourant les ISRS du groupe
Un groupe de médecins, des chercheurs, des journalistes et des citoyens concernés consacré à l’éducation
Psychiatric Medication Awareness Group
solutions de santé
Index des medicaments. Premier site mondial
Les droits de l’homme, la dignité et le bien-être des sujets humains doivent etre protégés
La Commission européenne persiste à faire passer l’intérêt des firmes pharmaceutiques avant la santé publique
Les liens
Une organisation à but non lucratif internationale pour chaque personne intéressée à améliorer la santé.
une information sur les medicaments.
Liens medicaments
Expression libre sur la santé et tous les lobbies et conflits d’intérêts qui la mettent en danger.
25000 articles sur la santé
L’information des consommateurs sur les médicaments dangereux et les erreurs de médication
La médecine autrement : les sites.
Nous sommes un groupe qui représente aujourd’hui quelques dizaines de milliers de personnes en France. Ce groupe est composé de scientifiques (physiciens, biologistes, chimistes, …), de médecins (du professeur de faculté au généraliste),
Afin d’être en conformité avec la loi française:
Nous vous signalons que vous ne devez tenir aucun compte de tout ce qui est dit dans ce blog. En cas de maladie l’utilisateur doit vérifier si l’information fournie ici lui convient ou non
Quelque soit les dommages ou pertes de revenus faisant suite à l’emploi de ce blog directement ou indirectement et de l’information fournie sur ce blog seront de la responsabilité unique de l’utilisateur de ce blog
Publié dans Médicaments | 1 commentaire

Avocats et justice : quelques sites

Nous devons pouvoir obtenir justice !
Myra faillit mourir d’une réaction allergique grave aux Bactrim qui est Stevens-Johnson Syndrome
Stevens-Johnson Syndrome Avocats
recherche
recherche
Syndrome de Stevens-Johnson (SJS) information
Trasylol: poursuite en recours collectif contre Bayer. Risques accrus d’accidents vasculaires cérébraux, crises cardiaques et rénaux et d’insuffisance rénale et décès
recherche google
recherche google
Bristol-Myers Squibb, responsable de la fabrication de cette drogue, a annoncé le retrait de Serzone le 20 Mai 2004, après des tentatives infructueuses faites par Public Citizen
il existe de nombreux rapports de décès associés à l’utilisation de ce stimulant. Dosage élevé de ce stimulant mai causer des accidents vasculaires cérébraux, crises cardiaques et des convulsions.
Des études préliminaires ont indiqué que le Bextra (valdécoxib), un médicament anti-inflammatoire fabriqué par Pfizer, Inc, pourrait être l’une des principales causes de syndrome de Stevens Johnson (SJS)…
recherche
recherche
recherche
recherche
Des recherches récentes ont révélé au moins 19 cas d’enfants qui ont connu une mort subite après la prise de médicaments contenant du méthylphénidate
procès gagnés contre les antidépresseurs, le prozac, le déroxat, xanax, zyprexa, ritaline. reconnaissance des dysckinésies tardives…
2 millions d’euros pour une famille victime du Distilbène
Tous les patients ont développé une toxicité hépatique aiguë dans les 3 mois. La FDA recommande aux consommateurs de cesser immédiatement d’utiliser le produit Lipokinetix
Prescrit poour diarrhée sévère prédominante, syndrome du côlon irritable;
dommages au foie et insuffisance hépatique
LAMICTAL est utilisé pour traiter l’épilepsie après échec d’autres traitements. Syndrôme de stevens johnson : 1 sur 1000 chez l’adulte et 1 sur 50 chez l’enfant
De nombreux groupes de consommateurs ont demandé à la FDA pour le retrait immédiat de Meridia
recours collectif contre Sanofi-Aventis,
 recherche
recherche
recherche
de graves effets secondaires tels que la maladie musculaire grave et mortel d’insuffisance rénale
Un laboratoire pharmaceutique qui commercialise un médicament cancérigène, donc défectueux, peut être poursuivi par les patients qui ont été victimes de son produit. Le laboratoire est tenu à un « devoir de vigilance » qui l’oblige à prendre connaissance…
antidepresseur
neuroleptique
Un petit nombre d’hommes ont perdu la vue d’un œil un peu de temps après la prise de Viagra
 recherche
le Japon et l’Union européenne inclue des avertissements sur le Zyprexa, parfois mortels,
28 000 personnes ont été indemnisées par Lilly pour que cessent les poursuites relatives à l’olanzapine (Zyprexa)
recherche
L’Union des consommateurs vient de déposer, devant la cour supérieure, une demande d’autorisation d’exercer
Anti-inflammatoire non stéroïdiens (AINS) de la famille des coxibs.
vioxx
recherche google
vioxx infos
recherche de : recours collectif contre le risperdal
Les procès en class action contre l’accutane (en France : roaccutane)
recherche
recherche
recherche
recherche
Demande de recours collectif contre l’analgésique
La Cour de Cassation, dans un arrêt rendu le 13 mars 2007, a reconnu que les parents d’une jeune victime d’erreur médicale devaient être indemnisés au titre de la perte de chance de pouvoir vivre plus longtemps
Malgré toutes les évidences, la firme n’a jamais été condamnée. Tous les recours en justice se
recherche
recherche
recherche
Le droit de tuer pour des maladies inventées ou non…
vioxx pour la France (le site n’existe plus, mais on peut consulter les pages cachées)
cabinet avocat USA
inibiteur selectif de recapture de sérotonine: ISRS. Zoloft, prosac, deroxat, ritaline (assimilé amphétamine)
Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, La médecine qui tuent, Médicaments | Laisser un commentaire

Quelques maladies sur ordonnances : iatrogénes (provoquées par le médecin)

certaines formes de fibromyalgie, fatigue chronique, syndrome des jambes sans repos, symptôme de parkinson, symptômes d’Alzheimer, Alzheimer, akathisie, tasikinésie, ostéoporose, cancer, sclérose en plaque, avc…

maladies et morts provoqués par les médecins
LE SYNDROME PARKINSONIEN, LA DYSKINESIE, LA FIBROMYALGIE, ALZHEIMER, LE SYNDROME DES JAMBES SANS REPOS, L’AKATHISIE, LA SCLEROSE EN PLAQUE, LES SYNDROMES PROLONGES DE SEVRAGE, L’INSOMNIE CHRONIQUE, LE DIABETE, LA DEMENCE, LA DEPRESSION, LA BIPOLARITE, L’AUTISME, LE CANCER, LA CASTRATION CHIMIQUE, LA NARCOLEPSIE, LE SYNDROME DE STEVENS-JOHNSON, LA MIOFACIITE A MACROPHAGE, LE TDAH, LA DYSTONIE, LA FATIGUE CHRONIQUE, LA MALADIE DE PARKINSON, LA PSYCHOSE, LES HALLUCINATIONS, LA PHOBIE SOCIALE, LES AVC, LES ACCIDENTS CARDIOVASCULAIRES, L’ALCOOLISME, LE SYNDROME SEROTONINERGIQUE, LE SYNDROME MALIN DES NEUROLEPTIQUES, L’EPILEPSIE… SONT DES EFFETS SECONDAIRES COURANTS DES MEDICAMENTS OU VACCINS, QUI, LE PLUS SOUVENT, NE SERVENT A RIEN
beta-bloquant, antidépresseurs, benzodiazépines, antibiotiques….
médicaments et Alzheimer
la médecine est une des principales causes de l’augmentation des cancers.
le plus souvent liée à des benzodiazépines, des opiacés, les antidépresseurs tricycliques et les anticonvulsivants (médicaments utilisés pour traiter et prévenir les crises d’épilepsie)
Le diabète provoqué par les médecins
Beta-bloquants, anticholestérol, antidépresseurs….
70 millions de scanners effectués en 2007 aux États-Unis pourraient conduire à 29 000 cas supplémentaires de cancers
Entre 1994 et 2008, la fréquence des seules SEP était passée de 20 000 à 83 000 cas.
Les syndromes de Lyell ou de Stevens-Johnson sont des réactions aux médicaments gravissimes
Vidéo : les médicaments qui nous tuent.
Apprenez comment vous pouvez protéger vos oreilles des ravages de la ototoxiques des médicaments et des produits chimiques
La FDA est responsable de 140000 crises cardiaques et 60000 morts Américains ! Et en France ?
De nouvelles preuves montrant que les médicaments bêta-bloquants augmentent le risque des patients d’AVC, de crises cardiaques et le diabète
ACICLOVIR ALBENDAZOLE ALLOBARBITAL ALLOPURINOL AMOBARBITAL AMOBARBITAL SODIQUE AMOXICILLINE AMPICILLINE AMPICILLINE SODIQUE AMPRENAVIR APROBARBITAL AZAPROPAZONE BACAMPICILLINE CHLORHYDRATE BARBITAL BARBITAL SODIQUE…
la piste d’une origine toxique
Antidépresseurs. Antiépileptiques. Benzodiazépines , Atomoxetine , Interférons , Varénicline. Rimonabant…
 « Ce sont des substances extrêmement dangereuses qui auraient dû être interdites, comme des médicaments similaires l’ont été dans le passé »
Ces maladies inventées par les médecins et provoquées par les médicaments psychotropes
médicaments de la classe I (médicaments impliqués dans plus de 20 cas signalés de pancréatite aiguë avec au moins un cas documenté d’une nouvelle exposition suivante): la didanosine, l’asparaginase, l’azathioprine, acide valproïque, antimoine pentavalent, pentamidine, mercaptopurine, mésalamine, les préparations d’oestrogène, les opiacés, la tétracycline, cytarabine, les stéroïdes, le triméthoprime / sulfaméthoxazole, la sulfasalazine, le furosémide, et le sulindac. médicaments de la classe II (médicaments impliqués dans plus de 10 cas de pancréatite aiguë): la rifampicine, la lamivudine, l’octréotide, la carbamazépine, l’acétaminophène, phenformine, l’interféron alfa-2b, l’énalapril, à l’hydrochlorothiazide, le cisplatine, l’érythromycine, et cyclopenthiazide. III médicaments de la classe (tous les médicaments seraient associés à une pancréatite). Sur les 100 médicaments les plus fréquemment prescrits aux États-Unis, 44 ont été impliqués dans l’AP, 14 d’entre eux tombent en classe I ou II de médicaments associés à AP.
antidepresseurs, benzodiazépines, neuroleptiques…
On estime que les médicaments sont responsables de 15 à 20 % de toutes les causes d’hépatites fulminantes ou subfulminantes dans les pays occidentaux et d’environ 10 % au Japon.
Plus de personnes sont mortes de la vaccination que de la grippe de cochon. 500 cas de GBS ont été découverts
Souvent iatrogène
Certains médicaments sont connus pour induire un SJSR. C’est le cas par exemple de nombreux antidépresseurs, de la plupart des neuroleptiques, des broncho-dilatateurs contenant de la théophylline,…(très important les…)
Les dépendances croisées aux autres drogues et alcool se produisent dans 73% des cas d’anciens utilisateurs de benzodiazépine – La plupart de ces anciens drogués par prescription n’avaient jamais employé ou eu de problème ni avec l’alcool ni avec d’autres
 les patients traités par thiazolidinediones ont un risque accru de 60% d’insuffisance cardiaque congestive, un risque accru de 40% d’infarctus du myocarde et un risque accru de 29% de décès
Une étude américaine qui vient d’être publiée dans la revue Nature éclaire l’un des mécanismes fondamentaux par lequels les glitazones (Actos – pioglitazone, Avandia – rosiglitazone, et les médicaments composés qui en contiennent) induisent des troubles osseux, de l’ostéoporose, et donc des fractures.
ils sont passés de la tête de grandes directions des entreprises à ne pas être capable d’équilibrer un carnet de chèques et de feu de leur entreprise. »
Certains types d’antidépresseurs peuvent doubler le risque de développer un cancer du sein, selon une étude canadienne de repère.
le dépistage intempestif de certains cancers conduit à trouver des cancers qui n’auraient jamais fait parler d’eux, et encore moins provoqué la mort du patient. Ce dépistage conduit à fabriquer des malades qui n’en sont pas
En effet, chaque année, 17 000 hospitalisations sont dues aux complications hémorragiques issues du traitement par AVK.
Depuis plus de trente ans, des traitements anticholestérol provoquent des cancers
Tranquillisants et sédatifs Antihstaminiques Bêta bloquants Thérapies hormonales Antidepresseurs Corticostéroïdes Chimiothérapie Relaxants musculaires Coupes-faim Antipsychotiques Amphétamines
« La dépression est commune pour les utilisateurs à long terme de benzodiazépine. »
Un syndrome démentiel est un effet indésirable de certains médicaments, et plus particulièrement de médicaments psychotropes.
Les réactions paradoxales aux benzodiazépines : l’insomnie par prescripiton
 Les effets paradoxaux des benzodiazépines (effet contraire à l’effet recherché) sont à distinguer des effets secondaires (aussi appelés effets indésirables).
Selon le professeur Malcolm Lader, 5% des gens à qui l’on prescrit des benzodiazépines réagissent par des réactions psychiques, appelées « paradoxales ».
le vaste problème des réactions indésirables aux médicaments
Les benzodiazépines peuvent causer de la confusion, de l’amnésie, de l’ataxie (perte d’équilibre), des maux de cœur et de la pseudodémence (souvent attribué par erreur à la maladie d’Alzheimer) chez les personnes âgées
« Il est plus difficile de sevré les personnes des benzodiazepines que de l’héroïne. » professeur m Lader (1999)
« Certains de ces groupes de victimes des tranquillisants peuvent documenter sur des personnes qui ont encore des symptômes de sevrage dix ans après l’arrêt. « 
La cour d’appel de Versailles vient de confirmer le lien de causalité entre le vaccin hépatite B et la sclérose en plaques
Et en 2002 un rapport tombe, le vaccin de l’hépatite B est responsable de 55.000 cas de sclérose en plaque et serait responsable du plus grand nombre d’effet indésirables recueillis en pharmaco vigilance depuis 1974.
L’akathisie est le chaînon qui relie la prescription d’antidépresseurs par des médecins soucieux du bien-être de leurs patients et certains meurtres et suicides étranges.
maladie iatrogène, véritable torture chimique
Syndrome des jambes sans repos.. Peut-être induit par les médicaments, impliquant une incapacité à rester en position assise, la promotion nervosité et un sentiment de frousse musculaire.
SJSR : Il est soit idiopathique avec des antécédents familiaux fréquents, soit iatrogène
Des médicaments entraînent ou aggravent les jambes sans repos: ce sont les antidépresseurs, les neuroleptiques et les anti-histaminiques
Bien que d’autres antidépresseurs, ainsi que le lithium et la venlafaxine 5, 6 ont été signalés à être en mesure de produire des jambes sans repos
la fibromyalgie, la piste d’une origine toxique par accumulation chronique de produits comme les organo-phosphorés, les carbamates (insecticide, Atrium, Equanil, Meprobamate, Mépronizine.), les pyréthroïdes.
douleurs musculaires et articulaires, fibromyalgie, vertiges, neuropathies, troubles neurologiques, visuels, endocriniens (hypophyse, thyroïde, ovaires), cardio-vasculaires, (auto)immunes
les symptomes de la fibromialgie font partie des symptomes de sevrage aux benzodiazepines. Ils disparaissent a la fin de la periode de sevrage qui helas peut dans certains cas durer plusieurs années.
Le syndrome de sérotonine, une complication iatrogenique potentiellement mortelle de thérapie psychopharmacologic, le plus généralement est rapporté avec des combinaisons des médicaments serotonergique
on peut éstimer que cela representent près de 200.000 Américains pour l’année 2001.
La mort est survenue par arrêt cardiorespiratoire ou déficience rénale.
Les dyskinésies tardives surviennent dans 20 à 40 % des traitements chroniques. Peuvent survenir plusieurs années après l’arrêt du traitement et sont irréversibles.
syndrome malin des neuroleptiques qui peut engager le pronostic vital..Au vû d’un taux sous-évalué de 1%, Maxmen et Ward (1995,p33) estiment que 1000 à 4000 morts aux Etats-Unis résultent chaque année du syndrome malin des neuroleptiques
Ces réactions de sevrage peuvent être douloureuses, défigurantes et débilitantes.
risque de malformations cardiaques, risque d’hypertension artérielle pulmonaire persistante du nouveau-né
Jusqu’à 78% des utilisateurs ont des symptomes de sevrage
Les inhibiteurs de recapture de serotonine peuvent entrainer un dysfonctionnement sexuel permanent
L’autisme iatrogène
Les vaccins pourraient avoir causé l’autisme chez des milliers d’enfants
au lieu de décider d’alerter immédiatement le public et de débarrasser les vaccins du mercure, les intervenants passèrent le plus clair de ces deux jours à discuter sur les moyens de dissimuler les données alarmantes.
8.000 procès en cours, y compris les cas dans lesquels des personnes sont mortes de coma diabétique aiguë ou d’une pancréatite,
La liste des médicaments provoquant les symptomes de parkinson iatrogéne
De nouveaux cas de syndromes parkinsoniens induits ou aggravés par la trimétazidine ont été observés en Espagne et en France. Ces troubles, réversibles, justifient d’arrêter ce traitement et de ne pas l’instaurer chez de nouveaux patients.
sclérose en plaques,symptômes fibromyalgiques, de spasmes, de lancements d’engourdissements dans les jambes, de crampes, vertiges, nausées, maux de tête, acouphène, douleurs articulaires, dépressions, crises d’angoisse…
Le risque d’AVC était 1,7 fois plus élevé comparativement à ceux qui n’en avaient pas eu.
Ainsi parmi les principaux effets secondaires de l’aspirine on retrouve des lésions digestives (gastrite) et des troubles hémorragiques, dont des saignements digestifs.
Trois semaines après le premier vaccin, elle faisait une crise d’épilepsie en pleine classe,
Les effets bénéfiques des médicaments psychiatriques sont si minces, dit-il, qu’il serait possible d’arrêter l’utilisation actuelle presque complètement sans causer de dommages. Il recommande d’arrêter l’utilisation de tous les médicaments antidépresseurs ainsi que ceux du TDAH et de la démence, et de prescrire seulement une petite fraction des antipsychotiques et des benzodiazépines utilisés actuellement.
Les neuroleptiques sont la cause la plus fréquente de dystonie aiguë induite par des médicaments. Les antiémétiques (par exemple, le métoclopramide) et les antidépresseurs, probablement surtout les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine, peuvent également être responsables de dystonie aiguë
L’ARACHNOIDITE PERIMEDULLAIRE, UNE COMPLICATION SEVERE ET TARDIVE DE L’ANALGESIE PERIDURALE
LES SUJETS CONCERNANT LA VACCINATION ANTI-HEPATITE B, L’HYDROXYDE D’ALUMINIUM, LE MERCUROTHILATE, LE MERTHIOLATE, LE MERCURE,  LE THIOMERSAL ET LA MYOFASCIITE A MACROPHAGES.
L’aluminium est un produit neurotoxique. Tout corps vivant cherche à l’éliminer au plus vite. Personne n’a donc cherché à comprendre quelles pouvaient être les conséquences de l’injection d’un vaccin contenant cet adjuvant, puisqu’il était censé être excrété de l’organisme en quelques semaines ! Mais les travaux de l’équipe INSERM des Prs GHERARDI et AUTHIER (hôpital Henri Mondor – Créteil) montrent qu’il n’en est rien… Une fois capturé par les macrophages (cellules de l’immunité), l’aluminium est « protégé », il reste quelque temps au site d’injection, puis migre progressivement dans l’organisme. L’Académie de Médecine précise : « la concentration d’aluminium va en décroissant : rein > rate > foie > cœur > ganglions > cerveau ». Chez certaines personnes, la biopersistance de l’aluminium au site d’injection du vaccin est anormalement longue. Elle peut perdurer de nombreuses années, induisant une maladie neuromusculaire dénommée Myofasciite à Macrophages.
MALADIES APRES VACCINATIONS :  myopathie inflammatoire acquise L’hydroxyde d’aluminium est un adjuvant de vaccins destiné à stimuler la réponse immunitaire. L’aluminium est présent dans 25 vaccins couramment utilisés en France, dont les vaccins diphtérie, tétanos, polio, ainsi hépatites A et B (650 à 1 250 mg par dose, alors que les normes européennes fixent son seuil à 15mg par litre (sachant qu’au-delà, il y a toxicité et risques  d’effets secondaires graves).
Voilà 5 ans de passés et toujours en chaise malgré des améliorations encore et toujours, mais pas assez de force pour rester debout sans aide (2 heures quotidiennes à la table de verticalisation avec un harnais). Ajoutez à cela des démangeaisons et picotements surtout au lever et à différents endroits. Aucune explication de la part des dermatologues, neurologues… ou autres examens et analyses sanguines !!!
En Europe, on compte entre 1,2 et 1,9 cas pour 100 000 personnes alors que l’incidence augmente avec l’âge. Il se produit 0,07 à 0,46 cas de syndrome de Guillain-Barré pour 100 000 personnes vaccinées, tous types de vaccin confondus, dans les six semaines qui suivent l’injection.
danger pour la santé
Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, La médecine qui tuent, Médecine, Médicaments | Laisser un commentaire

Quelques livres

worst pills best pills°°°°° de public citizen (organisation d’intéret public sans but lucratif)
prevention des morts induitent par les médicaments. Les effets indésirables sont la quatrième cause de décès chez les Américains, tuant 100000 personnes chaque année
« La personne qui a le plus de probabilité de vous tuer n’est pas un parent ou un ami ou un agresseur ou un cambrioleur ou un conducteur ivre. La personne qui risque le plus probablement de vous tuer est votre docteur. » Ce livre te montrera comment se protéger
« Or les médicaments sont aussi des substances dangereuses, à manier avec précaution. Il y a bien sûr les scandales récents qui ont secoué la France. L’affaire du Mediator n’est nullement une exception, elle est plutôt la règle : on assiste depuis une vingtaine d’années à une avalanche de scandales pharmaceutiques à travers le monde, pour la plupart bien plus graves que celui du Mediator et impliquant quasiment tous les grands laboratoires mondiaux. Étrangement, ces affaires retentissantes n’ont pratiquement pas eu d’écho en France. Sans doute a-t-on considéré qu’il s’agissait de problèmes qui ne nous concernaient pas, un peu comme le fameux nuage de Tchernobyl. Pourtant, les entreprises impliquées sont des multinationales implantées sur notre territoire comme sur le reste de la planète et leurs médicaments étaient (ou sont encore) commercialisés également en France. À l’ère de la mondialisation, les molécules circulent aussi librement que le pétrole ou les courriels. »On ne peut plus dire qu’il s’agit de cas isolés de corruption , de quelques « méchants » qu’il suffirait de mettre en prison. Les experts, les scientifiques, les médecins, les politiciens, tous ces gens font simplement leur travail – ils sont même, dans leur grande majorité, bienveillants et de bonne foi. Ce que révèlent les scandales, par leur répétition même, c’est justement cela : la banalité du mal pharmaceutique, son caractère systémique, industriel. Il y a quelque chose de pourri au royaume de Médecine , comme il est dit dans Hamlet. Nous le sentons tous obscurément, mais nous hésitons à nous l’avouer. Nous voulons continuer à croire que la médecine est « basée sur des preuves », comme on nous le répète tout le temps, que nos médecins sont vigilants et bien informés, que les agences sanitaires ne permettront plus qu’on nous vende des médicaments inutiles et dangereux. Nous voulons continuer à croire en la médecine, car elle a été porteuse depuis la révolution thérapeutique de la fin du XIXe de tous nos espoirs en une vie longue et sans douleur. Mais cette médecine que nous avons connue n’existe plus. Comme on va le lire dans ce livre, les « preuves » sur lesquelles on se fonde pour nous prescrire des médicaments sont couramment biaisées. Les risques sont cachés par les laboratoires . Les médecins reçoivent leur formation et leurs informations de l’industrie pharmaceutique. Les agences sanitaires approuvent de façon désinvolte des médicaments totalement inefficaces, tout en protégeant le « secret commercial » des données négatives fournies par les firmes. À tous les niveaux, le profit des industries passe AVANT l’intérêt des patients.
Ce petit ouvrage explique les risques de somnifères dont vous pourriez ne pas avoir entendu parler. Il décrit aussi de meilleures alternatives.
Il relance le débat sur les pratiques mafieuses de la médecine conventionnelle.
Effets secondaires – LA MORT, Sans corruption pas de médicaments le livre ecrit par John Virapen devoile la corruption pour mise sur marché de médicaments qui vous tuent
« Ils (l’ industrie pharmaceutique) vous vendent des médicaments dangereux pour gagner de l’argent. Rien d’autre. Si vous pensez que l’ industrie harmaceutique met des médicaments sur le marché pour vous aider – vous vous trompez lourdement! »
Les médicaments d’ordonnance sont la troisième cause de mortalité après les maladies cardiaques et les cancers
Dans ce récent ouvrage révolutionnaire, Peter C. Gotzsche lève le voile sur les comportements frauduleux de l’industrie pharmaceutique dans les domaines de la recherche et de la commercialisation et sur son mépris moralement répugnant pour la vie humaine. L’auteur établit des rapprochements convaincants entre l’industrie pharmaceutique et l’industrie du tabac et révèle l’extraordinaire vérité derrière les efforts déployés pour semer la confusion et détourner l’attention du public et des politiciens. Il s’appuie sur des données probantes et traite de manière détaillée de l’extraordinaire défaillance du système causée par le crime généralisé, la corruption et l’inefficacité de la réglementation pharmaceutique – une réglementation qui, selon lui, doit être radicalement transformée. « Si nous prenons autant de médicaments, c’est principalement parce que les compagnies pharmaceutiques ne vendent pas des médicaments, mais des mensonges à leur sujet. C’est ce qui fait que les médicaments sont si différents du reste… Tout ce que nous savons sur leur compte, c’est ce que les compagnies ont choisi de nous dire et de dire à nos médecins… Les patients ont confiance dans leurs médicaments parce qu’ils extrapolent la confiance qu’ils ont envers leurs médecins et la reportent sur les remèdes que ces derniers leur prescrivent. Ils ne sont pas conscients que les médecins, s’ils en savent long sur les maladies et la physiologie et la psychologie humaines, en connaissent très, très peu sur les médicaments si ce n’est les informations fabriquées de toutes pièces par l’industrie pharmaceutique… Si vous ne croyez pas que le système est hors de contrôle, je vous invite à m’écrire pour m’expliquer pourquoi les médicaments sont la troisième cause de mortalité… Si une épidémie provoquée par une nouvelle bactérie ou un nouveau virus avait fait autant de victimes – ou si elle avait même causé un centième seulement des décès associés aux effets secondaires des médicaments –, nous aurions tout fait pour la contenir»
Corruption systématique L’essentiel de l’ouvrage de Peter est consacré à la mise en valeur du fait que l’industrie pharmaceutique a systématiquement corrompu la science en amplifiant les bénéfices et en minimisant les méfaits de ses médicaments. En tant qu’épidémiologiste, ses énormes connaissances et sa passion du détail qui en ont fait un leader mondial dans la critique des études cliniques, Peter est ici sur un terrain très solide. Son nom s’ajoute à celui de nombreux autres, y compris d’anciens éditeurs du New England Journal of Medicine qui ont dénoncé cette corruption. Il montre aussi comment l’industrie a acheté des médecins, des universitaires, des revues, des organismes professionnels, des associations de patients, des départements universitaires, des journalistes, des organismes de régulation, et des politiciens. Ce sont les méthodes mêmes de la mafia. Le livre ne permet pas aux médecins ni aux universitaires d’éviter le blâme. En effet, on pourrait faire valoir que les compagnies pharmaceutiques font ce qu’on attend d’elles pour maximaliser les rendements financiers des actionnaires, mais les médecins et les universitaires sont censés avoir une vocation plus élevée. Les lois qui obligent les entreprises à déclarer les sommes qu’elles payent aux médecins montrent que de très nombreux médecins sont redevables à l’industrie du médicament, et que beaucoup reçoivent des sommes d’argent pour conseiller les entreprises ou pour donner des conférences en leur nom. Il est difficile d’échapper à la conclusion que ces « leaders d’opinion » sont achetés. Ce sont les « mercenaires » de l’industrie. Et comme avec la mafia, malheur à quiconque dénonce ou apporte des preuves qui ne sont pas favorables à l’industrie. ….Il n’est donc pas tout à fait fantaisiste de comparer l’industrie du médicament à la mafia
« N’oubliez jamais que tout ce qu’a fait Hitler en Allemagne était légal » Martin Luther King Jr.
La médecine moderne est gérée par une oligarchie restreinte mais puissante issue des grands groupes chimico-pharmaceutiques qui parvient à conditionner les choix des gouvernements, des politiques et des institutions de la santé grâce à de prodigieux moyens
Le véritable danger vient de 5 % d’entre eux, baptisés leaders d’opinion clé, achetés et inféodés à l’industrie, à coup de contrats personnels, déclarés ou non, d’enveloppes en liquide, en général à l’étranger, et qui atteignent de 20.000 à 500.000 € par an ou plus, selon l’importance des marchés qu’ils assurent à l’industrie dans leur pays. Ils la servent à toutes les étapes du parcours d’un médicament nouveau. Ils cosignent les yeux fermés les articles rédigés par les firmes, les présentent dans les congrès qu’elles financent, déterminent la position des sociétés savantes qui, financièrement, dépendent à 90 % de l’industrie, et sont toujours choisis, à cause de la notoriété médiatique que leur assurent les firmes, comme experts par les agences d’État, imposant ainsi les autorisations de commercialisation (AMM), empêchant les retraits du marché, assurant le remboursement maximal des médicaments et déterminant les recommandations officielles des agences, de telle sorte qu’en pratique, à travers eux, c’est l’industrie qui tient elle-même la plume des médecins prescripteurs.
Après qu’on eut modifié les critères utilisés pour définir l’ostéoporose, sept millions d’Américaines ont été transformées en patientes, du jour au lendemain. La prolifération du monitorage foetal dans les années 1970 a été associée à une augmentation de 66 pourcent du nombre des femmes à qui l’on a dit qu’elles devaient avoir une césarienne, mais cela n’eut aucun effet sur le nombre de nouveau-nés requérant des soins intensifs ni sur la fréquence de la mortalité des nourrissons. L’introduction du dépistage du cancer de la prostate a résulté en ce que plus d’un million d’Américains se soient fait dire qu’ils avaient un cancer de la prostate, alors que les études cherchant à vérifier s’il s’en trouve quelques-uns qu’on aurait aidés se contredisent, il y a consensus que la plus grande partie ont été traités pour une maladie qui ne les aurait jamais affectés. En tant que société fascinée par les progrès techniques et les percées de la connaissance scientifique, nous avons rétréci la définition de ce qui est normal et nous transformons en patients de plus en plus de bien portants. Les diagnostics d’un grand nombre de conditions, dont l’hypertension artérielle, l’ostéoporose, le diabète et même le cancer, ont explosé au cours des dernières décennies tandis que les décès provoqués par ces maladies sont restés constants
SOINS TUEUR : COMMENT LES ERREURS MÉDICALES SONT DEVENUEES LA TROISIÈME CAUSE DE DÉCÈS AUX USA
Chaque année aux États-Unis, un quart de million de décès sont attribuables à une erreur médicale . Si le nombre choque, à un certain niveau vous le saviez déjà, il en fut ainsi. Tout le monde connaît quelqu’un, peut-être qu’il était vous-qui a subi un traitement misérable dans les hôpitaux américains, une partie du système de soins de santé la plus élaborée, la plus vaste et coûteux dans le monde. Mais il est peut-être le plus inefficace.
Les erreurs de diagnostic, prescriptions erronées, opérant sur le mauvais patient, même opérant sur le mauvais côté (et amputant il): ce sont les conséquences de la négligence généralisée, le surmenage, l’ignorance et les hôpitaux essaient de tirer le meilleur parti de leurs aidants naturels et le plus d’argent de leurs patients.
Frank Wittig parle des structures mafieuses au sein de la médecine. Pour expliquer qu’il a noté des secteurs où la médecine, non seulement, n’aide pas, mais rend malade.
de dr Marcia Angell
En épilogue, les récentes affaires du Vioxx et des autres Coxibs, avec leur grand nombre de morts, illustrent tous les aspects les plus désolants de ces dérives de l’industrie et de l’inefficacité d’un certaine agence de réglementation.
Les antidépresseurs de la famille du Prozac peuvent-ils provoquer les mêmes effets secondaires que le Mediator sur le coeur et les poumons? […] Un pharmacologue de l’Inserm nous avoue ne pas avoir de données de pharmacovigilance pouvant indiquer des effets secondaires similaires, mais il nous confie que les deux médicaments ont les mêmes mécanismes. Il était donc, selon lui, absurde de prescrire du Mediator à quelqu’un qui prenait du Prozac car les doses ne pouvaient que se cumuler. Le site de la pharmacovigilance européenne révèle que des nouveau-nés dont les mères ont pris du Prozac développent la même maladie que les patients ayant absorbé du Mediator ou de l’Isoméride: l’hypertension artérielle pulmonaire. L’Agence européenne du médicament se contente toutefois de conseiller aux mères de signaler à leur sage-femme qu’elles prennent un ISRS [inhibiteurs sélectifs de la recapture de sérotonine: classe d’antidépresseurs de type Prozac]. L’Agence estime que le Prozac multiplie par deux le risque de malformation cardiaque chez le nouveau-né. Au lieu de déconseiller formellement la molécule aux femmes enceintes, elle leur suggère simplement d’en parler à leur médecin qui décidera de la suite du traitement. L’Agence ajoute: « Le mécanisme est inconnu. »
Les Benzodiazépines: Comment agissent-elleset comment s’en sevrer ?
Le Dr Jerome Kassirer propose un regard inquiétant sur les pots-de-vin que des médecins acceptent des géants de l’industrie pharmaceutique et d’autres fournisseurs. II fait valoir que les milliards déversés par l’industrie ont détraqué la boussole morale de plusieurs médecins, et que ces combines ont miné la qualité des soins que nous prodiguent au jour le jour les médecins et les institutions qui avaient toute notre confiance. Bourré de véritables histoires d’horreurs, ce livre met en lumière les manigances financières entre les grosses compagnies qui fabriquent les médicaments et les médecins qui les prescrivent.
L’auteur prend le risque de dénoncer les pratiques frauduleuses de l’industrie pharmaceutique qui nous cache les effets indésirables de nombreux médicaments. En France, des effets secondaires tels qu’hépatite, infarctus, cancer, méningite, impuissance, avortement sont volontairement occultés !
pharmageddon (anglais) : l’hisoire d’une tragedie par le prof david Healy
les antidépresseurs – maintenant les médicaments les plus couramment prescrits pendant la grossesse – alors même que les preuves s’accumulent que ces médicaments provoquent des défauts de naissance, le double du taux de fausses couches, et causer un handicap mental chez les enfants nés de mères qui ont été les prendre. L’espérance de vie aux Etats-Unis, le pays qui consomme le plus de la dernière des médicaments vitaux est en baisse rapide par rapport au reste du monde. Pour les maladies comme la schizophrénie, nous faisons maintenant 10 fois pire en termes d’espérance de vie que nous l’étions il ya 100 ans.
« la deuxième étude réalisée en Amérique latine, en Europe et ailleurs, révélait que le placebo était plus efficace que l’antidepresseur
Tant de choses ne tournent pas rond dans notre système de santé, l’industrie pharmaceutique et nos rapports à la médecine!
DEPUIS une dizaine d’années, la médecine rend malades plus de gens qu’elle n’en guérit. Elle est devenue, de toutes les industries, la plus gaspilleuse, polluante et pathogène.
Le dictionnaire définit le mot charlatan : « vendeur de drogues sur la place publique. Médecin ignorant et impudent. Imposteur qui exploite la crédultié humaine ». Or la vente des drogues sur la place publique fut licite et légale jusqu’en l’an XI de la république, c’est à dire jusqu’en1803. Mais si Tabarin, roi des charlatans, vendait ses drogues, ses baumes et ses onguents sur les trétaux de la place Dauphine avec l’appui des lois, et mourut riche et honoré dans sa seigneurie du Coudray, les marchands de drogues du XXe siècle, vendent aussi légalement leurs produits illusoires avec des procédés de publicité perfectionnés mais peu différents, au fond, de ceux de Tarbarin. Et ils meurent eux aussi, riches et honorés avec la bénédiction de médecins très officiels qui ne dédaignent pas, quelquefois et même assez souvent de prêter leur nom et leurs titres aux marchands d’orviétant. C’est beaucoup plus lucratif, croyez le, que de manier le pendule, et c’est moins dangereux.
Alzheimer, parkinson, sclérose en plaques, autisme… Pourquoi le nombre de personnes atteintes d’une maladie neurodégénérative explose-t-il, et pour quelles raisons les malades sont-ils de plus en plus jeunes ? Ce livre révèle que ces maladies se préparent déjà dans le ventre des mères, devenues malgré elles des « mamans neurotoxiques ». Ensuite, tout au long de la vie, nos neurones sont exposés à un cocktail d’agressions capable de diminuer irréversiblement les fonctions de notre cerveau. Ces substances parfaitement identifiées et documentées par les scientifiques, pourraient être bannies de notre environnement si une véritable politique de prévention était menée.
LES MENSONGES DE LA MEDECINE du Dr. Roger DALET, MD – Ed. Hachette
Un livre exposant les peurs crées de toutes pièces par le corps médical sur les conséquences exagérés de certains troubles (cholestérol, hypertension) pour faire vendre des médicaments toxiques, inutiles et dangereux.
Nous savons tous que les médecins acceptent des dons de compagnies pharmaceutiques, allant des stylos et des tasses de café a des vacances gratuites dans les stations de luxe. Mais comme l’ancien rédacteur en chef du New England Journal of Medicine révèle dans cette choquant expose, ces dons anodins en apparence ne sont que la partie émergée d’un iceberg qui déforme la pratique de la médecine et qui mettent en péril la santé de millions d’Américains d’aujourd’hui .
Hans Ruesch explique pourquoi autant de nouvelles maladies apparaissent de par le monde à l’heure où la recherche médicale prétend s’investir à fond. Pourquoi le public est-il soumis continuellement à de la désinformation sur la santé ? Il révèle le massacre qui est orchestré sous couvert de l’absorption de produits chimiques qui portent le nom de « médicaments » ! Il expose l’opinion de médecins et de chercheurs réellement conscients des problèmes causés par la vivisection, des exemples d’homicides impunis, mais également un point de vue sur le cancer et sur la fraude des mass médias…
Experts corrompus, pression sur le pouvoir politique, marketing débridé : la description que vous faites de l’industrie pharmaceutique est glaçante… Tous les labos ont les mêmes méthodes de lobbying. Comme n’importe quel produit, le médicament n’échappe pas à la promotion. La grande majorité des entreprises la pratiquent dans le strict respect de la loi. Une minorité, toutefois, fraudent et commercialisent des médicaments dangereux, aux effets secondaires graves. Les conséquences sont désastreuses : chaque année, 200.000 personnes meurent d’accidents médicamenteux dans l’Union européenne.
de professeur David Cohen
ANTIDEPRESSEUR ; LITHIUM ; MALADE ; MEDICAMENT ; MENTAL ; NEUROLEPTIQUE ; PSYCHOPHARMACOLOGIE ; PSYCHOTROPE ; SEVRAGE ; SOMNIFERE ; STIMULANT ; TRANQUILLISANT ; USAGE
Le 2 décembre 2004, Mégane, la nièce de Gwen Olsen, se suicide à l’âge de vingt ans en s’immolant par le feu, mettant fin au supplice qu’était devenu son existence, soumise aux effets indésirables de médicaments qui lui avaient été prescrits. Ayant passé près de quinze années à travailler pour l’industrie pharmaceutique en tant que visiteuse médicale, c’est en tant qu’initiée à ce que sont, entre autres, les psychotropes, que Gwen Olsen nous livre ici un témoignage aussi alarmiste qu’éclairant sur les conséquences que peuvent avoir ces médicaments. Mais c’est également en tant que victime de ces derniers, qu’elle a appris à ses dépends ce qu’il pouvait en coûter de se faire prescrire des substances agissant sur la chimie du cerveau. Forte de ce double éclairage de l’intérieur et profondément choquée par le sort de sa nièce Mégane, elle n’a de cesse aujourd’hui, à travers son site Internet (www.gwenolsen.com) et des tournées de conférences à travers les États-Unis, de diffuser une information qui permet à un vaste public de mieux connaître les résultats tragiques de prescriptions abusives concernant, par exemple, les antidépresseurs, anxiolytiques et autres hypnotiques. On pourra arguer que tout cela se passe loin de nous, de l’autre côté de l’Atlantique, dans un pays dont le système de santé a été relégué à la dernière place parmi ceux de dix-neuf nations occidentales. Mais ce que la plupart des gens ignorent, c’est que ce qu’on appelle aujourd’hui le DSM-5, le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux, 5e édition (DSM, de l’anglais Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders) est conçu en Amérique et traduit en français à l’intention de notre pays, tous les médicaments psychiatriques qu’il induit étant pareillement prescrits et disponibles chez nous.
Les médicaments sont testés par les gens qui les fabriquent, dans des essai cliniques mal conçus menés sur un petit nombre de patients non-représentatifs, et analysés en utilisant des techniques qui sont biaisées, de manière à exagérer les bienfaits des traitements. C’est sans surprise que ces études produisent des résultats qui favorisent le produit testé. Quand les essais cliniques ne donnent pas les résultats escomptés, les données sont cachées des médecins et des patients ce qui laisse une image distordue de la réalité. Ces faits distordus sont communiqués de manière biaisée par des régulateurs et des éditeurs de journaux scientifiques qui sont en conflit d’intérêts, tout comme les associations de patients et les universités. Le résultat est que dans la plupart des cas, nous n’avons aucune idée du traitement qui est le plus efficace. Des études cliniques biaisées Les pharmas font souvent plusieurs séries de tests, mais excluent les séries dont les résultats ne sont pas positifs. Donc, si dix séries de tests ont été effectuées, il se peut que l’étude publiée et soumise aux régulateurs ne présente les résultats que de trois ou quatre d’entre elles. Par exemple, pour le reboxetine, sept séries de tests ont été faites, mais seulement une a été rendue publique et publiée dans un journal académique. Les six autres sont demeurées dans l’ombre, inaccessible, même si leurs résultats ne montraient aucune amélioration face au placebo. Les conséquences négatives des « données manquantes » ne s’arrêtent pas à l’évaluation de l’efficacité ; elles concernent aussi la sécurité des patients. Dans les années 1980, un médicament contre l’arythmie cardiaque, le lorcainide, fut testé auprès d’une centaine d’hommes ayant subi une attaque cardiaque. Le taux de décès fut 9 fois supérieur chez les candidat ayant pris lorcainide que ceux qui ont pris le placebo. L’étude ne fut jamais publiée et les résultats sombrèrent dans l’oubli. Pourtant, à la même époque, les médecins ont commencé à systématiquement prescrire des médicaments anti-arythmie aux gens ayant subi une attaque cardiaque, par mesure de prévention, sans savoir qu’une étude avait démontré que c’était dangereux. Résultat : environ 100.000 personnes sont mortes avant que l’on ne se rende compte que c’était une mauvaise idée. Ces morts auraient pu être évitées si l’étude sur lorcainide avait été publiée. Il y a seulement la moitié des résultats d’essais cliniques qui sont publiés, et celles dont les résultats sont négatifs ont deux fois plus de chances de ne pas être publiées. Conséquemment, les informations disponibles aux médecins font en sorte de constamment surestimer les bienfaits des médicaments. Ainsi, comme les médecins sont maintenu dans l’ignorance, les patients sont exposés à des traitements inférieurs, inefficaces, non-nécessaires, plus dispendieux et/ou plus risqués, voire dangereux
Si vous êtes malade un jour, tout le monde s’intéressera à votre maladie, mais votre santé n’intéresse que vous. Ce livre fait le bilan de notre système de santé actuel, où le médecin ne connaît plus le malade car il est devenu un simple vendeur de médicaments. Il dénonce le lavage de cerveaux organisé par les instances de santé et les médias sous la pression des laboratoires, le dépistage systématique qui ne rapporte, la plupart du temps, qu’à ceux qui «dépistent» et l’abus de médicaments qui suppriment les symptômes et non les maladies. Il aborde la notion de «terrain» et propose de réconcilier la médecine avec le vécu sensible des personnes, de refuser de céder à la peur qui contribue à la défaillance de notre système immunitaire et de savoir qu’il existe des méthodes naturelles qui ont fait leurs preuves depuis des lustres, mais qui restent interdites car elles menacent la santé financière des laboratoires et la pérennité de leur dictature.
Les récents décès de célébrités comme Michael Jackson, Anna Nicole Smith, Heath Ledger, et Whitney Houston ont montré un projecteur sur la surutilisation et l’abus de médicaments d’ordonnance. La plupart des gens croient que les médicaments d’ordonnance sont plus sûrs que les substances illicites. Mais, lorsqu’il est combiné avec d’autres over-the-counter sédatifs, médicaments d’ordonnance peuvent être tout aussi puissante, addictive, et dangereux. En 2006, les surdoses sur une classe d’analgésiques d’ordonnance appelés analgésiques opioïdes a tué plus de gens que ceux tués par surdoses sur la cocaïne et l’héroïne combinée. À l’heure actuelle, entre 35 à 54 ans, l’empoisonnement par médicaments d’ordonnance est la cause la plus fréquente de décès liés à l’auto-accidentelles mort plus encore que. Dans les médicaments qui tuent, Dr Marcum brille une lumière sur le pouvoir addictif de médicaments d’ordonnance et comment vous pouvez vous protéger votre famille et en pratiquant des habitudes saines.
La preuve démontre que, avec le cancer et les maladies du système circulatoire, les médecins et les infirmières sont maintenant l’un de nos trois premiers tueurs, ils tuent beaucoup plus de gens que les infections (y compris la grippe), les accidents de la route, des terroristes et des criminels réunis. Chaque semaine, des médecins tuent plus de personnes que les terroristes ont été tués au cours des 50 dernières années. Le résultat est que les médecins et les infirmières maintenant presque certainement tuent plus de personnes que le cancer.
Les Médecins et infirmières tuent plus de personnes que le cancer est une analyse complète et honnête de soins de santé modernes, montrant précisément comment et pourquoi les patients sont systématiquement trompés , en voie de disparition et tués
Dr. Erika Schwartz estime que le patient d’aujourd’hui est, mais une feuille dans le vent de protocoles groupe-think, sociétés médicales corrompus, les compagnies d’assurance sur la prise, et un milliard de dollars dans le marketing et la pression du lobbying des compagnies pharmaceutiques.
« En France, il y a quatre fois plus de décès pa r an liés à la prise d’un médicament que de morts sur la route. Selon la Sécurité routiè re, 3268 personnes sont mortes en 2013 sur les routes françaises. En 2011, le député Roland Mu zeau a déclaré à l’Assemblée nationale, dans le cadre de la mission sur le Mediator : “O n estime dans notre pays à 150 000 le nombre d’hospitalisations annuelles liées à des accidents médicamenteux et de 13 à 18 000 le nombre de morts provoquées par des médicaments”. En 2007, Delphine, ma grande sœur, a été victim e d’un syndrome de Lyell. Les syndromes de Lyell et Stevens-Johnson sont dans 90 % des cas une réaction médicamenteuse. Elle touche 130 à 150 malades en France par an. Un cas sur quatre est mortel*. Peu de jours avant la déclaration de la mala die, Delphine avait pris de l’Ibuprofène pour calmer une simple migraine. Cette molécule co nstitue la base de nombreux médicaments. La plupart sont en vente libre dans les pharmaci es. Commercialisé sous diverses appellations, c’est l’un des médicaments le plus consommés en France. En réalité, il n’existe quasi aucun médicament sans danger. Pourtant, le s victimes d’accidents médicamenteux manquent de reconnaissance et pe inent à prouver l’origine de leur maladie. Motivée par la volonté d’apporter mon soutien à ma sœur, j’ai d’abord écrit ce texte dans un cadre privé, je souhaiterais aujourd’hui que ce témoignage aide à fair e évoluer les mentalités et incite nos législateurs à mieux prot éger les victimes d’effets secondaires. »
mensonges et vérités de diana Kircsh
extrait : « voila un exemple flagrant d’une manipulation des statistiques. La plupart des gens ne réalisent pas que l’augmentation de la durée moyenne de vie est surtout le résultat de la réduction du taux de mortalité infantile. Il y a cent ans, beaucoup d’enfants mouraient à la naissance et…Si cette réduction de taux en mortalité infantile est enlevée de l’équation, l’espérance de vie a seulement augmenté de 3,7  années depuis ces derniers 100 ans
Des films et livres pour ne pas mourir idiots. (4 pages développent et illustrent le roman. )
Mais il ne fait aucun doute que le médecin induit la maladie est aujourd’hui l’un des (sinon la principale cause) de la maladie dans la plupart des soi-disant «développés» pays
On tue les vieux de Christophe Fernandez
dénonciation des maltraitances à l’encontre des personnes âgées hébergées dans les hôpitaux et les maisons de retraite
Les mensonges sur les médicaments sont très nombreux, mais la majorité d’entre nous persiste à croire que ces traitements sont la panacée et n’ont pas d’effets délétères sur nos organismes, alors qu’en vérité, les médicaments peuvent tuer
La médecine nous tue de Marc Menant
La médecine serait-elle devenue folle?
La mafia blanche : comment les médecins et l’industrie pharmaceutique mettent notre santé en danger
…Des millions de personnes sont considérés comme des malades parce qu’arbitrairement défini, le haut cholestérol est traités avec l’athérosclérose comme effet secondaire, alors que cela ne peut être prouvé jusqu’à aujourd’hui et que la réduction de ce cholestérol peut même blesser les gens…..
..une réalité que personne ne veut l’admettre. Maladies fictives, les statistiques falsifiées – jamais pour le bénéfice des malades, mais toujours pour le bénéfice des actionnaires et le gérant pharmaceutique.
Mediator 150 mg , combien de mort ? du docteur Irène Frachon
Les premiers éléments laissant suspecter la possibilité d’une telle toxicité remontent à 1997, date à laquelle un médicament proche et commercialisé par le même laboratoire, le coupe-faim Isoméride, est interdit pour les mêmes raisons.
Les cartels et multinationales disposent de moyens financiers illimités pour faire taire toutes les consciences. Pour comprendre les interconnexions de ces systèmes mafieux, il fallait dresser leurs portraits et pratiques dans un même ouvrage.
« la médecine moderne est devenue à présent la source primordiale des maladies »
La Mafia Médicale de Ghislaine Lanctôt
« Les vaccins sont inefficaces et dangereux, la médecine tue les gens, les médicaments les empoisonnent… « 
« Si on pouvait autrefois espérer trouver un jour un traitement pour chaque maladie, nous explique Jörg Blech, les marchands de la santé, aujourd’hui plus que jamais, semblent plutôt vouloir trouver une maladie pour chaque molécule fabriquée »
. Le médicament est devenu une marchandise qui obéit essentiellement à l’économie de marché. Nicole Delépine dresse ici un tableau sans complaisance de la dérive du système de santé français, orienté par les lobbies pharmaceutiques. Elle tente de sensibiliser les patients aux dangers des médicaments et d’alarmer médias et politiques sur leur passivité. Une analyse argumentée et courageuse qui propose des solutions pour sortir de ce cercle infernal et imposer une véritable démocratie sanitaire.
Drug-Induced démentia : a perfect crime  (les médicaments qui induisent la démence : un crime parfait)
Repenser les drogues psychiatriques: Un guide pour le consentement éclairé, a souligné le besoin urgent pour les sociétés et les systèmes de soins de santé à reconnaître la nocivité inutile de médicaments psychiatriques, et pour protéger les droits de ceux qui veulent des oins sans drogue .  En misant sur ce même thème, d’origine médicamenteuse démence: un crime parfait présente une analyse méthodique des données scientifiques et épidémiologiques qui confirme les  médicaments psychotropes comme une cause de lésions cérébrales et de décès prématurés. Espérons que ces publications seront utilisées par les profanes, les cliniciens, les avocats et les décideurs politiques à améliorer la qualité et l’intégrité des soins de santé, et de sauvegarder le droit fondamental de tous les patients pour éviter des lésions corporelles injustifiée – en particulier, lorsque ce dommage survient dans le forme de désinformation, frauduleux, et / ou coercitives (involontaire) de soins médicaux.
Depuis les affaires des statines, du Viox, de l’Acomplia et du Zyprexa, qui ont occasionné le retrait de plusieurs médicaments, on se pose des questions sur les objectifs des firmes pharmaceutiques
L’industrie pharmaceutique serait elle dirigée par des hommes assoiffés de profits et d’abord soucieux de “ marchandiser ” cyniquement la souffrance humaine ?
La Médecine scandale (1993) de Patrick Coquidé
Jamais l’actualité n’a autant tourné autour de la santé et jamais le monde médical n’a été autant ébranlé.
C’est que le corps médical français est particulièrement mal formé. C’est sa compétence qui est en jeu. Mais qui osera mettre en cause la formation des médecins dans les facultés de médecine alors qu’ils représentent dans de nombreux pays un puissant « par
Nous ne connaissont pas 50% des effets secondaires des médicaments avant leurs mise sur le marché !
Les horreurs perpétuées par la médecine moderne sont aggravées par le fait que celle-ci exerce un véritable monopole.
LA SANTE ASSASSINEE (1992) de ROBARD (Isabelle)
Textes en main, preuves à l’appui, elle démontre la culpabilité des responsables et l’imbroglio politico-médical qui plongent la France dans les ténèbres. En dépit des efforts de la presse dénonçant les scandales de la médecine, les « intouchables »
De nos jours, le principal problème lié aux drogues, aux États-Unis par exemple, ce n’est pas la consommation de drogues illégales, mais celle de drogues parfaitement légales, les médicaments. Plus de deux millions de personnes sont hospitalisées chaque année uniquement en raison d’effets indésirables des médicaments et que 180 000 en meurent. Quand une agence de réglementation des aliments et des médicaments autorise la vente d’un médicament grand public, plus de la moitié des effets graves qu’il entraîne restent inconnus.
Death by Prescription de Ray D. Strand
Il ya plus de 2 180000 décès chaque année aux États-Unis exclusivement due à des réactions indésirables aux médicaments
 » Par exemple, il note que d’un rapport de l’US Food and Drug Administration, a conclu que l’entreprise qui fabrique le somnifère Halcion « vigoureusement cherché à réprimer la publication d’études défavorables et a tenté de réduire au silence les crtiques.
Confessions of a Medical Heretic de Mendelsohn Robert S.
 » les médecins sont malhonnêtes, corrompus, immoraux, malades, peu éduqués et carrément plus stupides que le reste de la société. Lorsque je m’apprête à rencontrer un médecin, je me vois devant une personne bornée… »
Les médicamenteurs de Stéphane Horel
trop souvent, notre système de santé est pris au piège d’intérêts économiques qui n’ont plus grand-chose à voir avec la santé de tous.
Death by modern médicine de Dr. Carolyn Dean
Overdosed America  de  John Abramson
Overdosed Amérique révèle la cupidité et la corruption qui poussent les coûts des soins de santé vers le ciel et menace désormais la santé publique.
Médication Madness de  professeur peter Breggin
La grande majorité des individus vivent une vie exemplaire et n’ont pas commis d’actes criminels ou bizarre, avant de prendre les médicaments psychiatriques.
Votre médicament peut être votre problème (anglais uniquement)  des professeurs Peter Breggin M.D. et David Cohen Ph.D.
Comment et pourquoi cesser de prendre les médicaments psychiatriques
Seul livre qui fournit une description non censurée à jour des dangers qui’mplique la prise de chaque genre de drogue psychiatrique. C’est le premier et le seul livre pour expliquer comment cesser sans risque de prendre les médicaments psychiatriques.
« En dépit du succès  d’une campagne de promotion énorme  par les compagnies pharmaceutiques et la psychiatrie biologique, l’efficacité de la plupart ou tous les médicaments psychiatriques reste difficile à démontrer Les médicaments s’avèrent souvent pas plus efficaces que les pilules de sucre, ou des placebos – et pour accomplir même ces résultats positifs limités, les essais cliniques et des données qu’ils génèrent généralement doivent être statistiquement manipulé « (p. 37).
Voici le récit émouvant d’une fille qui a sauvé sa mère d’une mort certaine. Vous la suivrez dans ses démarches auprès de professionnels de la santé. Mauvais diagnostics, mauvaises médications et effets secondaires pervers en découlent. Tandis que les méde
Il serait normal que tout candidat aux vaccins reçoive une information honnête, précise et complète, sur les risques de la maladie dont il souhaite se protéger, mais aussi sur les risques qu’il court en se faisant vacciner. Or, l’histoire de la vaccination
Les fabricants de vaccins, secondés par le corps médical qui a accepté le principe vaccinal sans discussion ou réserve, ont accompli un tour de force dans le domaine de la désinformation et du mensonge.
Les vaccins sont des poisons de Christian-Tal Schaller
Ils sont nés de l’enthousiasme de chercheurs comme Pasteur qui pensaient avoir trouvé le moyen idéal pour venir à bout de toutes les maladies. Si un immense empire industriel ne s’était pas créé grâce aux vaccins, le public aurait reçu des informations objectives quant à l’inefficacité et aux graves effets secondaires de ces substances artificielles. Mais les multinationales ont fait pression sur le corps médical et sur les médias pour étouffer toute contestation et tout débat. La vaccinologie a cessé d’être une science pour devenir une « église » qui jette l’anathème sur tous ceux qui osent remettre en question ses dogmes. Avec les informations de ce livre, vous sortirez de l’ignorance et du conformisme de la peur. Vous pourrez devenir  » immunitairement conscient  » et préserver votre santé et celle des générations futures
Bitter Pills est une enquête intense de l’industrie pharmaceutique internationale.
thalidomide (anglais) de  Henning Nilsson and Robert Sjostrom
Thalidomide and the Power of the Drug Companies
Le principal problème de la drogue aux États-Unis aujourd’hui n’est pas l’utilisation de drogues illicites est-il l’utilisation de drogues légales.
Depuis quelques années, les laboratoires pharmaceutiques ont délocalisé une partie de leurs essais dans les pays d’Afrique et en Inde, où ils trouvent des cobayes humains en grand nombre et à moindre coût. Non-respect des conven­tions internationales, essai
Nous sommes tous des cobayes de docteur Louis de Brower
L’Imposture De La Biologie Et De La Médecine
La désinformation orchestrée par certains groupes d’influence dépasse tout ce que l’on peut imaginer. Elle a permis de collecter de colossales subventions provenant en majeure partie de l’argent public. Le lobby du virus ne peut plus faire machine arrière,
The Cholesterol Myths de Dr. Ravnskov
De nouvelles recommandations de traitement du cholestérol transforment des gens bien-portants en malades.
Il livre ici toutes les preuves que la lutte contre le cholestérol est fondée sur des données statistiques biaisées, tronquées, voire manipulées. Lorsque seules les données scientifiques vérifiables sont retenues, il ne reste rien !
ce médecin dresse un véritable réquisitoire contre la « course folle » à la baisse du taux de cholestérol. »
La Sante confisquee de M. Beljanski
Monique et Mirko Beljanski exposent, dans la Santé confisquée, les résultats positifs qu’ils ont pu obtenir, grâce à leurs découvertes, dans le traitement du cancer et du sida. Ils mettent l’accent sur les difficultés qu’ils ont rencontrées dans leur vie de chercheurs car les théories de Mirko Beljanski ébranlaient certains dogmes scientifiques majeurs de l’époque. Ils s’interrogent sur le danger actuel pour la science d’être trop liée au secteur pharmaceutique et sur les dangers que le pouvoir de l’argent fait peser sur l’éthique scientifique.
l’Ordre des médecins ne désirait pas que la population fût informée de l’activité de si nombreux médecins aux postes de commandement des lieux d’extermination
Entre 1940 et 1944, 40 000 malades mentaux sont morts de faim dans les hôpitaux psychiatriques français.
c’était au théâtre. L’offreur de diagnostics, de traitements et de consolations qui n’attend pas le malade mais va le chercher est le désormais célèbre docteur Knock. L’intuition de l’auteur Jules Romain est qu’il faut inculquer un nouvel état d’esprit. Son autre prémonition est le rôle de propagandistes que les médecins allaient endosser.
prescrits pour son mal d’estomac. La drogue a été présenté comme sûr par le médecin traitant à la fois de Vanessa et le fabricant. Peu de temps après l’avoir prise, elle est morte.
les antidépresseurs  » pousse-au-crime  » ? Les antibiotiques qui paralysent ? Dans notre vie quotidienne, nous subissons les effets pervers de produits mal conçus ou insuffisamment testés
En clair, cela signifie que pour six méthodes opératoires sur sept on n’a toujours pas la preuve qu’il ne serait pas mieux de ne pas intervenir du tout.
L’Amérique dupé l’histoire non-sensationnelle, fait-remplie de la façon dont les Américains sont venus à croire que la dépression et d’autres problèmes mentaux sont causés par des déséquilibres chimiques qui peuvent être fixés avec des pilules. Il révèle comment les études sur les médicaments utilisés pour obtenir l’approbation de la FDA sont conçus, payés et écrits par les compagnies pharmaceutiques elles-mêmes et sont délibérément trompeur. Partie 1 de l’Amérique Dupé est axée sur les antidépresseurs, leur efficacité et leurs effets secondaires, y compris les dommages permanents au cerveau qui résulte de l’utilisation à long terme dont si peu d’Américains ont aucune connaissance (y compris ceux qui prescrivent et ceux qui prennent des antidépresseurs). La partie 2 traite des différentes approches utilisées à travers l’histoire pour traiter les problèmes mentaux plus graves, y compris l’utilisation des antipsychotiques. Les effets secondaires des antipsychotiques sont également discutés. Partie 3 concerne la façon d’éviter et surmonter les problèmes de santé mentale qui ont augmenté de façon spectaculaire dans notre pays et le faire sans médicaments. Plus de 1800 références au meilleur de la recherche médicale et psychologique sont donnés si chaque page est écrit pour être compris par l’Américain moyen
Mad in America  de  Robert Whitaker
L’histoire racontée dans Mad in America va surprendre beaucoup de lecteurs. Dans sa revue de la littérature scientifique, le livre révèle que les études des résultats à long terme des antipsychotiques ont régulièrement montré que les médicaments ont augmenté la probabilité que les personnes diagnostiquées avec la schizophrénie deviennent des malades chroniques. Le livre examine aussi la commercialisation des nouveaux médicaments antipsychotiques atypiques dans les années 1990, et découvre la fraude scientifique au cœur de cette entreprise
C’est l’histoire d’un père sur le tueur de sa fille, la multimilliardaire industrie pharmaceutique. Lisez le prochain paragraphe à haute voix, cela vous donnera le ton de l’ouvrage : « Vanessa s’élance en direction des escaliers avant de retomber brusquement en arrière. Sa tête percute le plancher avec un bruit sourd, comme si une main géante invisible l’y avait poussée. Elle était toute molle, muette, inerte et pâle. Un terrible pressentiment m’a envahi. J’ai placé mon index sur sa carotide. Je ne sentais aucun pouls, aucun battement. Rien. Les secours arrivent : – Prenait-elle des médicaments? – Elle prend du Prepulsid™ (cisapride) pour apaiser ses ballonnements – Autre chose? – Non »[1] Ce père a vécu le pire cauchemar de tout parent : voir sa fille de 16 ans mourir subitement dans le salon de la maison familiale. L’ouvrage relate son enquête menée dans les arcanes de Santé Canada (Agence canadienne du médicament), d’une mondiale du médicament et de l’establishment médical.
Il dénonce la collusion entre laboratoires et experts qui amènent des millions de personnes à prendre ces médicaments aussi efficaces que des placebos mais dont les effets secondaires sont parfois dramatiques.
“Medicines out of Control ?Antidepressants and the Conspiracy of Goodwill”de Charles Medawar Voici la traduction en français de quelques pages exemplaires de cet ouvrage
les médicaments sont devenus certains des plus gros blockbusters de ce début de 21e siècle, de plus en plus prescrit non seulement pour les citoyens de «schizophrénie» ou d’autres formes graves de troubles mentaux, mais pour une série de plaintes psychologiques les plus courants. Ce livre remet en question le compte admis que dépeint antipsychotiques comme des traitements spécifiques qui ciblent une maladie cérébrale sous-jacente et explore les premières vues qui a suggéré, en revanche, que les antipsychotiques atteindre leurs effets en induisant un état de suppression neurologique. Enthousiasme professionnel pour les antipsychotiques éclipsé cette compréhension, exagéré les bienfaits des antipsychotiques et minimisé ou ignoré les preuves de leurs effets toxiques. L’industrie pharmaceutique a été impliqué dans le développement de l’utilisation des antipsychotiques dans le territoire où il est probable que leurs dangers l’emportent largement sur les avantages.
Tous les graphiques montrent une baisse similaire. Cette baisse ralentit lorsque la vaccination est introduite. Parfois le même graphique une augmentation dans les premières années après l’introduction du vaccin. Les représentations graphiques des statistiques donc faire apparaître l’influence négative de l’introduction des vaccins.
jacky Law étudie comment les sociétés pharmaceutiques font des milliards de dollars par persuader les gens qu’ils ont besoin de leurs traitements. Est-ce l’abus réel de la drogue ?
« Dr. Glidden est l’un des très peu à comprendre les vérités qui donne à réfléchir que MD réalisé que la médecine constamment ne parvient pas à guérir la maladie, et qu’il provoque des quantités massives de préjudice dans le processus. En outre, il comprend que les gens partout dans le monde ceux qui continuent à s’accrocher à leurs remèdes maison culturelles vivent plus longtemps et en meilleure santé que ceux qui achètent dans des méthodes médicales modernes ! En Amérique, hispaniques survivant blancs de 2,5 ans et noirs de 8 ans – et cela n’a rien à voir avec la génétique ! Quelques médecins comprennent comment et pourquoi cela se produit. Peu de médecins ont une expérience pratique offrant des traitements non médicamenteux qui réellement aident les gens à recouvrer leur santé. Dr. Glidden fait. »
Le rôle de la médecine est de nous préserver de l’action de la maladie, de la souffrance et de la mort. Dans toutes les traditions, les hommes ont élaboré un art médical à partir des ressources et des concepts qui composaient leur environnement. La médecine ‘classique’ utilise ce qui compose l’environnement du XXIème siècle, les sciences physiques chimiques et biochimiques. Analyses, radiologie, chimiothérapie, vaccinations, etc., sont les outils qui la caractérisent. Parce qu’elle utilise les sciences exactes qui se sont développées en Occident depuis trois siècles, pouvons-nous dire pour autant de notre médecine qu’elle est scientifique ? Hélas, non ! Pastorienne, elle est l’héritière non de principes scientifiques mais de dogmes ; elle voit la maladie comme une ‘chose’ à éradiquer. Elle n’est pas une science. Elle reste un art, aujourd’hui malmené par des mentalités matérialistes qui oublient trop souvent les composantes énergétique et spirituelle fondamentales du malade, mais aussi par la cupidité des tenants d’un système bien organisé, qui lancent pour leur seul profit des alertes à la pandémie et des incitations à se pré-soigner en consommant médicaments et vaccins comme des malades. Rentabilité à tout va ! N’existe-t-il pas une médecine holistique plus réaliste ? Face à une mafia de pseudo-scientifiques et de vrais financiers , y a t-il moyen encore de trouver quelques espoirs ? Marc Avérous est un Ingénieur chimiste à la retraite. Après une carrière dans l’industrie et la diététique, il a étudié tout au long de sa vie professionnelle la philosophie de la médecine et appliqué avec succès les principes d’une vie naturelle
Quant à l’incroyable surconsommation de médicaments, c’est une plaie spécifiquement française puisque nous en absorbons deux fois plus que les Japonais et moitié plus que nos cousins allemands, qui ne se portent pas plus mal que nous ! Les volumes de psychotropes (anxiolytiques, antidépresseurs et autres sédatifs) avalés par les Français ont été multipliés par six en vingt ans. Une folle dérive parmi d’autres, qui montre l’immense chemin à parcourir pour parvenir non à dépenser moins coûte que coûte mais à mieux utiliser l’argent collecté auprès des assurés sociaux.
MEURTRE PAR INJECTION explique comment l’impitoyable Rockefeller Syndicate – sous le contrôle de la structure financière mondiale, principalement les Rothschild – joue les principaux rôles politiques, sanitaires et éducatifs en Amérique. Le livre décrit les différentes branches de la Rockefeller Syndicate et leurs fonctions: Oil Trust Rockefeller, qui intègre une grande partie du complexe militaro-industriel américain, a le contrôle politique de la nation; Lel Monopoly Medical Rockefeller atteint contrôle des soins de santé de l’Amérique; et la Fondation Rockefeller, un réseau d’affiliés fiscales créations exonérées, contrôle efficacement l’éducation.
Mullins spécifie les noms, beaucoup d’entre eux appartenant à des personnalités publiques connues en Amérique. Les entreprises et leur conseil d’administration sont répertoriés avec toutes leurs connexions.
gratuitement en ligne ouvrage de 210 pages
Bealle utilisé son expérience professionnelle à faire un peu de creuser profondément dans la situation la liberté-of-the-presse et est venu avec deux éclatement expose – « L’histoire des médicaments », et « La Chambre des Rockefeller. » Le fait que, en dépit de sa familiarité avec le monde de l’édition et de nombreux contacts personnels importants, il ne pouvait pas obtenir ses révélations dans la copie jusqu’à ce qu’il fonde sa propre compagnie, The Columbia Publishing House, Washington DC, en 1949, était un excellent exemple de la censure silencieuse mais inflexible en vigueur sur «la terre de la liberté et la patrie des braves ». Bien que l’histoire de drogue est l’un des livres les plus importants sur la santé et la politique jamais à apparaître aux Etats-Unis, il n’a jamais été admis dans une grande librairie, ni examinée par aucun document de mise en place, et a été vendu exclusivement par courrier. Néanmoins, quand nous sommes arrivés à le lire, dans les années 1970, il était déjà dans sa 33e impression, sous une étiquette différente – Biworld Publishers, Orem, Utah….
…Ainsi les journaux continuent d’être nourris avec de la propagande sur les drogues et leur valeur présumée, même si, selon la Food and Drug Administration (FDA) 1,5 million de personnes ont débarqué dans les hôpitaux en 1978 en raison des effets secondaires des médicaments aux États-Unis seul, et malgré les déclarations récurrentes par intelligente et les médecins courageux que les articles les plus pharmaceutiques en vente sont au mieux inutile, mais le plus souvent nuisible ou mortelle dans le long terme….
L’histoire de david Carmichael
Peu de temps après la naissance de sa fille Rebecca Beddoe a été diagnostiqué avec la dépression post-natale. Deux ans plus tard, elle prenait six médicaments différents, y compris le lithium, un tranquillisant, un antipsychotique, et les antidépresseurs. Elle avait été diagnostiqué avec un trouble bipolaire; donné la thérapie de chocs électriques; fait de nombreuses tentatives sur sa vie; et a été tour à tour maniaque et consommée par le désespoir paralysant au cours de laquelle elle pouvait à peine bouger. Elle avait une fille de deux ans qu’elle connaissait à peine et d’une mère et partenaire qui étaient à la fin de leurs esprits, incapables de reconnaître la femme autrefois ambitieux, dynamique et très réussi qu’ils aimaient.
Un aperçu effrayant et vrai de l’incapacité de notre établissement légal de comprendre et reconnaître les questions de santé mentales et les effets des médicaments psychoactifs prescrits.
 La défonce médicamenteuse. de MAXENCE (Jean-Luc)
Les antidouleurs et antidépresseurs sont aujourd’hui les médicaments les plus consommés en France. Les 150 millions de boîtes de tranquillisants vendues par an et par Français (soit 80 cachets par personne) représentent 20 % du chiffre d’affaires des laboratoires. Or ces  » gélules miracle  » sont des drogues à part entière car elles induisent un état de dépendance, un refus d’assumer la réalité. L’état d’urgence est déclaré. Aux ravages causés par les antidépresseurs, s’ajoutent ceux du cannabis, de l’extasie et du crack. Chercher le bien-être, le bonheur, le sommeil, l’amour, l’indépendance, l’éternité, bref,  » la lune en gélules  » dans ces drogues est dangereux. La meilleure réaction commence par l’information, la compréhension des mécanismes qui mènent à la dérive et des phénomènes d’accoutumance.
du professeur Healy david
Professeur david Healy.The Creation of Psychopharmacology. Editeur : Harvard University Press; Édition : New Ed (3 septembre 2004). L’histoire de la psychopharmacologie. L’histoire des psychotropes. L’histoire des benzodiazépines.
dépendance par prescription anglais uniquement par Joan E Gadsby
Dr. Malcolm Lader, professeur de la psychopharmacologie clinique, institut de la psychiatrie, Londres, Angleterre« … L’histoire bien-recherchée de Joan Gadsby devrait aider une attention publique de foyer sur ce problème effroyable et sa solution.(anglais)
dépendance par prescription anglais uniquement par Joan E Gadsby
Dr. Malcolm Lader, professeur de la psychopharmacologie clinique, institut de la psychiatrie, Londres, Angleterre« … L’histoire bien-recherchée de Joan Gadsby devrait aider une attention publique de foyer sur ce problème effroyable et sa solution.(anglais)
Livres benzo (anglais uniquement) de j Gadsby, Simon Kaberry, Jack Hobson-Dupont, Peter Lehmann, Gurli Bagnall, Shirley Trickett, Di Porritt et Di Russell, Pam A…
the antidepressant fact de professeur peter Breggin
Ce que votre docteur ne vous dira pas au sujet de Prozac, de Zoloft, de Paxil, de Celexa, et de Luvox
Suicide et la mort peuvent se cacher Dans chaque pilule ISRS Je suis Ann Blake Tracy, Ph.D., chef de la Coalition internationale pour la sensibilisation aux drogues. Je suis l’auteur de Prozac: panacée ou Pandora? – Notre cauchemar de la sérotonine et ont témoigné dans des affaires judiciaires impliquant des antidépresseurs pendant 12 ans 1/2. Les 15 dernières années de ma vie ont été consacrées à plein temps à des recherches et à écrire sur les antidépresseurs ISRS. La recherche sur la sérotonine a été clair dès le début que la chose la plus dommageable qui pourrait être fait pour le système de sérotonine serait porter atteinte à sa capacité à métaboliser la sérotonine. Pourtant, c’est exactement ce que les antidépresseurs ISRS exercent leurs effets. Pour la recherche des décennies a montré que le métabolisme de la sérotonine atteinte produira migraines, bouffées de chaleur, douleurs autour du coeur, difficultés respiratoires, une aggravation des plaintes bronchiques, la tension et l’anxiété qui apparaissent de nulle part, la dépression, le suicide – en particulier le suicide très violent, l’hostilité , les crimes violents, les incendies criminels, la toxicomanie, la psychose, la manie, la maladie organique du cerveau, l’autisme, l’anorexie, la conduite dangereuse, la maladie d’Alzheimer, un comportement impulsif sans se soucier de la peine, et le comportement argumentatif. Comment on jamais pensé que ce serait «thérapeutique» pour induire chimiquement ces réactions, cela me dépasse. Pourtant, ces réactions sont exactement ce dont nous avons été témoins dans notre société au cours de la dernière décennie et demie en raison de l’utilisation généralisée de ces médicaments. En fait, nous avons même un nouveau vocabulaire à la suite avec des termes tels que «rage au volant», «suicide par policier », « assassiner / suicide», «va», «syndrome du faux souvenir, » postal « école de tir »,  » bi-polaire »- chaque troisième personne que vous rencontrerez plus – avec des taux faramineux de diabète de type antidépresseur induit et l’hypoglycémie. Vous souvenez-vous il ya deux décennies, quand les gens déprimés utilisés pour s’éclipser discrètement de se suicider plutôt que de tuer tout le monde autour d’eux et puis eux-mêmes comme ils le font tout en prenant des antidépresseurs ISRS? Une étude de l’Université de Californie du Sud en 1996 a porté sur un groupe de souris mutantes dans une expérience qui a terriblement mal tourné. Ces souris transgéniques étaient les créatures les plus violents qu’ils avaient jamais vu. Ils sont nés manque la MAO-A enzyme qui métabolise la sérotonine. À la suite de leurs cerveaux étaient inondés de sérotonine. Cet excès de sérotonine est ce que les chercheurs ont déterminé était la cause de cette violence extrême. Les antidépresseurs produisent le même résultat final car ils inhibent le métabolisme de la sérotonine. Ce sont des médicaments extrêmement dangereux qui doivent être interdits en tant que médicaments similaires ont été interdits dans le passé. Comme société, nous pensions jadis LSD et le PCP comme des médicaments miracles avec de grandes marges de sécurité chez l’homme. Nous n’avons jamais vu médicaments si semblables à ceux du LSD et le PCP que ces antidépresseurs ISRS. Tous ces médicaments produisent rêver pendant les périodes d’éveil. On croit que les niveaux de sérotonine élevés sur stimulent le tronc cérébral qui entraîne un manque de paralysie musculaire pendant le sommeil permettant ainsi au patient d’agir sur les rêves ou les cauchemars qu’ils ont. Le monde a été témoin clairement dans l’assassiner-suicide Zoloft induite par le comédien Phil Hartman et son épouse, Brynn. Connecticut a vu le cas Prozac induite par Kelly Soie il ya plusieurs années. Cette jeune mère a attaqué sa famille avec un couteau, puis réglez la maison en feu tuant tous mais sa fille de 8 ans qui a couru chez les voisins. Comme elle se tenait saignements et crier à l’aide, elle a expliqué: «Au secours! Ma maman est un cauchemar! » Sur la bouche des enfants, nous allons comprendre ces cauchemars pour ce qu’ils sont. Elle a compris que c’était quelque chose que sa mère ferait que dans un cauchemar, jamais dans la réalité. Ceci est connu comme un trouble du comportement en sommeil paradoxal. Dans le passé, il était surtout connu comme un état de sevrage, mais la plus grande installation de sommeil dans le pays a signalé que 86% des cas, ils sont diagnostiquent sont les patients sous antidépresseurs. Parce que cela a été connu dans le passé comme condition manifestant principalement par le retrait de la drogue, vous devriez voir comment l’état dangereux de retrait de ces médicaments se révélera être. C’est pourquoi il est si important de s’assurer que les patients sont sevrés très lentement afin d’éviter tout risque d’entrer dans un état de sevrage.
tous fou ? de jean claude Saint-Onge
Une personne en deuil souffrirait de « dépression majeure » si elle n’arrive pas à surmonter son chagrin après deux semaines. Une personne très timide serait atteinte de « phobie sociale » et un enfant qui conteste les adultes et les règles, serait taxé de « trouble oppositionnel avec provocation». Sommes-nous tous devenus fous ? En 60 ans, le nombre de troubles mentaux répertoriés dans le DSM, la « bible » des psychiatres, est passé de 60 à plus de 400 alors que la consommation de psychotropes a augmenté de 4 800 % aux États-Unis au cours des 26 dernières années. Or, cette épidémie de « maladies mentales » est très largement fabriquée, nous explique J.-Claude St-Onge dans cet essai sur l’influence démesurée de l’industrie pharmaceutique sur la psychiatrie.
« Irving Kirsch soutient que les médicaments de type Prozac n’ont guère plus d’efficacité que des vulgaires placebos, les effets secondaires en plus. « La différence d’amélioration entre les patients prenant des placebos et ceux prenant des antidépresseurs n’est pas très importante. Cela signifie que les personnes souffrant de dépression peuvent aller mieux sans traitement chimique », explique cet éminent professeur. Ce livre a mis en rage la communauté scientifique et le lobby des laboratoires pharamaceutiques qui jugent irresponsable cette entreprise de démystification… car la France est le premier consommateur au monde de psychotropes.
Arrêtons d’avaler n’importe quoi !
Tout le système est à reconstruire au service des malades, des finances publiques et du progrès thérapeutique. Ce rapport dessine les profondes réformes à apporter d’urgence à un système qui refuse pourtant de se remettre en cause. Sans elles, de nouveaux drames se multiplieront inéluctablement. L’appui des citoyens sera indispensable pour les faire aboutir.
combattre les crimes et aberrations commis par certains industriels et nos gouvernements… au nom de notre santé à tous ! Une enquête stupéfiants : les scandales d’un siècle d’expérimentation secrète sur l’être humain.
Et de préciser : « on ne voit les personnes âgées que comme des objets, on les prend, on les sort du lit, on va les poser tout humide de la nuit en plein courant d’air. On leur donne à manger très très vite, au point de les blesser au niveau des lèvres
redoutables dangers. Les insuffisances de recherches, les négligences des observations, le peu de sérieux des conclusions hâtives de médecins inféodés aux Laboratoires sont dénoncés avec force, preuves à l’appui
Les conclusions de Welch sont convaincantes, inhabituelles et troublantes : le diagnostic précoce du cancer ne sauve pas toujours la vie, il peut s’avérer très difficile de détecter un cancer à ses débuts et il est des cancers qu’il vaut mieux ignorer
La Face Cachée de la Chimiothérapie – Lorsque le remède est pire que le mal
Extrait du livre «Prenez en main votre santé – Tome 2» – Michel Dogna – Guy Trédaniel Editeur
La chimiothérapie nous vient de la recherche sur les armes chimiques de la Seconde Guerre mondiale, et a fait son apparition dans les années cinquante.
Il fut découvert ensuite que le gaz moutarde et autres produits chimiques dangereux du même genre freinaient la croissance des tumeurs. Cette découverte arrivait à point à un moment où la recherche piétinait dans ce domaine (ça n’a pas changé depuis). Le problème, évidemment, est que ces produits tuent autant de cellules saines que de cellules cancéreuses et, en particulier, les cellules à reproduction rapide, c’est-à-dire le sang. C’est ainsi que ce traitement est capable de mettre dans un état pitoyable n’importe quelle personne en pleine santé.
La France contaminée
Des lobbies contre la santé Roger Lenglet et Bernard Topuz
Les pouvoirs publics, garants théoriques de la santé publique, sont confrontés à des intérêts économiques puissants: laboratoires pharmaceutiques, producteurs d’engrais et agriculteurs, utilisateurs, producteurs et distributeurs d’alcool et de tabac, etc. La maîtrise de l’expertise scientifique est au coeur de la confrontation. Mais qu’est ce que l’indépendance d’un expert et comment l’assurer? Vingt-deux des vingt-sept membres du conseil scientifique de l’Agence du médicament (qui autorise la mise des médicaments sur le marché) déclarent des liens d’intérêt avec des laboratoires, nous apprennent les auteurs de cet ouvrage.
« Ce qu’on ne vous dit pas sur ce diagnostic tant redouté ».
La soi-disant maladie d’Alzheimer n’a pas de symptômes spécifiques
En quantités microscopiques fluorure progressivement mais sûrement n’interférera avec un large éventail de fonctions métaboliques provoquant répartition et lente détérioration. Les victimes vont penser qu’ils vieillissent juste et ne réalisent pas ce qui se passe réellement. Processus mentaux sont affectés, créant un effet d’abêtissement.
Des instincts agressifs, lecteur de l’initiative et le sexe sont tous supprimés. Et le fluorure est cancérigène. C’est un élément clé des gaz neurotoxiques qui peut tuer de manière si grotesque que je dois s’abstenir de les décrire.
Le fluorure est très polyvalent. Il peut vous tuer lentement, ou il peut vous tuer rapidement, selon la dose. Et il peut tuer n’importe quoi, même des cafards. Dans les 17ème et 18ème siècles, ils avaient un surnom pour elle… Poison du diable.
..une réalité que personne ne veut l’admettre. Maladies fictives, les statistiques falsifiées – jamais pour le bénéfice des malades, mais toujours pour le bénéfice des actionnaires et le gérant pharmaceutique.
Poursuivant son travail sur le pouvoir d’influence de l’industrie pharmaceutique, J.-Claude St-Onge se penche cette fois-ci sur le phénomène du TDAH, qui a littéralement explosé depuis une trentaine d’années. Or, il s’agit d’un diagnostic hautement controversé: les critères pour l’identifier manquent de scientificité et il n’existe aucune preuve que ces symptômes soient le résultat d’un déséquilibre chimique du cerveau. Quant aux médicaments, à long terme, ils ne font aucune différence sur les résultats scolaires et les comportements des enfants. Pire, ils peuvent même aggraver leurs symptômes. Cela n’empêche pas l’industrie pharmaceu­tique d’exploiter sans scrupule cette corde sensible des parents et des enseignant-e-s pour engranger des profits faramineux, sur la base d’essais cliniques aussi biaisés qu’incomplets.
En réalité, les statines n’empêchent ni les infarctus ni les AVC.
Tous les médicaments anticholestérol, les anciens comme les nouveaux, sont toxiques du fait de leur mode d’action et aussi parce qu’ils privent le corps d’un facteur protecteur : le cholestérol !
La Société cancérigène dénonce, chiffres à l’appui, les silences des discours officiels et les intérêts de bien des lobbies. Car la disparition du cancer serait préjudiciable à des pans entiers de notre économie. Veut-on vraiment faire reculer le cancer ?
…il y aurait finalement plus de gens pour en vivre que pour en mourir. N’y a-t-il aucun lien entre ceux qui produisent le cancer, ou du moins des substances cancérigènes, et ceux qui prétendent non le guérir mais l’affronter ?…
Pas peur du cancer / keine angst vor krebs (1978)
Les risques du dépistage – modèle cas la prostate / du professeur Julius Hacketha
La crainte générale de cancer est sans fondement. Il est basé sur les erreurs et les mensonges. La plupart des cancers sont des crabes de compagnie bénignes. Ils ne nécessitent aucun traitement.
L’objectif des auteurs est montré les stratégies du lobbying des laboratoires et de pointer les conflits d’intérêts liant les industriels avec les politiques et les autorités.De comprendre, par exemple pourquoi les génériques sont vendus 30 % plus chers en France qu’en Italie ou qu’un médicament contre l’hépatite C est commercialisé 256 fois son prix de revient au laboratoire (les labos gonflent les chiffres en y incluant les dépenses de marketing, de communication).
Cancer sortez de la boite gratuitement en ligne
Ce que vous savez sur le cancer a été soigneusement conçu et planifié par les ‘artistes – comédiens’ de l’industrie pharmaceutique de propagande, pour vous ma intenir dans l’ignorance, sur l’immense supériorité de Mère Nature au traitement du cancer. Malheureusement, certaines personnes qui ont un côt é naturel (par exemple, les gens pratiquant la médec ine alternative), n‘ont pas l‘intégrité, moins en tous cas, que les compagnies de tabac et les compagnies pharmaceutiques. Les bonnes nouvelles sont, que ce livre, Cancer – Sortez de la Boîte , va rétablir les faits et mettre les choses au clair. Il vous renseignera sur les traitements alternatifs contre le cancer, ceux qui fonctionnent vraiment ; et dans de nombreux cas les v endeurs ou les cliniques citées vous aideront à utili ser les traitements. Cependant, ce livre est tout aussi impo rtant pour les gens qui n’ont pas de cancer, que pou r ceux qui en ont un, car il leur est destiné également. Considérez ces statistiques factuelles : • Un taux de guérison véritable de 90% ou plus, peut f acilement être atteint par les patients victimes d’u n cancer, qui évitent la médecine orthodoxe, qui s’orie ntent vers la médecine alternative en premier, et qu i en font un devoir. • Le taux de guérison véritable de la médecine orthodoxe est de 3% ou moins. • 95% des patients atteints de cancer, qui ont agi ave c des traitements alternatifs contre le cancer, mai s ayant déjà reçu le traitement complet et orthodoxe, ont été renvoyés chez eux pour mourir ; c’est à dire que la médecine alternative a remis sur pieds un grand nombre de patients atteints de cancer, pourtant dans un état critique. • Pour ceux qui attendent d’aller avec d’autres traitem ents contre le cancer, qu’après qu’ils aient été renvoyés chez eux pour mourir, seule une poignée parmi plus des 300 autres traitements contre le cancer, est ass ez forte pour avoir une chance de survie. • Mais même pour ces rares personnes, qui ne trouver ont qu’un de ces puissants traitements (par exemple celles qui ont lu ce livre), au mieux, elles auront des chances de survie d’environ 50%. Xxiv
En d’autres termes, si vous y allez en premier , avec la médecine alternative, vos chances de survie sont de 90% ou plus, si vous faites ce qui est indiqué. Si vous y allez avec la médecine orthodoxe d’abord, puis avec la médecine alternative en second, vous subirez des année s de souffrance, et si vous êtes chanceux, vous aurez alors un ‘50%’ de chance de survie.
Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, La médecine qui tuent, Médecine, Médicaments | Laisser un commentaire

NEGATIONNISME MEDICAL (médecins et infirmières)

NEGATIONNISME MEDICAL (médecins et infirmières)

En 10 secondes, le professeur christian Perronne nous explique le négationnisme médical systématique concernant les effets secondaires des médicaments et vaccins de BIG PHARMA.

Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, Médecine | Laisser un commentaire

Médicaments de big pharma : Une très grave épidémie

Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, La médecine qui tuent, Médicaments | Laisser un commentaire

(Meurtre par injection de eustace Mullins) Pour faire fortune, les médecins ont pensé qu’il fallait un monopole médical : la conspiration médicale des charlatans mafieux

BIG PHARMA : Origine et histoire

Sauvegarde odysse de la vidéo meurtre par injection 1

Sauvegarde odysse de la vidéo meurtre par injection 2

Sauvegarde odysse de la vidéo meurtre par injection 3

Dès 1600 avant J.C., plus de 900 médicaments étaient déjà à la disposition des médecins y compris l’opium. Aujourd’hui, la médecine allopathique est devenue dominante. Elle cherche à discréditer, à déconsidérer, voire à annihiler sa concurrente, la médecine homéopathique à laquelle encore beaucoup de gens dont la reine Elizabeth II continuent à avoir recours. Pourtant, en 1847, aux Etats-Unis, le nombre des homéopathes représentait encore le double de celui des allopathes. Mais en 1892, John D. Rockefeller reçut de Frédérick T. Gates un plan lui permettant de se rendre maître de tout l’ensemble du système américain d’éducation médicale. Sous sa houlette, le nombre d’écoles de médecines passa de 650 à 50 et celui des diplômés fut ramené de 7500 à 2500. Rockefeller avait commencé en vendant des potions, à base de pétrole, censées soigner n’importe quoi mais, en réalité, plus nocives qu’efficaces. À la fin de la première guerre mondiale, les productions de produits chlorés à but militaire (ypérite) furent reconverties en insecticides et pesticides pour l’agriculture et en médicaments pour humains et animaux. Les multinationales de la chimie et de la pharmacie engrangent des profits phénoménaux avec des chiffres d’affaires de plusieurs milliards de dollars. Leurs médicaments sont malheureusement trop souvent surévalués, inefficaces et potentiellement dangereux. En septembre 1980, la FDA fit ainsi retirer du marché plus de 3000 médicaments à l’efficacité douteuse et à la dangerosité certaine. La liste de ces derniers est interminable, celle des scandales sanitaires aussi. (Thalidomide, Aspartame, etc.) Chaque année, 30 000 Américains meurent des effets indésirables des médicaments et des vaccins.

« Meurtre par injection » est un essai sur l’état de tout le système médical américain. Le titre est assez mal choisi. En effet, le problème des vaccins n’est abordé que dans un seul chapitre assez court d’ailleurs. L’auteur prend le problème dans son ensemble en commençant par la partie historique qui montre comment on en est arrivé là. Depuis la création de pseudos instances de contrôle et de régulation comme l’AMA (American Medical Association) dirigée jusqu’en 1949 par deux charlatans, Simmons et Fishbein, jusqu’à la main mise absolue du trio Rockefeller-Rothschild-Gates sur l’ensemble de la filière, OMS incluse. Une guerre sans merci fut livrée contre les médecines douces comme l’homéopathie, la phytothérapie, la chiropractie et autres qu’on accusa de tous les maux pour mieux promouvoir la filière chimique d’un rapport bien plus intéressant. Ainsi apprend-on que les huiles essentielles furent interdites, saisies et détruites comme « substances dangereuses » alors que personne n’était mort ou n’avait été malade suite à leur prise. Que l’on a expérimenté pendant des années des vaccins sur des prisonniers dans les pénitenciers américains sans leur consentement et avec les conséquences tragiques que l’on imagine. Que dans les années 60, Dulles commanda à la société Sandoz basée en Suisse rien moins que 10 kg de LSD soit cent millions de doses qui servirent aux expériences menées dans les universités de la côte ouest (Timothy Leary) sous la houlette de la CIA, laquelle reprit et mena à leur terme toutes sortes d’expérimentations de manipulations mentales et autres lavages de cerveau initiés par les médecins nazis (MK Ultra, MK Delta, etc.) Au total, un réquisitoire implacable et ahurissant qui fait froid dans le dos. À réserver aux courageux qui voudraient en savoir un peu plus sur le sujet.

Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé | Laisser un commentaire

L’industrie pharmaceutique au service de l’assurance maladie : on vous assure la maladie à vie !

Sécurité sociale : un outils du crime médical organisé
« système complexe de racket, de blanchiment et de recyclage de devises entre un producteur (le laboratoire pharmaceutique), un grossiste (le pharmacien), un dealer (le médecin) et un consommateur de drogues (l’assuré), sous la surveillance de deux organisations criminelles nationales (l’Etat et l’Industrie du médicament). »
.

L’industrie pharmaceutique au service de l’assurance maladie: on vous assure la maladie à vie! (sauvegarde)

Voici quelques extraits de l’excellent et audacieux article de la revue « Protégez-vous » du mois de mai 2010.  Un dossier à lire et à conserver dans vos archives!   Un dossier sur la collusion entre l’industrie pharmaceutique et le monde médical, sur les études bidons réalisées par des équipes de scientifiques financées par des compagnies privées, rédigées par des « écrivains fantômes » et cautionnées par des « éminents » scientifiques qui n’ont jamais participé aux études…

Journaliste responsable du dossier : Rémi Maillard pour l’édition de mai 2010.

« Voire à l’apparition de nouvelles pathologies créées de toutes pièces et popularisées par des « campagnes d’information » souvent alarmistes à la télévision et dans les grands journaux. »

« Une maladie pour chaque pilule ».

« La timidité, par exemple, est devenue un « trouble d’anxiété sociale », la brûlure d’estomac a été rebaptisée « maladie du reflux gastro-oesophagien » et la tension prémenstruelle s’est métamorphosée en « trouble dysphorique prémenstruel ». Quant à l’impuissance, elle porte désormais le nom savant de « dysfonction érectile »… Le but ? Faire de chacun de nous un consommateur de pilules en puissance, si possible sur une longue durée, estime Dr. Marc Zafran. »

« Cette stratégie fonctionne : les dépenses en médicaments des Canadiens ont été multipliées par quatre en 20 ans, pour atteindre 30 milliards de dollars en 2009. Dans le seul domaine de la psychiatrie, le nombre de maladies mentales officiellement reconnues aux États-Unis est passé de 26 à 395 depuis la Seconde Guerre mondiale, rapporte le journaliste scientifique allemand Jörg Blech, auteur d’un livre-enquête sur les dérives de l’industrie pharmaceutique.

« Coïncidence troublante, 95 des 170 experts qui ont participé à l’édition la plus récente du DSM (manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux) de l’Association américaine de psychiatrie, la « bible » des psychiatres en Amérique du Nord et en Europe, entretenaient des liens financiers avec l’industrie. »

« Il n’est donc pas étonnant, relève-t-il, que « certains nouveaux médicaments, notamment pour traiter l’hypertension et la schizophrénie, s’avèrent en fin de compte cliniquement moins efficaces que leurs prédécesseurs bien qu’ils soient vendus jusqu’à 10 fois plus cher. »

« Au total, les pharmas investisssent plus de 60 000$ dans chacun des quelques 700 000 médecins étasuniens ; au pays, ce montant serait de l’ordre de 20 000$. »

« Cela va du financement commercial des universités aux essais cliniques biaisés, des pseudo-publications scientifiques à l’abaissement régulier des seuils de facteurs de risque pour certaines maladies, de l’éducation continue des médecins aux visites incessantes des représentants pharmaceutiques, qui nous apportent des échantillons gratuits. Sans oublier le financement des congrès, les repas payés à l’hôpital ou au cabinet, les réunions commanditées et les soupers-conférences dans de grands restaurants. »

« Même le médecin le plus compétent n’est plus en mesure d’obtenir des informations neutres et objectives lui permettant de prescrire les produits les plus efficaces pour ses patients. » – Marc-André Gagnon, Université McGill

« Les laboratoires financent des essais cliniques dont ils analysent eux-mêmes les résultats. Ils font ensuite appel à des « ghoswriters », des « auteurs fantômes », pour écrire des articles qu’ils font souvent revoir et signer par des « leaders d’opinion », c’est-à-dire des chercheurs reconnus pour leur expertise. Puis ils s’arrangent pour les faire publier, si possible dans des revues prestigieuses. Finalement, ils obtiennent une masse critique de littérature scientifique qui détaille les bienfaits du médicament pour diverses utilisations, mais omet, ou mentionne à peine, ses effets secondaires. Ils envoient alors leurs représentants montrer cette documentation aux médecins afin de les convaincre que leur produit est le meilleur. »

« À l’arrivée, on finit donc par se retrouver avec une littérature biaisée ».

« Plusieurs études indiquent que les essais financés par l’industrie sont de trois à cinq fois plus susceptibles de fournir des résultats favorables que ceux qui sont réalisés avec des fonds indépendants. »

« Les médecins ont beau protester qu’ils sont autonomes et insensibles aux pressions extérieures ou à la publicité, toutes les études montrent que ces visites modifient leurs habitudes de prescription. »

« Des documents internes d’Eli Lilly, le fabricant du célèbre antidépresseur Prozac, montrent qu’au début des années 2000 ses représentants avaient pour mission d’inciter les médecins de première ligne à établir un diagnostic de « trouble bipolaire »… et à prescrire à leurs patients son antipsychotique Zyprexa. »

« Les abus sont si fréquents que la plupart des grandes pharmas doivent régulièrement répondre d’accusations de pratiques commerciales frauduleuses. En 2004, par exemple, Pfizer a accepté de payer 450 millions de dollars pour mettre fin à des poursuites engagées à son encontre aux États-Unis. »

« De 2004 à 2009, Pfizer, Eli Lilly, Bristol-Myers Squibb et quatre autres compagnies ont ainsi déboursé plus de sept milliards en amendes et pénalités de toutes sortes. »

« Les pharmas débordent d’imagination. L’an dernier, à l’occasion d’un procès en Australie, on a découvert que pour faire mousser les ventes de son très controversé anti-inflammatoire Vioxx, Merck avait créé un faux journal médical, publié sous le label d’Elsevier, un éditeur scientifique réputé. »

« Lorsque les facultés sont massivement financées par des sociétés privées, que celles-ci s’associent à tous les évènements organisés sur les campus, le risque est grand qu’elles finissent par faire partie de l’univers mental et culturel des étudiants. »

« En 2008, un article du New England Journal of Medecine a passé en revue 74 essais cliniques d’antidépresseurs. Ses conclusions sont édifiantes : 37 études positives sur 38 avaient été publiées tandis que 33 des 36 études négatives ne l’avaient jamais été, ou seulement sous une forme mettant en évidence un résultat positif. »

« Une fois sur cinq, d’importantes informations concernant l’innocuité d’un médicament n’apparaissent qu’après sa mise en marché, affirmait en 2006 le Dr. Robert Peterson, directeur général de la Direction des produits thérapeutiques à Santé Canada de 2000 à 2005. »

« Mais quand vient le temps de vérifier qu’ils n’ont pas d’effets indésirables, il n’y a plus d’argent ».

 
« liens d’intérêts : pas moins de 14 millions de liens ont été répertoriés en France depuis 2012, pour un montant total de plus de 3,5 milliards d’euros versés aux professionnels de santé. »
Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, Médecine | Laisser un commentaire

Traitement HIV / VIH (sida), génocide pharmaceutique : professeur étienne De Harven

« Les docteurs MENGELE de la SS ne sont pas loin de réssusciter… »

Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, La médecine qui tuent, Médicaments | 1 commentaire

Toute la vérité sur le cancer / Ty Bollinger

infos et solutions
.
Le site de Ty Bollinger
 .
UN DOCUMENTAIRE D’INTRODUCTION  INCONTOURNABLE SUR LE CANCER

extraits :

« on estime que d’ici 2020, aux USA, 50 % des cancers seront induits par les médicaments ou les radiations médicales, la médecine devenant ainsi, bientôt, la principale cause de cancer » docteur ben Johnson

« Ce n’est pas le cancer, qui fait vraiment mal aux gens, statistiquement ; 42 à 46 % des patients qui ont un cancer meurent de cachexie,…, ils perdent, essentiellement toute leur masse corporelle, le reste, entre 54 et 58 % meurent des traitements. En d’autres termes, personne ne meurt du cancer. » docteur rashid Buttar

« 97 % des personnes qui subissent une chimiothérapie sont mortes, dans les cinq ans, cela a été publié en 2004 dans le journal of oncologie…..C’est tout a fait vrai encore aujourd’hui, depuis, cela n’a pu qu’empirer »

introduction : la vérité sur le cancer
extrait : « Si d’aucun sont correctement informés des effets de la chimiothérapie sur le corps humain, ce sont bien les cancérologues qui prescrivent ce type de traitement à leurs patients. Or dans une étude parue en 2014 dans un journal en libre accès du nom de PLOS ONE, on apprend qu’une majorité assourdissante de cancérologues ne souhaiterait en aucun cas se voir administrer une chimiothérapie, si un diagnostic de cancer devait leur être annoncé. Parmi les milliers de médecins qui ont participé à cette étude, un pourcentage énorme de 88,3 % d’entre eux admettent qu’ils renonceraient pour eux-mêmes au type de « prise en charge lourde » qu’ils proposent à leurs patients. » page 107
cancer stop
Publié dans La médecine qui tuent | Laisser un commentaire

Espérance de vie : la vérité

L’espérance de vie est la même dans les pays riches, que dans les pays sans médicament

« Les gens nés après 1938 ont une espérance de vie moins grande qu’avant » ( à1 mn 30)

Non seulement nous ne vivons pas plus vieux qu’autrefois, mais nous sommes de plus en plus malades
Il est exact que la mortalité infantile, en bas âge et en couche, a fortement diminué grâce à l’hygiène

mensonges et vérités de Donna R Kirsch
extrait : « voila un exemple flagrant d’une manipulation des statistiques. La plupart des gens ne réalisent pas que l’augmentation de la durée moyenne de vie est surtout le résultat de la réduction du taux de mortalité infantile. Il y a cent ans, beaucoup d’enfants mouraient à la naissance et…Si cette réduction de taux en mortalité infantile est enlevée de l’équation, l’espérance de vie a seulement augmenté de 3,7  années depuis ces derniers 100 ans ! »

Vivons-nous vraiment plus longtemps? Non, mais on le croit.
Le 14 février 2004, le professeur Dominique Belpomme, cancérologue à l’hôpital Georges-Pompidou, a confirmé sur France Inter que l’allongement de la durée de vie au-delà de soixante ans était quasiment nul et que les chiffres optimistes viennent surtout de la réduction de la mortalité néonatale et infantile, grâce aux antibiotiques et, encore une fois, à l’hygiène de vie.

Chaque année, l’Inserm nous répète que, grâce à notre médecine — la meilleure et la plus enviée du monde — l’espérance de vie progresse, la France se situant en la matière au deuxième rang mondial pour les femmes et au quatrième pour les hommes, derrière le Japon, les Pays-Bas et la Suède. Ce résultat rassurant est le fruit de manipulations statistiques servant de justification à un accroissement régulier des prélèvements sociaux, ce qui vaudrait à tout industriel un redressement fiscal, une garde-à-vue et des poursuites judiciaires.

L’espérance de vie régresse dans toute l’Europe, comme aux USA (2018)
Les Caisses de retraite peuvent se réjouir. Avant que les populations comprennent, elles auront fait de confortables profits

Les mythes de la médecine moderne : l’auguementation de la longévité humaine
les produits médicaux contribuent peu a l’augmentation de la vie humaine

Les médecins d’aujourd’hui et les infirmières devraient porter un avertissement danger pour la santé estampillé sur leurs fronts Mais il ne fait aucun doute que le médecin induit la maladie est aujourd’hui l’un des (sinon la principale cause) de la maladie dans la plupart des soi-disant pays «développés»

pharmageddon (anglais) : l’histoire d’une tragédie par le prof david Healy
L’espérance de vie aux Etats-Unis, le pays qui consomme le plus de la dernière des médicaments vitaux est en baisse rapide par rapport au reste du monde. Pour les maladies comme la schizophrénie, nous faisons maintenant 10 fois pire en termes d’espérance de vie que nous l’étions il ya 100 ans.

Les  Etats-Unis dévale la liste du patrimoine mondial pour l’espérance de vie
En dépit d’être l’un des pays les plus riches du monde, l’Amérique a chuté de 11 à la 42ème place en 20 ans, selon les chiffres officiels des États-Unis. 

Le taux de mortalité infantile augmente avec les vaccinations
« les pays qui exignent le plus grand nombre de vaccins tendent à avoir les taux de mortalité infantiles les plus élevés. »

Iatrogénie
maladie et morts provoqués par les médecins 

La croissance de la consommation de médicaments n’est nullement corrélée avec une quelconque augmentation de la longévité
Aucun pays n’est épargné par la gangrène qui vérole le secteur de la santé. Et cela, à des niveaux divers, selon le degré de contrôle des réseaux de soins, de distribution des produits pharmaceutiques ou d’assurances maladie, mais toujours au mépris des patients et des contribuables qui financent les services publics Download the report

l’amélioration de l’espérance de vie, ne reposent que sur des mensonges et la manipulation frauduleuse des chiffres. Si notre médecine chimique était tellement performante, il y aurait de moins en moins de malades alors qu’il y en a de plus en plus.

The MD Emperor Has No Clothes: Everybody Is Sick and I Know Why (tout le monde est malade, je sais pourquoi)
« Dr. Glidden est l’un des très peu à comprendre les vérités qui donne à réfléchir que MD réalisé que la médecine constamment ne parvient pas à guérir la maladie, et qu’il provoque des quantités massives de préjudice dans le processus. En outre, il comprend que les gens partout dans le monde ceux qui continuent à s’accrocher à leurs remèdes maison culturelles vivent plus longtemps et en meilleure santé que ceux qui achètent dans des méthodes médicales modernes ! En Amérique, hispaniques survivant blancs de 2,5 ans et noirs de 8 ans – et cela n’a rien à voir avec la génétique ! Quelques médecins comprennent comment et pourquoi cela se produit. Peu de médecins ont une expérience pratique offrant des traitements non médicamenteux qui réellement aident les gens à recouvrer leur santé. Dr. Glidden fait. »

En 2012, l’espérance de vie des Français baissait.  Les « grands » médias ont préféré s’abstenir d’informer sur ce phénomène historique. Il ne fait pourtant que commencer et nous affectera, à des degrés divers. Les décisions prises aujourd’hui, loin de l’enrayer, vont aggraver sérieusement le recul de la longévité française.

Les médias martèlent que l’espérance de vie ne cesse de s’allonger. Et ce grâce aux progrès de la médecine. Or l’Etat français dépense actuellement près d’un milliard d’euros par jour pour assurer les soins de la population. Malgré l’énormité de cette somme, le nombre de malades augmente et la morbidité a plus que doublé depuis 1970

L’espérance de vie en France recule
En France, l’espérance de vie à la naissance a diminué en 2015, de 0,3 an pour les hommes et de 0,4 an pour les femmes, pour s’établir respectivement à 78,9 ans et 85 ans, révèle l’Inse

États-Unis: l’espérance de vie a reculé en 2015 Ce recul est attribué à une augmentation de la mortalité résultant de la maladie d’Alzheimer, la plus grosse augmentation et de loin (+15,7%), mais aussi de pathologies cardiovasculaires (+0,9%), de maladies respiratoires chroniques (+2,7%), rénales (+1,5%), d’accidents (+6,7%), d’attaques cérébrales (+3%), du diabète (+1,9%) et des suicides (+2,3%).

L’espérance de vie recule en France Une hausse de la mortalité chez les personnes âgées

L’espérance de vie aux USA continue à chuter L’espérance de vie aux USA continue à se réduire et en 2016 elle est passée de 78.7 ans à 78.6 (2015) et cela est en fort contraste par rapport à ce qu’on observe dans les autres pays industrialisés. La donnée a été délivré par le Centers for Disease Control and Prevention qui a enregistré que les hommes vivent en moyenne jusqu’à 75.3 ans (75.5 en 2015) tandis que les femmes jusqu’à 81.2 ans (81.3 en 2015).

Grâce aux dépenses de santé les plus élevées au monde :
« L’espérance de vie aux États-Unis chute pour la troisième année consécutive »

Baisse de l’espérance de vie au Royaume-Uni et aux Etats-unis 12 / 2019 Depuis deux ans l’espérance de vie diminue aux Etats-Unis et pour la première fois cette année également au Royaume-Un

Pharmageddon (anglais) : l’histoire d’une tragèdie par le prof david Healy
L’espérance de vie aux Etats-Unis, le pays qui consomme le plus de médicaments vitaux est en baisse rapide par rapport au reste du monde. Pour les maladies comme la schizophrénie, nous faisons maintenant 10 fois pire en termes d’espérance de vie que nous l’étions il ya 100 ans.

Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, Médecine | Laisser un commentaire

Escroqueries, anticholestérols, psychotropes, antihypertenseurs…. : les inventeurs de maladies

Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, Médicaments | Laisser un commentaire

Fraude scientifique ! Gwen Olsen balance le morceau

« Ce que fait l’industrie pharmaceutique dans les affaires, c’est  : pathologies, entretien et gestion des symptômes ! Ils ne sont pas dans les affaires pour soigner le cancer,  Alzheimer, les maladies du coeur. parceque s’ils le faisaient, ils se metteraient eux même en dehors des affaires !… L’industrie pharmaceutique ne veut pas guérir les gens. »

Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, Médicaments | Laisser un commentaire

BIG PHARMA

BIG PHARMA : origine et histoire

BIG PHARMA

BIG PHARMA vidéo : « Ces criminels ne reculent devant rien, nos vies n’ont aucune valeur »

Vidéo : « Comparée à l’industrie pharmaceutique, la Mafia est un « club philanthropique » »

Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé | Laisser un commentaire

« Les effets indésirables des médicaments sont devenus la première cause de décès et de handicap, dans le monde »

prof david Healy

Vous pouvez afficher les sous-titres en français. Appuyez sur lecture, cliquez sur afficher les sous titres. Une fois les sous titres affichés (en anglais), il faut aller dans l’autre commande (a coté de sous titre), Puis, cliquer sur sous titre, Puis sur traduire automatiquement, puis en français.

Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, La médecine qui tuent, Médicaments | Laisser un commentaire

Les nouveaux jackpots des laboratoires pharmaceutiques

Publié dans Médicaments | Laisser un commentaire

75% de nos maladies sont dues au « cartel du poison »

Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé | Laisser un commentaire

La mafia pharmaceutique a pris le contrôle de l’état

Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé | Laisser un commentaire

Ces traitements dont il faut se méfier de Jörg BLECH

http://www.actes-sud.fr/extrait.php?gencod=9782742765522

VOTRE SANTÉ

Les gens les moins bien informés sont aussi ceux qui se soumettent le plus souvent à un traitement médical. Ce sont des médecins qui ont attiré mon attention sur ce phénomène, me révélant au cours d’entretiens, dans des lettres et des confidences, l’ampleur de cet acharnement thérapeutique. On importune systématiquement les gens avec des actes médicaux qui ne leur sont d’aucune utilité. Chacun d’entre vous a déjà fait ou fera un jour l’expérience de traitements superflus.
Que le présent ouvrage ne vous trompe pas : je suis parfaitement conscient des nombreux bienfaits de la médecine, dont je souhaite moi aussi profiter. Mais ignorer le mal que peut faire la médecine sous prétexte qu’elle fait aussi beaucoup de bien ne rendrait service à personne. La plupart du temps, d’ailleurs, les personnes à l’initiative des travaux et résultats que je présente dans ce livre sont des médecins. Je partage leur avis : la médecine ne peut s’améliorer que si elle surmonte ses erreurs. Porter un regard réaliste sur la médecine permet en outre de modérer des attentes démesurées. Dans de nombreux cas, l’individu peut plus pour sa santé que la médecine moderne.
Le vieillissement de la société nous obligera à bien gérer les ressources de la médecine. En Allemagne, par exemple, aucune tranche d’âge ne connaît une croissance aussi rapide que celle des centenaires. En 2050, les soixante ans et plus représenteront un tiers de la population. Cette évolution nous offre une chance extraordinaire : celle d’améliorer, pour chacun d’entre nous, la qualité des soins médicaux. Nous ne pourrons et ne voudrons plus nous permettre de recourir à des traitements superflus, absurdes ou faisant appel à une débauche de moyens. Il n’y a aucune raison de croire qu’on doive se battre un jour pour la répartition de médicaments ou de thérapies. C’est le message positif de ce livre : les gens les mieux informés sont aussi ceux qui se soumettent le plus rarement à un traitement médical.

Jörg Blech,
Hambourg, juillet 2005.

I

LE CÔTÉ OBSCUR DE LA MÉDECINE

L’INUTILITÉ TOTALE DE NOMBREUX TRAITEMENTS

Le médecin Dierk Maass tire avec un canon laser sur un cœur battant, le transperçant de vingt à trente trous. Des nuages de fumée blanche montent de la cage thoracique du patient. Pour refermer les plaies, le professeur n’a qu’à poser son doigt sur les points d’impact. Les trous pratiqués au laser sont censés faire apparaître de minuscules vaisseaux à l’intérieur du muscle cardiaque et approvisionner le cœur malade en oxygène tout frais.
Maass, chef du centre de cardiologie de Kreuzlingen, en Suisse, annonçait il y a dix ans que le succès de cette méthode était “évident”, ajoutant que 90 % des patients n’avaient “plus aucun symptôme” ou que leur état s’était du moins “nettement amélioré*1”. A l’époque, Maass s’était présenté comme le pionnier de cette spectaculaire opération. Le chirurgien cardiothoracique originaire de Hildesheim avait reçu une standing ovation lors d’un congrès se déroulant à Paris.
Des centaines de milliers de patients avaient repris espoir, la profession était électrisée. La revascularisation transmyocardique au laser (RTML), comme on l’appelle, a également eu tôt fait de conquérir le cœur des médecins allemands. A Marbourg, Lübeck, Hambourg, Völklingen, Berlin et Fribourg, on a acheté des machines à 600 000 euros l’unité. Les docteurs, mais aussi les professeurs, se sont empressés de trouer les cœurs malades. Seules les difficultés de livraison du fabricant pouvaient freiner, provisoirement, la diffusion de la RTML.
Un jour pourtant, la revue spécialisée anglaise The Lancet a consacré un article au laser fumant. Au cours d’une étude clinique, les Anglais avaient réparti en deux groupes 188 malades du cœur. Les médecins ont fait bénéficier le premier groupe de la RTML et d’un traitement médicamenteux classique, tandis que l’autre moitié recevait uniquement des médicaments. Voici comment se portaient les sujets douze mois plus tard : ni l’électrocardiogramme après effort ni le test d’endurance ne donnaient un avantage au canon laser. On constatait au contraire de graves effets secondaires : 5 % des patients étaient morts sous le feu du laser ou immédiatement après ; au total, seuls 89 % des patients soumis à ce traitement avaient survécu un an. La situation était meilleure pour les patients du groupe témoin : 96 % d’entre eux étaient encore en vie au bout d’un an. La conclusion de cette étude publiée en 1999 était claire : “L’utilisation du procédé de la RTML ne saurait être approuvée2.”
D’autant plus que l’examen du cœur de personnes traitées a montré que le feu du laser n’avait fait apparaître aucun nouveau vaisseau sanguin – les chirurgiens avaient pris leurs désirs pour des réalités. Les appareils de RTML posent un problème de déchets dangereux à de nombreux hôpitaux allemands, rapporte Axel Laczkovics, chef du service de chirurgie cardio-thoracique du centre hospitalier universitaire Bergmannsheil de Bochum : “Les coûteux appareils encombrent aujourd’hui les caves des hôpitaux, car on ne peut pas s’en débarrasser facilement. Cela fait bien longtemps qu’on ne les utilise plus.” Pourtant, dans certaines salles d’opération, on continue de pointer le laser sur des malades qui ne se doutent de rien. Le centre de cardiologie de Kreuzlingen, lui aussi, propose toujours la RTML. Le procédé y est vendu aux assurés des caisses privées comme un “nouvel espoir3”.
Ces traitements superflus constituent le côté obscur de la médecine. Les malades viennent se placer sous la protection de la médecine moderne. Ils voient des blouses à la blancheur éclatante, des cachets de toutes les couleurs, des instruments étincelants. Mais que reçoivent-ils en échange de leur confiance ? Le New England Journal of Medicine, référence mondiale dans ce domaine, nous dit que 20 à 40 % de tous les patients sont soumis à des traitements qui ne leur sont d’aucune utilité, ou d’une utilité minime4.
Il ne s’agit pas ici des pannes, d’une jambe amputée du mauvais côté ou d’une agrafe oubliée dans le ventre du patient. Il s’agit de thérapies dont on sait, avant même d’y recourir, qu’elles sont absurdes et nuisibles. Il s’agit des escroqueries au sein du système.
Ne ressentez-vous pas parfois, vous aussi, comme un pincement ou une douleur lancinante dans le genou ? L’arthrose du genou due à l’usure des articulations est un mal très répandu, des centaines de milliers de personnes sont opérées chaque année en Allemagne. On nettoie les articulations, on lisse le cartilage. “Je suis à la fois médecin et patient, déclare William Tipton, cadre de l’Association américaine des chirurgiens orthopédistes. J’ai un genou cabossé, mais je ne ferai pas d’arthroscopie : je sais que ça ne sert à rien5.”
La médecine nous offre beaucoup de bonnes choses, mais trop de thérapies sont de parfaites impostures. C’est cette histoire que nous allons raconter ici. L’histoire de ces diagnostics, de ces prescriptions et de ces opérations dépourvus de toute nécessité sur le plan médical. Ils s’expliquent par des erreurs, de fausses conclusions – ou des intérêts financiers.
Dans le cadre de la “commercialisation totale de notre système de santé”, nous prévenait la revue Deutsches Ärzteblatt il y a des années déjà, les médecins deviennent “des mécaniciens de la santé et/ou des entrepreneurs et des commerçants6”. La raison de leurs agissements : l’idée quasi pathologique selon laquelle on pourrait guérir des malades comme on répare des voitures cabossées. “Le système est fondé sur la technique et les machines, déclare Marcus Schiltenwolf, professeur d’orthopédie de l’université de Heidelberg. Or l’homme n’est ni un objet, ni une machine.”
De nombreuses actions entreprises dans le cadre de ce marché de la réparation, qui pèse des milliards, s’avèrent n’être que du bluff. Maintes études, dont celle menée par l’Agence américaine d’évaluation technique, l’ont montré : seuls quelque 20 % des médicaments courants ont un effet assuré7. “La médecine clinique, pouvait-on lire dans The Lancet, la plus grande revue spécialisée, semble englober les quelques choses que nous savons, les quelques autres que nous croyons savoir (mais que nous ne savons probablement pas), et toutes les choses dont nous n’avons aucune idée8.”
La plupart des thérapies ne sont mises en œuvre que parce que les médecins y croient.
La chirurgie attire depuis toujours les procédés absurdes. Selon des chirurgiens du CHU de Heidelberg, qui se sont exprimés dans le Deutsches Ärzteblatt, il est difficile de justifier d’un point de vue scientifique le fait de découper les chairs et scier les os : “On ne dispose aujourd’hui de données provenant d’études randomisées* et contrôlées que pour moins de 15 % de toutes les questions que soulève la chirurgie9.” En clair, cela signifie que pour six méthodes opératoires sur sept on n’a toujours pas la preuve qu’il ne serait pas mieux de ne pas intervenir du tout.
Le manque de preuves ne signifie bien évidemment pas que la totalité des nombreuses méthodes non vérifiées ne vaut rien et est donc superflue. Mais il nous aide à comprendre comment il est possible que tant de traitements inefficaces fassent partie du répertoire de la médecine.
Avez-vous déjà eu les oreilles qui sifflent ? On estime entre 17 000 et 250 000 le nombre de gens qui, chaque année en Allemagne, sont atteints d’une perte subite de l’audition. Des milliers d’entre eux se voient administrer des perfusions de dextran en solution aqueuse, de glucocorticoïde, de narcotiques, d’hydroxyéthylamidon, d’extraits de gingko, etc. Le patient reste perfusé plusieurs heures, et peut subir cette procédure jusqu’à une dizaine de fois. Pourtant, ce traitement apparemment si élaboré est une imposture sur le plan thérapeutique. Des études ont comparé ces substances avec d’autres thérapies et des placebos : l’efficacité de ces substances n’a jamais pu être prouvée, ni même considérée comme probable10.
Bien au contraire : Johannes Köbberling, spécialiste de médecine interne à Wuppertal, nous met en garde contre le danger de mort que peuvent constituer ces perfusions. Lorsque, par exemple, le tuyau de la perfusion contient des bactéries qui passent dans le corps et, cela est déjà arrivé, provoquent un empoisonnement du sang fatal au patient. Beaucoup de thérapies par perfusion se passent pourtant très bien, ce dont on peut se réjouir, mais il y a à cela une raison toute banale : dans 70 à 90 % des cas, les symptômes de la perte subite de l’audition disparaissent tout seuls. Il n’est donc pas étonnant que les médecins fassent volontiers passer diverses substances et produits chimiques dans le corps des gens, et qu’ils justifient cette activité par les “expériences traditionnellement bonnes” qu’ils ont pu faire. La Société allemande d’oto-rhino-laryngologie propose dans une directive le recours à cette lucrative thérapie, dont on estime qu’elle rapporte chaque année à ses membres et à d’autres médecins quelque 500 millions d’euros – ce qu’elle justifie en invoquant “l’intuition” et “l’expérience personnelle11”.
Dans les hôpitaux, il est tout à fait courant de soumettre les femmes atteintes d’un cancer du sein à une intervention chirurgicale afin de leur ôter les ganglions lymphatiques situés sous les aisselles. Cette opération, qui part d’une bonne intention, est censée endiguer la maladie. Or, des études l’ont montré, elle n’a aucun effet positif sur les chances de survie. Et elle inflige aux femmes des cicatrices, ainsi que des douleurs dont de nombreux chirurgiens n’ont pas conscience. Souvent, les patientes ne peuvent plus bouger les bras comme avant. Des médecins du centre hospitalier universitaire Großhadern de l’université de Munich affirment qu’au lieu de les aider cette opération entraîne une détérioration de leur qualité de vie. Par le passé, Jutta Engel opérait elle-même les ganglions lymphatiques de ses patientes ; aujourd’hui, elle se bat pour qu’on soumette ce traitement superflu à un examen critique12.
La médecine moderne connaît une évolution paradoxale. Malgré les énormes progrès qui ont été réalisés, les gens ne sont pas en meilleure santé. La médecine a-t-elle franchi le seuil au-delà duquel ses bienfaits se changent en nuisances ? Certains chercheurs répondent par l’affirmative et nous donnent des exemples concrets : si l’on fait une comparaison au niveau mondial, l’Allemagne est un des pays qui consacrent le plus d’argent au complexe médico-industriel, or, par rapport à ceux des autres pays industrialisés, ses habitants ne sont nullement en meilleure santé que la moyenne ; au contraire, ils se situent plutôt en queue de peloton. Les Etats-Unis sont les champions du monde des dépenses ; comparés à leurs voisins canadiens, les citoyens américains subissent sept fois plus de pontages et leurs dépenses de santé sont de 75 % plus élevées. L’espérance de vie des citoyens américains est plus basse que celle des Canadiens, et les médecins américains gagnent presque le double de leurs collègues canadiens13.
Il serait naïf de croire que les arguments qui décident du sort d’un patient sont d’ordre strictement médical. Le fait que quelqu’un soit opéré, ou non, dépend beaucoup de l’endroit où il habite. Par rapport au nombre d’habitants, il y a trois fois plus d’oto-rhino-laryngologistes en exercice à Bâle que dans le canton des Grisons. La conséquence : 40 % des adultes bâlois n’ont plus leurs amygdales, alors que, dans les Grisons, ce n’est le cas que de 25 % d’entre eux. Le pourcentage de femmes à qui on a enlevé l’utérus est deux fois plus élevé en Suisse qu’en France – on ne dispose d’aucun argument médical pouvant expliquer cette différence14. Les Allemands sont les champions de la cardiologie interventionnelle : par rapport au nombre d’habitants, l’examen avec cathéter n’est jamais pratiqué aussi souvent qu’en Allemagne.
Outre le lieu de résidence, ce sont aussi les préférences du médecin consulté qui nourrissent cette médecine arbitraire. Admettons qu’un seul et même patient, qui souffre d’un mal donné, consulte plusieurs spécialistes, ils lui découvriront les maladies les plus diverses et leurs prescriptions seront complètement différentes : c’est le principe du “dis-moi qui tu consultes, et je te dirai ce que tu as” (who you see is what you get).
L’équipe de Richard Deyo, de l’université de Washington à Seattle, a étudié ce phénomène en prenant l’exemple du mal de dos : les chercheurs ont présenté à des médecins des résultats clairs et standardisés, et leur ont demandé comment ils traiteraient ces cas. Les rhumatologues, deux fois plus souvent que les autres médecins, étaient d’avis qu’il fallait faire certaines analyses en laboratoire car ils pensaient à une maladie arthritique. Les neurochirurgiens, deux fois plus souvent que les autres, préconisaient une radio du dos : selon eux, des disques intervertébraux endommagés étaient la cause du mal. Quant aux neurologues, ils plaidaient, trois fois plus souvent que leurs confrères, pour que l’on procède à une électromyographie, afin de repérer, à l’aide d’électrodes aiguilles, les nerfs ou les muscles déficients. “Si les patients sont déconcertés, qu’ils sachent bien qu’ils ne sont pas les seuls”, déclare Deyo15.
Ce manque de clarté entraîne des thérapies inappropriées. C’est ce que nous montre le destin des personnes qui souffrent du syndrome du côlon irritable et vont chez le médecin parce qu’elles se plaignent de maux de ventre, d’intestins qui gargouillent et autres douleurs caractéristiques. Eh bien, on leur enlève gaiement des organes – et, curieusement, ce ne sont jamais les mêmes. Les patients qui souffrent du syndrome du côlon irritable se font enlever l’appendice et l’utérus deux fois plus souvent que le reste de la population, quant à la vésicule biliaire, elle leur est ôtée trois fois plus souvent. On s’attaque même à leurs disques intervertébraux ; ils sont 50 % de plus à subir une opération du dos. Cette manie de l’opération n’est nullement justifiée – les gens qui souffrent de ce mal n’ont en général rien à faire sur le billard16.
Selon les calculs de Nicholas Talley, médecin à la Mayo Clinic de Rochester (Etats-Unis), l’ablation de la vésicule biliaire, que l’on fait subir sans raison à ces patients, entraîne à elle seule d’importants préjudices. Les symptômes typiques du syndrome du côlon irritable : maux de ventre, diarrhée, constipation, concernent environ 29 millions de personnes aux Etats-Unis (soit 10 % de la population en 2003). Admettons que 30 % d’entre elles (9,6 millions de personnes) aillent consulter, 8 % se voient tôt ou tard enlever la vésicule biliaire ; le nombre des ablations inutiles s’élève à 768 000. En rapportant ce chiffre aux statistiques des risques que présente l’opération, on peut voir les conséquences fatales de cette pratique : 770 personnes meurent pendant ou juste après l’opération ; 38 000 autres sont blessées en raison d’erreurs thérapeutiques. Pour Talley, il est urgent de prendre des mesures contre cette chirurgie inutile, et ce “afin de protéger les gens17”.
Les patients souffrant du syndrome du côlon irritable ne sont pas les seuls à obtenir systématiquement des diagnostics erronés. L’équipe du médecin Kaveh Shojania, de l’université de Californie à San Francisco, a exploité des rapports d’autopsie établis sur quatre décennies (entre 1959 et 1999). Dans un quart des cas, l’autopsie a révélé un diagnostic erroné. Dans 9 % des cas, le mauvais diagnostic lui-même était la cause partielle, ou parfois même exclusive, du décès18.
Certains médecins qualifient cette errance des gens dans le monde médical de “syndrome d’Ulysse”. La plus grande menace, dans ce labyrinthe, c’est l’excès de médecine. Lucian Leape, chirurgien et chercheur spécialisé en santé publique à l’université Harvard de Boston, a été l’un des premiers à décrire toute l’ampleur de la chirurgie inutile. Les chiffres varient selon la nature de l’opération et la spécialité. Dans certains domaines, ce sont 8 % des interventions qui sont inutiles, dans d’autres, on ne trouve pas moins de 86 % d’opérations non justifiées d’un point de vue médical. Dans ce cas, les chirurgiens responsables ne peuvent que provoquer des lésions ou des décès19.
Quelques années ont passé depuis l’analyse de Leape mais, selon Christian Köch, titulaire de la chaire de politique et management en matière de santé publique à l’université de Witten/Herdecke, ce problème n’est nullement résolu. “Selon le domaine, entre 15 et 50 % de toutes les interventions sont inutiles.” Le fait qu’une grande partie de la population soit systématiquement importunée par des interventions et des traitements absurdes est mis en évidence dans le rapport rédigé en 2001 par le conseil d’experts chargé de l’évaluation des développements du système de santé allemand20. On peut y lire qu’une caractéristique essentielle de ce système est d’être marqué par la dominance d’une “surabondance structurelle de soins”. Concernant le très répandu mal de dos, les experts constatent “un recours démesuré à la radiographie diagnostique ainsi qu’à des procédés thérapeutiques invasifs”. En Allemagne, on recourrait également bien trop souvent au cathéter pour traiter les malades du cœur, à la radiographie, à l’ablation des seins et à des chimiothérapies à haute dose pour les patientes atteintes d’un cancer du sein.

les-inventeurs-de-maladies

Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, La médecine qui tuent, Médecine, Médicaments | 1 commentaire

Médicaments : escroqueries dangereuses et mortelles


Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, Médicaments | Laisser un commentaire

Seulement 6% des publicités sur les médicaments sont appuyés par des preuves

Une nouvelle étude révèle que 6% du matériel publicitaire sur les médicaments est appuyé par des preuves
Une nouvelle étude en matière de publicité et de brochures de marketing envoyés par les compagnies pharmaceutiques auprès des médecins généralistes en Allemagne ont démontré qu’environ 94% de l’information en eux n’a pas de fondement dans la preuve scientifique.
Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, Médicaments | Laisser un commentaire

La plupart des médicaments sont en fait des poisons dangereux

La plupart des médicaments sont en fait des poisons dangereux

de Radu Alexandru
Devise: „Le bon médecin recommande toujours très peu de médicaments”
– Benjamin Franklin

„Si le patient savait qu’une seule capsule de Chloromycetin détruit irréparablement la moelle épinière ou provoque la leucémie, pensez-vous qu’il continuerait de prendre ce médicament ? En 1976 ont été écrites (seulement aux USA) plus de 500.000 recettes pour ce médicament”
– Dr. Keith A. Lasko

Nous vous présentons dans cet article une série de scandales qui ont impliqué au fil du temps les industries pharmaceutiques du monde entier et les dénominations de quelques médicaments qui ont tué des milliers de gens. Dans le cas d’un tel médicament nous précisons s’il est commercialisé ou non en Roumanie et éventuellement par quelle compagne et sous quel nom (si celui-ci est différent du nom original).

À cause des effets secondaires graves, une série de médicaments ont été retirés du marché de certains pays. Cependant, ils continuent à être commercialisés dans d’autres pays. La Roumanie est un bon marché pour des médicaments criminels interdits dans d’autres pays.

Les effets secondaires graves peuvent signifier la mort et des maladies sévères dues aux médicaments en question. En général, du point de vue légal, seulement la mort ou les lésions majeures de santé chez ceux qui ont utilisé un certain médicament peuvent conduire à son interdiction. De rares fois on arrive à interdire un tel médicament seulement à cause de certains symptômes considérés comme „mineurs” et cela se passe d’habitude après des décennies d’utilisation.

L’irresponsabilité, le cynisme et l’avarice de ceux qui détiennent ces firmes de l’industrie pharmaceutique sont si grands, que même dans le cas d’interdiction, les médicaments continuent à être fabriqués et vendus dans d’autres endroits sur le globe. Cela parce que l’interdiction reste valable seulement dans le pays où il existe des “victimes reconnues” et où les autorités médicales ont pris des mesures. En conséquence, les médicaments interdits en Angleterre ou Allemagne continuent à être vendus aux USA, en Afrique ou dans d’autres pays ou l’inverse. Donc l’industrie pharmaceutique continue à vendre des substances qui produisent des maladies et la mort, bien que CELA SOIT TRÈS BIEN CONNU.
L’industrie pharmaceutique est-elle intéressée pour guérir les gens, ou plutôt à gagner de plus en plus d’argent gràce à la vente de médicaments ?

Des dizaines de médicaments sont retirés annuellement du marché à cause des effets secondaires graves

Un premier exemple est le sirop contre la toux avec du Clobutinol. Celui-ci, après avoir intensément été utilisé pendant plus de 40 ans, a été interdit en 2007, étant constaté qu’il produisait une arythmie des battements du coeur. Voilà quelques-uns des noms sous lesquels il a été commercialisé : Silomat, Clobutinol, STADA, Tussed, Rofatuss, Nullatuss.
En Roumanie, le médicament Silomat à base de Clobutinol, produit par la compagne Boehringer Ingelheim a été disponible dans les pharmacies sans prescription médicale jusqu’en 2007. Ensuite il a été retiré du marché, suite à une directive de l’Agence Européenne pour l’Évaluation des Médicaments.

Les vieux médicaments, qui sont en circulation depuis des décennies n’ont été soumis à aucun test, et ils continuent à être vendus dans certains pays, bien que dans les pays où ils ont été soumis aux tests, ils ont été interdits. Jusqu’en 1978 l’industrie pharmaceutique n’était pas obligée de prouver que les médicaments ont les effets mentionnés dans les études. Depuis il est montré – d’après des tests sur les animaux, tests qui ne prouvent rien en fait – que les médicaments ont des effets sur les animaux. Plus précisément que les animaux ne meurent pas immédiatement après avoir ingurgité ces médicaments, conçus en fait pour les humains. Sauf que les tests sur les animaux n’ont aucune valeur scientifique.

Nous énumérons ci-après quelques-uns des scandales choquants liés aux médicaments :

Le spray pour l’asthme Isoproterenol, commercialisé sous le nom de Isuprel, a tué durant les années ’60 environ 3500 patients. Cependant, il continue d’être commercialisé dans notre pays et il est recommandé pour différentes affections du coeur.

Il a été prouvé que le médicament Stilbestrol provoque des tumeurs utérines et mammaires chez les femmes et il a été interdit dans certains pays européens. En Roumanie il est produit et commercialisé par quatre compagnes pharmaceutiques : Amniocen, Farmacom, Imedica, Mediplus Exim.

Un scandale lié au bien connu Paracetamol a eu lieu en Angleterre en 1971. 1500 patients ont été admis à l’hôpital après avoir utilisé du Paracétamol. La plupart d’entre-eux ont eu des problèmes encore plus graves à l’hôpital à cause du traitement ultérieur.

Aux USA le médicament Orabilex a créé des maladies de reins qui ont conduit à la mort.

Le somnifère Contergan a fait en sorte que des dizaines des milliers d’enfants soient nés dégénérés du point de vue physique. En Allemagne, en 1958, le producteur de ce „médicament” a envoyé plus de 40.000 lettres chez les médecins pour les convaincre qu’il s’agissait du meilleur somnifère pour les femmes enceintes et les mères qui allaitent. Malgré le scandale lié au Contergan, les sociétés pharmaceutiques concernées ont continué à vendre des poisons aux femmes enceintes et aux enfants. En 1978 il a été rendu public que les médicaments Primodos, Amonorn, Duogynon, Bebendox et Bendectin ont produit des malformations chez les nouveaux-nés.

En 1970 ont été retirés du marché les tranquillisants Pronap et Plaxin parce qu’ils provoqueient la mort des nouveaux-nés.

Trilergan a été confisqué par la police en 1975 en Italie parce qu’il produisait de l’hépatite (donc l’hépatite ne provient pas forcément d’un virus, tel qu’il était cru jusqu’à cette époque).

Flamanil, un médicament rhumatoïde, a été retiré en 1976 du marché, après que l’on ait constaté qu’il conduisait à la perte de conscience. Ce médicament continue à être commercialisé en Espagne.

En 1979 il a été officiellement reconnu que le Valium crée une dépendance, même à des petites doses. Plus de 15% des américains adultes ont pris régulièrement du Valium.

Les inhibiteurs d’appétit Preluin et Maxiton ont été retirés du marché en Allemagne après que l’on ait constaté qu’ils provoquaient des effets négatifs graves au niveau coeur et du système nerveux.

Le médicament pour les affections du coeur Eraldin, recommandé entre 1970 et 1975 à un nombre de plus de 100.000 britanniques, a provoqué des problèmes des yeux et des intestins, aussi que des nombreux décès. Eraldin existe aussi dans les pharmacies roumaines.

Il a été constaté que l’antinévralgique Phenacitin, vendu dans le monde sous 200 noms différents, empêche le bon fonctionnement des reins, en les détruisant même complètement, qu’il produit des tumeurs aux reins et qu’il détruit les globules rouges du sang. Un autre antinévralgique, Amydorphirin a été interdit en plus de 160 pays (mais il continue d’être vendu dans certains) parce qu’il empêche la formation des globules blancs du sang, ce qui conduit à la mort. Les antinévralgiques et les antirhumatismiques Tanderil et Butazoludin (Ciba-Geigy) ont conduit dans le monde entier à la mort de plus de 10.000 patients.

Un des pus populaires médicaments de Roumanie, l’algocalmine, est un des remèdes les plus toxuiques qui se trouvent sur le marché. L’algocalmine est interdit dans la plupart des pays et il est drastiquement restreint dans le reste des États. Les médecins disent que ce médicament peut provoquer une maladie fatale, qui détruit les cellules de la moelle osseuse, se trouvant en étroite liaison avec les cellules sanguines.
Par cause de la désinformation ambiante, les roumains profitent du prix accessible de ce médicament, en l’achetant à large échelle, même si dans d’autres pays comme la Belgique, il est sur la liste des poisons.

En 1978 le médicament complètement inutile Oxichinolin, recommandé pour les problèmes digestifs, a provoqué un scandale mondial : plus de 30.000 personnes ont été rendues aveugles ou ont subi des paralysies des jambes suite à son utilisation. Ce médicament a provoqué aussi de nombreux décès (plus de 1000 seulement au Japon).

En 1977 a été retiré du marché le Phenformin, un médicament pour les diabétiques, après avoir fait plus de 1000 victimes chaque année!

Le Rasperpin, médicament contre l’hypertension, fait augmenter trois fois le risque de cancer du sein, il provoque des cauchemars et des dépressions et il est soupçonné de produire des tumeurs au cerveau, à l’hypophyse, à la peau, aux ovaires et à l’utérus.

Le New York Post a écrit que plus de 852 patients auxquels on a été injecté le médicament pour le coeur Epinepheren sont décédés.

Le Daily Telegraph a rendu public en 1983 que l’anesthésique Hypnomidate a conduit dans un hôpital d’urgence de Glasgow à la croissance rapide des décès. Mais les médecins ont refusé de rendre public le nombre des décédés suite à l’application de ce traitement. En Roumanie, il continue d’être utilisé dans des hôpitaux, comme anesthésique administré comme solution injectable.

En 1983 ont été rendus publics en Suède des dossiers secrets de la firme Ciba-Geigy d’où il ressortait que le consortium Ciba-Geigy était informé de la mort de plus de 1182 personnes à cause de l’antirhumatismal Butazolidin et Tanderil. Selon d’autres sources, les vrais chiffres des décès à cause de ces médicaments sont de plus de 10.000. Dans notre pays (la Roumanie), le Tanderil continue à être commercialisé comme médicament antirhumatismal.

Le New York Times a écrit en 1984 que le médicament Selacryn 1980 a été retiré du marché après avoir été reconnus comme cause de 510 cas de destruction du foie et des décès.

Selon le journal Guardian du 4 janvier 1985, le médicament contre les infections provoquées par des champignons, Nizoral, a conduit à plus de 5 décès et à 77 cas de maladie graves.

En mars 1985 le journal Neue Presse, a rapporté que le Fansidar, médicament contre la malaire, a conduit à des maladies graves de la peau, avec danger de mort. En Roumanie, le médicament est recommandé par les médecins parasitologues pour traiter la toxoplasmose. Il continue à être commercialisé dans certaines pharmacies.

En juillet 1985, le journal Guardian écrit que les somnifères Largactil ont été retirés du marché parce qu’ils ont conduit à des dysfonctions graves du cerveau. La substance connue aussi sous le nom de largactile ou torasine est un neuroleptique d’ancienne génération, utilisé encore dans certains hôpitaux psychiatriques. Il a des effets désastreux sur l’organisme. Le chiffre des victimes se monte à un million de gens qui sont tombés malades de dyschinésie, de déréglages de l’appareil locomoteur après lesquels ils ont perdu pour toujours la capacité de contrôler les muscles de la langue ou leur corps tout entier.

En décembre 1985, le consortium Ciba-Geigy a été mis dans la situation de reconnaître publiquement qu’il a falsifié les données de 46 antibiotiques et d’autres médicaments lorsque le Ministère de la Santé les a sollicités.

En mai 1985, les autorités des USA et de la Grande Bretagne ont interdit la recommandation des hormones de croissance, parce que les patients qui les utilisent tombent malades d’infections incurables, même plusieurs années plus tard. Les hormones en question ont été obtenues du cerveau des morts !

En décembre 1985 le Guardian a rapporté que les antidépresseurs Merital et Nomifensin produisent l’arrêt de fonctionnement des reins, de l’anémie et de la pneumonie. Le Nomifensin est recommandé en Roumanie pour les consommateurs de drogues. Toujours en décembre 1985 le même journal a rapporté que plus de 2000 personnes sont tombées malades à cause du médicament Felden administré par voie rectale. Ce médicament se trouve à présent dans les pharmacies roumaines. 77 patients sont morts, presque tous parce que les intestins se sont rompus ou ont commencé à saigner. Le consortium Pfitzer (le producteur du Viagra) a déclaré comme auparavant, que ce médicament est „bien toléré” par les patients.

Le vaccin HEXAVAC utilisé depuis l’an 2000, avec lequel ont été vaccinés déjà 1,5 millions d’enfants en Allemagne a été retiré du marché en 2005 parce que „il ne fonctionne pas tel qu’attendu et il n’offre pas de protection”. C’est la déclaration officielle, il se peut qu’il produise des maladies ou la mort évidente. Les morts et ceux qui sont restés malades pour toute leur vie à cause des vaccins n’apparaissent pas trop dans la presse. Ce vaccin a aussi été utilisé en Roumanie, mais à présent il est retiré du marché.

Le vaccin contre les maladies crées par les tiques, TicoVac, le seul vaccin de ce genre pour les enfants, a été retité du marché en 2006 parce qu’il provoquait une puissante fièvre et des effets secondaires massifs.

Le médicament Vioxx de la Firme Merck pour traiter l’arthrose et les douleurs aux articulations, utilisé par plus de 120.000 patients en Allemagne a été retiré du marché en octobre 2004 parce qu’il produisait des attaques et des maladies de coeur. Bien que la firme que le produisait connaissait depuis longtemps les effets négatifs provoqués par ce médicament, il n’a été retiré du marché qu’en 2004, sous la pression des autorités. Ce médicament a aussi été retiré du marché roumain.

L’antiinflammatoire Prexige de la compagne Novartis contre l’arthrite a été retiré du marché en août 2007 parce que plusieurs patients sont morts après l’avoir pris. Le médicament Bextra pour soigner l’arthrite, et produit par la firme Pfizer, a été retiré du marché en 2005 à cause du risque majeur d’attaques et de congestion cérébrale. Ces médicaments n’ont pas d’autorisation de vente en Roumanie.

Il a été constaté que les barbituriques ne calment pas l’insomnie, mais l’aggravent.

Le Zelmac, médicament utilisé contre les affections digestives, qui est vendu en Roumanie à l’heure actuelle, produit par la compagne Novartis, a été retiré du marché en Allemagne en avril 2007, bien qu’il ne soit même pas encore approuvé, et étant utilisé de façon illégale par les médecins dans le but de le tester pour l’industrie pharmaceutique.

Un très grand scandale avec beaucoup de victimes :le Lipobay, un médicament qui diminue le cholestérol, il a été retiré du marché en 2001. Il avait provoqué des centaines de décès. La firme Bayer, qui l’a produit a été convoquée en justice plus de 1000 fois à cause de ce médicament.

Le Thyreotom forte, un médicament pour remplacer l’apport d’hormones thyroïdiennes chez les patients souffrant d’hypothyroïdie a été retiré du marché en Allemagne en 2005. En Roumanie il continue à être recommandé par les médecins et il se trouve en pharmacie.

Le Ketotifen, un médicament pour le traitement de longue durée de l’asthme bronchique allergique ou avec composante allergique et des troubles asthmatiques a été retiré du marché en 2006 marché en Allemagne, à cause des effets secondaires. En Roumanie il se trouve en pharmacie.

Le Terfenadin, un antiallergique, il a été retiré du marché dans plusieurs pays européens. En Roumanie il se trouve encore sous le nom d’Histadin, un sirop utilisé dans le traitement des symptômes de plusieurs affections allergiquse et dans la prévention et le traitement des réactions allergiques à la transfusion de sang.

Le Tenuate Retat – un médicament qui diminue l’appétit, a été retiré du marché en Allemagne en 2000.

Le Merzol, médicament contre l’allergie solaire, il a été retiré du marché en 2005 à cause d’effets secondaires graves.

La FDA (Food and Drugs Administration – USA) a recommandé en 2000 à la firme Glaxo-Welcome de retirer du marché le médicament Lotronex pour les intestins, à cause du décès de quelques patients qui ont utilisé ce médicament.

L’ Exanta, à base de Ximelatragan et approuvé en 2004 contre les thromboses, a été retiré du marché en février 2006 en Allemagne à cause des graves effets négatifs sur le foie. Ce médicament n’a pas été commercialisé dans notre pays.

Le Trovan, un antibiotique, a provoqué des décès et de graves lésions, à un point qu’il a été retiré du marché à peine moins d’un an après sa mise sur le marché. Bien que les tests réalisés avant d’être approuvé aient montré que le Trovan nuisait au foie, la firme Pfizer ne l’a pas considéré comme dangereux. Le commentaire de la firme : „Le Trovan a été le médicament le mieux testé du marché, bien mieux que la pénicilline, par exemple”.
Lié au même médicament, les autorités nigériennes ont accusé au tribunal la firme Pfizer et accusent la compagne pharmaceutique d’implication dans la mort de quelques enfants auxquels a été administré du Trovan, dans la période où cet médicament n’était pas encore approuvé, pendant une épidémie de méningite.

Le Parkinsan, médicament contre la maladie Parkinson, de la Firme Byk Gulden, vendu à plus de 130.000 exemplaires par an, crée de grands déréglages du rythme cardiaque, qui mettent en danger la vie des patients qui l’utilisent. Des recherches sont réalisées pour décider s’il va être interdit ou pas. La firme s’excuse en disant : „Son fonctionnement et sa garantie ont été prouvés par des études”.

De l’Urethan les médecins disent qu’il guérit la leucémie. Mais il a été constaté qu’il provoque le cancer au foie, aux poumons et à la moelle osseuse.

Le Methotrexat, médicament recommandé aussi contre la leucémie, a produit des tumeurs et a conduit à une grave anémie et à la rupture des intestins. En Roumanie il est commercialisé et recommandé pour réduire les douleurs et les douleurs articulaires.

Le Mitothan, un autre médicament contre la leucémie, mène à la mort des reins secondaires. Dans notre pays il se trouve sous le nom de Lysodren et il est utilisé dans le traitement du cancer de la couche extérieure de la glande surrénale. Il est produit dans les laboratoires Hra Pharma, en France.

L’antibiotique Isoniazid mène à la mort du foie. Il est commercialisé en Roumanie.

L’antibiotique Kanamyzin produit une insuffisance rénale et attaque les nerfs de l’audition.

Le Bismut, médicament recommandé contre la diarrhée et même contre la constipation (sic!) produit des intoxications graves. En France ont été rendus public plusieurs milliers de cas de ce genre.

En 1984, le journal le Daily-Mail a rapporté que le médicament contre l’acné, Roacutan, médicament recommandé à présent aussi, a conduit, pour la moitié des enfants des mères qui l’ont utilisé durant leur grossesse, à des malformations très graves. Le Roacutan continue à être recommandé par les médecins roumains.

Bibliographie:
Hans Ruesch: Die Pharma Story, München 2002, http://www.wissenschaf%20t-unzensiert.de/med12_2.htm

yogaesoteric
2009

Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, La médecine qui tuent, Médicaments | 1 commentaire

Vaccin grippe porcine : DANGER !

Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, La médecine qui tuent, Médicaments | Laisser un commentaire

Les enfants cobayes de BIG PHARMA

Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, La médecine qui tuent, Médicaments | Laisser un commentaire

La vérité sur les compagnies pharmaceutiques et les manipulations statistiques

« Il n’est plus possible de croire les recherches publiées, ni de se fier au jugement de son médecin de famille » Marcia Angell, médecin et ancienne membre de la rédaction en chef du New England journal of Medecine,
Pour son édition d’avril, le tout nouveau magazine Books se penche sur les travers de l’industrie pharmaceutique. Dans un dossier très complet regroupant plusieurs articles et entretiens, il dévoile les conflits d’intérêts survenants à toutes les étapes du cycle de vie du médicament. Et personne n’est épargné ; médecins, universités et même autorités sanitaires. Le constat est clair : « Les médicaments mis sur le marché sont, d’une façon ou d’une autre, de la fausse monnaie. Le médecin qui prescrit ne sait pas forcément ce qu’il fait. La raison? Les décideurs du système de santé se laissent en grand nombre corrompre par les groupes pharmaceutiques ». Pour Marcia Angell, médecin et ancienne membre de la rédaction en chef du New England journal of Medecine, « Il n’est plus possible de croire les recherches publiées, ni de se fier au jugement de son médecin de famille »Lire la suite

Ce dossier détaille comment de nombreux médecins influant reçoivent des financements ou possèdent des parts dans des firmes pharmaceutiques commercialisant des médicaments pour lesquels ils sont en charge de conduire des études, et comment l’industrie cible particulièrement ces médecins, prescripteurs dans leur domaine, car ils influencent le jugement des médecins dits « de famille », qui eux prescrivent les médicaments à leur patients en se fiant aux études publiées. Les universités, censées constituer le premier rempart contre ces conflits d’intérêts, sont elles même impliquées via le financement de chaires ou pour leur départements de recherche, et se montrent donc facilement conciliantes. Quant aux autorités sanitaires, les experts auxquels elles font appel sont eux aussi liés à l’industrie et les études sur lesquelles elles se basent sont toutes potentiellement truquées en amont puisque ce sont les études issues des laboratoires universitaires. En outre, plus de a moitié du budget de la FDA, référence mondiale en matière de sécurité sanitaire, viendrait de l’industrie. Enfin et pour ceux qui se croiraient à l’abri en Europe, selon Philippe Even, ancien doyen de la faculté de médecine de l’hôpital Necker et professeur émérite de l’institut Paris V, cette situation est aussi bien vraie aux Etats Unis qu’en France.Facteur aggravant, au delà de la corruption et contre les idées reçues et diffusées par l’industrie, les firmes pharmaceutiques ne contribueraient que très peu à l’innovation. La plupart des nouveaux médicaments étant des copies quasi conformes des anciens (surnommés d’ailleurs ironiquement « me too »), et dont la supériorité sur les anciens traitements serait établie via des études comparatives truquées. Ce manège permettant accessoirement de garder la maîtrise des brevets, un nouveau brevet étant octroyée même pour une modification minime du médicament. Les plus grandes avancées seraient en fait réalisées par les laboratoires publics puis rachetées par les firmes.Books aborde aussi le thème du marketing pharmaceutique, ou comment les laboratoires pharmaceutiques inventent aujourd’hui les maladies de demain via l’exploitation de troubles mineurs et/ou pouvant se solutionner par d’autres moyens qu’un traitement. Ce serait le cas de troubles comme la timidité (savamment renommée « anxiété sociale »), le dysfonctionnement érectile, l’hyperactivité. Nous avons nous même abordé le sujet dans ce blog avec la pilule contre l’obésité ou le médicament contre les mauvais souvenirs.Et pour aller plus loin, Books dresse une bibliographie des livres parus sur ces sujets.Le livre  du docteur marcia Angell

La vérité sur les compagnies pharmaceutiques
Les grandes firmes pharmaceutiques affirment faire partie d’une industrie à haut risque, mais, année après année, leurs profits les placent de très loin au premier rang toutes industries confondues.
L’industrie pharmaceutique se présente comme très innovante, mais, depuis vingt ans, seulement un tout petit nombre de ses médicaments sont réellement nouveaux et ils ne concernent que des pathologies ponctuelles, tandis que les pipelines de nouvelles molécules sont à peu près à sec. A l’inverse, la plupart des produits qu’elle commercialise en cascade ne sont que de simples copies sans intérêt de ses vieilles molécules, habillées de brevets tout neufs et centrées sur les marchés qui l’intéressent.
Contrairement à ce qu’elles prétendent et à ce que croit la plupart des gens, les grandes firmes sont devenues de pures machines commerciales qui dépensent beaucoup moins pour la recherche véritable et le développement que le marketing.
les grandes firmes recherchent moins des molécules nouvelles pour traiter des maladies, qu’elles ne promeuvent des malades pour vendre leurs molécules. Des millions de personnes normales ont ainsi été amenées à croire qu’elles souffrent de pathologies inexistantes et exagérées, telles « la préhypertension », « le désordre d’anxiété généralisée », « le dysfonctionnement érectile », « le syndrome prémenstruel dysphorique » ou « le syndrome de reflux oesophagien ».
L’industrie exerce encore une formidable influence sur la formation, l’information et les prescriptions de médicaments des médecins, à travers des réunions, conférences, journaux et publicités qu’elle finance entièrement et à travers les discours mensongers incessants de ses visiteurs médicaux.
L’industrie exerce un contrôle presque total sur l’organisation, la gestion, l’analyse, la rédaction, la publication ou non des essais cliniques de ses molécules, de sorte que la plus grande part de la recherche clinique qu’elle parraine ne produit que des résultats biaisés, qui compromettent sérieusement l’exercice de la médecine et la sécurité des malades.
En épilogue, les récentes affaires du Vioxx et des autres Coxibs, avec leur grand nombre de morts, illustrent tous les aspects les plus désolants de ces dérives de l’industrie et de l’inefficacité d’un certaine agence de réglementation.

http://www.staffsante.fr/contenus/bibliotheque/395/la-verite-sur-les-compagnies-pharmaceutiques-comment-elles-nous-trompent-et-comment-les-contrecarrer.html

http://agirpoursasante.free.fr/pages/chroniques/medecine_meilleure.html

Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, La médecine qui tuent, Médicaments | Laisser un commentaire

La fraude médicale, les rois de la corruption

Sauvegarde du site

extraits :

Le Dr Benjamin Rush, médecin de George Washington et signataire de la Déclaration d’Indépendance des États-Unis en 1776, avait prévenu:

« À moins que nous n’incluions la liberté thérapeutique dans notre Constitution, la médecine installera un jour une dictature que nous sommes incapables de concevoir pour le moment. »

Il y a un autre aspect de la fraude à très large échelle au sein d’un paquet d’industries pharmaceutiques, corruptrices jusqu’à la moelle. Cette industrie ne se contente pas seulement de corrompre des ministres, ou des personnes des instances européenne du médicament, elle ne se contante pas seulement de soudoyer des présidents d’ordre de médecin, elle ne se contente pas de faire des tests sur des orphelins pour qu’aucuns parents ne crient au scandale. C’est tout au long de la chaîne que la moisirure morale, l’état mentale MAFIEUX qui fait de cette industrie une usine pire que les cheminées des camps de concentration, car cette industrie tue un gigantesque paquet de monde par toutes ses fraudes.. et la pile de cadavres est bien supérieur au camps de la mort, même si cela vous semble impossible.

Par exemple les essaies de médicaments biaisés, trafiqués, truqués sont légion, ceci semble pas du tout connu par l’ensemble de la population qui continue à faire des dons pour des tas de recherches médicales « dites » scientifiques pour les rassurer mais mieux les plumer; ce qui semble de plus en plus scientifique: c’est l’opérandi mafieux de cette l’industrie, et là il est tant de dire stop.

Par exemple les essais cliniques biaisés de médicaments pris en dernière phase d’admission sur le marché:
Le biaisage organisé des résultats commence au moment où on remarque que le médicament est considéré comme n’étant pas plus efficace qu’un placebo — Alors la société pharmaceutique (qui parraine) biaise volontairement alors les résultats. L’essaie est étudié rétrospectivement, on remonte en arrière pour trouver une date antérieure au moment où les cobayes humains peuvent être affichés comme étant mieux portant que les cobayes humain de l’expérience prenant une pilule en sucre (ou plus le médicament). L’essaie clinique est alors remis en page on lui refait la façade pour la publication comme s’il était un essaie plus court, un test pour commencer alors qu’il a été refondu et écourté. Et les preuves accablantes de l’inefficacité sont sabordées, mises au oubliette, pouff passé au trou noir.

… voir par ici…>

One of the key early studies done on Xanax, funded by the manufacturer, Upjohn, was led by James Ballenger and published in the Archives of General Psychiatry 45 (1988): 413-22.

Psychiatrist and author Peter Breggin checked out Upjohn ads which were stating that the effects of the drug had been tallied for eight weeks. But the small print indicated Xanax had only been evaluated for four weeks.

http://www.nomorefakenews.com/archives/archiveview.php?key=1392


01 Février 2008http://www.lepoint.fr/content/france/article.html?id=221769

La mise en examen de responsables des sociétés pharmaceutiques GlaxoSmithKline et Sanofi Pasteur MSD pour « tromperie aggravée » et celle de cette dernière pour « homicide involontaire » concerne potentiellement la majeure partie de la population du pays. De 1994 à 1998, 14 millions d’adultes et sept millions d’enfants de moins de 15 ans ont été vaccinés contre l’hépatite B.


USA: un laboratoire poursuivi pour vente d’antidépresseurs pour enfantsWASHINGTON – Le gouvernement américain a déposé plainte mercredi contre le laboratoire pharmaceutique Forest qui a selon lui mis en vente des anti-dépresseurs pour enfants, contre l’avis de l’autorité régulatrice, et a payé des pots-de-vins à des médecins pour les prescrire.

(©AFP / 25 février 2009 23h27)
http://www.romandie.com/infos/news2/090225222733.z51yaq6r.asp


News Target a obtenu des
documents de la FDA
(Food and Drug Administration)
et d’autres sources qui révèlent:
la FDA était tout à fait au courant depuis plusieurs années que le Virus Papilloma humain (HPV) n’a AUCUN lien direct avec le cancer du col.

NewsTarget.com a aussi appris qu’il a été prouvé que le vaccin contre le HPV n’avait aucune valeur pour enlever le virus HPV des femmes qui avaient déjà été exposées au HPV (et qui incluent la plupart des femmes sexuellement actives), remettant ainsi en question la justification scientifique de la politique de « vacciner obligatoirement tout le monde ».

Cette histoire révèle l’évidence: le vaccin GARDASIL (de Merck, la même firm produisant le mortel vioxx) couramment administré pour le HPV peut augmenter le risque de lésions cervicales précancéreuses à un taux ALARMANT de 44,6% chez certaines femmes.

Il s’avère que le vaccin peut être de loin PLUS dangereux pour la santé des femmes que de ne rien faire. Cette information révèle des détails sur une énorme fraude à la santé publique qui est pérpétrée sur le peuple américain, incluant les responsables de la FDA, les promoteurs des industries pharmaceutiques et même les gouverneurs de certains états comme le Texas.

http://www.naturalnews.com/Report_HPV_Vaccine_5.html


Près de 200 écolières de l’État de Victoria ont été touchées et 10 jeunes filles ont été admises à l’hôpital après évanouissement ou effondrement suite à l’injection de Gardasil.
http://caramiloudmysterieuse.spaces.live.com/blog/cns!D8E35FE50A5226FC!471.entry


Les experts chargés de conseiller les services de santé pour la mise sur le marché de tel ou tel médicament sont presque tous salariés des laboratoires fabriquant (pour le GARDASI® les deux experts John Bosnego et Alan Show étaient des biologistes employés par le laboratoire fabriquant le vaccin).

http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=30223


France:Les laboratoires Eli Lilly ont mis en place une politique de remises tarifaires sur un médicament, le dobutrex, à la CONDITION que les établissements hospitaliers achètent en même temps de la vancomycine, un antibiotique de Eli Lilly. Les hôpitaux se plaignent de la hausse de prix du dobutrex. Ainsi est mise en évidence la stratégie commerciale des laboratoires Lilly. Cette société a jusqu’en 1988 le monopole de la vente de la vancomycine. Mais, à partir de 1988, d’autres laboratoires proposent aux hôpitaux un générique de vancomycine à un prix inférieur. Afin de maintenir sa part de marché sur la vancomycine, la société Eli Lilly décide donc d’utiliser un autre marché, celui du Dobutrex,qui est lui toujours en monopole. Lilly augmente le prix du dobutrex et propose parallèlement d’accorder des remises sur ce même produit, à condition que les hôpitaux achètent sa vancomycine. Les laboratoires Lilly sont donc en position dominante sur le marché du dobutrex et abusent de cette position dominante pour imposer des achats sur le marché de la vancomycine et évincer leurs concurrents.
Car le dobutrex est indispensable, du fait de ses indications thérapeutiques et de ses propriétés pharmacologiques.

Cliquer pour accéder à cerutti.pdf


Par Byron Richards le 25 janvier 2008:Le Wall Street Journal titre maintenant

VYTORIN-GATE …

L’une des plus grandes fraudes de l’histoire des médicaments.

Les compagnies pharmaceutiques Merck et Schering-Plough en cause; dans des mauvais résultats d’essaies de médicaments contre le cholestérol ont ramassées près de 10 milliards de dollars pour la vente d’huile de serpent. Le médicament en question, Vytorin, était censé prouver qu’il pouvait réduire le risque des maladies cardiaques en diminuant l’épaisseur de la carotide. Cette nouvelle est abscente des médias??
Effectivement une nouvelle étude montre que les statines détruisent les muscles, et le coeur est un muscle?

L’industrie de la STATINE (molécule) est une machine de propagande de 20 milliards de $ par an, produisant des revenus annuels pour cette seule classe de médicaments supérieur à tous les sports professionnels américains réunis!

http://www.wellnessresources.com/newsroom/index.php/content/articles/the_statin_scam_marches_on


Médicaments dangereux (voire mortels), résultats falsifiés, sang contaminé, pollutions diverses, mensonges sur le cancer, le sida, la grippe aviaire, les hormones, les vaccinations…Sylvie SIMON indique clairement à qui profite cette désinformation et donne la parole à des chercheurs, biologistes, médecins qui tirent la sonnette d’alarme:

source


Fraudes MEDICALES massives au grand jour: Une société pharmaceutique corrompt des médecins pour qu’ils prescrivent des médicaments et se lancent dans un simulacre d’essais cliniques!

Cet article doit être lu par tous ceux qui s’intéressent à la façon dont l’Industrie pharmaceutique opère réellement en coulisse. Il s’agit ici d’un cas agressif de marketing ayant mal tourné avec un mélange de physiciens corrompus et médecins qui se foutent royalement des patients sur lesquels ils se font du blé, c’est de leur part un quasi total dénigrement à l’égard de la santé du patient. Des médecins ripoux… en veut-tu en voilà …

Et aussitôt c’est du business comme à l’habitude dans le giron pharmaceutiques … de la grande industrie.
Des MEDECINS qui prescrivent des médicaments d’une entreprise pharmaceutique bien déterminée touchent du fric pour éviter la concurrence d’autres firmes pharmaceutiques sur le même créneau mais tout aussi mafieuses; ainsi ces médecins étaient PAYÉ sous le label « frais de consultation » pas moins de 10.000 $.

Et quel genre de consultation font ces Médecins?

Le genre de conseil qui requiert rien d’autres que de signer en blanc…

une feuille blanche et à encaisser le chèque, bien sûr.

vous allez dire ils sont une minorité de tricheurs et bien non: ils sont des milliers de médecins ayant participé à cette cabale criminelle.

Incommensurables sommes d’argents en échange de fourger la camelote en provenance de SCHERING PLOUGH

Il y a l’industrie pourrie mais aussi un paquet de MEDECINS ripoux de chez ripoux.

Et cela il était temps de le dire

http://www.newstarget.com/bribery.html


Médicaments dangereux: le patient à la merci des accidents !Pour maintenir un profit élevé alors que l’innovation ne suivait plus, certains laboratoires n’ont pas hésité à sacrifier leurs principes éthiques. Scandales, fraudes scientifiques, falsifications de données, études truquées ou biaisées, documents secrets, effets secondaires minimisés, mensonges et dissimulations. Autant de pratiques qui ont coûté la vie à de nombreux patients. La confiance du public est aujourd’hui au plus bas.

http://www.tsr.ch/tsr/index.html?siteSect=300003&sid=5492505


Un très important chercheur du nom de Pearson « Trey » Sunderland III à l’Institut National de santé Américain le fameux (NIH) a été inculpé lundi de violation de la loi sur le conflit d’intérêt criminelle en omettant de divulguer des liens financiers qu’il avait avec le géant de la pharmacie rien de moins que le groupe Pfizer, les procureurs ont dit. Il a été accusé d’un délit portant sur les 285000 $ qu’il a accepté sans divulguer ces honoraires de consultation en provenannce de Pfizer! Sunderland aurait convenu avoir accepter 25000 $ par année en frais de consultation, ainsi qu’une taxe de 2500 $ pour assister à une journée de réunions avec l’entreprise, qui ont été faites entre 1997 et 2004 et cela pendant que des études étaient en cours entre le NIH et Pfizer. Selon le document d’inculpation, Sunderland avait fait un arrangement similaire pour recevoir 25000 dollars de plus par an de Pfizer au cours d’une autre étude de deux «biomarqueurs» estimés pour identifier la maladie d’Alzheimer chez les patients.http://www.newstarget.com/z021255.html


2 Septembre 2006


Arrestation de Duilio Poggiolini membre influent des instances européennes du Médicament

À l’étranger, un énorme scandale a dénoncé la corruption organisée par les laboratoires, prouvant ainsi qu’ils sont prêts à tout pour vendre leur marchandise. En effet, en 1991, Francesco de Lorenzo, ministre italien de la santé, a touché de nombreux pots-de-vin de plusieurs laboratoires, dont SmithKline Beecham . Le Président de cette firme, qui fabrique le vaccin anti-hépatite B, a avoué avoir donné au ministre 600 millions de lires quelques mois avant que ce dernier rende la vaccination obligatoire dans son pays. Francesco de Lorenzo a été inculpé et condamné à plusieurs années de prison ferme, ainsi que Paolo Cirino Pomicino, ancien ministre du Budget, et le Pr. Duilio Poggiolini, membre influent des instances européennes du Médicament, qui fut aussi à la tête de la Direction du médicament dans son pays et Président de l’Ordre des médecins. Plus d’une soixantaine d’autres membres tout puissants du ministère de la Santé ont également été condamnés pour diverses fautes graves que le Giornale per la protezione della salute (n° 6, mars 1998) qualifi ait de « pratiques mafi euses ». Ce qui n’a pas empêché certains d’entre eux de revenir plus tard dans les coulisses des ministères.
Extrait de Sylvie Simon

Enquête pour corruption en Italiehttp://www.actions-traitements.org/spip.php?breve450&debut_brevesmemerubrique=90

Une enquête policière se concentrant sur les communications entre 30 médecins et 40 VRP du géant pharmaceutique britannique GlaxoSmithKline entre janvier 2001 et décembre 2002, suggère après interception par la police, d’e-mails, documents et communications téléphoniques que plus de 3000 médecins professionnels pourraient être impliqués dans un vaste système d’ « avantages » servant à augmenter chaque année de 7 à 8% leurs prescriptions en médicaments de GSK! Les enquêteurs estiment que les quelques 100 millions d’euros déclarés par la firme en Juin 2001 au titre d’« investissements pour la promotion des produits pharmaceutiques », auraient été en fait dépensés en cadeaux gratuits, voyages luxueux y compris, à l’attention des médecins italiens et d’autres professionnels médicaux. La police judiciaire affirme détenir la preuve d’un système national de corruption, qui aurait amené les médecins à augmenter chaque année de 7 à 8% leurs prescriptions en médicaments GSK, en contrepartie de « petits extras » genre voyage aux Caraïbes, systèmes stéréos et autres bonnes bouteilles. Dans certains cas, les médecins recevaient des enveloppes de 300 à 1000 livres, a indiqué le procureur chargé de l’enquête!


GlaxoSmithKline et fabricant belge de médicaments UCB ont donné $500.000 à $999.999 sur l’année fiscal 2006 à la fondation national de l’epilepsy, selon son rapport annuel annuel. Abbott Laboratories et une unité de Johnson & Johnson ont chacun contribué $100.000 à $499.999. Les représentants de 4 compagnies de médicaments sont représenté au board de cette fondation, de même que le patron de PhRMA Billy Tauzin. La fondation sans but lucratif pousse pour passer des lois dans plusieurs Etats qui rendraient plus difficile le passage des patients aux médicaments génériques peu coûteux.extrait du Wall Street Journal du July 13, 2007, 6:53 am:

http://blogs.wsj.com/health/2007/07/13/big-pharma-states-its-case/?mod=yahoo_hs

arrestation 2005 éxecution 2007


Arrestation de Zheng Xiaoyu ancien ministre du médicament

L’ancien directeur de l’Administration d’Etat de l’alimentation et des médicaments en Chine, Zheng Xiaoyu, qui avait rang de ministre, a été exécuté mardi pour corruption, a annoncé l’agence Chine Nouvelle.
Zheng, 62 ans (Bien: 62 ans), condamné fin mai, a été exécuté après le rejet par la Cour suprême de son appel, a précisé l’agence.
Il avait été reconnu coupable d’avoir touché 6,4 millions de yuans (620.000 euros) de pots-de-vin d’entreprises pharmaceutiques.
Zheng Xiaoyu avait été limogé en juin 2005 après huit ans à la tête de l’Administration de l’alimentation et des médicaments (SFDA), où il avait mis en place un système d’autorisation des médicaments particulièrement controversé.
Ministre exécuté mardi pour corruption par l’industrie Pharma en Chine

Dans le Guardian britannique du 7 février 2002, la grande éditrice d’ouvrages de santé Sarah Bosely a écrit : « Des scientifiques acceptent d’importantes sommes d’argent des compagnies pharmaceutiques pour prêter leur nom à des articles qu’ils n’ont pas écrits, recommandant de nouveaux médicaments – pratique de plus en plus courante que certains redoutent de voir menacer l’intégrité scientifique « .


John Buse, de l’Université de Caroline du Nord – qui est en liste pour devenir le prochain président de l’American Diabetes Association a averti la FDA que l’Avandia pourraient augmenter le risque de crises cardiaques chez ses utilisateurs. Il a également publiquement critiqué l’entreprise « pour manipulation de données flagrantes et sélectives», at-il dit, ce qui aurait bien fonctionné pour faire apparaître ce médicament comme plus efficace et moins dangereux qu’il ne l’est. The New England Journal de Medecine a annoncé qu’il allait publier une étude reliant Avandia à l’augmentation des problèmes cardiovasculaires. L’étude, publiée le 14 juin, a constaté que ce médicament a conduit à 43 % en plus de risques de crise cardiaque et de 64 % plus de risques de mort cardiaque.
http://www.newstarget.com/z022290.html


Et oui les français avalent n’importe quelle pilule au sens propre et figuré, quand vont ils comprendre qu’on les manipule!Le fameux trou de la sécu de 11 milliards d’euros existe-t-il vraiment ?

Voici les chiffres sont issus du rapport des comptes de la Sécu pour 2003:
7,8 milliards non reversés à la sécu sur les taxes sur le tabac
3,5 milliards non reversés à la sécu sur les taxes de l’alcool
1,6 milliard non reversés à la sécu des assurances auto pour les accidentés de la route
1,2 milliard non reversé à la sécu de la taxe sur les industries polluantes
2 milliards de TVA non reversés à la sécu
2,1 milliards de retard de paiement à la sécu pour les contrats aidés
1,9 milliard de retard de paiement par les entreprises …
20,1 milliards d’euros!!!!!!!!!!!!

entre temps…

180 dirigeants français des caisses de protection sociale ont séjourné, AUX FRAIS DE LA PRINCESSE, dans les plus luxueux hôtels de Pékin. Motif : participer à l’assemblée générale de l’association internationale de sécurité sociale qui se tenait du 12 au 18 septembre 2004, dans cette fameuse patrie des droits de l’ homme. Un millier de délégués représentaient 130 pays dont 30 Allemands, 25 Américains.

Coût du séjour des fonctionnaires de la sécurité sociale française : 700.000 euros ! ! !

La Sécu fait la bombe à Pékin Le Canard Enchaîné 22/09/04


C’est une méga-arnaque, avec médecins ripoux, ordonnances volées, et au centre, un énorme trafic de médicaments, qui pourrait porter au total sur près de 20 millions d’euros. Jeudi, la Caisse nationale d’assurance maladie (Cnam) a annoncé que la Sécurité sociale avait ouvert une enquête sur une fraude aux médicaments, achetés et remboursés en France, avant d’être revendus en Asie du sud-est, en Afrique et en Europe de l’Est.http://www.liberation.fr/actualite/societe/208807.FR.php?mode=PRINTERFRIENDLY


Un nouveau rapport révèle que des données impliquants l’insécurité de certains vaccins ont été volontairement supprimé!A.. Les fonctionnaires suppriment délibérément des données sur la sécurité des vaccins
B.. Ils sous-évaluent délibérément les effets secondaires, qui vont bien au-delà de l’autisme
C.. Ils manipulent la prévalence et la gravité de certaines maladies afin d’effrayer les parents pour promouvoir la vaccination
D.. Ils savent que les nouveaux vaccins qu’ils introduisent maintenant au Royaume-Uni ont tué des enfants avant aux Etats-Unis – Ils se gardent bien d’en avertir les parents.
C’est un scandale que les responsables de la santé sont prêts à jouer avec la santé et le bien-être des autres, leurs enfants – juste pour maintenir à niveau le taux de vaccination.

http://educate-yourself.org/vcd/vaccinedamageinfosuppressed29apr06.shtml

Pfizer, par exemple, a payé $ 430 millions en 2004 pour régler à l’amiable et éviter un procès sur des allégations selon lesquelles il avait encouragé Neurontin, un médicament anti-épileptiques, pour la douleur et les troubles bipolaires.

http://www.ahrp.org/cms/content/view/299/29/

http://www.nytimes.com/pages/business/index.html
————
Amende pour la publicité illégale de son antiépileptique Neurontin (gabapentine), incitant les médecins à le prescrire dans des indications non autorisées, ce qui a porté les chiffres de vente à plus de 3 milliards par an. Le New York Times du 8 octobre nous apprend qu’une cour fédérale des Etats-Unis est en charge d’un autre procès intenté par des usagers et des tierces parties. La cour vient de rendre publics les rapports de plusieurs experts sur les essais cliniques et la stratégie commerciale de Pfizer.

12 rapports d’experts sont accessibles sur Pharmalot.

http://pharmacritique.20minutes-blogs.fr/archive/2008/10/11/pfizer-accuse-de-manipulation-des-etudes-sur-l-efficacite-du.html


Les vaccinations figurent parmi les armes de destruction massive les plus efficaces. Les victimes du vaccin hépatite B, progressivement, rassemblent leurs forces et se regroupent. De scandales en scandales, la santé publique s’est tellement sali les mains et a tellement méprisé le citoyen qu’à l’heure actuelle, les morts qu’elle peut afficher sur son tableau de chasse dépassent ceux qu’ont pu faire les maladies naturelles. Aujourd’hui, l’ennemi passe inaperçu, il est même séduisant, de belle allure : costume cravate, blouse blanche, camisole de laboratoire ou safari suit et tee shirt brodé ONG. Dans le discours, que des bonnes intentions. On massacre mieux quand on ne voit pas le sang couler et que la proie ne s’y attend pas. Il faut que les menteurs, les souteneurs, les aboyeurs, les fossoyeurs, les soldats du peloton d’exécution, tous, soient obligés de rendre compte de leurs actes. http://www.alis-france.com/edito_530.php


En procédant à des plans visant à diffuser la peur et une science pourrie dans le monde, l’OMS vient de mettre en ligne un nouveau jeu.L’homme peut jouer à ce jeu interactif, mais il est lui même la cible d’une race de personnes: les hommes politiques et les groupes de pression politique.

Ce jeu devrait s’appeler: Créez votre propre épidémie.

THE « CREATE YOUR OWN EPIDEMIC » GAME


2007 Jan 20
Abstract:
The US Center for Science in the Public Interest is calling on organisations and researchers to sign a letter asking the US National Institutes of Health (NIH) to reveal ties to industry among scientists on its advisory committees. The centre’s « integrity in science » project is starting by targeting speakers at a national conference next month on screening for neonatal herpes.http://healthyskepticism.org/library/ref.php?id=8193


12 October 2006
Selon un rapport d’enquête publié par le Ministère de la Santé israélien, des médecins ont menées des essais illégaux et contraires à l’éthique sur des milliers de patients âgés pendant des années.
D’après le quotidien israélien Haaretz, quatre hauts responsables israéliens médecins sont accusés de mener des expériences médicales illégales sans consentement éclairé sur des personnes âgées atteintes de démence, plusieurs-ont été arrêtés. Les détails du du rapport du Bureau d’État dans leurs conclusions critiquent sévèrement les Hôpitaux impliqués ceci étant divulgués au public par une série d’enquêtes Dans Haaretz, ainsi que d’une séried’investigation TV « Fact ».http://www.ahrp.org/cms/content/view/359/29


2001: Une entreprise de biotechnologie en Pennsylvanie a demandé à la FDA l’autorisation de mener des essais par placebo sur des nourrissons nés en Amérique latine et ayant une grave maladie pulmonaire alors que de tels essais sont illégaux aux États-Unis!http://www.ahrp.org/history/chronology.php


2001: Le 4 avril Elaine Holden-Able, une infirmière retraitée et en bonne santé, a consommé d’un verre de jus d’orange, qui avait été mélangée à un complément alimentaire pour le bien de la recherche médicale. Ce cas d’expérimentation sur l’Alzheimer par la Western Université et financé par l’industrie du tabac, a tué le cobaye humain dans ce qui fut appelé une tragique erreur humaine ». »l’Office fédéral de la Human Research Protections n’a pas interrogé le personnel des hôpitaux, et a accepté pour la plupart comptant le rapport interne de l’hôpital, n’a demandé aucune pénalités, et a classé l’affaire et n’a pas mentionné la mort dans sa lettre.http://ohrp.osophs.dhhs.gov/detrm_letrs/nov01f.pdf


1999: A 18 ans, Jesse Gelsinger meurt après avoir été injectés avec 37 milliards de particules d’adénovirus dans une expérience de thérapie génique à l’Université de Pennsylvanie.http://www.ahrp.org/history/chronology.php


1995: 34 enfants mineurs de New York en bonne santé, sans aucun passé agressif tous des garçons âgés de 6 à 11 ans, ont été exposés à de la fenfluramine dans une expérience non-therapeutic à la New York State Psychiatric Institute. Les enfants ont été exposés à ce médicament neurotoxique pour enregistrer leurs réponses neurochimiques dans le but de prouver une théorie spéculative qui ferai le lien entre agression et marqueur biologique.http://www.ahrp.org/history/chronology.php

http://daudon.free.fr/page183.htmlThe Observer en septembre 2000 dans le cadre de la campagne massive de vaccination en Grande-Bretagne :
4 médecins experts du Ministère de la santé déclaraient des liens d’intérêts avec le laboratoire qui gardait dans ses tiroirs plus de 16 000 effets secondaires du vaccin Méningitec (employé en janvier 2001 à Clermont-Ferrand).


Rita Levi Montalcini (prix Nobel de médecine) avouait dans Le Généraliste:
« La recherche est un milieu redoutable. »D’autant plus redoutable que les divergences entre la science et l’éthique s’amplifient à cause du profit et des besoins économiques.
source


source
En 1988, Norman Swan a remporté le prix Gold Walkley, la plus haute distinction du journalisme australien pour avoir mis à jour une importante fraude médicale sur les ondes de l’émission The Health Report qu’il anime toujours à la radio d’État australienne ABC. Il a révélé des falsifications dans les travaux de recherche de William McBride. Gynécologue vénéré, le Dr McBride s’était fait connaître en 1961. Il avait montré que la thalidomide, un anti-nauséeux pour femmes enceintes, causait des malformations congénitales. Phil Vardy, son associé de recherche au cours des années 1980, a longtemps eu des doutes sur son honnêteté scientifique sans jamais pouvoir le démontrer. Également présent à la conférence, Vardy a raconté qu’un jour, la preuve écrite est arrivée. Le Dr McBride avait trafiqué les résultats de leur plus récente publication. Vardy le savait puisqu’il avait lui-même fait les expériences. Voyant que son patron niait tout malgré les preuves, Vardy a démissionné en emportant avec lui les données incriminantes. Ce n’est que quelques années plus tard que Norman Swan a été mis en contact avec Phil Vardy et que le scandale a explosé.


14 Février, 2007
Les firmes GlaxoSmithKline (GSK), AstraZeneca et Eli Lilly et les négociants internationaux en pétrole et les constructeurs de ponts du Royaume-Uni: Mabey et Johnson SONT SOUS LA COUPE D’UNE ENQUETE pour Pots-de-vin versés au régime de Saddam Hussein en Irak dans le cadre du programme pétrole contre nourriture…
http://www.ahrp.org/cms/content/view/502/29/


29 avril 2007 19H42On viendrai de découvrir que le diabète pouvait être un facteur de la dépression, or, que lis-je dans un article du New York Times d’aujourd’hui ? ( http://www.nytimes.com/2007/04/25/business/25zyprexa.html?_r=2 ) « U.S. Wonders if Drug Data Was Accurate »: le groupe pharmaceutique Eli Lilly aurait caché que son médicament vedette, l’antipyschotique Zyprexa, aurait des effets secondaires sérieux, comme le diabète et la prise de poids ! La FDA (Food and Drug Administration), agence du médicament US, est en train d’enquêter sur le fait qu’ Eli Lilly lui aurait fourni des informations inexactes sur les effets secondaires du Zyprexa, notamment la prise de poids et le diabète. Le Zyprexa rapporte à Eli Lilly 4 Millions de dollars annuels. Ce n’est pas la première fois qu’Eli Lilly truque ses études. La même chose s’est produite pour les effets secondaires du Prozac, accusé de déclencher des comportements violents et suicidaires. James B. Gottstein, un avocat qui représente des patients a même déclaré que nombre de ses patients ont été forcés de prendre le Zyprexa contre leur volonté. Bienfaits pour la santé ? Non, empoisonnement et escroquerie,tout simplement.

http://www.naturavox.fr/Industrie-du-Medicament-Petit-dictionnaire-des-idees-recues.htm


Une amende de 704 millions de $ pour le groupe pharmaceutique suisse Serono et ses filiales américaines, accusés de fraude pour augmenter les ventes de leur médicament antisida, la Serostim.

Le Monde 16 decembre 2005

http://www.fsa.ulaval.ca/personnel/vernag/eh/F/noir/fraudes.htm


Capital, Octobre 1996 :[SmithKline Beecham et Mérieux] ont déployé pendant des mois des trésors de persuasion, financé des études, abreuvé les pouvoirs publics de statistisques dramatisantes, aidé financièrement l’OMS (qui a fini par appeler à la généralisation à terme de la vaccination), accompagné la création d’associations scientifiques de promotion. Quête classique, pour laquelle SmithKline possédait cependant un atout de plus que son concurrent : son directeur de l’époque, Bernard Mesuré, se trouvait aussi être le président du Syndicat National des Industries Pharmaceutiques (SNIP), autrement dit le patronat des labos.

Or, le gouvernement, qui bataillait alors pour mettre en place des guides de bonne pratique (références médicales opposables) dans le cadre de la maîtrise des dépenses, avait grandement besoin du soutin du SNIP. Pendant ce temps, le SNIP accordait un soutien actif à Simone Veil sur le dossier des références médicales. Quelqu’un en doutait-il ? » source

Je pense que la médecine moderne pourrait disparaître de la surface de la terre à plus de 90% -médecins, hôpitaux, médicaments et équipements- et qu’ainsi l’effet sur notre santé serait immédiat et bénéfique».
Lorsque les médecins se sont mis en grève à Bogota, en Colombie, dans le comté de Los Angeles en Californie et en Israël, le taux de mortalité dans ces trois différentes régions a chuté considérablement. Durant leur grève d’un mois de 1973, les médecins israéliens ont réduit leurs contacts quotidiens avec les malades de 65 000 à 7000. «Le Service funèbre de Jérusalem a rapporté que le taux de mortalité chez les Israéliens avait baissé de 50% durant ce mois, et qu’il n’y avait pas eu d’autre baisse de mortalité aussi considérable depuis la dernière grève des médecins il y a vingt-ans.» Le docteur Mendelsohn termine son livre avec la conclusion inéluctable que la médecine moderne est une industrie gigantesque et lucrative qui détruit la vie humaine en essayant de guérir la maladie. Elle nous nuit avec ses abus, ses surdoses de médicaments et tous ses gadgets: «À chaque minute de chaque jour la médecine moderne va trop loin car elle aime aller trop loin.» affirme ce vétéran de la médecine.Des études basées sur des diagnostics alarmants nous apprennent qu’environ la moitié des tests de laboratoire sont inexacts car ils passent souvent d’une main à l’autre, donnant ainsi des résultats différents. Dans l’une de ses études favorites, le docteur Mendelsohn dit: «Parmi 200 personnes, 197 ont été « guéries » de leurs anomalies en répétant tout simplement le test de laboratoire» L’utilisation abusive des rayons X est largement répandue. «Des scientifiques ont prouvé que les rayons X favorisent le développement du diabète, de maladies cardiovasculaires, d’attaques d’apoplexie, de haute tension et de la cataracte. D’autres études ont démontré le lien qui existe entre la radiation et le développement de maladies comme le cancer, les altérations du sang et les tumeurs dans le système nerveux central.» Les conflits d’intérêt entrent aussi dans ce diagnostic car les médecins ont souvent des intérêts financiers dans les laboratoires.

Chronique de livres :

http://www.cam.org/~rsilver/medecinerepu.htm

Big Pharma » nous surveille
Grippe aviaire : le Tamiflu un remède pour les pigeons, une mine d’or pour Rumsfeld et Roche
La fraude à la pandémie de grippe aviaire
Géants pharmaceutiques, la première cause du déficit de l’assurance-maladie
MEDECINS CONDAMNES, PATIENTS EN DANGER GRANDE FETE DE LA LIBERTE THERAPEUTIQUE
« Big Pharma », ou la corruption ordinaire
Pneumonie atypique l’intox du siècle
Scientific fraud and the power structure of science
Tired Of The Bird or Avian Flu Yet? Some Experts Claim It’s A Hoax For Profit
THE FINANCING SHOW ME THE MONEY: WHO FUNDS WHO
The bird flu hoax Conflict of Interest? Medical Journal Changes Policy of Finding Independent Doctors to Write
La mafia pharmaceutique
Empoisonné à l’AZT fraude=MORTS
USA: Hospital Deaths from Medical Errors at 195,000 per Year.
The rotavirus vaccine was approved—and then later withdrawn from the market because it was injuring and killing people
100 Years of Medical Robbery [June 11, 2004] (100 années médicales de plumage de piegons)
Licensed to kill – facts the drug firms conceal (les faits que l’industrie a MAQUILLIES: volontairement)
Le Pentagone ressuscite le virus de la grippe espagnole
GlaxoSmithKline tried HIV drug on orphans (des enfants comme cochons d’indes de la junk sciences du SIDA!)
23.000 enfants cobayes à New-York qui n’intéressent personne (la junk sciences du SIDA!)
L’Etat de New York porte plainte contre Pharmacia et GlaxoSmithKline
WHAT KILLS more AMERICANS every year than WW2 and VIETNAM combined?
Inside abusers and large scale violation of privacy of health information!
MEDICAL RESEARCH FRAUD DOESN’T QUIT
THE MASKING AGENT: DOCTORS
‘NO PROBLEM; WE’RE FIXING IT »
Scientific Fraud and Vaccines
MEDICAL SCANDAL
CDC IS A DESPERATE AGENCY
FOLLOW THE MONEY are scientific and medical experts able to take corporate money without subtly altering their scientific and medical views?
Doctors can be paid thousands of pounds per patient by pharmaceutical companies!
Medical research ’often flawed’
Ritalin Fraud
How big Pharma caught a cold
IBM fights to suppress cancer probe
Signed confessions from corporate mass murderers.
Donors don’t realize they are fueling a lucrative business!
Making death pay.
CORRUPTION WIDESPREAD by Liz Lightfoot
Doctors Are The Third Leading Cause of Death in the US, Causing 250,000 Deaths Every Yearect…

Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, La médecine qui tuent, Médecine, Médicaments | Laisser un commentaire

Une médecine répugnante

http://robert-silverman.net/medecinerepu.htm

Une médecine répugnante Chronique de livres

Lorsque des médecins ayant une longue expérience se mettent à écrire des livres sur les dangers que la médecine moderne représente pour notre santé, nous pouvons être sûrs qu’il se cache bien des choses malsaines sous la blouse blanche. « Confessions d’un médecin hérétique », écrit par le docteur Robert Mendelsohn, un médecin avec vingt-cinq ans d’expérience en médecine moderne, n’est qu’un des nombreux livres qui dévoilent les dessous de l’industrie médicopharmaceutique. Robert Silverman en fait ici un compte rendu bien détaillé. «Le médecin, qui était une fois notre agent guérisseur, est devenu aujourd’hui celui qui nous rend malade. La médecine moderne est allée trop loin en utilisant massivement des moyens très puissants pour traiter des cas simples, et a altéré et corrompu même la gestion des cas les plus graves.» Cette affirmation si surprenante a été faite par le docteur Robert Mendelsohn, un homme ayant pratiqué la médecine pendant vingt-cinq ans. Dans son dernier livre «Confessions d’un médecin hérétique», il dévoile les conflits d’intérêt, l’avidité, l’incompétence et la corruption qui sévissent dans les hôpitaux, et bien d’autres cauchemars qu’il a dû vivre durant sa longue carrière de médecin. En se basant sur sa propre expérience, Mendelsohn dit: «Malgré ses belles manières et la haute technologie dont ils dispose pour vous faire sentir qu’il prend soin de vous comme d’un astronaute qui se dirige vers la lune, je considère le médecin qui pratique la médecine moderne comme le plus grand danger pour la santé. Je crois que les moyens que la médecine moderne utilise pour traiter les maladies sont rarement efficaces et qu’ils sont souvent plus dangereux que les maladies qu’ils sont censés guérir. Ces dangers sont d’autant plus aggravés par l’utilisation excessive de procédures dangereuses pour traiter des maladies qui ne le sont pas. Je pense que la médecine moderne pourrait disparaître de la surface de la terre à plus de 90% -médecins, hôpitaux, médicaments et équipements- et qu’ainsi l’effet sur notre santé serait immédiat et bénéfique». L’hypothèse étonnante du docteur Mendelsohn, selon laquelle les gens seraient en bien meilleure santé si la médecine moderne disparaissait à 90%, avait été confirmée. Lorsque les médecins se sont mis en grève à Bogota, en Colombie, dans le comté de Los Angeles en Californie et en Israël, le taux de mortalité dans ces trois différentes régions a chuté considérablement. Durant leur grève d’un mois de 1973, les médecins israéliens ont réduit leurs contacts quotidiens avec les malades de 65 000 à 7000. «Le Service funèbre de Jérusalem a rapporté que le taux de mortalité chez les Israéliens avait baissé de 50% durant ce mois, et qu’il n’y avait pas eu d’autre baisse de mortalité aussi considérable depuis la dernière grève des médecins il y a vingt-ans.» Le docteur Mendelsohn termine son livre avec la conclusion inéluctable que la médecine moderne est une industrie gigantesque et lucrative qui détruit la vie humaine en essayant de guérir la maladie. Elle nous nuit avec ses abus, ses surdoses de médicaments et tous ses gadgets: «À chaque minute de chaque jour la médecine moderne va trop loin car elle aime aller trop loin.» affirme ce vétéran de la médecine. L’une des gigantesques usines médicales est la clinique de Cleveland. Un article intitulé «La merveilleuse usine médicale de Cleveland» et publié dans la revue médicale de cette clinique énumère les chiffres de production énormes de cette clinique, tout en vantant ses réalisations de l’année dernière: 2980 opérations à coeur ouvert, 1,3 millions de tests de laboratoire, 73 320 électrocardiogrammes, 7770 radiographies de tout le corps, 210 378 autres recherches radiologiques et 24 368 procédures chirurgicales. Aucune de ces procédures ne s’est avérée favorable à la guérison ou à la conservation de la santé. L’article a omis de vanter, ou même de mentionner le plus important, à savoir si cette extravagance, si chère, a vraiment aidé des gens. C’est parce que cette usine, comme tant d’autres, utilise des produits tout à fait malsains et nuisibles pour la santé. Lorsque vous allez chez le médecin, on vous considère non comme une personne qui a besoin d’aide pour guérir, mais plutôt comme un marché potentiel pour les produits de l’usine médicale. Dans des chapitres séparés sur les diagnostics, les médicaments, les interventions chirurgicales et les hôpitaux, le docteur Mendelsohn vend la mèche à propos des effets mortels de la médecine moderne. Des études basées sur des diagnostics alarmants nous apprennent qu’environ la moitié des tests de laboratoire sont inexacts car ils passent souvent d’une main à l’autre, donnant ainsi des résultats différents. Dans l’une de ses études favorites, le docteur Mendelsohn dit: «Parmi 200 personnes, 197 ont été « guéries » de leurs anomalies en répétant tout simplement le test de laboratoire» L’utilisation abusive des rayons X est largement répandue. «Des scientifiques ont prouvé que les rayons X favorisent le développement du diabète, de maladies cardiovasculaires, d’attaques d’apoplexie, de haute tension et de la cataracte. D’autres études ont démontré le lien qui existe entre la radiation et le développement de maladies comme le cancer, les altérations du sang et les tumeurs dans le système nerveux central.» Les conflits d’intérêt entrent aussi dans ce diagnostic car les médecins ont souvent des intérêts financiers dans les laboratoires.

Le grand commerce des produits pharmaceutiques Dans son chapitre «Mutilation miraculeuse» sur les médicaments, le docteur Mendelsohn nous montre comment la pénicilline, à l’origine un produit apprécié et considéré même comme miraculeux, s’est métamorphosée en quelque chose de dangereux, futile et banal à cause de son expansion et de son utilisation abusive. Le docteur Mendelsohn se souvient des résultats miraculeux de la pénicilline, développée durant les premières années de sa carrière: «Toutes les deux ou trois heures, je donnais de la pénicilline intraveineuse à des enfants souffrant des symptômes graves de la méningite bactérienne, puis je voyais des changements miraculeux se produire heure après heure. Ces enfants, qui étaient sur le point de mourir, ont repris conscience et commencé à réagir au stimulus en l’intervalle de quelques heures. Quelques jours après, ces mêmes enfants étaient debout et presque prêts à retourner chez eux.» Le docteur se souvient d’avoir vu des malades sur leur lit de mort, souffrant d’une pneumonie, plier bagage et quitter l’hôpital après avoir reçu une dose de pénicilline «Plusieurs d’entre nous avaient vraiment l’impression de vivre et de produire des miracles, mais ce même médicament, qui était une fois extrêmement bénéfique, est devenu extrêmement dangereux.» Mendelsohn explique ce changement par le fait que les médecins ont commencé à prescrire ce médicament d’une façon très abusive: «Plusieurs médecins prescrivent de la pénicilline pour des cas aussi anodins qu’un simple rhume, alors que ce médicament peut engendrer des réactions allant de la rougeur de la peau aux vomissements et diarrhées, jusqu’à la fièvre et aux chocs anaphylactiques. Chaque année, huit à dix millions d’Américains vont chez le médecin pour un simple rhume, et près de la moitié d’entre eux en sortent avec une prescription pour un antibiotique. Non seulement ces personnes sont dupées en payant pour un produit n’aidant pas vraiment à les soulager, mais elles sont également exposées aux dangers des effets secondaires et aux risques d’attraper des infections plus graves.» Il faut des fois plusieurs années pour ressentir l’impact total des effets secondaires sur la santé. Dans les années cinquante, l’hormone DES était largement prescrite pour les femmes ayant des problèmes de fertilité. «Vingt ans plus tard, nous avons découvert que cette hormone cause le cancer vaginal et des anomalies génitales chez des enfants nés de femmes prenant ce médicament durant la grossesse. En 1959, près de 500 enfants en Allemagne et 1000 autres enfants ailleurs étaient nés avec des malformations sévères parce que leurs mères avaient pris de la thalidomide, un somnifère et tranquillisant, durant les premières semaines de grossesse. En 1962, le Tripanorol, un médicament réduisant le taux de cholestérol, a été retiré du marché lorsqu’on s’est rendu compte qu’il avait engendré plusieurs effets secondaires, entre autres la cataracte.» Des désastres comme ceux ci, causés par les médicaments, se produisent chaque jour. En fait, ce sont les usines pharmaceutiques, de plus en plus puissantes, qui continuent de fournir de tels produits dangereux aux médecins, pour qu’ils aboutissent enfin dans les bouches et les corps de malades imprudents. Le docteur Mendelsohn affirme que 20 000 à 30 000 personnes par année meurent suite aux effets funestes des médicaments que leurs médecins leur avaient prescrits. Les évaluateurs les plus modestes estiment que 5% des gens qui se retrouvent dans les hôpitaux américains et anglais y sont à cause de leurs mauvaises réactions aux médicaments. «L’une des lois tacites de la médecine moderne est de prescrire rapidement un nouveau médicament avant que tous ses effets secondaires apparaissent à la surface ». Le docteur Mendelsohn décrit cette approche très précipitée des médecins en prescrivant les médicaments comme suit: «Les fabricants de médicaments et les médecins entretiennent entre eux des rapports intimes et rentables. Aux États-Unis, les fabricants de médicaments dépensent en moyenne 6000$ par année par médecin dans le but de le persuader d’utiliser leurs médicaments. Les détaillants des compagnies pharmaceutiques, en fait leurs représentants des ventes, nouent des relations amicales et rentables avec les médecins qu’ils rencontrent. Ils boivent et dînent avec eux, leur accordent des faveurs tout en leur offrant leurs échantillons de médicaments. Ce qui est déplorable dans cette affaire c’est que la plupart des informations parvenant aux médecins en ce qui concerne le dosage et l’usage abusif des médicaments proviennent des fabricants de médicaments, par l’intermédiaire du détaillant et à travers la publicité dans les magazines médicaux, alors que la plupart des informations cliniques provenant de ces sources est, elle aussi, très douteuse». Une commission d’éminents scientifiques, parmi lesquels quatre lauréats du prix Nobel, a trouvé que les tests cliniques sur les nouveaux médicaments étaient «désastreux». L’Office fédéral du contrôle pharmaceutique aux États-Unis a conclu, après une enquête, que le tiers des tests n’avait pas du tout été fait.(1) Plusieurs médicaments ont les mêmes effets secondaires que les troubles qu’ils sont censés soulager Le valium est supposé réduire l’anxiété, la fatigue et la dépression, mais en lisant la liste des effets secondaires, nous remarquons que le valium peut engendrer les mêmes effets. Eli Lilly, fondateur de la compagnie pharmaceutique du même nom, a dit une fois qu’un médicament sans effets toxiques n’en est pas un. Chaque médicament doit donc être utilisé avec prudence.

Mutilations rituelles Selon des estimations modestes, comme celles faites par un sous-comité du Congrès, environ 2,4 millions d’opérations inutiles sont faites chaque année, et qu’elles coûtent 4 milliards de dollars et 12 000 vies, soit 5% du quart de million de morts survenues après ou pendant l’opération chirurgicale chaque année aux États-Unis. Le Groupe indépendant de recherche sur la santé déclare que le nombre d’opérations inutiles dépasse les trois millions. Différentes études ont estimé le nombre d’opérations inutiles entre 11% et 13%. «Je pense, de ma part, que près de 90% des interventions chirurgicales sont une perte de temps, d’énergie, d’argent et de vies. Une étude examinant de très près des personnes que les médecins avaient décidé d’opérer a non seulement révélé que la plupart de ces personnes n’avaient pas besoin d’être opérées, mais que presque la moitié d’entre elles n’avaient même pas besoin de traitement médical.» Le docteur Mendelsohn affirme que les principales victimes des ces opérations inutiles sont les enfants et les femmes. Près de un million d’amygdalectomies sont effectuées chaque année aux États-Unis: «Mais ces opérations n’ont jamais prouvé qu’elles sont vraiment bénéfiques pour le patient» rajoute-t-il. Les hystérectomies semblent être une industrie florissante, et leur nombre total est de presque un million, mais seulement quelques-unes de ces opérations se sont avérées nécessaires. Dans six nouveaux hôpitaux de New York, 43% des hystérectomies réexaminées se sont révélées injustifiées. Les médecins ont effectué des hystérectomies sur des femmes souffrant de saignements anormaux dans l’utérus et de fortes menstruations, alors qu’elles auraient pu bénéficier d’un traitement bien meilleur pour la santé, ou ne pas en recevoir du tout.» Quant aux obstétriciens, ils sont en train de changer rapidement le processus naturel d’accouchement en une véritable procédure chirurgicale. «C’est avec une multidue de « traitements » consécutifs qu’ils dénaturent ce processus et l’ensevélissent sous la blouse de la maladie, car chaque traitement en requiert un autre pour compenser ses effets contraires. Et chose assez étrange, c’est que vous pouvez être sûr que les médecins vont s’approprier le mérite d’avoir remédier à ces effets, mais jamais ils n’admettront les désastres médicaux qui ont rendu la compensation necessaire en premier lieu». De plus en plus d’accouchements sont programmés en fonction des heures d’ouverture des hôpitaux. «Dans plusieurs hôpitaux, les accouchements « 9 à 5 » déclenchés artificiellement sont devenus la règle » Les césariennes prolifèrent comme des champignons, alors que dans le temps, lorsque le taux d’accouchements par césarienne dans un hôpital dépassait 4 ou 5%, une enquête d’envergure était immédiatement ordonnée. Le taux actuel est d’environ 25% et il n’y a pas du tout d’enquêtes. Dans certains hôpitaux, ce taux s’élève même à 50%. «C’est la recherche du profit et non le facteur humain qui expliquent la grande quantité d’opérations inutiles. Si vous éliminez toutes les opérations inutiles, la plupart des chirurgiens n’auront plus de raison d’exercer leur métier. Dans les cabinets collectifs, les chirurgiens, qui reçoivent un salaire régulier non relié au nombre d’opérations chirurgicales qu’ils font, effectuent seulement le tiers des hystérectomies et des amygdalectomies, par rapport à ceux qui sont payés pour chacune de ces opérations. «Les opérations sont souvent effectuées pour permettre aux médecins stagiaires de pratiquer Le docteur Mendelsohn a usé de son influence à trois différentes occasions pour réduire les opérations inutiles. Une fois, il a biffé une question inutile d’un questionnaire d’examen médical de routine, et le nombre d’amygdalectomies a diminué. «Comme vous pouvez vous y attendre, le président du service d’oto-rhino-laryngologie m’a appelé suite à cet incident pour me dire que je menaçais son programme d’enseignement.» 

«Temples du malheur» C’est ainsi que le docteur Mendelsohn décrit les hôpitaux après y avoir passé les dernières vingt-cinq années de sa vie: «Un hôpital, c’est comme la guerre; vous devriez rester en dehors d’elle. Et si vous y entrez, tâchez d’avoir le maximum d’alliés et d’en sortir le plus rapidement possible.» Pour la somme d’argent que coûte en moyenne un séjour à l’hôpital, vous pouvez passer la même période de temps dans n’importe quel lieu de séjour dans le monde, y compris les frais de transport. C’est parce que l’hôpital est le temple de l’Église de la médecine moderne qu’il est l’un des endroits les plus dangereux au monde Mendelsohn explique les dangers que les hôpitaux représentent pour la santé en disant: «En général, vos chances d’attraper une infection à l’hôpital sont d’environ une sur vingt, mais ce n’est qu’une estimation modeste. La moitié des infections dans les hôpitaux sont causées par des instruments médicaux contaminés, comme les cathéters et les équipements intraveineux, alors que les infections de ce genre étaient pratiquement inexistantes avant l’utilisation massive de tels instruments aux alentours de 1965. Environ 15 000 personnes meurent chaque année suite à des infections attrapées à l’hôpital. «D’après mon expérience, un risque sur vingt devrait être la ligne de base représentant le danger minimum d’attraper une infection. J’ai vu des épidémies se répandre si rapidement dans les hôpitaux qu’il a fallu renvoyer tout le monde à la maison. Les pavillons de pédiatrie et des nouveaux-nés sont les plus susceptibles de répandre les infections.» Il n’y a pas que les microbes qui contaminent les hôpitaux. Il y a aussi tous ces produits chimiques dangereux, fournis en grandes quantités et que les médecins aiment utiliser, car les hôpitaux, comme on le sait, sont les temples de la Médecine moderne. Les médecins, ayant tous ces produits pharmaceutiques à leur dispostion, sont tenus de les utiliser, et c’est ce qu’ils font. À l’hôpital, les malades reçoivent en moyenne douze médicaments différents, et même si vous n’êtes pas bourré de médicaments jusqu’à la mort ou l’infirmité, il y a d’autres produits chimiques qui y circulent et qui peuvent affecter votre séjour et votre santé. Votre médecin peut ne pas utiliser ce genre de produits, mais n’importe qui d’autre à l’hôpital peut le faire. Tous ces solvants toxiques utilisés dans les laboratoires, ces produits de nettoyage, ces substances chimiques inflammables et ces déchets radioactifs constituent une menace de contamination pour vous.» Le docteur Mendelsohn dénonce les autres dangers qui circulent dans ces institutions: «Les hôpitaux sont de véritables modèles d’inefficacité. Ils sont tellement bourrés de petites erreurs, parmi lesquelles vous avez deux ou trois options mais finissez par faire le mauvais choix , que vous devenez extrêmement inquiét lorsque vous ouvrez grands vos yeux pour voir toutes les opportunités qui existent pour les erreurs complexes! «Tout est déboussolé dans les hôpitaux, y compris les patients. Mon frère est allé à l’hôpital pour une opération d’hernie, il y a plusieurs années déjà. Il devait être opéré à 11 heures du matin, selon les médecins. À 9 h30, je montai dans sa chambre mais il n’y était pas. Je me précipitai vers la salle d’opération car j’étais presque sûr qu’ il y était, et il y était!. Ils l’avaient pris à la place d’un autre patient et la raison pour laquelle il a échappé à cette opération est que l’autre devait subir une hystérectomie. Le docteur Mendelsohn se réfère à des études indiquant que la malnutrition est presque omniprésente dans les hôpitaux. «Si les médicaments, les microbes, les interventions chirurgicales, les substances chimiques ou les accidents ne vous affectent pas, vous avez de fortes chances de mourir de faim.» Une étude effectuée sur des malades ayant été opérés par le docteur Georges Blackburn dans un grand hôpital de Boston a révélé que la moitié de ces patients souffraient d’une malnutrition grave. Ils étaient assez mal nourris pour pouvoir guérir et durent rester à l’hôpital plus longtemps. Le docteur Mendelsohn dit à propos de cette révélation si surprenante: «Les résultats de cette étude ne sont nullement peu communs, car plusieurs autres études ont révélé que la malnutrition touche de 25 à 50% des malades dans les hôpitaux américains et britanniques. Le docteur George Blackburn a fini par avouer que la malnutrition est l’une des causes de décès les plus communes parmi les personnes âgées dans les hôpitaux.» Haut de page

Prêtres du diable Mendelsohn, qui a passé la plus grande partie de sa vie parmi les médecins, les décrit comme suit: «Je suis arrivé à la conclusion que les médecins sont malhonnêtes, corrompus, immoraux, malades, peu éduqués et carrément plus stupides que le reste de la société. Lorsque je m’apprête à rencontrer un médecin, je me vois devant une personne bornée, pleine de préjugés et vraiment incapable de raisonner et de délibérer. Très peu de médecins que j’ai rencontrés ont réussi à me prouver que ma prédiction est fausse.» La corruption règne parmi les médecins, surtout ceux qui occupent les postes les plus élevés. Mendelsohn rapporte que les doyens des facultés de médecine de Yale et Harvard travaillaient comme consultants payés pour la Corporation Squibb et, en même temps, ils essayaient de convaincre l’Office du contrôle pharmaceutique et alimentaire de lever l’embargo sur Mysteclin, l’une des plus grandes affaires lucratives pour la Corporation Squibb. Plus tard, le docteur Robert Ebert, doyen de la faculté de Harvard, devint un des directeurs payés de Squibb. «Les essais expérimentaux sur les médicaments sont très souvent falsifiés. l’Office du contrôle pharmaceutique et alimentaire a découvert que les procédures de surdosage et de sous-dosage, l’émission de rapports de tests et l’écoulement des médicaments étaient falsifiées, lorsqu’il a ouvert une enquête sur les essais pharmaceutiques expérimentaux. C’est bien évident car les médecins travaillent pour les fabricants de médicaments, et ils veulent produire des résultats qui puissent convaincre l’OCPA d’approuver le médicament.» L’un des exemples de fraude les plus frappants dans le domaine de la recherche est celui de l’Institut Sloan-Kettering à New York (Sloan aussi bien que Kettering étaient directeurs chez General Motors et Alfred Sloan avait organisé la destruction du système de tramways dans 45 villes américaines durant sa longue carrière de président de cette compagnie d’automobiles). Le docteur William Summerlin, qui travaillait dans cet institut de recherche sur le cancer, a admis avoir peint des souris pour leur donner l’apparence d’un exemple réussi de greffes de la peau. Les médecins semblent être plus malades que le reste de la société. Des estimations modestes portent le nombre des médecins souffrant de troubles mentaux aux États-Unis à 17 000 ou un sur vingt, le nombre des alcooliques à plus de 30 000 et celui des médecins toxicomanes à 3500, soit 1%. Une étude étalée sur une période de trente ans et comparant des médecins à des professionnels ayant un profil socio-économique et un niveau intellectuel similaires, a conclu que presque la moitié des médecins étaient divorcés ou malheureux dans leur vie conjugale, plus que le tiers prenait des drogues comme l’amphétamine, des barbituriques et d’autres narcotiques, et un autre tiers souffrait de troubles émotifs assez sérieux pour nécessiter au moins dix séances de thérapie chez un psychiatre. Cette comparaison a révélé que ces professionnels, qui n’étaient pas des médecins, n’étaient pas dans une si mauvaise situation. Mendelsohn affirme que c’est dans les classes sociales les plus favorisées, dont ils font partie, que les médecins tissent leurs liens de solidarité. «Ils se prennent vraiment pour l’élite de la société. Leur train de vie et leur attitude professionnelle favorisent la pensée autocratique, d’où leurs positions politiques et économiques conservatrices. La plupart des médecins sont des hommes blancs et riches, et ils sont rarement prêts à se mettre du côté des pauvres, des personnes de couleur et des femmes.» 

La formation des médecins «Les tests d’admission et les politiques des facultés de médecine guarantissent que les étudiants qui s’y inscrivent seront pratiquement tous des médecins médiocres. Les tests quantitatifs, le test d’admission ainsi que les notes, généralement moyennes, passent par une personne qui ne peut pas ou qui refuse carrément de communiquer avec les gens.» «Les facultés de médecine font tout pour rendre les étudiants intelligents stupides, corrompre ceux qui sont honnêtes et rendre malades ceux qui sont sains. Ce n’est pas très difficile de rendre un étudiant intelligent stupide. Premièrement, le bureau des inscriptions fait tout pour que les professeurs aient à leur disposition des étudiants velléitaires et soumis. Après, ils leur donnent un programme d’études qui n’a pratiquement rien à voir avec la guérison ou la santé.» Les médecins cachent souvent les erreurs, mêmes les plus graves, de leurs collègues. Au Nouveau-Mexique, un chirurgien a fermé le mauvais conduit lors d’une opération de la vésicule biliaire et le patient mourut. Malgré que cette erreur fût découverte lors de l’autopsie, le chirurgien n’a pas été discipliné. On ne lui a même pas inculqué la bonne façon de faire cette opération, car il l’a refaite quelques mois plus tard en commettant la même erreur et un autre patient décéda. Encore une fois, aucune leçon. Ce n’est qu’après avoir effectué l’opération une troisième fois et tué une autre personne qu’on décida de mener une enquête suite à laquelle on lui retira sa license.» D’aucuns pourraient penser que le docteur Mendelsohn est un homme bizarre et désappointé qui a laissé libre cours à son imagination après avoir échoué dans le milieu médical. Mais ce n’est pas du tout le cas. Il est président du comité qui délivre les licenses médicales dans l’État d’Illinois, maître de conférences pour la médecine préventive et la santé communautaire à la faculté de médecine de l’université d’Illinois et détenteur de plusieurs prix d’excellence en médecine et en enseignement médical. Qu’un médecin avec son expérience et de telles références puisse écrire «Confessions d’un médecin hérétique» indique bien qu’une grande partie de la médecine moderne est une menace pour notre santé. Le docteur Serge Mongeau est un médecin hérétique d’origine québécoise et un écrivain dont les opinions ressemblent beaucoup à celles du docteur Mendelsohn. Il a écrit plusieurs livres sur la santé et la médecine, entre autres «Survivre aux soins médicaux» et «Adieu médecine, bonjour Santé». Selon lui: «C’est tout le système médical qui fait fausse route et qui est devenu contre-productif.» Les maladies créées par les médecins sont devenues épidémiques. L’obstination du corps médical à nier l’évidence et à refuser de prendre des mesures pour remédier à la situation perpétue le danger. Les horreurs perpétuées par la médecine moderne sont aggravées par le fait que celle-ci exerce un véritable monopole. Nous devons payer des thérapeutes alternatifs «illégaux » comme les sage-femmes, les homéopathes, ceux qui pratiquent la méthode du rebirth (renaissance) et d’innombrables autres guérisseurs, alors que la médecine officielle est contre-productive et massivement subventionnée. L’arrêt immédiat du monopole exercé par l’Ordre des médecins du Québec et la reconnaissance des médecins alternatifs donneront aux gens la liberté de choisir quel type de soins médicaux ils veulent. 

La médecine moderne: c’est seulement une autre grande affaire Le complexe médico-industriel devient de plus en plus puissant, alors que des milliers de personnes tombent malades ou meurent suite à des maladies inventées par les médecins. L’ex-président américain, Jimmy Carter, l’a considéré comme le deuxième plus puissant cartel aux États-Unis. Les dépenses médicales concurrencent maintenant les dépenses militaires et celles consacrées à la construction de routes dans le partage du budget national. L’édition de juillet du Monde diplomatique mentionne que le capitalisme médical est une industrie florissante aux États-Unis et passe en revue des chaînes d’hôpitaux et des compagnies pharmaceutiques qui viennent d’augmenter considérablement leurs valeurs à la Bourse. C’est là la contradiction. Votre santé versus leurs profits. Respirez donc profondément et dites «Bye-bye docteur, pour votre propre santé.»

Références Confessions of a Medical Heretic, par Robert S. Mendelsohn, M.D. Warner Books, New-York. Survivre aux soins Médicaux, par le docteur Serge Mongeau, Québec/Amérique, Montréal; Médical Nemesis, Ivan Illich, Pantheon Press. (1) Confessions d’un médecin hérétique, p. 74. Haut de page   Publié dans le journal Le Monde à Bicyclette, automne 1987. Par Robert Silverman. Traduction: Saloua Laridhi.

Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, La médecine qui tuent, Médecine | 4 commentaires

« On n’a pas le droit de laisser à l’industrie un pouvoir de vie ou de mort sur les patients ».

Chronique de Sylvie Simon

Notre médecine est-elle vraiment la meilleure du monde ?

« On n’a pas le droit de laisser à l’industrie un pouvoir de vie ou de mort sur les patients ».

Dr Kessler – Le Quotidien du médecin -26 février 1996

Chaque année, l’Inserm nous répète que, grâce à notre médecine — la meilleure et la plus enviée du monde — l’espérance de vie progresse, la France se situant en la matière au deuxième rang mondial pour les femmes et au quatrième pour les hommes, derrière le Japon, les Pays-Bas et la Suède. Ce résultat rassurant est le fruit de manipulations statistiques servant de justification à un accroissement régulier des prélèvements sociaux, ce qui vaudrait à tout industriel un redressement fiscal, une garde-à-vue et des poursuites judiciaires.

Mais, en réalité, une autre étude de l’Inserm, réalisée en 1992 en collaboration avec le Haut Comité de Santé publique et publiée en 1996, démontre magistralement — par les chiffres — que les taux de décès des Françaises et des Français nés après 1938 sont très sensiblement supérieurs à ceux des pays voisins comme la Suède, mais aussi le Royaume-Uni et même l’Italie ! La mortalité est supérieure de 18,3  % pour les femmes et 35,5 % pour les hommes par rapport à la Suède, 6,5 % pour les femmes et 24 % pour les hommes par rapport à la Grande-Bretagne, et 6 % pour les femmes et 16,3 % pour les hommes par rapport à l’Italie.

Ces chiffres peuvent surprendre étant donné que pour les personnes nées avant 1938, ils étaient inversés, la mortalité étant largement inférieure en France que dans ces pays.

Paradoxalement, cette étude, publiée très confidentiellement aux Editions Le Monde, n’a pas fait l’objet de commentaires par les médias, ni par les pouvoirs publics. Comment ces derniers pourraient-ils, en effet, expliquer cette inversion ? Certains médecins et surtout les immunologistes pensent que ce n’est pas sans rapport avec l’apparition des vaccins obligatoires en France à partir de cette époque.

La mortalité prématurée, c’est-à-dire celle intervenant avant l’âge de soixante-cinq ans, est à l’origine de 25 % des décès annuels dans l’hexagone. Ce pourcentage est très supérieur à celui des autres pays de la Communauté européenne, excepté le Portugal. D’après l’Inserm, la mortalité pour le Français de 25 ans est le double de celle des Suédois ou des habitants du Royaume-Uni.

De même, les Grecs de 25 à 65 ans sont en meilleure santé que nous, avec des dépenses de santé très loin d’égaler les nôtres.

On peut se demander si ce triste constat est subordonné au fait que le médecin français est le champion d’Europe de la prescription de médicaments, psychotropes, anti-migraineux, hypertenseurs et antibiotiques, avec des ordonnances quatre fois plus importantes que celles de la Grande-Bretagne et six fois plus que celles de l’Allemagne et que 70 à 80 % des médicaments provoquent plus de dégâts qu’ils n’en soignent.

Quant aux antibiotiques, 80 % des souches de staphylocoques présents dans la population générale et 95 % dans les hôpitaux résistent à la pénicilline. Bien que cette résistance des microbes soit continuellement dénoncée, certains médecins continuent de prescrire des antibiotiques pour le moindre rhume et même pour la grippe alors que l’on sait qu’ils n’ont aucun effet sur les virus, souvent il est vrai à la demande pressante des patients mal informés.

Ils représentent 35 % des prescriptions pédiatriques. On considère que les nourrissons en absorbent en moyenne trois fois par an, ce qui explique pourquoi les pneumonies, les méningites et les otites sont de plus en plus nombreuses et de plus en plus graves et 65 % des enfants qui souffrent d’affections O.R.L. sont traités par des antibiotiques. Si l’on compare en pourcentage la résistance des staphylocoques en Europe, on constate qu’elle est de 0,01 % au Danemark, 0,03 % en Suède, 1,5 % en Hollande, 1,8 % en Suisse. Ce chiffre grimpe à 5,5 % en Allemagne, pour arriver à 30,3 % en Espagne et enfin 33,6 % en France (chiffres publiés par La Recherche de novembre 1998). A-t-on jamais entendu parler de médecins blâmés pour avoir abusé de ces prescriptions ? Pourtant, à long terme, elles peuvent tuer puisqu’elles induisent une antibio-résistance.

Il est évident que nous ne pouvons nier les progrès de la technologie, particulièrement en chirurgie, discipline qui a spectaculairement évolué depuis les dernières décennies. Il est aussi incontestable qu’elle sauve de nombreuses vies humaines avec des moyens bien moins traumatisants qu’autrefois. Mais les progrès de santé de ces dernières décennies doivent être davantage attribués à l’hygiène, à de meilleures conditions de vie et au recul de la pauvreté, plutôt qu’aux avancés de la médecine qui s’attribue pourtant l’exclusivité de cette amélioration. C’est ainsi qu’il est plus facile de trouver des fonds pour financer la recherche médicale ou la construction d’hôpitaux que pour commanditer l’adduction d’eau potable.

Dans une interview accordée au Généraliste le 26 octobre 1999, le Pr Norbert Gualde, chef du service d’immunologie à l’université de Bordeaux, a déclaré : « Nous n’avons pas fini avec les épidémies ». Pour lui aussi, un monde utopique, dépourvu de microbes, est difficile à imaginer. Il constate que « de façon significative, le progrès socio-économique, diminuant l’immunité acquise des populations, peut favoriser certaines infections : au Maroc, avant la vaccination contre la poliomyélite, les Français étaient vingt fois plus atteints que les Marocains ».

En 1975, le philosophe Ivan Illich avait publié aux Éditions du Seuil un ouvrage qui fit grand bruit à cette époque et qui reste plus que jamais d’actualité, La Némésis médicale. Ivan Illich constate, lui aussi, que les sociétés nanties d’un système médical très coûteux sont impuissantes à augmenter l’espérance de vie, sauf dans la période périnatale, que la multiplicité des actes médicaux est impuissante à réduire la morbidité globale et que ces actes médicaux ainsi que les programmes d’action sanitaire sont devenus les sources d’une nouvelle maladie : la maladie « iatrogène », c’est-à-dire engendrée par la médecine.

« L’infirmité, l’impuissance, l’angoisse et la maladie occasionnées par les soins professionnels dans leur ensemble constituent l’épidémie la plus importante qui soit et cependant la moins reconnue. Les mesures prises pour neutraliser la iatrogénèse continueront à avoir un effet paradoxal, elles rendront cette maladie médicalement incurable encore plus insidieuse, tant que le public tolèrera que la profession qui engendre cette maladie la cache comme une infection honteuse et se charge de son contrôle exclusif. »

Pour Illich, la somme des actes préventifs diagnostiques et thérapeutiques abaisse globalement le niveau de santé de toute la société, en réduisant ce qui précisément constitue la santé de chaque individu : son autonomie personnelle. Il prêche l’abolition d’une « prêtrise sanitaire qui impose une médecine morbide »  et d’un fléau contagieux : « l’invasion médicale ».

De même, la médecine préconisée par le ministère de la Santé (ou de la maladie ?) semble impuissante à guérir, tant les maladies chroniques dont souffre un tiers des Français, que la plupart des 240 000 nouveaux cas annuels de cancer, maladie qui représente la première cause de décès, dont 35 % chez les personnes âgées de 35 à 45 ans, ce qui dément formellement les déclarations qui prétendent que si le cancer est en progression, c’est à cause de l’allongement de la durée de vie.

Entre 1970 et 1990, les cancers des poumons ont augmenté de 110 %, ceux des bronches de 75 %, des ovaires de 94 %, et du sein de 60  %. Et d’après André Aschieri, en France, les lymphomes ont grimpé de 67 % et les tumeurs du cerveau de 46 % en dix ans. (cf. La France toxique, santé-environnement : les risques cachés, Ed. La Découverte).

Si le cancer du sein a tellement augmenté, il est évident que les traitements hormonaux, contraceptifs ou de substitution, portent une immense responsabilité dans cette expansion. Une étude portant sur plus de 46 355 femmes ménopausées aux Etats-Unis au cours des années 1980-1995 et publiée par C. Schairer et coll, du National Cancer Institute dans la revue Jama (2000, vol 283, n°4, 26 janvier 2000), montre une augmentation du risque d’apparition du cancer du sein de l’ordre de 8 % chaque année lors de l’utilisation d’un œstro-progestatif (EP), soit 80 % après dix ans de traitement. De leur côté, R.K. Ross et coll signalent ces mêmes risques dans le Journal of the National Cancer Institute du 16 février 2000 (92 n°4, 328-32).

On a également constaté une inquiétante augmentation des cancers du cerveau chez les moins de 15 ans. Il serait important de considérer cette donnée comme primordiale : pourquoi, soudain, cette flambée des cancers du cerveau chez des jeunes ? La pollution de l’environnement, toujours donnée comme prétexte, contribue sans doute à cette détérioration de la santé, mais elle n’est pas suffisante pour l’expliquer, particulièrement chez les moins de 15 ans.

Aussi est-il tellement raisonnable d’écouter le credo récité par les médias qui nous invitent à toujours donner plus pour la recherche contre le cancer et qui nous cachent soigneusement que la situation n’est pas en voie d’amélioration ? Car c’est là un secret d’Etat dans tout pays dit développé. Et pour cause, si ce secret venait à être divulgué, qui donnerait encore généreusement à cette recherche officielle qui ne trouve pour ainsi dire jamais ?

De toute manière, plutôt que de guérir le cancer, n’est-il pas préférable de chercher à le prévenir grâce à des changements d’hygiène de vie ? Mais cette politique de santé, ne rapportant pas aux laboratoires, n’intéresse personne et ainsi le cancer fait toujours vivre plus de gens qu’il n’en tue.

Aussi est-il tellement raisonnable d’écouter le credo récité par les médias qui nous invitent à toujours donner plus pour la recherche contre le cancer et qui nous cachent soigneusement que la situation n’est pas en voie d’amélioration ? Car c’est là un secret d’Etat dans tout pays dit développé. Et pour cause, si ce secret venait à être divulgué, qui donnerait encore généreusement à cette recherche officielle qui ne trouve pour ainsi dire jamais ?

Notre médecine est également responsable chaque année, en France, de 15 000 morts par maladies nosocomiales — chaque année, près de 800 000 personnes sont victimes d’infections dans les hôpitaux — et de près de 20 000 décès par maladies iatrogènes. Sans compter ces « erreurs médicales », les Français sont de plus en plus malades, avec une spectaculaire et effarante augmentation de 210 % des maladies mentales et de 960 % des maladies endocriniennes (cf. enquêtes annuelles Credes/Cnam).

Pour la mortalité maternelle, nous nous situons au quinzième rang européen et au dix-huitième rang des pays industrialisés. Quant aux deux millions de handicapés physiques et mentaux, ils sont parqués dans des hôpitaux qui ne leur dispensent à haute dose que des calmants, des anesthésiants, mais pas des thérapeutiques efficaces.

Incontestablement, les dépenses de santé, qui représentent 6 % de la richesse nationale, sont l’un des secteurs productifs majeurs de l’économie française. Selon une étude du Centre de recherche, d’étude et de documentation en économie de santé, les activités de santé seraient une branche économique « comme les autres », ce qui n’est pas normal étant donné son mode de financement auquel nous participons tous, de gré ou de force. Il faut s’empresser d’ajouter que dans ce contexte, ce qu’on appelle la « santé » est essentiellement la « maladie ». La santé ne fait pas vivre les laboratoires, seule la maladie intéresse ces producteurs de consommation. Comme le signale la revue L’Ecologiste (n°1 automne 2000) : « La bonne santé porte préjudice à la rentabilité du capital. Tout sera donc fait pour s’en débarrasser ».

Sylvie Simon – Auteur, journaliste.

Etude de l’Inserm, réalisée en 1992 en collaboration avec le Haut Comité de Santé publique -Editions Le Monde

La Recherche de novembre 1998

Généraliste le 26 octobre 1999, le Pr Norbert Gualde,

La Némésis médicale – Ivan Illich – Le Seuil

La France toxique, santé-environnement : les risques cachés – La Découverte

Jama – vol 283, n°4, 26 janvier 2000

Journal of the National Cancer Institute – 16 février 2000 (92 n°4, 328-32)

L’Ecologiste (n°1 automne 2000)

Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, La médecine qui tuent, Médecine, Médicaments | Laisser un commentaire

Statine débilitante, témoignage

« Mon médecin m’a prescrit Lipitor, et après plusieurs mois, j’ai trouvé que j’avais de la difficulté à me rappeler des noms et à venir avec le mot juste. Au dîner une fois, j’ai dit: « S’il vous plaît laissez-passer l’éléphant, » alors que je ne voulais que le pain. J’ai dit à mon mari que je pensais avoir eu un accident vasculaire cérébral. En Janvier, un ami est venu nous voir. Elle était inquiète au sujet de sa mémoire et ne pouvait pas penser à sa fille le nom sur le téléphone. Elle a aussi été le Lipitor. J’ai demandé à mon médecin de prescrire un taux de cholestérol médecine . Dans quelques semaines, j’ai été plus alerte mentalement. Mais mon ami (toujours sur Lipitor), a été dans une situation pire et la peur, elle perdrait son emploi. Son médecin lui a dit que les toubles de mémoire ne peuvent pas être due à la drogue. Elle a finalement cessé de prendre Lipitor et est maintenant beaucoup mieux « .

Cohen écrit qu’il n’a jamais entendu plus de plaintes sur les effets secondaires de Lipitor que tous les autres médicaments de sa catégorie, combiné.

http://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=http://www.naturalnews.com/021397.html&sa=X&oi=translate&resnum=3&ct=result&prev=/search%3Fq%3Ddebilitating%2Bdrug%26hl%3Dfr%26client%3Dfirefox-a%26rls%3Dcom.ubuntu:fr:unofficial%26hs%3D9ga

Lipitor recours collectifs

Les patients prenant Lipitor – le best-seller de la médecine du cholestérol dans le monde avec 22 millions d’utilisateurs – ont commencé à poursuivre Pfizer en Juin, alléguant que la physique des effets secondaires négatifs tels que des douleurs musculaires, lésions nerveuses, des cauchemars, perte de mémoire et d’autres problèmes du système nerveux central n’ont pas été bien expliqué quand on leur a prescrit le médicament.

http://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=http://www.naturalnews.com/020269.html&sa=X&oi=translate&resnum=1&ct=result&prev=/search%3Fq%3Dliptor%2Bclass%2Baction%26hl%3Dfr%26client%3Dfirefox-a%26rls%3Dcom.ubuntu:fr:unofficial%26hs%3DrCb

Publié dans La médecine qui tuent, Médicaments | Laisser un commentaire

Les dérives de l’industrie de la santé. J.-Claude St-Onge

Les dérives de l’industrie de la santé

 Des éditions écosociété
https://ecosociete.org/uploads/book/cover/89/t106.jpg
 En écrivant L’envers de la pilule,
J.-Claude St-Onge a ouvert une véritable boîte de Pandore. Tant de
choses ne tournent pas rond dans notre système de santé, l’industrie
pharmaceutique et nos rapports à la médecine! L’auteur dévoile dans ce
nouvel ouvrage le fruit de ses recherches, une mine d’informations
fouillées, claires et souvent choquantes. Par exemple :
* les raisons pour lesquelles tant d’essais cliniques ne sont pas fiables;* la démonstration que le fabricant du Vioxx devait savoir que son médicament était dangereux pour le cœur;* la portion exagérée du coût des médicaments qui est due au marketing;

*de nouvelles preuves que les antidépresseurs poussent certains
utilisateurs au suicide et qu’ils n’ont pas l’efficacité qu’on leur
prête;

* la démonstration qu’une autre politique du médicament est possible et peut sauver des vies et des milliards de dollars;

* la façon dont on invente de nouvelles maladies pour nous abonner aux pilules;

* comment les agences de contrôle jouent à la roulette russe avec nos vies;

*
la constatation que le virus de la grippe aviaire est connu depuis au
moins un demi-siècle et qu’il n’a pourtant jamais provoqué la pandémie
si redoutée;

* et une foule d’autres renseignements qui pourraient vous protéger contre les dérives de l’industrie de la santé.

J.-Claude
St-Onge enseigne la philosophie au Collège Lionel-Groulx. Il détient
une maîtrise en philosophie et un doctorat en socio-économie. Il est
l’auteur de nombreux essais et membre du comité scientifique de
l’initiative luso-francophone pour l’accès au médicament et la
protection du citoyen.
TABLE DES MATIÈRES

GLOSSAIRE DES SIGLES

INTRODUCTION

Antidépresseurs
Dissimulation des effets indésirables
Risque de tentatives de suicide et efficacité modeste
Un antidépresseur en cinq minutes : la dépression au Canada
De nouvelles preuves que les antidépresseurs accroissent
le risque de suicide
Un rush de sérotonine semblable à l’effet de la cocaïne
Découverte de nouveaux effets indésirables
des antidépresseurs
La pilule du bonheur ?
Un déséquilibre chimique ?
Profil de consommation et facteurs de risques
Pourquoi l’augmentation fulgurante du nombre de déprimés ?
Une épidémie ?
Des alternatives ?
Brésil
Une politique du médicament au service des patients
Une loi sur les brevets pour l’accès aux médicaments
Pour soigner les maladies délaissées des pays pauvres
Complicité, collaboration, connivence et corruption
Des accusations au pénal
Les cadeaux de l’industrie influencent les prescripteurs

Créativité
Une façon particulière d’innover : comment multiplier les profits sans se fatiguer
Des trucs pour prolonger la durée de vie des brevets
Déterminants sociaux de la santé
Pauvre et malade, riche et en santé
Le taux de cholestérol moins important que le contrôle de sa vie

Erreurs médicales
Responsables de 9250 à 23750 décès évitables au Québec: 670 décès évitables attribuables aux soins reçus dans les hôpitaux
Des effets indésirables après avoir reçu son congé de l’hôpital

Essais cliniques
La jungle
Des résultats impossibles
Un territoire miné par les conflits d’intérêts
Le jargon des essais cliniques
Les variables cachées : des limites inhérentes aux essais cliniques
La confiance aveugle en la statistique
«Frais aux usagers » et conflits d’intérêts
Santé Canada en otage : un danger pour la santé
L’industrie fournit jusqu’à 70 % des fonds pour approuver les médicaments
Une mesure qui mine la confiance des scientifiques des agences de contrôle
La moitié des membres des comités d’évaluation
des agences sont en situation de conflit d’intérêts
Les préjudices causés par la déréglementation

Grippe aviaire
Le A (H5N1), menace imminente ou prétexte ?
Le Tamiflu: une véritable poule aux oeufs d’or
Gilead : une société bien branchée sur le pouvoir
Le Relenza approuvé par la FDA en dépit de l’avis
de son comité d’experts
Une menace imminente?
Le Tamiflu testé sur des patients vietnamiens
Des effets indésirables du Tamiflu
Un vaccin contre la grippe aviaire
Un projet de loi pour déresponsabiliser les sociétés
pharmaceutiques
La pandémie serait-elle en perte de vitesse ?

Homéopathie
Le triomphe du granule
Les semblables guérissent les semblables
Un produit hyper-dilué
Un mode d’action aussi mystérieux que les voies de Dieu
Les preuves cliniques
Des résultats souvent dus au hasard
Pourquoi l’homéopathie semble-t-elle marcher ?
L’effet placebo
La perte de confiance en la médecine classique

Hypertension
Une controverse traversée par des conflits d’intérêts
Un nouveau bassin de patients
Ouverture d’un marché fabuleux
Les seuils étaient déjà abaissés en 1999

Infections nosocomiales
Jusqu’à 90 000 personnes infectées dans les hôpitaux québécois

Journaux médicaux
Congédié pour avoir voulu maintenir l’indépendance du JAMC
Un nouveau journal médical indépendant

Knock
Le précurseur des inventeurs de maladies
Le marché mondial
Une industrie profitable qui traverse une mauvaise passe
Un revers de fortune ? Une conjoncture difficile
Le facteur fondamental : le ralentissement des découvertes

Marketing
Ajout de 30 % aux prix
La version officielle
Une comptabilité plus transparente
L’éducation médicale continue : une forme
de promotion déguisée
Des meneuses de claques pour mousser les ventes

Nouvelle-Zélande
Comment couper la facture des médicaments en deux et plus…
Des économies énormes
Le fonctionnement du système

Obsédés par la santé
Échapper à la condition humaine

Prix
Saut abrupt de 1000 % pour le prix d’un anticancéreux
Une nouvelle offensive de l’industrie ?
Otages des prix
L’Avastin : doublement du prix et effets
indésirables potentiellement mortels
Des médicaments miracle ?
Quelle logique derrière les prix ?

Québec dore la pilule aux fabricants de produits brevetés
Pour une politique du médicament au service du public
Une politique généreuse envers les fabricants de produits brevetés
Une autre politique du médicament est possible

Ritalin & Cie
Les psychostimulants : crises cardiaques et hallucinations
La consommation double en cinq ans
Risques cardiovasculaires et hallucinations
Des alternatives

Surconsommation
On vend des maladies
Vendre aux malades comme aux bien-portants
Les chasseurs de maladies
Les différentes figures de la surconsommation
Vieillissement, responsabilités et surconsommation

Trouble dysphorique prémenstruel
Une nouvelle maladie ou un moyen de vendre des pilules
Une longue controverse
La publicité pour le TDPM interdite en Europe
Un métier dangereux : cobaye
20 personnes contaminées par la tuberculose à Montréal
Le profit avant la vie et la sécurité.
Qui Santé Canada protège-t-il ?
Dans les laboratoires d’Anapharm
Qui est SFBC international ?
Conflits d’intérêts et personnel non qualifié
Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes

Vioxx
Des victimes plus nombreuses que celles du 11 septembre 2001
Merck ne pouvait ignorer les dangers du Vioxx
Une promotion mensongère?
Des risques d’infarctus dès les premières semaines ?
Un cours dans l’art de dissimuler
Combien de victimes ?
L’intimidation des chercheurs
La responsabilité de la FDA
Le retour du Vioxx ?
Des alternatives
Chronologie des événements

Worst Pills Best Pills
Un guide qui pourrait vous sauver la vie
Dix règles pour l’utilisation sécuritaire des médicaments
Des conseils de Consumer Reports
Liste de médicaments de Consumer Reports comportant des risques élevés

Xenical : pour maigrir
Efficacité très modeste et potentiel de toxicité inquiétant
Cher la livre
Des effets indésirables soupçonnés et inquiétants
Des effets indésirables moins graves mais gênants
Bientôt en vente libre ?
Une feuille de route désastreuse pour les anorexigènes
Moins mais mieux

Y a-t-il un pilote dans la barque de la FDA ?
Des normes insuffisantes pour la sécurité des médicaments
La roulette russe
Le Congrès blâme la FDA
L’ancien DG de Santé Canada joint sa voix au concert
Une réforme en profondeur

Zyprexa
Payé 200 fois trop cher par la RAMQ et diabète à la clé
Des médicaments reliés à des centaines de morts
La psychiatrie dans tous ses états
Influence indue du lobby pharmaceutique auprès de G.W. Bush ?
Des alternatives : former du personnel qualifié
BIBLIOGRAPHIE

NOTES

INDEX

Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, La médecine qui tuent, Médicaments | Laisser un commentaire

Le désastre des statines

http://www.proteinpower.com/drmike/statins/statin-disaster/

http://capitalreward.blogspot.com/2008/01/tmoignage-sur-les-effets-secondaires.html

Si vous parlez anglais svp lisez le texte original qui est beaucoup plus authentique, émotif, touchant qu’une traduction peut jamais l’être.

Voici donc le texte.

Je voudrais partager avec vous mon expérience avec les statines [une catégorie de médicaments prescrits pour réduire le taux de cholestérol]. Je m’excuse à l’avance de la longueur de mon témoignage, mais le portrait complet des conséquences de la simple prescription de cette pilule miracle nécessite une attention aux détails dans ce cas.

Ma vie fut chamboulée lors d’un examen de routine chez le médecin.

Mon résumé médical : Je suis à l’époque un homme de 56 ans, sédentaire (travail en informatique), libido normale, provenant du sud des Etats-Unis, plutôt relax comme personne. Je mesure 6 pieds, pesais 212 lbs à ce moment. Fumeur depuis des années, mais ayant un bagage génétique favorable à une longue vie. Capacité pulmonaire normale, pression sanguine de 118/65 au repos (debout et assis), tension à 64. Je ne suivais aucun régime particulier – j’avais une alimentation typique du sud. Je ne prenais aucuns suppléments non plus. J’étais généralement en bonne santé : à part quelques spasmes musculaires dans le dos, rien à signaler. Aucunes allergies, résultats d’électrocardiogramme et électroencéphalogramme normaux, composition sanguine, thyroïde et foie fonctionnant également correctement.

Mais, UN test révèle que mon niveau de triglycérides est élevé, à 287 [mg/dl]. Mon cholestérol total est 149, HDL 37, LDL 55, glucose 89.

Mon médecin me prescrit du Vytorin 20 mg . Résultat : Triglycérides 175, cholestérol total monte à 214, HDL 40, LDL descend à 139.

Ensuite, Vytorin 40mg. Résultat : Triglycérides 199, total 144, HDL 40, LDL 64.

Puis Crestor (une statine différente) 10mg. Résultat : Triglycérides 98, total 141, HDL 45, LDL 76, glucose 103.

Je mentionne à mon médecin que ma libido et mon niveau d’énergie ont baissé. Celui-ci me suggère de faire de l’exercice. Je commence donc à prendre des marches rapides de 2 1/2 miles tous les matins, activité que je maintiens toujours aujourd’hui depuis neuf mois. .

Les pertes d’énergie et de libido s’accentuent. Mon médecin me prescrit du Effexor XR 75mg (je prends toujours Crestor 10 mg).

Je me plains de nervosité anormale et de fatigue continue. Ma dose d’Effexor est augmentée à 150 mg et mon médecin me prescrit du Benztropine 1mg, Lorazepam 2mg (je prends toujours Crestor 10 mg).

Je ne perçois aucun changement. Dose d’Effexor augmentée à 225mg, Benztropine 2mg, Lorazepam 4mg (je prends toujours Crestor 10 mg).

Je commence à avoir de la douleur aux muscles et articulations. On rajoute Darvocet au cocktail pharmaceutique, ce qui aide à diminuer la douleur, mais je souffre de plus en plus de la baisse d’énergie et de libido (je prends toujours Crestor 10 mg).

Mon médecin me fait passer à Cymbalta 60 mg, Lorazepam 4mg et Darvocet (je prends toujours Crestor 10 mg).

Je commence à subir des crises d’anxiété et de panique (ce que je n’avais jamais subi en 56 ans). J’ai du annuler un voyage d’affaire parce que j’étais paniqué à l’idée de devoir prendre l’avion. J’ai pourtant pris l’avion durant toute ma vie adulte. Mon médecin ajoute Seroquill 100mg à mon mélange quotidien, augmente Cymbalta à 90mg, Lorazepam à 4mg et Darvocet (je prends toujours Crestor 10 mg).

Je ne perçois aucun changement, alors on me change encore de combinaison. Je prends maintenant Wellbutrin XL 150mg, Lorazepam 4mg et Darvocet (je prends toujours Crestor 10 mg).

Mon anxiété devient constante. Les crises de panique s’estompent, mais j’ai des sueurs, je suis faible, n’ai plus de libido, et je fais maintenant de l’insomnie. J’ai commencé à perdre l’appétit et perd rapidement du poids. Les douleurs musculaires et articulaires reviennent si j’oublie de prendre mon Darvocet. On augmente ma dose de Wellbutrin à 300mg, rajoute Aderall 30mg et commence à prendre du Ibuprofen 600mg (je prends toujours Crestor 10 mg).

Les symptômes empirent, alors je décide de changer de médecin. Le nouveau docteur arrête le traitement d’Adderall et de Wellbutrin et me prescript du Prozac 20mg et du Xanex 25mg comme remplacement. L’anxiété est maintenant intermittente, mais je continue à m’affaiblir, à maigrir, à n’avoir aucune énergie et à avoir des douleurs musculaires et articulaires. On augmente la dose du Prozac à 40 mg. Aucune amélioration.

Le nouveau médecin me donne du Paxil 20 mg. L’anxiété me prend moins souvent, mais tous les autres symptômes empirent. La dose de Paxil est augmentée à 40 mg. Mes crises d’anxiété s’évaporent presque complètement; je prends du Xanex à l’occasion pour m’aider à dormir. Par contre je me réveille toujours en sueurs et épuisé le matin venu. Ma faiblesse devient chronique et m’empêche de fonctionner normalement. En combinant ces problèmes avec une vue nouvellement embrouillée et la détérioration de ma capacité de compréhension, il est devenu impossible pour moi d’accomplir mes tâches au travail (je prends toujours Crestor 10 mg).

On m’envoie chez un psychiatre car j’ai tous les signes d’être en dépression. Le psy juge que je n’ai pas besoin de thérapie, que mes symptômes sont dus à un débalancement chimique, et me remet sur le Prozac 20 mg, remplace Xanex par Lunesta et me prescrit du Provigil 200mg. Mon anxiété revient à l’occasion; on me dit de prendre du Xanex si ça arrive. Ma capacité de compréhension semble revenir à la normale, mais je me sens de plus en plus faible et je maigris à vue d’œil. De plus mon mollet et mon pied droits deviennent régulièrement engourdis (je prends toujours Crestor 10 mg).

Ma partenaire de marche, une vendeuse de produits pharmaceutiques à la retraite, remarque que je bouette légèrement lors de nos marches. On discute de ma santé chancellante. Elle me demande si je prends des statines. Je lui réponds que je prends Crestor 10 mg. Elle veut ensuite savoir si on m’avait conseillé de prendre des suppléments de Co-Q10, vitamines B et vitamine C ; je lui réponds que non. Elle suggère que je commence à en prendre immédiatement et d’examiner la situation avec mon médecin au plus vite. Comme j’ai un rendez-vous chez le psy qui s’en vient, je décide de lui poser la question. Le psy semble d’accord avec mon amie et trouve étrange que personne ne m’ait conseillé de prendre ces suppléments. Il s’empresse toutefois de vanter les mérites de Crestor, en particulier pour la prévention de la maladie d’Alzheimer. Le psy augmente ma dose de Provigil à 300mg (je prends toujours Crestor 10 mg).

Deux jours plus tard, je m’effondre lors de notre marche matinale ; mes jambes et genoux étaient trop faibles pour me soutenir et mon pied droit est devenu paralysé. Après m’avoir reconduit chez moi de peine et de misère, mon amie me suggère de cesser de prendre Crestor (progressivement sur deux semaines, car un arrêt soudain me mettrait à risque de faire un ACV), de prendre plus du supplément CoQ10 et d’aller voir un médecin au plus vite. Je suis sensé partir en voyage d’affaire pendant 4 semaines et je ne peux vraiment pas manquer celui-ci après avoir dû annuler le dernier. Je décide quand même de suivre ses conseils. La douleur est atroce durant les 2 premières semaines ; je dois me gaver de Darvocet, hydrocodone et ibuprofen pour la soutenir. Je peux à peine marcher ou faire des tâches pourtant faciles.

Mes collègues trouvent que j’ai l’air de quelqu’un qui vient de faire une crise cardiaque. J’ai l’air mort, j’ai perdu énormément de poids, mes capacités mentales sont grandement diminuées et j’ai de la difficulté à bouger.

Les symptômes s’améliorent drastiquement au cours des 2 semaines qui suivent.

Durant mon voyage et depuis mon retour j’ai eu la chance de faire beaucoup de recherche sur internet. J’ai aussi parlé à des gens qui ont vécu une expérience similaire à la mienne avec les statines. Ce que j’ai trouvé est absolument épeurant. Des centaines et centaines d’histoires d’horreur concernant les statines. Des patients ignorants qui n’ont aucune idée que leurs symptômes (dépression, épuisement, douleurs) puissent être causés par les statines.

Après avoir partagé les résultats de mes recherches avec ma partenaire de marche, elle m’informe que les fabricants de ces médicaments sont au courant des effets secondaires de leurs produits, et qu’ils planifient même combiner les vitamines CoQ10, B et C directement avec les statines. Les compagnies pharmaceutiques commencent à peine à informer les médecins qu’ils devraient suggérer à leurs patients de prendre ces suppléments s’ils sont traités aux statines, me dit-elle. Elle m’informe aussi que ça pourrait me prendre de six mois à un an pour récupérer des effets secondaires que j’ai subis, mais que les suppléments allaient m’aider.

 Dans toute cette histoire :

J’ai perdu 42 lbs, passant de 212 à 170 lbs, principalement de la masse musculaire. J’ai perdu du muscle de partout, même dans mes mains! J’ai aussi perdu environ 50% de ma force ; je ne peux plus marcher, me concentrer, réfléchir clairement.

J’ai du supporter un épuisement absolu, une libido inexistante. J’avais perdu tout appétit, j’étais dépressif, pris d’anxiété, d’insomnie et douleurs atroces.

J’ai été diagnostiqué avec et/ou traité pour de l’anxiété généralisée, de la dépression, de l’arthrite, de l’insomnie, des dysfonctions érectiles. On m’a tâté, examiné, et finalement dit que je passais par les étapes normales du vieillissement. On m’a envoyé chez le psychiatre.

Je suis passé très près de perdre mon travail.

Tout ça pourquoi? Parce qu’un nombre, une statistique était un peu élevé au goût d’un médecin et que celui-ci a décidé que je devrais prendre des statines. Statines qui, je l’ai découvert lors de mes recherches approfondies, ne contribuent en rien à la diminution de la mortalité chez ceux qui les prennent.

Je suis revenu de mon voyage d’affaire depuis 5 jours et j’ai cessé de prendre du Crestor depuis 3 semaines déjà. Je prends mes suppléments en quantité adéquate et suis une diète beaucoup plus saine.

J’ai recommencé mes marches rapides tous les matins, mais je suis ankylosé comme si c’était la première fois. J’ai retrouvé 75% de l’usage de mon pied droit et ça s’améliore de jour en jour. Je n’ai qu’une douleur occasionnelle à la jambe.
Je me sens un peu mieux chaque jour. Je récupère mes forces physiques et mentales. Je suis par contre absolument terrifié à l’idée de retourner chez mon médecin, même si c’est simplement pour vérifier mon niveau de cholestérol. Je recherche maintenant un chiropraticien pour traiter la douleur que j’ai à la jambe.

Anticholestérols

 

Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, La médecine qui tuent, Médicaments | 9 commentaires

Les neuroleptiques atypiques comme Zyprexa tuent quelques 62000 personnes par an dans les utilisations non approuvées.

traduction automatique

Maux de tête pour Big Big Pharma
Adbuster

Pour le géant pharmaceutique Eli Lilly, les décès et les blessures ne sont que le coût de faire des affaires.  Quand Zyprexa, médicaments de Lilly pour traiter la schizophrénie et le trouble bipolaire, a frappé le marché en 1996, il a été salué comme une «atypiques» – un «coffre-fort, doux psychotropes», plus efficaces que les anciens médicaments comme la Thorazine Trilafon et, sans le danger des  effets secondaires. Les ventes sont grimpé en flèche Le battage bientôt a cédé la place à la réalité, comme Lilly du faire face à des vagues de procès intentés par des patients souffrant de diabète, de prise de poids massive, de pancréatite et de problèmes cardiaques.Lilly a répondu par des arrangements confortables qui a travaillé avec le Prozac, un autre blockbuster en proie à des problèmes: s’installer tranquillement costumes de cour, avec actes scellés et secret dans le cadre d’un bâillon. Tout embarrassante – ou illégale – que Lilly fait derrière des portes closes ne restent cachés à la vue du public.

Même si le gain est énorme – plus de un milliard de dollars dans des établissements à des dizaines de milliers de demandeurs – Lilly peuvent se le permettre: atypicals sont vendu dix fois plus que les anciens médicaments, de marketing et de Lilly Zyprexa machine fait son plus gros fabricant de profit, avec plus de 20 millions de clients dans le monde et en tête des ventes $ 4 milliards de dollars annuellement.Alors Lilly écrit un chèque, d’acheter le silence de la population atteinte par ses produits, puis se retourne et passe le long de coût pour le consommateur à des prix gonflés pharmacie. Tout à fait légal.

Qu’est-ce que Lilly n’a pas compter sur était un dénonciateur, un avocat et les pirates informatiques de prendre les choses en mains. Tout comme Lilly juridique du muscle a été laxiste pendant les vacances de Noël, l’un des témoins experts dans le contentieux Zyprexa contacté avocat des droits de l’homme Gottstein Jim, qui a utilisé une combinaison habile de la citation à la magie et d’action rapide pour obtenir des centaines de documents secrets à partir dans le cadre de la le sceau de la cour. Les notes, les courriels et la correspondance montrent comment la stratégie de marketing Lilly plié et brisé la loi, les études de risques défavorables caché et poussé Zyprexa non approuvés pour utilisation sur les personnes âgées et les enfants. Le Times a répété en première page des histoires, et Lilly a eu un nez stock plongée.

Revendication de « secrets commerciaux » et de propriété « techniques de merchandising,« Lilly swooped avocats sur Gottstein, la saisie des e-mails et la messagerie vocale records.Ils ont convaincu le tribunal à ordonner une injonction interdisant la distribution de ces fichiers, mais Gottstein avait déjà envoyé des disques chargés de copies numérisées d’une douzaine de militants et de journalistes à travers le pays. Lilly suivis par les disques, en essayant de mettre fin à l’escalade de la crise.

Et c’est là que les pirates viennent po Someone – encore non identifiées par Lilly – obtenu une copie, mais toute distribution remonte à eux peut mener à un mépris de la cour et de graves conséquences juridiques.Alors ils se sont tournés vers un logiciel appelé Tor, mis en place par l’Electronic Frontier Foundation. Tor est un serveur anonyme confidentialité EFF outil créé pour aider les dissidents dans les régimes totalitaires comme la Chine slip passé état de censeurs.Il est parfait pour aider les dénonciateurs Lilly se soustraire à la surveillance.Le fichier – zyprexakills.tar.gz – fait son chemin dans le cyberespace, et le tribunal a finalement jugé que Lilly ne pouvait pas bloquer les sites Internet de l’hébergement de ce fichier une fois qu’il a été librement disponible en ligne. La fuite a finalement public.

Le Zyprexa documents sont un aperçu inquiétant de la commercialisation dans l’esprit de l’une des plus grandes entreprises dans le monde, une entreprise ayant des liens étroits avec l’administration Bush (Lilly CEO Sidney Taurel siège au Conseil de sécurité de la patrie). Quand une étude a montré trois fois le risque de diabète par rapport à d’autres médicaments, Lilly simplement caché de la Food and Drug Administration, l’examen. Lilly visant la vente à la démence des patients – sans autorisation – dans une campagne baptisée «Viva Zyprexa. » Ils ont produit des représentants de minimiser les risques des drogues et, enfin, les enfants, qui Zyprexa n’a jamais été testé sur.  Emails discuté de la stratégie de l’indemnisation des médecins qui prescrivent Zyprexa contre toute action en justice: «Notre expérience avec le Prozac», dit la note, « confirme l’impact et de la bonne volonté d’une telle initiative. » Les notes de révéler à l’indifférence de risque de diabète Zyprexa causes, Lilly peut-être parce que les autres comprennent la vente de drogue haut – vous l’avez deviné – médicaments pour le diabète.

Lilly est désormais confronté à un scandale qui fait boule de neige.  The Times compare Zyprexa par rapport à Vioxx, l’ anti-douleur Merk retiré du marché après la divulgation de documents de la société montré caché les risques de crise cardiaque.Ex membre de la FDA Dr David Graham, qui a sonné l’alarme sur le Vioxx, a déclaré au Congrès que les neuroleptiques atypiques comme Zyprexa tuent quelques 62000 personnes par an dans les utilisations non approuvées. Une étude menée dans les Archives of General Psychiatry conclu qye les neuroleptiques atypiques ne sont pas plus efficaces que les plus anciens neuroleptiques, des médicaments moins chers, et de cinq gouvernements des États, avec d’énormes budgets pour atypicals, ont ouvert des enquêtes. Et le mois dernier, de quatre ans est mort de Rebecca Riley médicaments prescrits par un psychiatre, notamment un atypique, qui suscite des inquiétudes sur les quelque 30.000 enfants de moins de cinq ans qui prennent ces médicaments, malgré l’absence d’étude sur l’innocuité des médicaments pour les enfants.

Lilly secret opposé à son public les notes de cours, parce qu’ils pourraient «provoquer la peur injustifiée chez les patients qui les amènent à cesser de prendre leurs médicaments. » Pourtant, ce fait au cœur de la corruption de Lilly.  Au-delà de risques de se cacher la drogue et de la commercialisation illégale, Big Pharma n’a pas confiance à ses clients de prendre des décisions éclairées sur leurs soins de santé.  Un nombre croissant de personnes sont d’éteindre la télévision des annonces de pilules et d’explorer d’autres moyens pour faire face à leurs souffrances. Un article du New York Times a éclaté l’an dernier l’histoire de nombreuses personnes avec un diagnostic de schizophrénie qui réussissent bien avec les médicaments non-traitement.  Peut-être que la solution ne se trouve pas dans une pilule, après tout?

Maintenant que se traduirait par une baisse plus rapide que Big Pharma tout scandale.

SMT Gotzsche

Les médicaments psychiatriques sont beaucoup plus dangereux que vous ne l’avez jamais imaginé !
« ..20 ans de vie en moins…Les nouveaux neuroleptiques, de deuxième génération, dit, atypiques, sont encore pire que les anciens »
Vous pouvez afficher les sous-titres en français. Appuyez sur lecture, cliquez sur afficher les sous titres. Une fois les sous titres affichés (en anglais), il faut aller dans l’autre commande (a coté de sous titre), Puis, cliquer sur sous titre, Puis sur traduire automatiquement, puis en français.

Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, La médecine qui tuent, Médicaments | Laisser un commentaire

Savants maudits, chercheurs exclus

Si la volonté d’éradiquer des maladies comme le cancer est réelle et sincère, cela se fera. Sinon, tous les indicateurs sont en place pour nous dire que nous allons, à moins de 20 ans, vers une catastrophe humanitaire.

http://81.91.65.176/cgi-ma/programme/XNEWsouscategorie.pl?serveur=wew&nick=medicon&pd=&TDP=&changemonnaie=&affilie=&lc=&pc=&caddie=&categorie=0-chercheurs&DP=ED
 

Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, La médecine qui tuent, Médecine | Laisser un commentaire

Poison pour les humains, neutre pour les animaux en laboratoire

Voici une liste malheureusement non exhaustive des médicaments prouvés sans danger, selon les tests de toxicités effectués sur animaux (sur différentes espèces et sur plusieurs années), mais se révélant hautement toxiques pour les humains :

  Flosint (arthrite), mortel pour les humains (8 morts), tolérance chez les rats, singes et chiens testés en laboratoire.

  Zelmide (antidépresseur) sévères problèmes neurologiques pour les humains, aucun incident chez les rats et chiens testés en laboratoire.

  Clioquinol (anti-diarrhéique) paralysie et cécité pour les humains, sans danger pour les rats, chiens et lapins testés en laboratoire.

  Eraldin : (cœur) : mortel ou (et) cécité pour les humains, selon les scientifiques : « Aucun fâcheux effet sur les animaux de laboratoires lors des études de toxicité. »

  Opren : (arthrite) mortel pour les humains (61), rien à signaler chez les singes et les autres animaux de laboratoire.

  Zomax : (arthrite) mortel chez les humains (14), rien à signaler chez les singes et les autres animaux de laboratoire.

  Nomifensine (antidépresseur) mortel pour les humains (sévère défaillance rénale), aucun incident sur les animaux testés en laboratoire.

  Fialuridine (antiviral) mortel pour les humains (dommage irréversible du foie), sans danger pour les animaux testés en laboratoire.

  Isoprotérénol (asthme) mortel pour les humains (3500 au RU), aucun incident sur les animaux testés en laboratoire.

  Selacrine (diurétique) mortel pour les humains (dommage irréversible du foie), aucun incident sur les animaux testés en laboratoire.

  Domperidone (nausée, vomissements), provoque chez les humains un rythme cardiaque irrégulier. Les scientifiques étaient incapables de reproduire cet effet sur des chiens même avec une dose de 70 fois la normale.

  Mitoxantrone (cancer) provoque l’arrêt du cœur chez les humains. Il fut pourtant largement testés sur des chiens, qui n’ont jamais manifesté cet effet.

  Carbenoxalone (ulcères gastriques) provoque l’arrêt du cœur chez les humains. Après que les scientifiques ont su ce qu’il avait fait aux gens, ils ont continué à le tester sur des rats, souris, singes, des lapins, sans jamais pouvoir reproduire le même effet.

  Perhexiline (cœur) provoque une défaillance du foie, sans danger pour les animaux testés en laboratoire. Même quand ils savaient qu’ils cherchaient un type particulier de défaillance du foie, ils ne pouvaient pas le provoquer sur des animaux.

  Surgam (arthrite) provoque des ulcères d’estomac chez les humains, aucun incident chez les animaux testés en laboratoire. Les ulcères sont un effet secondaire commun de beaucoup de médicaments pour soulager d’arthrite. A la mise sur le marché, les scientifiques avaient déclaré que cette fois-ci le médicamentent ne pouvait causer des ulcères, tous les tests (sur animaux) avaient été faits pour s’en prévenir.

  Suprofen (arthrite) provoque une toxicité rénale pour les humains. Avant sa mise sur le marché, les chercheurs avaient commenté les essais du produit sur animaux comme : « … Excellent profil de sécurité. Aucun effet cardiaque, rénal, ou SNC (système nerveux central) rencontré sur les différentes espèces. »

  Methysergide (maux de tête) provoque lésions au niveau du cœur et des reins. Les scientifiques ont été incapables de reproduire ces effets sur les animaux.

  Clindamycin (antibiotique) provoque des lésions au niveau de l’intestin. Il a été testé sur des rats et des chiens chaque jour pendant un an. Ils tolérèrent des doses 10 fois plus grandes que celles qui furent prescrites pour les humains.

  Linomide (sclérose en plaques) provoque des crises cardiaques pour les humains, les expériences animales n’avaient pas prédit cela.

  Pemoline (hyperactivité) mortel pour les humains (dommage irréversible du foie), sans danger pour les animaux testés en laboratoire.

  Eldepryl (Parkinson) provoque de l’hypertension pour les humains, cet effet secondaire n’avait pas été vu chez les animaux.

  Rezulin (diabètes) mortel pour les humains (dommage irréversible du foie), sans danger pour les animaux testés en laboratoire.

  Amrinone (cœur) provoque une thrombocitopénie chez les humains, c’est-à-dire un manque de cellules de sang type qui sont nécessaires à la coagulation. Les expériences animales n’avaient pas prédit cela.

  Méthoxyflurane (anesthésique) provoque une toxicité rénale aiguë. Les expériences animales n’ont pas prévu la toxicité du produit sur le système rénal.

Staltor, Ananxyl, Orabilex, Métaqualone, Chloramphénicol, Stilboestrol, Flamanil, Ponderax, Primodos, Aménorone fort, Bendectin, Debendox, Préludine, Maxiton, Nembutal, Pronap, Plaxin, Phénacétine, Amydopyrine, Marzine, Réserpine, Phénindione, Méthotrexate, Uréthane, Mitotane, Cyclophosphamide, Isoniazide, Iproniazide, Kanamycine, Bismuth, Clioquinol, …

La liste de médicaments passant haut la main les prétendus tests de sécurité et toxicité sur animaux qui provoquèrent paralysie, cancers, cécité, troubles cérébraux, insuffisances rénales, troubles hépatiques, … Sur des patients humains, s’allongera tant que la vivisection continuera.

Avant la sortie sur le marché d’un nouveau médicament, des études sont conduites, pendant près de 10 ans, sur des dizaines de milliers animaux, de toutes espèces, sous le prétexte fallacieux qu’ils aident la santé humaine et animale (sic !). Si un médicament doit être retiré du marché (nocif aux humains) d’autres animaux de laboratoire sont encore torturés pour « comprendre » pourquoi le médicament incriminé fut toxique à l’espèce humaine.

Lorsqu’un médicament est suspecté nocif, il n’est pas immédiatement retiré du commerce car les laboratoires traînent les pieds en mettant en avant le fait qu’il a été prouvé inoffensif sur les animaux (« tests de sécurité » et « toxicité »). Par exemple, il fallut attendre 18 ans pour retirer le Phenphormin (diabète) alors qu’une estimation de 1000 patients mourraient chaque année d’effets secondaires.

Sans compter, que les médicaments retirés du marché occidental sont souvent toujours disponibles dans les pays du Tiers Monde ou que d’un pays à l’autre, le produit chimique ou molécule change de nom (exemple avec des scandales du Duogynom ou Clioquinol).

Quand ce charlatanisme s’arrêtera-il ? Au lieu de reconnaître une bonne fois pour toutes que le modèle animal n’est pas fiable et dangereux pour la santé humaine, les chercheurs reçoivent encore et toujours plus de subventions pour continuer les expérimentations animales.

La vérité est que la vivisection sert de couverture juridique en cas ou les familles de victimes voudraient assigner les fabricants en justice. Les juges ne condamnent pratiquement jamais les fabricants grâce à ces prétendus « tests de sécurité » conduits sur les animaux.

À propos du scandale du Clioquinol, qui provoqua pour le seul Japon une estimation de 1.000 morts et 30.000 handicapés, le Dr André Passebecq de Vence écrivit : « Les expérimentations sur animaux avaient bien été réalisées, mais que veulent-elles dire ? Comme d’habitude rien ou presque, lorsque les résultats sont transportés au niveau de l’homme. »

  Source :

« Sacred cows and golden geese, the human cost of experiments on animals » des Docteurs C.R et J.S Greek.

« Expérimentation animale : honte et échecs de la médecine » d’Hans Ruesch

http://www.stopvivisection.info/article_imprime.php3?id_article=26

Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, Médicaments | 2 commentaires

Neuroleptiques : l’histoire

http://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=http://bipolarblast.wordpress.com/2007/10/03/a-timeline-for-neuroleptics/&sa=X&oi=translate&resnum=1&ct=result&prev=/search%3Fq%3Dph%25C3%25A9nothiazine%2Bhistory%2Binsecticide%2Bbreggin%26hl%3Dfr%26client%3Dfirefox-a%26rls%3Dcom.ubuntu:fr:unofficial%26hs%3Dhbjpar robert Whitaker
http://www.freedom-center.org/pdf/whitakercaseagainstneuroleptics.pdfMad In America: Bad Science, Bad Medicine, and The Enduring Mistreatment of the Mentally Ill
by Robert Whitaker
http://www.amazon.com/Mad-America-Medicine-Enduring-Mistreatment/dp/0738207993/ref=pd_bbs_sr_1/105-0169461-4253274?ie=UTF8&s=books&qid=1191338773&sr=8-1Une histoire des neuroleptiques

Publiée dans le journal Medical Hypotheses (2004)
62, 5–13

Histoire préclinique

1883 Les phénothiazines sont développées comme colorants synthétiques.

1934 Le ministère de l’agriculture américain développe les phénothiazines comme insecticides.

1949 Les phénothiazines démontrent un effet inhibant sur l’activité physique des rats.

1950 Rhône Poulenc synthétise la chlorpromazine, une phénotiazine, pour l’utiliser comme anesthésiant.

Histoire clinique : les neuroleptiques classiques

1954 Il est démontré que la chlorpromazine, commercialisée aux Etats-Unis sous la marque Thorazine, provoque chez les patients des symptômes de la maladie de Parkinson.

1955 On découvre que la chlorpromazine induit des symptômes similaires à l’encéphalite léthargique.

1959 Premiers signalements de dysfonctionnements moteurs permanents liés à la prise de neuroleptiques, par la suite nommés  » dyskinésie tardive « .

1960 Des scientifiques français découvrent une réaction toxique potentiellement mortelle aux neuroleptiques, par la suite nommée syndrome malin des neuroleptiques.

1962 Le département d’hygiène mentale de Californie établit que la chlorpromazine, parmi d’autres neuroleptiques, prolonge la durée moyenne d’hospitalisation.

1963 Une étude de six semaines menée par le National Institute of Mental Health (NIMH, Institut National de Santé Mentale, Etats-Unis) conclut à l’innocuité des neuroleptiques et à leur efficacité dans le traitement de la schizophrénie.

1964 On découvre que les neuroleptiques nuisent aux capacités d’apprentissage chez les animaux et chez les êtres humains.

1965 Une étude menée après un an de suivi par le NIMH démontre que les patients traités par les neuroleptiques sont davantage susceptibles d’être hospitalisés à nouveau que les patients sous placebo.

1968 Dans le cadre d’une étude sur le sevrage des neuroleptiques, le NIMH découvre que les taux de rechute augmentent à proportion du dosage : plus la dose prise par les patients est élevée, plus les risques de rechute sont importants après sevrage.

1972 La dyskinésie tardive est mise en relation avec la maladie de Huntington, ou « lésions cérébrales postencéphaliques « .

1974 Une équipe de chercheurs de Boston signale que les taux de rechute étaient inférieurs avant la période de traitement par les neuroleptiques, et que les patients traités par neuroleptiques sont plus susceptibles d’être dépendants socialement.

1977 Une étude randomisée du NIMH, comparant un groupe de patients schizophrènes sous traitement neuroleptique à un autre groupe de patients sous placebo a permis d’établir que seuls 35% des patients sans traitement rechutaient dans l’année suivant leur sortie d’hôpital, alors que 45% des patients sous neuroleptiques rechutaient dans l’année.

1978 Le Dr Maurice Rappaport, ancien président de la California Psychiatric Society, a signalé de bien meilleurs résultats au terme de trois ans de soins chez les patients qui n’étaient pas sous traitement neuroleptique. Seuls 27% des patients sans traitement médicamenteux rechutaient dans les trois ans suivant leur sortie d’hôpital, comparé aux 62% des patients sous traitement médicamenteux.

1978 Une équipe de chercheurs canadiens a décrit les changements induits par les neuroleptiques dans le cerveau qui rendent les patients plus vulnérables à la rechute – ceux-ci ont été baptisés  » psychose ultra sensible induite par les neuroleptiques « .

1978 Il est prouvé que les neuroleptiques sont à l’origine d’une perte cellulaire de 10% dans les cerveaux des rats.

1979 Il est démontré qu’entre 24 et 56% des patients traités par neuroleptiques développent une dyskinésie tardive.

1979 On découvre que la dyskinésie tardive est associée à une détérioration cognitive.

1979 Le Dr Loren Mosher, directeur du département d’études sur la schizophrénie au NIMH, signale des résultats supérieurs, à un an et à deux ans, des patients traités sans neuroleptiques dans sa clinique de Soteria.

1980 Des chercheurs du NIMH ont découvert que les patients sous traitement neuroleptique qui ne rechutaient pas souffraient d’un taux de retrait émotionnel supérieur. Par ailleurs, ils ont établi que les neuroleptiques n’amélioraient pas les capacités sociales des patients sous neuroleptiques.

1982 On découvre que les traitements anticholinergiques utilisés pour contrer les symptômes parkinsoniens induits par les neuroleptiques sont source de détérioration cognitive.

1985 Le lien entre l’akathisie provoquée par les psychotropes et les suicides est établi.

1985 Le lien entre l’akathisie provoquée par les psychotropes et les homicides commis avec violence est mis en avant.

1987 Des chercheurs établissent que la dyskinésie tardive est associée à une aggravation des symptômes négatifs de la schizophrénie, à des difficultés à marcher et à parler, à une détérioration psychosociale et à une perte de mémoire. Ils en concluent que la dyskinésie tardive est un trouble moteur dont les symptômes sont proches de la démence.

1992 L’Organisation Mondiale de la Santé indique que l’évolution des personnes schizophrènes est bien meilleure dans les pays en voie de développement, où seuls 16% des patients sont maintenus sous neuroleptiques en permanence. L’OMS conclut que vivre dans un pays développé est un indicateur significatif du fait qu’un patient ne se rétablira jamais totalement.

1992 Les chercheurs reconnaissent l’existence d’une pathologie identifiable, causée par les neuroleptiques, qu’ils appellent syndrome neuroleptique. Outre la maladie de Parkinson, l’akathisie, le retrait émotionnel et la dyskinésie tardive, les patients sous traitement neuroleptique souffrent d’un risque plus important de cécité, de caillots sanguins mortels, d’arythmie, de coups de chaleur, de gonflement des seins, d’écoulement des seins, d’impuissance, d’obésité, de dysfonctionnements sexuels, de troubles sanguins, d’éruptions cutanées, de convulsions et de mortalité précoce.

1994 On découvre que les neuroleptiques causent une hypertrophie de la région caudale du cerveau.

1994 Une équipe de chercheurs de Harvard conclut, dans un rapport, que l’évolution de la schizophrénie chez les américains a empiré ces vingt dernières années et que la situation n’est pas meilleure aujourd’hui que dans les premières décennies du vingtième siècle.

1995 Le taux de rechute des patients schizophrènes sous traitement neuroleptique, dans les deux années suivant la sortie d’hôpital, est supérieure à 80%, ce qui est un taux beaucoup plus élevé qu’à l’époque où les patients n’étaient pas traités par neuroleptiques.

1995 Il est signalé que la qualité de vie des patients sous traitement est très médiocre.

1998 Des études d’IRM montrent que les neuroleptiques causent une hypertrophie du putamen, du noyau caudé et du thalamus, associée à une plus grande sévérité des symptômes tant négatifs que positifs.

1998 Il est prouvé que l’usage de neuroleptiques peut causer une atrophie du cortex cérébral.

1998 Des chercheurs de Harvard concluent que l’usage des neuroleptiques produit un stress oxydant, à l’origine des dégâts neuronaux observés dans le cerveau.

1998 Un traitement de deux neuroleptiques ou plus accroît le risque de mort prématurée.

2000 Les neuroleptiques sont associés à la formation de caillots sanguins mortels.

2003 Les neuroleptiques de deuxième génération sont à l’origine d’un risque plus grand d’obésité, d’hyperglycémie, de diabète et de pancréatite.

Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, Médicaments | Laisser un commentaire

Cholestérol et cancers : les laboratoires savaient !

Cholestérol et cancers : les laboratoires savaient !

LaNutrition.fr, le 23/09/2008

Depuis plus de trente ans, des traitements anticholestérol provoquent des cancers, un inconvénient minimisé ou passé sous silence par les laboratoires et leurs relais. Au moment où l’intérêt de faire baisser le cholestérol est de plus en plus contesté, il est temps de s’interroger sur les risques que l’on court en prenant de tels médicaments – comme les statines.
« Des millions de personnes prennent des médicaments pour faire baisser leur taux de cholestérol dans l’espoir d’éviter un infarctus. Le Dr Michel de Lorgeril, en deux livres parfaitement documentés – le dernier paraissant ces jours-ci – a montré que c’est à peu près aussi efficace que la croix Vitafor que l’on pendait à son cou dans les années 1960. La différence, c’est que la croix Vitafor, si elle n’apportait pas « joie, bonheur, santé et chance » comme le promettaient les annonces dans France Dimanche ou Télé Poche ne mettait pas non plus la vie des crédules en danger. Avec les médicaments anticholestérol, c’est une autre histoire. Le corps médical découvre aujourd’hui que ces médicaments peuvent augmenter le risque de cancer. »
« En 1998, des chercheurs hollandais avaient trouvé, en suivant près de 40 000 hommes et femmes, que le taux de cholestérol est inversement associé au risque de cancer : plus le cholestérol est bas, plus le risque de cancer est élevé : +54% chez les hommes, +30% chez les femmes. [9]
Il est donc possible qu’un cholestérol trop bas, et en particulier un cholestérol-LDL trop bas (celui que les médecins veulent faire baisser) expose à un risque accru en dévoilant des cancers latents. A cet égard, les risques des médicaments du cholestérol et peut-être même des aliments anticholestérol (pâtes à tartiner et autres) l’emportent probablement sur les bénéfices. »

Chez l’animal, moins de cholestérol, c’est plus de cancers !

Publié dans Médicaments | Laisser un commentaire

Zyban témoignage (antidépresseur wellbutrin) mourir pour arreter de fumer

  connaissez vous le zyban, mon frére la pris il y a 2 ans pour arréter de fumer et il a eu de gros problème d’allucination et d’agréciviter, à la suite de ça il a été hospitalisé de force par les autorité pendant 2 mois. Et a sa sortie il a eu de gros probléme de dépréssion, d’orticaire et oedème au niveau du visage. Il a eu un traitement de 6 mois pour une dépréssion et aprés ça on la laisser se débrouiller seul il n’a pas eu de suivi par les medcins. Dans son premier délire il sait sauver par son balcon car il voyait des gens qui le poursuivait et lui voulais du mal .ça il me la raconter lors de son hospitalisation c’était terrible ce qu’il a vécu je ne rentre pas dans les détails car c’est trop étrange.J’ai eu beaucoup de peine pour mon frére car c’est mon ainé et pour moi c’était quelqu’un de fort et je ne voulais pas croire qu’il avait un problème, de plus il me paraisait tout a fait revenu à la raison alors je me suis dit qu’il avait subi les effet indésirable du zyban et que c’était fini.Malheureusement aprés l’arrét de son traitement il y a eu les symptomes qui sont revenu et il a essayer de lutter seul contre ces allucinations et un soir il s’est réfugier chez ma mére qui m’a appelé car mon frére tenait des propos incohérant et était térrifier, alors on l’a rassurer et j’ai appelé de mon coté l’hopital en leur décrivant ses symptomes alors ils m’ont dit qu’il ne pouvait rien faire que c’était a nous de l’amener,mais étant dans son délire il avait peur et ne voulait pas sortir, alors avec ma mére et mon aautre frére nous décidions de le laisser dormir tranquilement chez ma mére car il se sentais rassurer prés de nous .Et nous voulions le faire interner le lendemain matin mais on n’a pas eu le temps car en pleine nuit il s’est réveillé en hurlant et en appelant à « aide moi maman » » il avait 43 ans et on aurait dit un enfant qui avait trés peur malheureusement il ne reconnaisait pas ma mére qui m’a apelé et quand je suis arivée il s’est mis a hurlé comme une bête ça ma fait peur mais en fait lui avait plus peur de moi et me reconnaissait pas et la j’ai compris que son délire recommençait et qu’il nous voyait comme des personnes qui voulais l’agresser, alors il a fait comme la premiére fois il s’est sauver par le balcon mais malheureusement ma mére habite au 6ème étage alors que lorsqu’il a fait ça chez lui il habitait au 1er. alors ma mére et moi avons vu mon frére se defenestrer sans pouvoir rien faire , quand on l’a rejoint en bas il était toujours vivant mais dans un sale état il était tout cassé alors je n’arrétais pas de l’embrasser car je croyais qu’il était mort mais il m’a parlé en me demandant ce qui c’était passé et ou il était. Je ne pouvais pas pleuré alors je le rassurais et l’embrassais sans arrêt car je savais qu’il allait partir. Aprés ça il est décédé 4 jours aprés à l’hopital. Alors jusqu’au jour d’aujourd’hui j’ai mal de la souffrance qu’il a du subir pendant ces 2 ans et surtout je m’en veux de ne rien avoir pu faire.Alors je peux juste vous dire ATTENTION AU ZYBAN car il est vrai que pour certaine personnes cela peut etre efficace mais pour d’autre dramatique car il y a eu beaucoup de mort aprés la prise de Zyban en allemagne en grande bretagne ….,mais cela ést difficile à prouver meme si pourtant se sont tout des effets indésirable dû au Zyban il y a des famille qui ont peut témoigner ou encore des personnes qui ont subi ses effets mais qui s’en sont sorti.

http://forum.doctissimo.fr/medicaments/antidepresseurs-anxiolytiques/alerte-attention-zyban-sujet_149970_1.htm

Le zyban est un antidepresseur appellé wellbutrin dans d’autres pays.
http://www.antidepressantsfacts.com/wellbutrin-ADF.htm

Publié dans La médecine qui tuent, Médicaments | Laisser un commentaire

La médecine nous tue

La médecine nous tue
http://www.marcmenant.fr/3.html

Des tranquillisants pour tous, des antibiotiques dès la petite enfance, des hormones pour cacher le vieillissement, des médicaments qui rendent malades, la grande mode des vaccins pour tout, des diagnostics qui font vendre…

La médecine serait-elle devenue folle ? A-t-on le droit aujourd’hui de critiquer cette nouvelle religion où le médecin, véritable moine en blouse blanche, nous assène des connaissances comme paroles d’Évangile ? Parce que la médecine actuelle retire à l’individu la responsabilité de sa santé, parce que le citoyen est infantilisé et conditionné à vivre dans la terreur des maladies, il est temps qu’une voix s’élève contre cette dérive. Cette voix est celle d’un homme, libre penseur, qui a choisi une philosophie de vie où la réflexion et l’action ne sont pas sous le joug du bien pensant consensuel.

Marc Menant nous propose une réflexion solidement fondée sur des faits d’actualité, une mise en perspective historique des liens qui unissent la médecine et le religieux. Le style est celui d’un écrivain, qui là encore, fait œuvre de liberté, d’originalité. C’est une pensée buissonnière qui nous entraîne hors des sentiers battus, hors des clichés rebattus, loin des certitudes que l’arrogance des spécialistes nous distille quotidiennement. Marc Menant revendique le droit à la suspicion devant tant d’informations, tant de préconisations et tant de prescriptions concernant notre alimentation, notre sexualité, notre sommeil, nos loisirs.


Il cherche le ressort de cette volonté de puissance d’une médecine qui, à vouloir tellement nous guérir, finit par nous affaiblir jusqu’à la mort. Dénonçant cet étrange paradoxe d’une médecine qui nous tue, ce livre participe d’une démarche citoyenne, il s’agit d’éthique et de liberté, il s’agit de reprendre la maîtrise de soi, de refuser la passivité et la manipulation, il s’agit de vivre pleinement. Pour autant Marc Menant, dans la deuxième partie du livre, ne choisit pas la simplicité de nouvelles recettes qui viendraient s’ajouter à la longue liste de celles proposées par les thérapeutes, médecins, spécialistes, coachs et psy en tous genres. Il nous parle d’une dynamique de vie et nous invite à quitter la survie pour une vie supérieure, une « sur vie » qui ne s’acquiert qu’à la condition d’un engagement complet, d’un désir ardent et d’un appétit de vivre qui apparaissent comme source de santé. Marc Menant est l’homme de cet engagement.

Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, La médecine qui tuent, Médecine, Médicaments | Laisser un commentaire

« la médecine tue les gens, les médicaments les empoisonnent » dr Lanctot

Docteur Ghislaine Lanctot : la mafia medicale

La mafia medicale


 « l’intérêt des patients n’a aucune importance »  

docteur Ghislaine Lanctôt  extrait de la mafia médicale

Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, La médecine qui tuent | 1 commentaire

Avandia tue et video (anglais)

 L’organisme de défense des consommateurs Public Citizen affirme que la Food and Drug Administration connaissait les problèmes liés au médicament contre le diabète Avandia depuis près de cinq ans.
Avandia est liée à un risque accru de crise cardiaque et, éventuellement, la mort, a fait état d’une nouvelle scientifique publiée en ligne lundi. La mise en commun des résultats de dizaines d’études ont révélé un 43 pour cent plus de risques de crise cardiaque et 64 pour cent plus de risques de décès cardiovasculaire, d’après la revue publiée par le New England Journal.
Public Citizen a envoyé une lettre à la FDA afin de se plaindre qu’un mémo interne de la FDA de 2002 indique que la FDA a recommandé scientifiques étiquettes pour Avandia et Actos, un autre médicament du diabète, devait être modifiée de façon à inclure un avertissement qu’il y avait eu des rapports dl d’insuffisance cardiaque chez les patients à qui on a prescrit ces médicaments. Le groupe affirme que malgré la note, les étiquettes n’ont pas été modifiées. L’organisme de défense des consommateurs Public Citizen affirme que la Food and Drug Administration connaissait les problèmes liés à la drogue diabète Avandia pendant près de cinq ans.
Publié dans La médecine qui tuent, Médicaments | Laisser un commentaire

How to Sue Drug Companies for Free : Comment poursuivre gratuitement les compagnies pharmaceutiques

Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, La médecine qui tuent, Médicaments | Laisser un commentaire

Médecins : assassins par antidépresseurs

Suéde : les antidépresseurs en troisième position des médicaments pouvant provoquer des effets secondaires mortels.

mortalité par iatrogénie médicamenteuse dans la population générale
Si les antidépresseurs arrivent en troisième position en Suède, les chiffres français doivent être astronomiques

« En France, c’est motus et bouche cousue. Et on prescrit des antidépresseurs pour le moindre vague à l’âme… Ca va de l’insomnie passagère à l’anxiété, à la timidité, aux troubles prémenstruels, aux troubles paniques, aux problèmes sociaux et économiques, à la non adéquation aux standards de « normalité » dominants dans notre société,aux douleurs chroniques et aux soucis de santé non diagnostiqués, dont beaucoup de médecins français supposent trop vite qu’ils sont psychosomatiques et à traiter par des psychotropes sans autre forme d’écoute ou d’investigation. »

« Une étude suédoise estime à 3% le taux de décès par effets indésirables des médicaments. Les antidépresseurs arrivent en troisième position »

Une étude suédoise estime à 3% le taux de décès par effets indésirables des médicaments. Les antidépresseurs arrivent en troisième position

Publié dans BIG PHARMA : le crime organisé, La médecine qui tuent, Médicaments | Laisser un commentaire

Le dépistage du cancer de la prostate tue

Touche pas à ma prostate !

La seule grande étude scientifique ayant évalué l’impact du dépistage du cancer de la prostate a constaté que les hommes incités à pratiquer un dépistage sont plus souvent morts d’un cancer de la prostate que ceux qui n’y ont pas été invités. Cette étude a porté sur 46000 hommes suivis pendant 11 ans.

« Le dépistage systématique du cancer de la prostate n’est pas une bonne stratégie de santé.

Ce dépistage aboutit dans de nombreux cas à découvrir dans la prostate des cellules cancéreuses qui n’auraient jamais provoqué de cancer. La moitié des hommes de 60 ans ont des cellules cancéreuses dans leur prostate, c’est un phénomène quasi normal et c’est le cas de près de 100% des hommes de 90 ans.

La seule grande étude scientifique ayant évalué l’impact du dépistage du cancer de la prostate a constaté que les hommes incités à pratiquer un dépistage sont plus souvent morts d’un cancer de la prostate que ceux qui n’y ont pas été invités. Cette étude a porté sur 46000 hommes suivis pendant 11 ans.

Cette situation a conduit la Haute Autorité de Santé à ne pas recommander ce dépistage en routine.

Malgré ces incertitudes, tous les ans, des milliers d’hommes sont inquiétés, opérés, irradiés, rendus impuissants ou incontinents pour un bénéfice hypothétique. »

 
 » on risque d’en tuer plus que l’on n’en sauve »
docteur dominique Dupagne
« PSA : ce dosage n’a pas d’intérêt »

Combien de fois j’ai écrit ou validé des articles qui exprimaient la nécessité chez les hommes de procéder dès 50 ans au dépistage du cancer de la prostate (dosage sanguin des PSA et toucher rectal)… alors que, finalement, si j’en crois mes lectures, il vaudrait mieux pas.

Car, un homme sur deux de plus de 60 ans aurait des cellules cancéreuses dans la prostate (phénomène naturel) et ne développera pas pour autant un cancer. Résultat, 70% des cancers diagnostiqués après dépistage sont des faux positifs… qui vont subir la chirurgie avec souvent des effets indésirables à la clé : impuissance et incontinence.

Même le médecin (Dr Stamey) qui, en 1987, démontrait que l’augmentation du taux de PSA était un signe de cancer de la prostate dit aujourd’hui que ce serait plutôt le signe d’une augmentation bénigne de la taille de la prostate et « que le test entraîne inutilement des milliers de chirurgies qui visent à enlever de minuscules cancers qui pourraient être sans danger pour le patient. »

Conclusion : à trop relayer les messages des sociétés médicales (ici l’AFO, association française d’urologie) ou des instances sanitaires, la presse ne joue plus son rôle d’investigation. On pourrait aussi parler de la communication autour de certains vaccins ou, pendant un temps, de l’incitation au traitement hormonal substitutif de la ménopause.
http://www.wk-pharma.fr/blog/porphyre/?p=76

Publié dans La médecine qui tuent, Médecine | 2 commentaires

Deroxat : permis de tuer

Le deroxat est mortel, le deroxat n’aurait jamais dû être autorisé.
Il ne doit pas être prescrit a de nouveaux utilisateurs et il devrait être interdit de vente. Il est défectueux et dangereux et il a détruit d’innombrables vies.
http://truthman30.wordpress.com/
Publié dans La médecine qui tuent, Médicaments | Laisser un commentaire

Victimes du Vioxx video

Merck paie cher les victimes du Vioxx

Le groupe pharmaceutique américain Merck and Co a annoncé un accord à l’amiable sur le Vioxx, cet anti inflammatoire qui a causé des crises cardiaques. Il doit verser 4,85 milliards de dollars.

http://fr.truveo.com/Merck-paie-cher-les-victimes-du-Vioxx/id/3900524009

Publié dans La médecine qui tuent | Laisser un commentaire

FDA, la cata, mais l’AFSSAPS c’est bien pire !

http://afssaps.spaces.live.com

Et rappelons que notre agence du médicament (AFSSAPS) est habituellement parmi les toutes dernières à réagir en cas de souci. Comparée à l’Afssaps, la FDA est un modèle de transparence et d’efficacité en pharmacovigilance comme en matière d’information du public et des médecins.

“Désastre sur ordonnance”. Documentaire sur le complexe médico-pharmaceutique et ses vassaux

Publié dans La médecine qui tuent | Laisser un commentaire

Mourir pour quelques boutons : roaccutane en français

Publié dans La médecine qui tuent | 2 commentaires

Bébés cobayes

Polémique autour de bébés cobayes en Inde

Isabelle Faure, à New Delhi
25/08/2008 | Mise à jour : 09:21 | Commentaires 5

De nombreux grands groupes pharmaceutiques pratiquent des tests cliniques pour leurs futurs médicaments dans ce pays.

Ce n’est pas dans une obscure clinique privée d’un coin de l’Inde que 49 enfants sont morts, entre janvier 2006 et juin 2008, alors qu’ils étaient soumis à des tests cliniques, mais à l’AIIMS, l’Institut des sciences médicales d’Inde à New Delhi, le fleuron du milieu hospitalier du pays. Et si les bâtiments décrépis ne payent pas de mine, si le hall d’entrée ressemble plutôt à un hall de gare, c’est pourtant ici que se font soigner gratuitement politiciens et hauts fonctionnaires, et les familles pauvres qui ont la chance d’y être admises.

Montré du doigt pour avoir utilisé en tant que cobayes 4 142 bébés et très jeunes enfants dont plus de la moitié avaient moins d’un an, avec des molécules venant de laboratoires tels que Novartis, Roche ou le japonais Sankyo Pharma, l’hôpital s’est défendu de toute négligence. «Les enfants décédés étaient gravement malades», a affirmé un porte-parole. «Aucun des décès n’est dû aux médicaments ou aux interventions opérées au cours des tests», a précisé V. K. Paul, à la tête du département de pédiatrie. Une partie de ces petits patients recevaient d’ail­leurs un placebo, a souligné l’hôpital. Le taux de mortalité est de 1,18 % parmi ces patients, alors qu’il est de 4 % pour l’ensemble de l’hôpital, affirment les autorités.

Une enquête a été ouverte, mais le mal est fait et l’affaire a réveillé de vieux démons. Depuis que le pays attire les laboratoires du monde entier, l’Inde est régulièrement secouée par des scandales qui font craindre que cette nouvelle forme de délocalisation n’entraîne l’exploitation systématique des populations pauvres et illettrées.

«Les atouts de l’Inde sont clairs, souligne-t-on à la Confédération de l’industrie indienne (CII), une population de plus d’un milliard de personnes, diverse, aux groupes génétiques bien distincts, et un vivier de docteurs, scientifiques et techniciens bien formés.» Tout cela a un coût tel qu’il permet aux laboratoires de réaliser une économie de 20 à 60 %. «Or 70 % du temps et de l’argent dépensés pour la découverte d’un nouveau médicament passent dans les tests cliniques sur les hommes», ajoute la CII.

Volontaires illettrés

Résultat : le pays est devenu le premier destinataire des tests délocalisés, avec un total de 139 l’an­née dernière, contre 98 pour la Chine. Tous les grands noms étrangers, Pfizer, Roche, Glaxo­SmithKline, Sanofi, ont désormais un pied en Inde. Selon un rapport de McKinsey, c’est un marché qui pourrait représenter 1 milliard de dollars d’ici à 2010.

Le gouvernement indien est soucieux d’éviter les excès et a introduit régulièrement des changements de législation et des règles de conduite. À la suite du scandale de l’AIIMS, le ministre de la Santé a promis que les règles de conduite seraient d’ailleurs bientôt transformées en lois et les abus strictement punis. Reste qu’il est difficile d’empêcher l’exploitation de la pauvreté et de l’illettrisme de la population. C’est d’ailleurs en grande partie ce qui fait l’attractivité de l’Inde, puisqu’on y trouve des volontaires deux fois plus vite qu’en Occident. C’est aussi ce que Rahul Verma, directeur de l’ONG Uday Foundation, qui a révélé l’affaire de l’AIIMS, déplore. «La plupart des patients à l’AIIMS étant illettrés et extrêmement pauvres, je doute qu’ils comprennent même ce qu’est un test clinique et ce qu’on fait subir à leurs enfants», s’indigne-t-il. Pourtant, vu le niveau déplorable de la santé publique en Inde, le patient est souvent tout simplement reconnaissant de trouver un docteur qui s’intéresse à son cas et lui donne des médicaments gratuits. La majorité de la population se situant au-dessous du seuil de pauvreté, c’est un problème bien plus profond

Publié dans La médecine qui tuent | Laisser un commentaire

Et si tout ce que vous avez appris à propos du $IDA était faux ?

$IDA OU SANTÉ ?

Bienvenue au $IDASANTÉ website

Découvrez ce que les officiels du SIDA et les médias veulent vous cacher…

Le SIDA apparaîtra un jour comme la page la plus noire de l’histoire de la médecine.

Le SIDA est une des plus grandes tragédies médicales et scientifiques de notre époque.

Découvrez ici une vision d’espoir…

Et si tout ce que vous avez appris à propos du $IDA était faux ?

http://www.sidasante.com

Publié dans La médecine qui tuent | Laisser un commentaire